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Il s’agit d’agents de santé communautaire recrutés pour le programme intitulé le suivi des contacts dans la lutte contre la Covid-19.

La représentation de l’Organisation mondiale de la santé (Oms) à Douala dans la région du Littoral a connu ce matin de 13 octobre 2020, un mouvement d’humeur. Les auteurs dudit mouvement d’humeur étaient des agents de santé communautaire recrutés dans le cadre du programme intitulé, «le suivi des contacts dans la lutte contre la Covid-19». Ils ont bloqué la représentation de l’Oms de Douala parce qu’ils dénoncent le non-respect des termes du contrat.

Les 180 agents de santé communautaire, dont 171 traceurs et 09 superviseurs ont été recrutés au début du mois d’avril. ABK radio qui les a suivis, rapporte qu’ils avaient des contrats signés s’étalant sur une période de trois mois renouvelables. Cependant il se trouve que, «l’employeur n’a pas respecté ses engagements  et les employés qui disent avoir reçu moult promesses n’en peuvent plus ». D’où leur action de ce matin.

Ce qu’ils demandent, c’est le paiement de leur dû. Et ils ont pris le soin de bien le mentionner sur les pancartes qu’ils brandissaient devant la représentation du bureau de l’Oms de Douala. «L’OMS ne peut pas envisager le paiement de la 2e phase sans vouloir régler de manière totale et définitive la première ».  Ou encore : «nous réclamons un règlement total et définitif», pouvait-on lire sur lesdites pancartes. Un manifestant assez révolté a même écrit le message suivant sur le portail la représentation : « arrêtez de nous prendre pour des connards ». « Remettez-nous notre argent ».

Liliane N.

 

 

 

 

 

 

 

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L’Organisation mondiale de la santé classe le Cameroun 5e pays africain dans le top 10 de ceux où le taux de suicide est le plus élevé.

A l’occasion de la célébration de la 18ème édition de la Journée mondiale de prévention du suicide, qui a eu comme thème: «travaillons ensemble pour prévenir le suicide», l’Organisation mondiale de la Santé (Oms) a dévoilé des chiffres qui concernent le Cameroun. Il ressort que le taux de suicide au Cameroun est passé de 4,9 en 2012 à 12,2 en 2016 et 19,5 pour 100 000 habitants en 2019. Le Cameroun arrive donc à la 5ème position des pays africains où le taux de suicide a été le plus élevé entre 2000, 2016 et 2019.

Le rapport de l’Oms intitulé «Suicide in the World, Global Health Estimates» publié le 9 septembre 2019, indique que ces personnes qui se sont données la mort sont estimées à 19.5 pour 100.000 habitants en 2016 au Cameroun. Soit 29,9 pour 100.000 hommes et 12,5 pour 100.000 femmes. Pour un total de 2867 victimes, dont 864 femmes et 2003 hommes. On note donc que les hommes sont les plus touchés avec 17,1 contre 7,4 pour les femmes.

La journée mondiale de prévention du suicide qui s’est célébrée hier 10 septembre s’est passée dans un contexte où on enregistre de nombreux cas de suicide ces derniers temps au Cameroun. Les cas répertoriés ces derniers jours proviennent des villes de Douala et de Kribi. Juste pour prendre cet exemple, 2 élèves se sont suicidés après leur échec à l’examen du Brevet d’Etude du Premier Cycle session 2020.

Pour parler au niveau du continent, les trois pays les plus exposés sont, le Lesotho (28,9), la Côte d’Ivoire (23) et l’Ouganda (20). L’Oms explique que, le suicide intervient à n’importe quel moment de la vie et est la 2e cause de mortalité, derrière les traumatismes dus aux accidents de la route, chez les jeunes de 15 à 29 ans en 2016.

Liliane N.

 

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Après l’annonce de la mise au point d’un premier vaccin contre le coronavirus par la Russie, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) vient de réagir. Le porte-parole de l’institution pose la nécessité du respect des procédures « rigoureuses ». C’est à la faveur d’une vidéo-conférence de presse. 

 

Face à l’annonce de la découverte d’un vaccin contre la pandémie de Covid-19 par le pays de Vladimir Poutine, l’OMS préfère jouer la carte de la prudence. L’Organisation rappelle que la « pré-qualification » et l’homologation d’un vaccin restent soumises à des procédures « rigoureuses », à en croire les propos Tarik Jasarevic, le porte-parole de cette institution. Celui-ci souligne, « la pré-qualification comprend l’examen et l’évaluation de toutes les données de sécurité et d’efficacité requises recueillies lors d’essais cliniques ». Un processus qui serait applicable pour tout candidat, apprend-on.

 Des validations sont ainsi accordées dans chaque pays par les agences nationales. En outre, « l’OMS a mis en place un processus de pré-qualification pour les vaccins mais aussi pour les médicaments. Les fabricants demandent la pré-qualification de l’OMS car c’est une sorte de gage de qualité », insiste Tarik Jasarevic.

De sources convergentes, jusqu'ici, la Russie n’a pas publié d’étude détaillée des résultats de ses essais permettant d’établir l’efficacité des produits qu’elle dit avoirs développés. Déjà, il y a une semaine, l’Organisation mondiale de la Santé avait pris du recul lorsque la Russie avait affirmé que son vaccin contre le coronavirus était presque prêt. Elle avait d’ailleurs, rappelé que tout produit pharmaceutique devait « être soumis à tous les différents essais et tests avant d’être homologués pour leur déploiement », et n’avoir « rien vu d’officiel ».

Se félicitant de la vitesse par laquelle certains candidats vaccins sont développés, le porte-parole de l’OMS pense, « il est vital d’appliquer des mesures de santé publiques qui fonctionnent. Nous devons continuer à investir dans le développement de vaccins et de traitements qui nous aideront à réduire la transmission à l’avenir ».

Selon l’OMS, 26 candidats vaccins sont au stade des essais cliniques (testés chez l’être humain) à travers le monde et 139 au stade de l’évaluation pré-clinique. Parmi les 26 candidats vaccins, 06 avaient atteint fin juillet dernier, la phase 3 de leur développement. Celui développé par le centre russe Gamaleïa était listé en phase 1.    

Innocent D H

 

 

  

 

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Accompagnée de ses facultés et grandes écoles, l’institution universitaire s’investit dans la production industrielle des désinfectants et des écrans faciaux de protection. Une initiative qui vient ainsi renforcer les mesures barrières au Covid-19 dans la région de l’Adamaoua.  

 

Avec cette démarche, l’Université de Ngaoundéré dirigée par le Pr Uphie Chinje Melo met à l’étalage sa force de frappe dans la lutte contre la propagation de la Covid-19. Un indicateur fort de la matérialisation de sa vision de transformation de la société par l’innovation continue dans la formation, la recherche, la créativité et l’entreprenariat. 

De sources dignes de foi, l’Institut universitaire de technologie (IUT) s’est spécialisé dans la fabrication des visières, des écrans faciaux de protection, exclusivement réservés au corps médical. Pour ce faire, le laboratoire de contrôle de qualité et biochimie, basé à l’Ecole nationale supérieure des Sciences agro-industrielles (ENSAI).  Dans ce laboratoire sont produits en moyenne 600 litres gel hydro alcoolique par semaine.

Ces solutions hydro alcooliques produites conformément aux normes de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) sont mises à la disposition des administrations. « Nous faisons tous les tests possibles avant de les mettre à la disposition du public. Depuis 2017, nous produisons des solutions hydro alcooliques », confie à nos confrères de la voix des jeunes.com, le Dr. Abia Daouda, chef d’équipe des chercheurs.

En ce qui concerne l’ENSAI, des indiscrétions font savoir que des chercheurs sont à l’œuvre pour l’invention d’un système de lavage des mains sans manipulation. Un dispositif qui viendra en complément, renforcer le dispositif de lutte contre la Covid-19, fruit du génie créatif de cette institution universitaire camerounaise. 

 

Innocent D H

 

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Selon l’information rendue publique par le ministère ghanéen de l’information, le pays a reçu des échantillons du remède malgache fait à base de plantes contre la Covid-19. L’Autorité alimentaire et pharmaceutique (FDA) du Ghana pour sa part, informe sur son compte twitter qu’il a commencé à tester le médicament pour confirmer son efficacité, ceci par l’intermédiaire du Centre végétal. 

 

Le remède malgache est connu pour avoir déjà eu à soulager plusieurs patients de Covid-19 dans sa terre natale (Madagascar). C’est pour profiter des vertus de cette recette (Covid-Organics) que le Gouvernement ghanéen vient lui aussi de procéder à la réception d’importants échantillons. 

Soulignons pour le rappeler que, le remède à base de plantes est produit à partir d’Artemisia, une plante dont l’action dans le traitement du paludisme est approuvée. 

Bien que l’Organisation mondiale (OMS) a déconseillé l’utilisation de tout remède à base de plantes contre le coronavirus, qui n’a pas fait l’objet d’essais scientifique pour établir l’efficacité et la sécurité des médicaments, le Président malgache Andry Rajoelina, a lancé le médicament à base de plantes et a entrepris d’envoyer des échantillons à de nombreux pays africains pour qu’ils les utilisent dans le traitement du virus. 

Le Nigéria a reçu des échantillons de « Covid-Organics » de la part du Président de Guinée Bissau, Umaro Sissoco Embalo. Celui-ci a rendu visite au Président Muhammadu Buhari à Abuja samedi dernier. Le remède serait envoyé aux institutions du pays pour des vérifications préalables, a laissé entendre le dirigeant nigérian. 

 

Innocent D H

 

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C’est la décision qui sanctionne la réunion du 27 avril 2020 du Dr Nalova Lyonga Ministre des Enseignements secondaires avec les délégués régionaux de son département ministériel. 

 

La date du 01er juin 2020 a été choisie comme celle de la reprise de l’école au Cameroun. Il faut préciser que c’est depuis le 17 mars 2020, que les établissements scolaires ainsi que les universités sont fermées dans le pays, à cause de la pandémie du Coronavirus. Ne voulant pas prendre de risque et évitant que le Covid-19 ne se propage, le gouvernement a instruit cette mesure.

Au vu des données à la disposition des autorités, il a été décidé que les portes des salles de classe vont se rouvrir le 1er juin prochain. Tenant compte de cette échéance qui arrive à grand pas, le Dr Nalova Lyonga Ministre des Enseignements secondaires (Minesec) a tenu une réunion en visioconférence avec les délégués régionaux de son département ministériel. Il en est sorti que le Minesec interdit qu’à la reprise des cours, qu’on retrouve des classes avec plus de 24 élèves.   

Cette décision est justifiée par le souci du respect de la mesure de distanciation sociale prônée par l’Organisation mondiale de la santé (Oms). Pour parvenir à l’implémentation de ladite décision, Nalova Lyonga a prescrit à ses collaborateurs de dresser les statistiques des élèves des classes d’examen de leurs établissements respectifs. Elle a également demandé qu’il y ait un réajustement des emplois de temps des enseignants. Le but de ce réajustement étant qu’ils parviennent à couvrir tous les groupes d’élèves des classes.

Cameroun - Corona Virus : Les cours reprennent à la date indicative du 01er Juin 2020  

Par ailleurs, Nalova Lyonga a instruit à ses délégués régionaux de transmettre les statistiques des élèves  des classes d’examen ainsi que les listes par groupe constitué, par voie électronique, au plus tard ce 29 avril 2020 aux délégués départementaux. Une fois à leur niveau, ils se chargeront de transférer les synthèses départementales au Sous-directeur des affaires générales au plus tard le 30 avril 2020 pour synthèse régionale et transmission au Minesec. Rien n’a été dit pour les classes intermédiaires.

 

Liliane N.


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Lors d’un point de presse donné il y’a quelques heures le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus a entre autres relevé que le « COVID-19 met à rude épreuve les systèmes de ‎santé de nombreux pays ».‎

 

Son allocution 

« L’augmentation rapide de la demande qui pèse sur les ‎établissements de santé et le personnel soignant menace d’amener ‎certains d’entre eux au point de rupture, et de les laisser dans ‎l’incapacité de fonctionner efficacement. ‎

L’expérience des précédentes flambées épidémiques a montré que ‎lorsque les systèmes de santé sont submergés, les décès dus aux ‎maladies évitables par la vaccination et pouvant être traitées ‎augmentent de manière dramatique.‎

Même si nous sommes au cœur d’une crise, les services de santé ‎essentiels doivent être maintenus. Des nourrissons naissent ‎toujours, des vaccins doivent toujours être administrés, et des ‎personnes ont toujours besoin de traitements vitaux pour diverses ‎autres maladies.‎ 

L’OMS a publié des lignes directrices pour aider les pays à trouver ‎un juste équilibre entre les demandes de riposte directe à la COVID-‎‎19, tout en maintenant les services de santé essentiels. ‎

Il s’agit notamment d’un ensemble de mesures ciblées, immédiates ‎pour réorganiser et maintenir l’accès à des services de santé ‎essentiels de qualité, tels que la vaccination systématique ; les ‎soins pendant la grossesse et l’accouchement ; le traitement des ‎maladies infectieuses ou non transmissibles et les troubles de la ‎santé mentale ; les services de transfusion sanguine, entre autres.‎

Il s’agit aussi de veiller à ce des personnels de santé en nombre ‎suffisant puissent répondre aux nombreux besoins sanitaires autres ‎que ceux liés à la COVID-19.‎

 

Ainsi, nous sommes heureux de voir qu’au Royaume-Uni, 20 000 ‎agents de santé ont proposé de retourner travailler, et que d’autres ‎pays comme la Fédération de Russie font appel aux étudiants en ‎médecine et aux internes pour appuyer la riposte.‎

Pour aider les pays à gérer la forte augmentation des cas de COVID-‎‎19 tout en maintenant les services essentiels, l’OMS a aussi publié ‎un manuel pratique sur la manière d’établir et de gérer des centres ‎de traitement de la COVID-19.‎

Le manuel détaille trois interventions essentielles :‎

Premièrement, comment mettre en place le dépistage et le triage ‎dans les établissements de santé, en utilisant une tente ou un ‎bâtiment reconverti à cet usage.‎

Deuxièmement, comment mettre en place des établissements ‎collectifs pour la prise en charge des patients atteints d’une forme ‎bénigne de la maladie ;‎

Et troisièmement, comment installer un centre de traitement, en ‎reconvertissant des services hospitaliers ou des hôpitaux entiers, ou ‎en installant un nouvel hôpital sous tente. ‎

Le manuel porte notamment sur la conception structurelle, les ‎mesures de prévention et de lutte anti-infectieuse, et les systèmes ‎de ventilation. ‎

C’est un guide pratique vital pour gérer l’augmentation ‎exponentielle du nombre de cas à laquelle certains pays doivent ‎faire face aujourd’hui.‎

Ces installations présenteront aussi des avantages à plus long ‎terme pour les systèmes de santé, une fois la crise passée. ‎

 

Outre les établissements de prise en charge des patients, il est aussi ‎vital pour les pays de disposer en quantité suffisante de tests de ‎diagnostic, d’équipements de protection ainsi que d’autres ‎fournitures médicales.‎ 

Veiller à la libre circulation des produits de santé essentiels est ‎indispensable pour sauver des vies et atténuer les impacts socio-‎économiques de la pandémie.‎

J’ai discuté un peu plus tôt aujourd’hui avec les ministres du ‎commerce des pays du G20 des moyens de lutter contre la pénurie ‎chronique d’équipements de protection individuelle et d’autres ‎fournitures médicales essentielles.‎

Nous appelons les pays à collaborer avec les entreprises pour ‎augmenter la production ; pour assurer la libre circulation des ‎produits sanitaires essentiels ; et pour veiller à la distribution ‎équitable de ces produits, en fonction des besoins.‎

Une attention particulière doit être accordée aux pays à revenu ‎faible et intermédiaire en Afrique, en Asie et en Amérique latine.‎ 

 

En outre, l’OMS travaille intensément avec plusieurs partenaires ‎pour accroître massivement l’accès aux produits vitaux tels que les ‎tests de diagnostic, les EPI, l’oxygène médical, les ventilateurs, ‎entre autres.‎

Nous savons que de nombreux pays mettent en œuvre des ‎mesures qui restreignent le déplacement des individus. ‎

Il est vital, lors de la mise en œuvre de telles mesures, de respecter ‎la dignité et le bien-être de tous.‎

Il est aussi important que les gouvernements informent ‎régulièrement leurs concitoyens de la durée envisagée de ces ‎mesures, et fournissent une aide aux personnes âgées, aux réfugiés, ‎et aux autres groupes vulnérables. ‎

Les gouvernements doivent assurer la protection des personnes qui ‎ont perdu leur source de revenu, ont désespérément besoin de ‎nourriture, et auxquelles les services d’assainissement de base, ‎entre autres services essentiels, font défaut. ‎ 

Les pays doivent travailler main dans la main avec les ‎communautés pour construire un climat de confiance, favoriser la ‎résilience et préserver la santé mentale. ‎

 

Il y a deux mois, l’OMS a publié le Plan de préparation et de riposte ‎stratégique, en lançant un appel initial pour recueillir ‎US $675 millions pour aider les pays à se préparer et à faire face à ‎la COVID-19. ‎

Nous sommes très reconnaissants aux nombreux pays et ‎fondations qui nous ont apporté leur aide ; plus de ‎US $622 millions ont été reçus à ce jour, et nous aimerions ‎remercier le Centre d’aide humanitaire et de secours du Roi Salman ‎pour sa contribution de US $10 millions.‎ 

Nous continuons à être encouragés par les signes de solidarité ‎mondiale pour affronter et venir à bout de cette menace ‎commune.‎

L’engagement des pays du G20 à collaborer pour améliorer la ‎production et l’approvisionnement équitable en produits essentiels ‎montre que le monde est uni.‎

Hier, j’ai envoyé un tweet avec un seul mot : humilité. Certains ‎m’ont demandé pourquoi.‎ 

La COVID-19 nous rappelle combien nous sommes vulnérables, ‎combien nous sommes liés les uns aux autres et dépendants les uns ‎des autres.‎

Dans l’œil du cyclone que représente la COVID-19, les outils de la ‎science et de la santé publique sont essentiels, mais l’humilité et la ‎compassion le sont tout autant.‎

En faisant preuve de solidarité, d’humilité et en puisant le meilleur ‎en chacun d’entre nous, nous pouvons vaincre ce fléau ensemble - ‎et c’est ce que nous allons faire ». ‎

 

N.R.M

 

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Le réseau social WhatsApp fait savoir qu’en collaboration avec l’Organisation mondiale de la Santé et l’Organisation des Nations unies, il va procéder au lancement d’un service d’information sur la pandémie du Coronavirus.

 

Les réseaux sociaux qui font partie de la vie de milliers de personnes à travers le monde, se mobilisent déjà pour apporter leur pierre dans la lutte contre la pandémie du Coronavirus, qui sévit dans le monde entier actuellement. WhatsApp dans ce sens se met avec l’Organisation mondiale de la Santé (Oms) et l’Organisation des Nations unies (Onu), pour mettre en place un service d’information sur cette maladie. Ledit service aura pour mission de lutter contre les intox circulant autour de la pandémie. 

Le service d’information qui sera lancé, va être intégré à WhatsApp. Il va donner aux utilisateurs des conseils simples et pratiques pour réduire la propagation des rumeurs. Ledit service aura également la charge de fournir des informations médicales précises sur le Covid-19.

Il convient toutefois de souligner que WhatsApp a commencé à relayer des informations de divers médias à sa base d’utilisateurs actifs. Rendu à ce jour, on parle de plus de 2 milliards d’utilisateurs que le réseau social comptabilise. C’est donc une cible importante que WhatsApp pourra atteindre. Et cela pourra efficacement contribuer à lutter contre la désinformation qui entoure cette pandémie. Des intox comme celles qui indiquent que le Covid-19 ne peut pas survivre en Afrique du fait, de son climat. Avec donc ce nombre considérable d’utilisateurs,  l’impact de pareilles rumeurs pourra être réduit.  

Le réseau social WhatsApp va par ailleurs accorder un million de dollars au Réseau international de vérification des faits (IFCN) du Poynter Institute. Avec cette somme, la Corona Virus Facts Alliance pourra facilement financer ses activités. Il faut souligner que la CoronaVirus Facts Alliance, fait du fact-checking sur la pandémie grâce à plus de 100 organisations locales dans plus de 45 pays.

 

Liliane N.

 
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Le Dr Ibrahima Socé Fall, le Directeur général adjoint de l’Organisation mondiale de la santé affirme que le continent africain ne doit pas attendre le stade critique pour se préparer.

 

Selon l’Organisation mondiale de la Santé (Oms), l’Afrique doit déjà se tenir prête, pour ce qui est de la riposte à apporter à la pandémie du Coronavirus. Fini le temps des idées selon lesquelles, le Covid-19 entre autres ne survivrait pas dans le continent noir du fait de son climat particulièrement chaud. Il n’en est rien de tel, laissent entendre les experts de l’Oms. L’Afrique comme le reste des continents du monde doit se préparer, et être parer à toute éventualité.  

 

« Quand un pays est à risque ou quand deux pays sont à risque, le monde entier est à risque aujourd’hui, en raison notamment de l’interconnectivité, des mouvements de population, de la mondialisation », a déclaré le Dr Ibrahima Socé Fall, Directeur général adjoint de l’OMS en charge de la réponse aux urgences.

 

A la date du 17 mars 2020, l’Afrique était à plus de 440 cas confirmés répartis dans 30 des 54 pays du continent.  Le médecin sénégalais Ibrahima Socé Fall pense qu’il n’est pas judicieux de répandre des idées qui n’ont pas été scientifiquement prouvées. L’Oms affirme que le virus de Covid-19 peut se transmettre dans toutes les régions, y compris les zones chaudes et humides comme le continent africain. Donc, indépendamment du climat, la seule parade est d’adopter des mesures de protection dès lors que l’on vit ou se rend dans une zone où il y a des cas du nouveau coronavirus. «Les informations qui ne sont pas scientifiquement prouvées ne doivent pas être divulguées», a déclaré le Dr Ibrahima Socé Fall.

 

« Les pays africains doivent se préparer et pour se préparer, il faut renforcer les systèmes de santé et les capacités requises dans le Règlement sanitaire international », a conseillé le Dr Socé Fall. 

 

Liliane N.

 

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Dans un tweet largement relayé ce mardi par les médias et les réseaux sociaux, le Chef de l’Etat camerounais appelle ses compatriotes au respect scrupuleux des prescriptions du Gouvernement et de l’OMS sur les comportements à adopter pour prévenir la pandémie du Coronavirus.  

 

« Chers compatriotes, le monde fait face à une crise sanitaire grave et sans précédent. Elle va impacter nos comportements quotidiens et notre économie ». Voici, un extrait du tweet présidentiel sur la menace mondiale que constitue aujourd’hui le Coronavirus (Covid-19). Paul Biya prend ainsi la mesure de la gravité de la situation que connaît la planète en ce moment à travers cette pandémie qui ne cesse de causer des victimes. Une maladie dont le Cameroun n’en est pas épargné, lui qui ne cesse d’enregistrer au fil des jours de nouveaux cas. 

Selon les informations publiées à date par le ministre de la Santé publique Manaouda Malachie, « 5 cas supplémentaires de malades supplémentaires » viennent d’être enregistrés à Yaoundé, ce qui porte ainsi le nombre de malades à 10 dans le pays. Une raison donc, de plus pour le Chef de l’Etat camerounais de reconnaître l’impact imminent de cette pandémie sur les modes de vie des Camerounais, ainsi que sur l’économie nationale. 

« Je vous invite à respecter scrupuleusement les prescriptions du Gouvernement et de l’OMS », ajoute Paul Biya. Il invite dans le même temps la communauté nationale à barrer la voie à la propagation du Coronavirus. « Je compte sur votre civisme et sur sens des responsabilités », mentionne le Président camerounais dans son tweet. 

Il faut mentionner à titre informatif que ce lundi, le Chef de l’Organisation mondiale de la Santé, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a précisé lors d’une conférence de presse qu’il y a désormais « plus de décès dans le reste du monde qu’en Chine ». Il déclare par ailleurs, « nul ne peut combattre un incendie les yeux bandés », tout en estimant indispensable que les pays « testent, testent, testent. Il faut tester chaque cas suspect ». 

 

Innocent D H

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01