25/10
Christian Wangue, l’éphémère empire d’un journaliste africain « en congé »
14/10
Pratiques mafieuses au Cameroun : Mediapart remporte le procès contre Bolloré
23/09
Préparatifs Mondial 2022 : Toko Ekambi forfait pour le match Cameroun-Ouzbékistan.
21/09
La bataille d’équipementier conduit à un bashing entre Samuel Eto’o et Yannick Noah
25/07
L’Union Africaine se félicite de la reprise des exportations de céréales d’Ukraine et de Russie
21/07
Football: la FIFA condamne le Cameroun à payer plus d’un milliard de FCFA au portugais…
20/07
Affaire de mœurs: la sex tapeuse Cynthia Fiangan a passé sa première nuit en prison
19/07
Le Cameroun veut importer 400 000 tonnes de riz en 2022
19/07
Droits de l’homme: Le REDHAC vole au secours du Directeur de publication du journal Le…
19/07
L’ancien Lion indomptable Stéphane Mbia risque la prison en Espagne
19/07
Découvrez le programme du séjour du président français Emmanuel Macron au Cameroun
18/07
Les Lionnes indomptables qualifiées pour les barrages de la Coupe du monde 2023
18/07
Mea Culpa: les camerounais accepteront-ils les excuses de Gaëlle Enganamouit
18/07
Lettre ouverte/Calixthe Beyala au président Macron: «venez-vous pour adouber un homme pour la transition au…
18/07
Emmanuel Macron au Cameroun, c’est confirmé
15/07
Le président de la République nomme de nouveaux responsables au sein de l'armée
15/07
Administration territoriale: le président de la République nomme 14 nouveaux préfets et 57 sous-préfets
15/07
CAN féminine 2022: les Lionnes indomptables éliminées en quart de finale
14/07
Diplomatie: le président Emmanuel Macron annoncé au Cameroun
14/07
Match Cameroun-Nigéria: 5 raisons pour croire à la qualification des Lionnes indomptables

Le Ministre d'Etat, Ministre de l'Enseignement supérieur (Minesup) vient de présider avec ses collaborateurs une réunion, en prélude à la rentrée universitaire prochaine, prévue entre le 5 et le 15 octobre 2021. Occasion pour le Pr. Jacques Fame Ndongo, d'aborder avec les parties prenantes divers aspects importants de l'Enseignement supérieur au Cameroun.

 

Élargie aux questions relatives à la rentrée universitaire 2021, la réunion de concertation n'a pas éludé les sujets se rapportant à la maitrise de la recherche et au renforcement de l’employabilité des diplômés grâce, notamment, aux incubateurs d’entreprise.

S'agissant du recrutement spécial des titulaires du doctorat ou du PhD, l'on apprend selon le communiqué final ayant sanctionné les travaux que, " Le président de la commission centrale de supervision de cette opération spéciale ayant fixé à 573 le nombre d’enseignants à recruter dans le cadre de la troisième et dernière phase, les propositions de répartition des postes par Université ont été effectuées, séance tenante, avec la participation active et méthodique des Vice-Chancellors et des Recteurs des Universités d’Etat. Cette clef de répartition sera soumise à la sanction de M. le Président de la Commission Centrale (le Pr Séraphin Magloire Fouda, Secrétaire Général des services du Premier Ministre, Chef du Gouvernement) ".

Pour ce qui est du point sur les thèses de doctorat ou PhD soutenues, en vue d’une gestion rationnelle de la production du capital humain à l’échelon pédagogique supérieur, chaque Vice-Chancellor ou Recteur a fait état du nombre de thèses de doctorat ou de PhD soutenues, par Université, par année académique, par établissement et par spécialité depuis les trois dernières années académiques.

La rencontre a fait la part belle à la rentrée académique 2021. Il ressort des travaux que le Ministre d’Etat, les Vice-Chancellors et Recteurs se sont appesantis, en outre, sur les questions liées aux infrastructures (au regard de la hausse exponentielle des effectifs : 169 766 nouveaux étudiants attendus à la rentrée 2021 – 2022 (entre le 5 et le 15 octobre 2021).

En outre, des précisions sur les pré-inscriptions ont été données par les Vice-Chancellors et Recteurs. Le binôme " enseignement présentiel et enseignement distanciel " sera optimisé en 2021–2022 grâce, notamment, à la mise en service dans chaque Université d’Etat, au campus de l’Université Inter-Etats Congo – Cameroun à Sangmelima, et au niveau central (Minesup) de 10 centres de développement du numérique universitaire (CDNU) déjà construits et équipés par la coopération chinoise, dans le cadre du E-National Higher Education Network. Ces centres modernes sont offerts à la jeunesse estudiantine du Cameroun par Son Excellence Paul Biya, Chef de l'Etat en vue de l'arrimage optimal des étudiants camerounais à la civilisation cybernétique.

" Le Ministre d’Etat, ses proches collaborateurs et les chefs des Institutions universitaires publiques ont aussi examiné des questions relatives au fonctionnement général des Universités, notamment l'efficience des incubateurs d'entreprise fonctionnels dans chacune des universités d'Etat et le nécessaire accompagnement juridique, administratif et financier des dix Centres de développement du numérique universitaire, catalyseurs de la mutation digitale en cours dans les Universités camerounaises ", rapporte le communiqué.

Innocent D H

 

Réunis mardi, 07 septembre 2021 au palais des congrès de Yaoundé, les juges du Conseil constitutionnel ont jugé « irrecevable » la requête introduite par Denis Émilien Atangana. En effet, le président du Front des démocrates camerounais (FDC) avait saisi l’instance pour connaitre du « maintien en fonction illégale de 18 directeurs généraux de sociétés publiques ».

Pour certains observateurs, c'est sans surprise que la décision du Conseil constitutionnel a été accueillie. Saisie pour connaître du « maintien en fonction de 18 directeurs généraux », le Conseil rejette la requête pour défaut de qualité du plaignant.

La décision du Conseil constitutionnel (CC) s'appuie sur la loi fondamentale. La constitution camerounaise dispose clairement en son article 47 que l'instance peut être saisie sur « les conflits d’attribution : entre les institutions de l’État ; entre l’État et les régions ». L’alinéa 2 de cet article précise quelle est la qualité des personnes qui peuvent entreprendre cette saisine : « le Conseil Constitutionnel est saisi par le président de la République, le président de l’Assemblée nationale, le président du Sénat, un tiers des députés ou un tiers des sénateurs. Les Présidents des exécutifs régionaux peuvent saisir le Conseil Constitutionnel lorsque les intérêts de leur région sont en cause ».

Détermination du requérant

Face à ce rejet, le président du FDC s’est dit certes désolé, mais estime que « malgré toute sa pertinence sur le fonds », le Conseil Constitutionnel n’a pas saisi cette opportunité pour créer « un historique précédent ». L'homme politique confie être déterminé à poursuivre sa démarche visant à obtenir gain de cause sur la longévité illégale de certains directeurs généraux des entreprises publiques au Cameroun. Denis Émilien Atangana compte saisir, l’Assemblée nationale, le Sénat et le tribunal administratif « sur des questions très précises en rapport avec les manifestations et les conséquences du maintien en fonction des plus de 18 directeurs généraux et directeurs généraux adjoints des entreprises ou établissements publics, des PCA en complète violation de la Loi Nº 2017/011 du 12 juillet 2017 et surtout du caractère manifestement illégal et frauduleux des actes qu’ils posent dans ces conditions », fait-il savoir. En effet, selon les dispositions de l'article 70 de cette loi, la durée du mandat d’un dirigeant d’entreprise publique ne peut excéder neuf ans. Après décompte fait par ses soins, le FDC révèle que 18 de ces dirigeants alignent plus de 9 ans.

Innocent D H

Ils ont été appréhendé par la Gendarmerie le 1e septembre dernier alors qu’ils s’apprêtaient à orchestrer des enlèvements avec demande de rançon dans cette partie du Cameroun.

La police camerounaise vient de mettre la main sur quelques membres du groupe rebelle centrafricain 3R (Retour Réclamation Réhabilitation), qui sème la terreur en République Centrafricaine. Il s’agit d’Hamadou Bouba, capitaine du groupe, Mamadou Abdoul Aziz, Abdoul Aziz Nassir, Aliou Dang Assabé, Amine Hamat et Hassan Ibrahim.

Ils ont été arrêtés alors qu’ils se trouvaient en terre camerounaise, précisément à Ngaoundéré dans le but de se ravitailler en vivre, denrées et matériels nécessaire pour leurs activités. Pour se faire, ces derniers selon Cameroun tribune en kiosque ce mercredi avait misé sur des enlèvements avec demande de rançon.

Pour s’assurer d’un mouvement fluide, ils avaient tous des cartes nationales d’identité camerounaise et centrafricaine. D’après Cameroun tribune, ces derniers ont été appréhendé par les éléments de la Gendarmerie nationale de Ngaoundéré le 1er septembre dernier alors qu’ils s’apprêtaient à enlever un certain Modibo.

« C’est sur exploitation de renseignement d’une personne digne de bonne foi, nous signalant la présence de certains immigrants clandestins dans la ville de Ngaoundéré avec intention de procéder aux enlèvements des individus que nous avons mené cette opération avec succès » a confié le Colonel Jean Pierre Kagombé Keffien, commandant de la légion de Gendarmerie de l’Adamaoua aux confères de Cameroun tribune.

Après son incursion dans un domicile au quartier Bali a Ngaoundéré, les éléments du bureau de lutte contre la grande criminalité ont interpellés Hamadou Bouba et Mamadou Abdoul Aziz tous deux de nationalité centrafricaine et camerounaise respectivement. Après ouverture d’une enquête et exploitation de ces deux suspects, la police a mis la main sur les quatre autres rebelles.

Pendant la perquisition des différents domiciles, les forces de défense ont retrouvé de faux documents, des registres d’actes de naissance vierges, des cachets de plusieurs autorités de la république, de la justice ainsi que de faux diplômes.

Déférés dans les locaux de la gendarmerie, ils vont comparaitre devant le tribunal militaire pour répondre des actes d’infraction internationale, tentative de trouble à l’ordre publique, faux en écriture publique et authentique, et immigration clandestine avec complicité.

 

Ariane Foguem

Dans une publication devenue virale sur les réseaux sociaux, notamment sur facebook, l’on peut lire ces écrits attribués à Paul Poufong - secrétaire général de cette formation politique; propos d’une fermeté absolue et qui ne veut laisser planer aucun doute 

 

“Le bureau national de l’Afp met en garde Sam Mbaka

Que cela soit clair une bonne fois pour toute : Monsieur Cyrille Sam Mbaka n'est pas le Président de l'Alliance Des Forces Progressistes (AFP).

Je croyais avoir été suffisamment clair à ce sujet. Mais je constate pour le déplorer que certains journalistes éprouvent du plaisir  à le présenter comme président de ce parti politique.

Cette blague de mauvais goût doit casser.

Devenu membre de l'AFP le 27 Août dernier, devant un parterre impressionnant des journalistes, un esprit bien constitué comprendrait mal qu'il en soit devenu président ce même jour, alors même que le congrès, seule instance élective, était prévue pour le 28 Août 2021 et bien plus, aux termes des dispositions de l'article 15 des statuts, l'infortuné est frappé d'inéligibilité.

Cette imposture doit cesser, l'AFP n'étant pas la cour du roi pétaud…”.

Une confusion inappropriée et incompréhensible

Tel est le sentiment qui ressort après avoir lu la mise au point faite par Paul Poufong il y’a quelques heures car, Cyrille Sam Mbaka, ancien cadre de l’Union Démocratique du Cameroun dont la démission date du 10 septembre 2020 de son ancienne formation politique, a récemment été présenté comme le nouveau président de l’Alliance des Forces Progressistes (Afp).

La déclinaison devant les confrères des objectifs qui sont désormais les siens, en tant que “cadre” au sein de l’AFP aurait - elle  contribuer à entretenir la confusion?

“L’AFP, l’Alliance des Forces Progressistes c’est le renouvellement d’une offre politique alternative crédible. Se réconcilier avec le politique et la politique. Beaucoup trop de nos compatriotes et vous le savez, ont déserté les partis politiques et le militantisme est devenu alimentaire. Celui de l’estomac...

Il y a du chemin à faire, c’est vrai. Nous allons retrousser nos manches. La politique a été trop longtemps dévoyée.  Elle n’a servi que des intérêts partisans oubliant au passage les fondamentaux. La mission des élus c’est de porter et de défendre les espoirs et les attentes de ceux qui les ont élus…

C’est pourquoi les hommes politiques se doivent de rendre des comptes. Ont-ils rempli leur mission ?  A quel pourcentage ?  Quels ont été les écueils? Pourquoi sollicitent-ils une prolongation de leur mandat ?  Sont-ils toujours dignes de la confiance des électeurs ? Changer de curseur. Changer de paradigme. La politique autrement… 

Voilà quelques lignes de force de ma vision. Celle que j’entends implémenter à la tête de l’AFP, l’Alliance des Forces Progressistes”.

 

Nicole Ricci Minyem

 

Le camerounais Amobé Mévégué est décédé ce 8 septembre 2021 des suites de Coronavirus.

C’est la triste nouvelle qui circule sur la toile. Amobé Mévégué journaliste camerounais, célèbre producteur et talentueux journaliste culturel a cassé sa plume. La nouvelle a été publiée sur sa page Facebook, plongeant ainsi dans la consternation tous ceux qui l’ont connu.

«C’est avec une grande tristesse que nous vous annonçons qu’Amobé est parti rejoindre ses ancêtres. Il laisse derrière lui un grand vide», peut-on lire sur sa page Facebook, ce mercredi matin.

On apprend que le camerounais Amobé Mévégué est mort des suites de Coronavirus. Il quitte ce monde à l’âge de 53 ans, alors qu’il a enterré sa mère à Nkolbogo près de Yaoundé, il y a  juste deux semaines. Le célèbre journaliste avait été très éploré par le départ de sa génitrice.

«Hommage dans mon village Nkolbogo à proximité de Yaoundé en pays Eton, Fang, Beti du Kamerun. Infinie gratitude à toi Madame « Patriarche », Mévégué née Ebogo, pour l’amour absolu que tu as donné à TOUS tes enfants. Ton fils Amobé », avait-t-il écris sur sa page Facebook au lendemain de l’inhumation de sa mère.

En bref, il faut noter qu’Amobé Mévégué s’est installé en France depuis 1972. Il a roulé sa bosse entre autres pour RFI, TV5MONDE, FRANCE24, FranceOtv, CFI, MCM Africa. Il est le fondateur de Ubiznews. Il avait aussi la casquette de producteur radio et télévision.

Liliane N.

 

 

 

 

 

 

 

Four persons found guilty of indiscriminately shooting and killing seven pupils at the Mother Francisca International Bilingual Academy, Fiango neighbourhood in Kumba, Meme Division of the restive South West region of Cameroon last October 2020 have been sentenced to death by shooting.

The verdict was passed by the Buea Military Tribunal where the accused were standing trial for charges of acts of terrorism, hostility against the father land, Secession, Insurrection, murder and illegal possession of firearms and ammunitions Tuesday September 7.

“The judge remains the umpire of his judgment if he was convinced with the evidence provided to him on the charges for which they were prosecuted. The Judge has as guide, the law and his conscience,” prominent Human right Barrister Richard Tamfu was quoted by Mimi Mefo Info on the case.

“Law is hard but that is the Law. The only remedy available as a Lawyer is to appeal the decision of the judgment,” he reportedly added.

The four condemned were found guilty of invading the Mother Francisca International Bilingual Academy in the Fiango neighbourhood in Kumba, Meme Division of the South West region on October 2020 on motorcycles with machetes and guns, opened fire indiscriminately, killing seven young souls and injuring some thirteen others as the latter tried to escape by jumping through windows.

News of the shooting sent shock waves across the country and even abroad as many took to the social media to express extreme discontent and outrage. The attack was condemned by United Nations Secretary General, António Guterres and UNICEF Executive Director, Henrietta Fore. Matthias Z. Naab, the Humanitarian Coordinator in Cameroon, stated that he was "shocked and outraged by the killing of innocent school children which were attending school to get an education".

Until date, separatists and the military have been throwing blames at each other. According to one of the survivors, there had been twelve attackers, most of whom were dressed in military or police uniforms.

Few days after the shooting, security forces said they had identified and killed the separatist commander who was responsible for the massacre, a man known as "Wonke". A month later, a suspected gunman known as "Commander Zabra" was arrested by the police.

Afterward, nothing filtered on the arrest of the rest of the suspected perpetrators of the massacre. Their death by shooting sentence is a true reflection of the word of God in Matthew 26: 53 which says that : “All they that take the sword shall perish with the sword.”

According to Mimi Mefo Info, they have up to ten days to appeal the sentence.

 

Ariane Foguem

Le leader du Mouvement pour la renaissance du Cameroun Maurice Kamto affirme que les autorités sans oublier la justice sont restées indifférentes face au drame vécu par Christelle Mirabelle Lingom.

Comme il a pris l’habitude de le faire pour les sujets brûlants du pays, Maurice Kamto a rendu public sa déclaration sur le décès de Christelle Mirabelle Lingom, survenu le lundi 6 septembre 2021. En présentant ses condoléances aux proches de la victime, le président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) pense que tout le monde a une part de responsabilité dans l’histoire de Mirabelle. L’ancien candidat à l’élection présidentielle de 2018 espère que même avec la mort de Mirabelle, que justice lui sera faite.

Retrouvez ci-dessous la déclaration de Maurice Kamto

J'ai appris avec  consternation le décès, dans des conditions non encore élucidées, de la jeune Christelle Mirabelle LINGOM, survenu le lundi 6 septembre 2021. J'adresse à la famille de la défunte les condoléances attristées du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC) auxquelles je joins les miennes propres ainsi que l'expression de ma compassion émue.

Le décès de Christelle Mirabelle LINGOM doit interpeler l'ensemble des citoyens que nous sommes, autant que les responsables publics de notre  pays, en raison de l'ambiance exécrable qui a été créée et entretenue autour du drame vécu par cette jeune compatriote, dans l'indifférence totale de notre société et surtout des pouvoirs publics, particulièrement de la Justice.

Quel que soit le résultat des enquêtes qui, je l'espère, seront ouvertes, on peut d'ores et déjà affirmer que Christelle Mirabelle LINGOM est une authentique victime de la haine qui pollue notre espace public, en particulier depuis 2018, dans l'indifférence générale, notamment des pouvoirs publics et des organisations de la société civile, même  celles spécialisées dans la défense des droits de l'Homme.

J'espère que les services publics compétents, notamment ceux de la police/gendarmerie et de la justice  s'activeront, sans délai, pour identifier et poursuivre en justice tous ceux qui ont anéanti la dignité et la vie de Christelle Mirabelle LINGOM par le viol, tout comme ceux qui ont participé directement ou indirectement à la campagne haineuse contre cette jeune compatriote.

Il est temps que le pouvoir prenne enfin des mesures fortes contre la haine dans l'espace public camerounais. Les mesures espérées sont indispensables si nous voulons épargner notre société de drames similaires.

Tel est le titre du “Thriller” rédigé par Samuel Eddy Mbog, préfacé par l’auteur lui même en auto édition sur Amazon KDP, avec six chapitres et 112 pages 

 

Dans la préface, Samuel Eddy Mbog relève la difficile coexistence entre les communautés bantoues et les pygmées, premiers habitants d’Afrique a créé un mythe qui demeure profondément ancré dans les mentalités des peuples riverains de cette tribu pionnière : celui de la prétendue infériorité du peuple Pygmée face aux autres tribus environnantes.

Longtemps incompris, ils sont pratiquement restés en marge de l’évolution socio-économique, scolaire et technologique. Fortement attachés à la maîtrise des connaissances ancestrales et traditionnelles, avec pour principal référent la maîtrise des secrets de la forêt profonde. Ils sont très souvent injustement abusés par leurs concitoyens qui exploitent à vil prix leurs richesses.

En s’écartant généralement de l’école classique, du fait de l’inadaptation de leur mode vie nomade, l’on dénombre toutefois très peu, qui excellent sur le plan académique et trouvent une place de leadership dans la société moderne.

Résumé du roman

“Lorsque Craig s’engagea donc à suivre ceux qui allaient à l’école des blancs et à imiter les onomatopées qu’ils récitaient à tue-tête, Il eut la chance d’être pris en charge et scolarisé par le Père Rousseau un missionnaire français.

Naquit alors l’espoir qu’une élite nouvelle pourrait servir de témoin à l’histoire, pour démontrer qu’un pygmée mis dans des conditions adéquates, pourrait devenir une référence intellectuelle, professionnelle et académique. Oui  c’était l’occasion de démontrer que l’excellence est universelle, pas une question de taille ni de couleur.

La question qui se posait était de savoir si face à leurs idées préconçues de pseudo supériorité, les peuples bantous établis, pourraient intégrer le fait d’être dirigés par un pygmée marginal quoique beaucoup plus brillant, et d’évoluer sous ses ordres? 

Sauront-ils reconnaître la valeur intrinsèque de l’homme et ignorer ses origines ethnologiques ? Goliath acceptera-il de prêter le flanc à David ?

Craig va apprendre à ses dépens que le monde n’est pas comme lui il l’avait pensé; qu'il est fait de trahisons et que le combat est aussi ethno centré. Il découvrira également que l’homme peut être un loup pour l’homme, quand il s’agit d’argent et que l’amitié ne vaut pas un sou, surtout si on a affaire à un serpent de la pire espèce…”.

C'est une intrigue saisissante qui met en scène un crime savamment orchestré dans un cadre professionnel du Sud Cameroun, où le personnage principal flirtant au quotidien avec la mort et le danger sous la menace d'un ennemi tapis dans l'ombre finira par perdre bien plus que des plumes, une vie précieuse et l'espoir d'une postérité.

C'est aussi un appel au respect des droits des minorités et de l'égalité des chances de réussite sociale pour tous les peuples, car tous les Hommes sont égaux quelles que soient leurs races et leurs origines.

Informations sur l’auteur

Né le 17 décembre 1980 à Douala au Cameroun, MBOG Samuel Eddy est titulaire d’un baccalauréat option littérature et philosophie depuis 1998, ayant découvert sa passion pour l’écriture 2 années plus tôt, il commença à 16 ans la rédaction de son 1er ouvrage.

Aujourd’hui, titulaire d’une maîtrise en droit de l’université de Douala et d’un diplôme d’études professionnelles approfondies de l’ESSEC-Douala, il est consultant et promoteur de l’Agence de Marketing et Communication dénommée ABOVE CONSULTING et Directeur de publication d’un Magazine de promotion des communes rurales camerounaises dénommé le FONGIK’OR. Il est marié et père de 03 enfants.

 

Nicole Ricci Minyem

 

L’un d’entre eux a été interpellé en possession de 600,000 FCFA de fausse monnaie et des armes blanches, dans la nuit du 30 août 2021 au quartier Manguier.

La Gendarmerie Nationale annonce qu’elle a mis la main sur deux présumés trafiquants de fausse monnaie lors de deux interventions dans la ville de Yaoundé. Le premier a été appréhendé au cours d’un contrôle de véhicules effectué le 29 août 2021 par les éléments de la Brigade de Gendarmerie de Nlongkak au lieu-dit « Carrefour Elig- Edzoa en possession de deux faux billets de 10,000 FCFA.

Interrogé, ce dernier va révéler faire partie d'un vaste réseau de trafic de fausse monnaie qui opère dans les villes de Yaoundé et Douala.

L'exploitation dudit suspect a donné lieu à l'interpellation de l'un des présumés fournisseurs dans la nuit du 30 août 2021, au quartier Manguier, en possession de 600.000 F CFA de fausse monnaie.

Ces billets ont été saisis, ainsi que des armes blanches qu’il avait en sa possession. Une enquête a ensuite été ouverte dans cette unité de Gendarmerie, afin de démanteler la totalité de ce réseau criminel.

Bien que puni d’un emprisonnement à vie par la loi camerounaise, le trafic de fausse monnaie est très courant surtout dans les grandes villes du pays. On se rappelle que les 03 et 04 septembre 2020 par exemple, les éléments des Brigades de gendarmerie de Nlongkak et de Nkolmesseng ont interpellé des présumés trafiquants de fausse monnaie aux quartiers Nkolmesseng, Emana et Mballa 2 à Yaoundé.

Les opérations de fouille et de perquisition ont permis de saisir un important stock de faux billets ainsi que la machine et les produits afférents à leur fabrication. Des substances psychotropes et produits électroménagers, dissimulés sous un lit, ont également été saisis.

 

Ariane Foguem

Me Christian Ntimbane Bomo accuse les avocats du Mouvement pour la renaissance du Cameroun d’avoir livré à la mort, la jeune Christelle Mirabelle Lingom en lui faisant croire que son affaire méritait d’être portée devant les tribunaux.

Les circonstances du décès de Christelle Mirabelle Lingom sont au cœur d’une polémique. De nombreuses personnes qui ont suivi son histoire réclament l’autopsie, pour savoir réellement ce qui a emporté lundi dernier la jeune fille âgée de 25 ans. Alors que les commentaires vont dans tout le sens, Me Christian Ntimbane Bomo basé à l’étranger, a rendu public une tribune dans laquelle, il porte la responsabilité du décès de cette fille sur les avocats du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC), qui se sont constitués pour assurer sa défense. Pour l’avocat, ses confrères ont donné de l’ampleur à l’histoire de Mirabelle qui pour lui, n’en avait pas. Et ils ont été aidés dans cette tâche par la chaîne de télévision privée Equinoxe.

Retrouvez ci-dessous la tribune de Me Christian Ntimbane Bomo

ILS ONT ENCORE TUÉ !

Une jeune dame est confondue dans une sextape. L’erreur est reconnue par les auteurs. D’ailleurs peu de camerounais ne s’en rendent compte et ne s’intéressent. Des manipulateurs politiques affiliés à Maurice Kamto, tel le haineux grégaire Kuissi  Mephou  vont sortir cette jeune dame de son anonymat, totalement inconnue de l’opinion publique camerounaise pour l’exposer, le but étant de se  servir de son cas comme un instrument de règlements de compte contre le Pcrn et Cabral Libii qu’ils détestent à mort.

Dans cette même logique, elle sera invitée par Équinoxe au cours d’une émission sans tête ni queue dans le seul but de grossir ce fait divers qu’ils auront tenté de commuer en viol. La  jeune dame obligée de jouer la grave victime qu’elle n’est pas se met sous  la pression. Des Avocats du Mrc se constituent, sans bien savoir pourquoi eux.

D’ailleurs, un d’entre eux, a regretté ce soir sa  constitution dans cette affaire, au point de se voir quelque part responsable de cette mort :  » Je me dis que si je n’avais pas défendu cette fille, peut-être serait-elle encore en vie, je regrette  » s’est-il confié ce soir sur Équinoxe Soir ce 06 septembre 2021.

Cher confrère, que  cette confession publique libère ta conscience ! Le corrompu et prébendier  activiste, en a fait une affaire de vie.  À tous moments, des publications à n’en plus finir,  sur cette enfant visiblement fragile qui menait sa petite vie. Surexposée, elle n’en pouvait plus.

Selon Paul Chouta qui a relaté leurs dernières conversations, elle lui a dit vouloir retirer sa plainte et qu’il lui a répondu que ça dépendait d’elle. Preuve de plus qu’elle ne voulait pas et en avait marre de cette surexposition. L’instrumentalisation d’une banale affaire a tué cette fille.

 

On lui fait croire que son affaire est très grave et qu’elle ne doit pas laisser tomber.Or elle  n’en voulait plus. Mais Mephou Kuissi et les aficionados sans  cœur  lui mettaient la pression. Ce n’était pas pour la défendre, mais pour exploiter sa peine. En son temps, j’avais fait un post pour le dénoncer. Mirabelle  est morte, c’est vous les  responsables.

Monsieur Kuissi et tous les autres, vous porterez à jamais dans vos consciences, la mort de cette enfant.

Christian Ntimbane Bomo

Société Civile des RÉCONCILIATEURS

 

Page 120 sur 1015






Sunday, 05 June 2022 11:01