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Liliane N.

Liliane N.

L’accord de coopération va établir les modalités de coordination et d’actions communes en matières de défense et de sécurité transfrontalière entre la République de Guinée équatoriale et la République du Cameroun.

Les échanges entamés au Cameroun le mois dernier entre la Guinée équatoriale et notre pays vont se poursuivre sur la terre du Président Théodoro Obiang Nguéma. Un communiqué de Joseph Beti Assomo le Ministre de la Défense (Mindef) révèle qu’il aura une réunion de concertation avec son homologue équato guinéen ce lundi 20 juillet 2020 et demain mardi. La réunion sera marquée par la signature de L’accord de coopération sur les modalités de coordination et d’actions communes en matières de défense et de sécurité transfrontalière entre la République de Guinée équatoriale et la République du Cameroun. La concertation va également permettre de parachever les concertations avec la partie équato guinéenne. Le Mindef conduit donc une délégation composée naturellement de Lejeune Mbella Mbella le Ministre des Relations extérieures et du Général du corps d’Armées René Claude Meka, chef d’État-major des d’armées.

Rappel

Lors des premières concertations qui se sont déroulées au Cameroun Joseph Beti Assomo le Mindef, avait fait savoir que le voeu de notre pays est de «voir la coopération bilatérale dans le domaine de la défense se muer en modèle». Le patron de la Défense au Cameroun avait rassuré sur «la disponibilité des Forces de défense et de sécurité camerounaises à soutenir toutes les initiatives bilatérales et sous régionales en faveur de la paix et de la sécurité commune… ». Du côté de la Guinée équatoriale, le patron de la Défense de ce pays voisin au nôtre avait émis le voeu que «le processus d’affermissement des relations et des échanges transfrontaliers puissent bénéficier d’un climat de confiance mutuelle consolidé».

Il convient de souligner que toutes ces concertations ont eu lieu sous l’instruction des deux Chefs d’Etat Paul Biya et Théodoro Obiang Nguéma Mbatsogo.

Liliane N.





Maurice Kamto le président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun demande aux militants, sympathisants de son parti et aux camerounais épris de démocratie, de ne pas prendre part à toute élection, qui sera organisée avant entre autres la fin de la crise sociopolitique dans les deux régions anglophones Nord-Ouest et Sud-Ouest. 

Après avoir encouragé les camerounais à aller s’inscrire sur les listes électorales, Maurice Kamto le président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc) dans une nouvelle sortie, recommande à ces derniers de ne prendre part à aucune échéance électorale. Les motifs du boycott avancés par l’ancien candidat à l’élection présidentielle de 2018 tournent autour de la crise sociopolitique qui sévit au Nord-Ouest et au Sud-Ouest (Noso), la réforme du Code électoral.

“Le MRC demande à ses militants et sympathisants, au Peuple de la Renaissance et aux Camerounais épris de démocratie et de paix, au Cameroun et à l’étranger, DE SE MOBILISER POUR EMPECHER PAR TOUS LES MOYENS PACIFIQUES, LA TENUE DE TOUTE NOUVELLE ELECTION, A COMMENCER PAR LES ELECTIONS REGIONALES EN PREPARATION, AVANT LA FIN DE LA GUERRE CIVILE DANS LE NOSO ET LA REFORME CONSENSUELLEET EFFECTIVE DU SYSTEME ELECTORAL”, peut-on lire dans la déclaration de Maurice Kamto.

Hold-up électoral

L’opposant au régime de Paul Biya revient sur la période de l’élection présidentielle de 2018, dont les contestations ont donné lieu au contentieux post-électoral. Maurice Kamto et ses alliés, les militants et sympathisants du Mrc, n’ont toujours pas tourné la page de ladite période. En prenant exemple de ce qui s’est passé, le leader du Mrc pose la condition au gouvernement de répondre aux deux demandes susmentionnées avant toute organisation d’une élection au Cameroun. 

“D’ores et déjà, le MRC rend Monsieur Paul BIYA, Président de la République de fait, suite au hold-up électoral de 2018, son régime et ses miliciens, qui se sont tristement illustrés lors des répressions sauvages du 26 janvier 2019 et des 1er et 8 juin 2019, responsables de tous les incidents et violences qui pourront survenir, si malgré cette mise en garde, le régime forçait l’organisation de quelque élection sans satisfaire aux deux exigences rappelées ci-dessus. Chacun peut voir que ces exigences de bon sens et de bonne foi sont nécessaires à la paix et à la stabilité indispensable pour le développement de notre pays”, écrit Maurice Kamto.

Le président du Mrc s’adresse aussi aux Forces de défense et de sécurité et aux magistrats du pays. Il leur demande de faire preuve de responsabilité individuelle républicaine.

Liliane N.



  



 

 

La Brigade anti-sadinards dit soutenir Maurice Kamto et son programme politique.

Dans un communiqué en circulation sur la toile depuis ce dimanche 19 juillet 2020, la Brigade fait une sorte de mise au point sur les questions entre autres d’alternance au Cameroun et ses relations avec le Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc). 

Il en est qu’en ce qui concerne le sujet relatif à l’alternance au sommet de l’Etat, que la Brigade anti-sadinard pense qu’elle aura lieu avec Maurice Kamto le président du Mrc. “La Brigade anti-sadinards est intimement convaincue que le président élu Maurice Kamto, est l’homme qu’il faut pour le Cameroun de demain. Il est la force à travers laquelle le Cameroun pourra se reconstruire et conquérir sa place sur la scène politique, économique et sociale de l’Afrique et du reste du monde”, peut-on lire dans le communiqué de la Bas.

La Brigade qui se définit comme Anti-régime Biya indique qu’elle approuve le programme politique de Maurice Kamto. Elle dit épouser également sa vision. De ce fait, elle s’est donnée comme mission d’accompagner “fidèlement” celui-ci pour que son programme de reconstruction du Cameroun voit le jour. 

Toutefois dans le même communiqué, la Bas affirme n’avoir aucun rapport avec le Mrc, le parti politique de Maurice Kamto. Elle rappelle à la communauté camerounaise, africaine et internationale qu’elle est un mouvement libre et indépendant. “La Bas n’a aucun lien, de près ou de loin avec le Mouvement pour la renaissance du Cameroun”, peut-on lire dans le communiqué.

Liliane N.   

 

Gladys Ejomi est décédée le 17 juillet 2020, dans la ville de Douala.

Pour la gente féminine du Cameroun, Gladys Ejomi est la pionnière dans le monde de la médecine. Cette dame qui a exercé durant 58 années, est la toute première femme camerounaise, qui est sortie médecin. Ses proches qui ont rendu public, son décès, indiquent qu’elle a rendu l’âme des suites de maladie, à l’hôpital général de Douala. Elle y a été internée durant quelques jours. 

Gladys Ejomi qui s’en est allée a été honorée le 5 mars 2020 par le gouvernement. Elle a reçu au nom de la patrie, le prix d'Excellence, en tant que première femme médecin au Cameroun. Ce prix lui a été remis par le Pr Marie Thérèse Abena Ondoa, Ministre de la Promotion de la Femme et de la Famille. 

Très émue, Gladys Ejomi native de Limbé dans la région du Sud-Ouest avait déclaré «aujourd'hui est une journée très spéciale dans ma vie, qu'aucune perspective d'avenir il y a des années ne l'aurait portée à ma connaissance. Je me suis toujours démarquée - la seule étudiante de ma classe de médecine, la seule femme cadre de CUSS depuis quelques années, la seule, la seule… .. Au lieu d'essayer de rivaliser avec ceux qui m'entourent, j'ai comparé mes résultats avec les autres pour voir où j'en étais. Je me suis tenue devant des foules diverses, faisant des présentations et je n'ai jamais rêvé de me présenter. Honorables ministres, membres de l'ACMF, collègues et amis, je me sens extrêmement honorée que vous ayez tous renoncé et pris de votre précieux temps pour m'honorer d'une telle manière. Ma famille se joint à moi pour vous remercier sincèrement de cet honneur inattendu…”

 

Liliane N.

 

Les organisateurs de la manifestation font savoir que le but de l'événement est de réclamer entre autres la réforme du code électoral.

Trois revendications principales sont citées par les activistes de la diaspora qui prévoient de manifester ce jour, à 13 heures à l'entrée de la Place du cinquantenaire, côté métro Mérode à Bruxelles en Belgique. Ils parlent de la crise sociopolitique qui a débuté dans les deux régions anglophones du pays à savoir le Nord-Ouest et le Sud-Ouest. Ils citent le code électoral et la libération de certains détenus qu’ils considèrent comme prisonniers politiques. A cela ils ajoutent la succession de gré à gré au sommet de l’Etat.

La manifestation, vise à «réclamer la fin de la guerre dans les régions du Nord-Ouest et Sud-Ouest du Cameroun, exiger la libération de toutes les personnes détenues dans le cadre de la crise anglophone, la réforme consensuelle du code et système électoral, la libération de tous les prisonniers politiques et aussi dire Non au gré à gré en préparation au sommet de l'Etat du Cameroun», expliquent les organisateurs.

Les activistes ont de ce fait convié à la manifestation de ce vendredi, des associations combattantes et patriotiques du Royaume de Belgique. La date de ce jour n’a pas été choisi au hasard. Elle coïncide avec le fait que les Chefs d’Etats soient dans ce pays. Il sera donc question pour les manifestants de profiter de «la présence des Chefs d'Etats de l'Union Européenne à Bruxelles, pour dénoncer également l’ingérence et la complicité à ciel ouvert de la France par l’intermédiaire de son Ambassadeur Christophe Guilhou au soutien du projet funeste de gré à gré à la Présidence de la République du Cameroun».

Liliane N.

 




Delphine Tsanga est morte hier 16 juillet 2020 à Yaoundé.

 

C’est aux environs de 19 heures du 16 juillet 2020, que la nouvelle a commencé à se répandre comme une traînée de poudre. Delphine Tsanga Tsogo membre du Conseil électoral d’Elections cameroon (Elecam) n’est plus de ce monde. 

Elle s’est éteinte dans la ville de Yaoundé précisément au quartier Bastos, après quand même de longues années de maladie. D’ailleurs au mois de mars dernier précisément le 21, elle avait été tuée par la rumeur. Elle décède finalement à l’âge de 85 ans, étant donné qu’elle a vu le jour le le 21 décembre 1935 à Lomié dans la région de l’Est Cameroun.

Delphine Tsanga Tsogo étant membre du Conseil électoral d’Elecam était pourtant attendue hier, 16 juillet 2020 pour la descente de l’organe qui se charge de l’organisation des élections au Cameroun, dans le cadre des préparatifs des élections régionales.

Pour la petite histoire, Delphine Tsanga Tsogo a été la première femme nommé Ministre en Afrique subsaharienne. Elle a été élue présidente nationale du Conseil des femmes du Cameroun en 1964, Députée en 1965, Ministre adjoint de la Santé Publique en 1970, Vice-ministre de la santé publique en 1972 et Ministre des Affaires sociales en 1975, un poste qu'elle a occupé pendant près de dix ans. 

De 1966 à 1986, elle a présidé de très nombreux comités internationaux (CIF, MULPOC, CEA, UNESCO, etc). On retient que Delphine Tsanga est une des premières Africaines de l'époque contemporaine à avoir accédé aux plus hauts échelons du monde politique. C’est en 2017 qu’elle a été nommée par le Président de la République comme membre du Conseil électoral d’ELECAM. Elle a également à son actif, 03 romans écrits: Ekobo ou l’Oiseau en cage, 1983; Vie de femmes, 1985 et Coques de Noisettes, 2015.

 

Liliane N.

 

  

 Ndongo Daniel Urbain remplace Salomon Eheth nommé Ambassadeur du Cameroun en France. 

 

L’Institut des Relations internationales du Cameroun (Iric) a un nouveau Directeur général (Dg). A l’édition du journal de 17 heures du Poste national de ce jeudi 16 juillet 2020, le décret du Président de la République qui nomme le successeur de Salomon Eheth a été lu. C‘est Ndongo Daniel Urbain qui va désormais présider aux destinées de cette grande école d’Etat. Il faut savoir que l’Iric était resté sans Dg depuis la nomination de Salomon Eheth à la tête de l’Ambassade du Cameroun en France. Ce dernier a été nommé le 3 juillet 2020 en remplacement d’Alfred Nguini.

Pour parler en bref de M. Ndongo Daniel Urbain, il faut savoir que jusqu’à sa nomination, il occupait le poste de chef de division de la coopération internationale de Synergies africaines contre le Sida et les souffrances. Il était par ailleurs, attaché au cabinet civil de la Présidence de la République. 

 

Liliane N.

Abel Elimbi Lobe l’ancien conseiller municipal du Social democratic front affirme qu’on retrouve les maires analphabètes dans tous les partis politiques.

Abel Elimbi Lobe était invité ce jeudi 16 juillet 2020 à Abk radio, une chaîne radiophonique qui émet à partir de la ville de Douala. L’ancien conseiller municipal du Social democratic front (Sdf) à la mairie de Douala 5e, avec le franc-parler qu’on lui connaît, s’est encore lâché. En commentant l’actualité politique du pays, il a parlé des maires analphabètes. Il a affirmé que tous les partis politiques du Cameroun en regorge.

«A l’époque, nous avons voté le maire sur la base des idées politiques et non sur ce qu’il donnait. Le Sdf n’avait pas de candidat et donc sans notre stratégie, il fallait voter le maire le moins bon…Dans tous les partis politiques, il y a des maires qui ne savent ni lire, ni écrire», a déclaré l’ancien conseiller municipal du Sdf à la mairie de Douala 5e. 

Abel Elimbi Lobe est également revenu sur ses déclarations d’après élections législatives et municipales. On se souvient que l’ancien militant du Sdf avait laissé entendre qu’il pourrait quitter la scène politique. L’homme politique a servi aux auditeurs d’Abk radio, des explications sur ces déclarations d’après double scrutin.  

«Je n’ai jamais été en colère vis-à-vis des électeurs. Ils ont leurs droits, même celui de ne pas me comprendre. J’étais en colère contre les acteurs politiques qui ont perdu 17 fois les élections. La plateforme Kawtal avait demandé aux acteurs de ne pas se disperser s’ils veulent gagner. Malheureusement, c’est ce qu’ils ont fait. Le résultat, c’est que les voix qui ne veulent pas du RDPC se sont dispersées. Or, si nous nous étions unis, on aurait capitalisé les voix», a-t-il expliqué.

Liliane N. 

    

La “police Covid-19” a comme mission veiller au strict respect des mesures de protection contre la pandémie qui a fait de milliers de morts, dans le monde entier. 

 

L’Université de Ngaoundéré est décidé à mettre du sien dans la lutte contre la pandémie du Coronavirus. C’est dans ce sens qu’elle a décidé de créer en son sein la “police Covid-19”. Son rôle est de veiller à ce que les étudiants et tous les usagers du campus de Dang respectent les gestes barrières édictées par l’Organisation mondiale de la santé (Oms) et les mesures de protection mises en place par le gouvernement. 

Cette “police Covid-19” est composée d’étudiants. Ils sont près d’une centaine. Ils sont identifiables grâce aux chasubles qu’ils portent. Ils vont d’un coin de l’Université à un autre. Outre de s’assurer que le lavage des mains, la distanciation sociale requise et le port du masque sont effectifs, la “police Covid-19” de Dans a également un droit de regard sur les tenues vestimentaires.

Pour revenir à l’engagement démontré de l’Université de Ngaoundéré dans la lutte contre la pandémie du Coronavirus, il faut rappeler que son Conseil d’administration a décidé que la somme d’1 milliard 0,87 FCFA doit être débloquée. Elle sera prélevée dans le budget global de l’institution universitaire. Le milliard à débloquer va servir à la réhabilitation du centre médico-social de l’Université, l’acquisition d’une ambulance médicalisée, l’installation  des dispositifs numériques et mécanisés de lavage des mains etc. 

Il faut aussi rappeler que l’Université de Ngaoundéré compte une trentaine d’enseignants et étudiants testés positifs au Coronavirus. 

 

Liliane N.

 

Les circonstances du décès de Donald Fongang restent troubles. 

 

C’est l’une des affaires qui alimente les conversation dans la ville de Dschang en ce moment. Le décès jugé “bizarre” par d’aucuns de Donald Fongang. Le quotidien Le Jour qui relaie cette information, rapporte que ce sont les voisins de l’étudiant qui ont noté qu’il ne l’avait pas vu depuis le matin. C’est alors qu’ils ont décidé d’enfoncer la porte de sa chambre située au quartier Tsinkop, au lieu-dit derrière travaux publics. Ils ont donc vu que leur ami est mort.

Pris de panique, ils ont poussé des cris qui ont suffi à alerter l’entourage qui a pris d’assaut la cité dans laquelle, la découverte macabre venait d’être faite. Comme le veut les usages, un médecin légiste a été dépêché sur les lieux pour établir les premiers constats. Les services compétents de la localité ont ouvert une enquête. Et le quotidien Le Jour affirme avoir appris d’une de ses sources, qu’une autopsie sera pratiquée sur les restes de cet étudiant. Le but de l’autopsie étant de pouvoir déterminer les causes réelles de la mort de Donald Fongang. Le procureur de la République et le service d'hygiène de la mairie de la ville ont transporté le corps pour la morgue de l’hôpital de district de Dschang.

Donald Fongang était un étudiant inscrit en 3ème année Doctorat en Linguistique appliquée, au département d’études africaines de la faculté des lettres et des sciences humaines de l'Université de Dschang. Il était originaire de Fotouni dans le département du Haut-Nkam dans la région de l'Ouest.

 

Liliane N.

 







Sunday, 05 June 2022 11:01