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Il s’agit du maire sortant candidat à sa propre succession à la mairie de Foumban dans la région de l’Ouest du Cameroun. L’état de santé du candidat de l’UDC aux municipales du 09 février 2020 dans cette commune serait précaire, selon des sources crédibles. 

 

Ces derniers temps, les nouvelles sur l’état de santé du président de l’Union démocratique du Cameroun (UDC), Adamou Ndam Njoya ne sont rassurantes. C’est ce qui justifie l’évacuation sanitaire de l’homme politique en Afrique du Sud pour souci de santé.

Cependant, il convient de préciser que la nature de la maladie dont il souffre n’est pas révélée.  Néanmoins font savoir certaines indiscrétions, le maire sortant de la commune de Foumban avait par le passé eu des ennuis de santé qui avaient conduits à son hospitalisation en Europe, et l’avaient empêché de battre campagne lors de l’élection présidentielle de 2018. 

A la lecture des faits, un constat se dégage, comme par pure coïncidence, cette évacuation sanitaire intervient pendant la période électorale comme ce fut le cas en 2018, alors qu’il est candidat à sa propre succession aux municipales. 

Les résultats des municipales et législatives du 09 février 2020 très attendus par la classe politique et les citoyens en général, permettront certainement d’édifier plus d’un sur l’avenir politique du leader de l’UDC, s’il sera réélu ou non comme magistrat municipal bien que présentant un état de santé précaire.   

 

Innocent D H 



Published in Actualité

Cette déclaration forte est celle d’un haut cadre de L’UDC (Union Démocratique du Cameroun) sur le plateau d’Equinoxe Soir ce jeudi. Une déclaration qui sonne comme un avertissement à l’administration publique.

 

C’est très courroucé que Mongwat Amadou Ahidjo a avancé ces déclarations fortes. Ceci dans l’élan de sa contribution au débat portant sur les risques de fraudes des élections en cours. L’homme politique rappelant la logique prime dans le département du NOUN faisait savoir qu’il existe une longue tradition de protection des votes dans le département. Une logique qui est loin de s’estomper malgré les menaces du sous-préfet et du Gouverneur de la région de l’Ouest qui semblent s’être donné pour défi de faire tomber le parti d’Adamou Ndam Njoya dans le NOUN.

 

En effet, selon Mongwat Amadou Ahidjo, lors de la présidentielle dernière, alors que les élections se déroulaient, le sous-préfet qui voyait les populations agglutinées devant les bureaux de vote, leur demandait de rentrer chez eux attendre les résultats. Et les populations de lui dire que ça ne sert à rien de se donner autant de peine, qu’ils ne partiront qu’après le décompte des voix. Disant que c’est de cette manière qu’ils procèdent depuis des lustres. C’est ce qui justifie d’ailleurs que le RDPC n’a jamais réussi à frauder dans leurs circonscriptions. A cela, il faut ajouter le caractère frondeur desdites populations. Une attitude qui fait craindre l’escalade en cas de frustration de électeurs locaux.

 

Et c’est justement, il y a un grand risque à l’escalade pour ces élections à venir. La raison : les jours fériés qui entourent le scrutin du 09 février. Après le jour de vote de ce dimanche, le lundi 10 février est un jour férié, mais aussi le jour de l’adresse du Chef de l‘Etat à la jeunesse. Le jour d’après, c’est le 11 février, jour de la fête de la jeunesse au Cameroun. Du fait de cette cascade de jours fériés, les électeurs du NOUN craignent que cette situation ne permette aux pontes du régime de manipuler les résultats de l’élection. C’est pourquoi, par la voix de Amadou Ahidjo, les populations font savoir que « si les résultats des élections du 9 février ne sont pas connus au plus tard le 10 février, il n’y aura pas de fête de la jeunesse dans le département du NOUN ». Avec des risques que cela ne dégénère en une situation plus complexe et regrettable pour la paix au Cameroun.

Seule la transparence électorale évitera que ce département prête le flanc au désordre.

 

Stéphane NZESSEU

 

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Le 9 février 2020, est prévu le double scrutin au Cameroun. Si certains ont déjà annoncé leur candidature, le président national du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale (PCRN), Cabral Libbi a quant à lui annoncé une coalition avec l’Union démocratique du Cameroun (UDC) .

 

C’est ce dimanche 17 novembre 2019 sur sa page Facebook officielle que, le président national du PCRN, Cabral Libbi a fait l’annonce. « Pour les 3 sièges des législatives du Wouri centre, le PCRN mutualise avec l'UDC. » a-t-il écrit.

Et d’ajouter : « Nous aurons donc une liste commune sous la bannière de l'UDC portée par Monsieur Sam MBAKA, Vice-président de l'UDC. Je félicite le Président du Comité d'arrondissement PCRN de Douala 1er Thomas EKALLE pour le travail de convergence. »

Si on fait un rapprochement, on peut dire sans risque de se tromper que, cette coalition est l’œuvre de l’aboutissement du vœu de Cabral Libii depuis la présidentielle 2018. En effet, ce dernier avait appelé à une coalition des partis d’opposition afin d’affronter le parti au pouvoir. Et comme le président national du PCRN, Beaucoup d’autres acteurs politiques souhaitent que l’opposition du parti au pouvoir aille à ces élections en rang groupé. C’est le cas de Me Emmanuel Ashu et aux dernières nouvelles d’Alice Sadio de l’AFP.

Rappelons ici que, le PCRN avait déjà lancé un recrutement de candidats en son sein dimanche 03 novembre 2019, quelques jours seulement après que le président de la République ait convoqué le corps électoral. « Je lance ce matin un appel public à candidatures aux législatives et municipales de 2019. N’ayez aucun complexe ! N’écoutez pas les défaitistes ! Nous irons de victoires en victoires ! Que tous les coordonnateurs du mouvement 11 millions de citoyens se mettent au travail ! Opération 90 députes ! Opération 200 mairies ! », avait écrit Cabral Libii sur sa page Facebook.

La messe est donc dite. Pour ces prochaines élections municipales et législatives, le PCRN et l’UDC marcheront main dans la main pour contrecarrer leurs adversaires.

 

Danielle Ngono Efondo

 

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Les leaders de ces partis politiques pensent que la présence des ex-combattants de la nation est un pas fait vers la paix.

 

L’ouverture du grand dialogue national a été marquée par le passage des ex-combattants de la nation. Devant le parterre de personnalités conviées à assister à cette cérémonie, certains se sont exprimés. Ils ont raconté les circonstances de leur enrôlement dans les rangs des groupes armés qui sévissent dans les deux régions anglophones à savoir le Nord-Ouest et le Sud-Ouest. D’aucuns ont même demandé pardon à la nation et demandé à être dirigé, soutenu.

Leur passage n’a donc pas laissé indifférent les leaders de l'Union nationale pour la démocratie et le progrès (Undp) et de l’Union démocratique du Cameroun (Udc). Maigari Bello Bouba, le président national de l’Undp en saluant la convocation du grand dialogue national, se réjouit de la présence de ceux qui se présentent aujourd’hui comme des repentis de la crise.

« Ce dialogue qui est une très bonne initiative du Président de la République était attendu et on voit par l'affluence que l'appel a été attendu largement et même au-delà de nos frontières puisque la diaspora, les ex-combattants sont là. C'est ce que nous souhaitions. Aujourd'hui par cette ambiance, nous espérons que nous aboutirons au résultat tant souhaité par les Camerounais, à savoir la restauration de la paix. Comme l'a dit l'un des ex-combattants, nous sommes tous des Camerounais d'un pays et nous pouvons retrouver et toujours formuler la promotion du vivre ensemble dans la paix », déclare-t-il.

Parlant dans sa posture d’Honorable, Patricia Tomaino Ndam Njoya, le Député de l'Udc a invité tous les camerounais à prendre conscience de leur responsabilité comme l’ont fait les ex-combattants de la nation. « Nous pensons que le décor a été planté par cette séance d'ouverture. Le fait que les ex-combattants aient pu se prononcer devant ce parterre était révélateur de la profonde prise de conscience de tous. Nous avons un triple héritage camerounais ou africain, francophone et anglophone qui est une richesse.

Sans celui-ci, nous ne serions plus Camerounais. Le Cameroun a une histoire, nos pères fondateurs qui se sont rassemblés à Foumban lors de la conférence de la Réunification avaient jeté les bases des méthodes et des approches pour nous réunir. Il s'agissait du consensus, le dialogue, la concertation. Nous y sommes aujourd'hui et à l'issue de ces quatre jours, on n'aura pas une baguette magique qui va remettre tout en ordre. Mais, nous aurons pris la voie idoine et tout le monde aura compris sa responsabilité afin de construire un Cameroun resplendissant, rempli de citoyens patriotes où l'intérêt général prédomine », a-t-elle déclaré.

 

Liliane N.

 

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Le parti politique d’Adamou Ndam Njoya depuis deux semaines, a rejoint l’opération «Ouragan», qui a pour but d’accroître le nombre d’électeurs inscrits.

 

 

C’est aux côtés du Mouvement 11 millions de citoyens créé par Cabral Libii que l’Union démocratique du Cameroun (Udc) se mobilise sur le terrain, depuis le 1er juillet 2019, dans la ville de Douala. Le parti politique créé et fondé par Adamou Ndam Njoya a décidé d’unir ses forces pour pouvoir avoir un grand nombre d’électeurs inscrits. L’objectif fixé est d’atteindre le chiffre de 11 millions d’inscrits sur le fichier électoral au 31 août 2019 et faire mieux que les plus de six millions annoncés par Elections Cameroon (Elecam).

 

Le projet sur la base duquel l’Udc et le Mouvement 11 millions de citoyens travaillent a été baptisé « Opération Ouragan ».  Dans les colonnes du quotidien gouvernemental Cameroon tribune, Jean-Louis Batoum, coordonnateur de cette opération à Douala II explique «nous avons jusqu’au 31 août pour atteindre cet objectif. Elecam ne peut pas tout faire seul. Attendre des électeurs dans leurs antennes ou dans les grands carrefours n’est pas suffisant pour accroître le nombre d’inscrits sur les listes électorales».

 

Il convient de noter que le Mouvement mis sur pied par Cabral, est disposé à travailler avec tout autre parti politique dont la visée est de changer la donne à la tête des mairies lors des prochaines échéances locales. C’est donc tout naturellement que son premier allié est le Parti camerounais pour la réconciliation nationale (Pcrn) actuellement présidé par Cabral Libii. Le Pcrn et le Mouvement Onze Millions de citoyens se sont unis depuis le mois de mai 2019.

 

Pour revenir donc à l’alliance avec l’Udc, il faut noter qu’à Douala c’est Mme Nsangou qui dirige la caravane de mobilisation des militants non-inscrits du parti de Ndam Njoya. D’ailleurs, cette jonction est une idée de Sam Mbaka, vice-président de l’UDC, basé à Douala. «L’Udc a pris part aux réunions préparatoires de lancement de ces opérations. Nous restons ouverts à toutes les formations politiques ayant le même objectif de changement à la tête des mairies comme nous», a déclaré Jean-Louis Batoum.

 

Liliane N.

 

 

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Si à l’Union démocratique du Cameroun, on s’attendait entre autres à la révision de la Constitution, au Rassemblement démocratique du peuple du Cameroun, on aurait voulu qu’on procède à la révision des textes d’Elections cameroon.

 

La première session de l’année législative 2019 qui a commencé au parlement le 12 mars dernier s’est achevée le 10 avril en laissant de nombreux Députés de la Nation sur leur soif. Les questions relatives à un débat de fond portant sur la crise anglophone, le tribalisme, le Code électoral n’ont pas été à l’ordre du jour pourtant elles étaient très attendues. A l’Union démocratique du Cameroun (Udc) l’Honorable Hermine Patricia Tomaino Ndam Njoya, indique qu’il était attendu qu’on parle de la révision de la Constitution et du Code électoral.

«J’attendais à l’Union démocratique du Cameroun comme nous le demandons depuis, la révision de la Constitution, la révision du Code électoral pour des élections justes et transparentes, pour que nos institutions soient meilleures. Je pense que dans un pays, ce sont les lois fondamentales qui peuvent garantir l’épanouissement des citoyens, le respect des droits fondamentaux, des libertés fondamentales garanties par la déclaration universelle des droits de l’Homme. Malheureusement aucune de ces lois ne sera passée.

J’aurais bien voulu qu’il y ait l’adoption d’un code de la famille pour que les femmes de ce pays ne soient plus victimes de la discrimination. On aurait bien voulu qu’il y ait une loi pour la couverture santé universelle pour que nos compatriotes, nos enfants puissent mieux se soigner. Malheureusement on remarque qu’aucune des lois qui sont là pour apporter des solutions véritables aux Camerounais ne passent à l’Assemblée nationale», déclare le Député de l’Udc.

En rappel, il faut savoir que lors de cette session de mars, les Députés et les Sénateurs ont adopté huit lois qui n’attendent qu’à présent qu’à être promulguées par le Président de la République. En attendant que cela se fasse, les Députés parlent de leur déception. Même ceux du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc) ont été laissés sur leur faim.

«Je crois que la décentralisation doit aussi être un instrument qui doit consolider notre intégration nationale et traduit une réalité du vivre-ensemble. A l’heure qu’il est, les textes que nous avons, notamment les textes d’Elecam, qui prévoient qu’il y ait une composition sociologique en rapport avec la réalité du terrain, ces textes à mon sens ont trouvé leurs limites. Il faut aller au-delà de cela. Il faut être plus audacieux, essayé d’encadrer par la loi par un certain nombre de choses. Je pense qu’il serait bien que dans toutes nos régions, on puisse retrouver toutes les sensibilités nationales», déclare le Député du Rdpc Albert Kouoh Dooh Collins. 

 

Liliane N.

    

 

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Après le Social democratic front et le Mouvement pour la renaissance du Cameroun, l’Union démocratique du Cameroun se montre aussi réticent par rapport aux élections régionales.

 

Cyrille Sam Mbaka le vice-président de l’Union démocratique du Cameroun (Udc) dénonce le projet de loi relatif aux élections régionales, récemment déposé au Parlement. Dans une interview accordée au journal Le Jour N°2900, il indique que la mise en place des conseils régionaux est calquée sur la même approche utilisée par le gouvernement à partir des provinces pour les régions.

« C’est-à-dire avec une coquille vide. Cette loi sur la décentralisation qui est déposée sur la table des Députés ne répond pas à l’esprit de la réunion tripartite qui a eu lieu en 1991 à Yaoundé. La décentralisation vise à booster le développement local. Et cela se base en principe sur une répartition du budget de l’Etat. Dans le cas actuel on n’a pas tenu compte de cette répartition. On a effectué une somme qui représente environ 0,3%de tout le Cameroun. Yaoundé tout seul a 4800 milliard FCFA. Nous ne voyons pas très bien à quoi serviront ces conseils régionaux.

Tous les délégués régionaux et autres restent là et on demande aux conseils municipaux et régionaux de bâtir leur personnel, alors qu’ils devaient recevoir le personnel de l’Etat décentralisé. Quand on voit tout ça, on se dit qu’on est allé trop vite en besogne. Etant entendu que les répartitions de cette loi ne sont pas justes parce que nous allons nous retrouver avec des régions qui n’ont pas beaucoup de communes. D’autres qui en ont exagérément. On demande que ce soit par département que cela se passe. C’est donc une précipitation», explique-t-il.

Cyrille Sam Mbaka indique qu’avec les textes actuels, tous les compétiteurs à ces élections régionales n’ont pas les mêmes chances. «Déjà que ce texte n’est pas fait sur une base consensuelle. On doit pouvoir dire que ça été fait unilatéralement et dans la précipitation. Ca ne peut être que source de conflits. Il n’y a aucun équilibre là-dedans. On devrait repousser les régionales et mettre en place un mécanisme qui puisse permettre aux Communes de vivre», ajoute-t-il.

Liliane N.

 

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01