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Le Pr Jacques Fame ndongo Secrétaire national à la Communication du Rassemblement démocratique du peuple camerounais persiste avec sa politique fiction, qui n’amuse que la galerie.

 

Après Grégoire Owona, Secrétaire général adjoint du Comité central du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc), c’est le Pr Jacques Fame Ndongo, Secrétaire national à la Communication du parti au pouvoir, qui a répondu au Pr Maurice Kamto.

Le Ministre d’Etat Ministre de l’Enseignement supérieur, a réagi à la menace d’appel au départ de Paul Biya brandie par le leader du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc), si les élections régionales arrivaient à être organisées dans ce contexte où les régions anglophones du pays restent en proie à une crise sociopolitique qui empêche le bon déroulement du vote de ce côté-là.

L’ancien candidat à l’élection présidentielle de 2018 demande que deux conditions soient réunies avant la tenue de toute élection. Il s’agit de la résolution de la crise anglophone par un cessez-le-feu et l’ouverture d’un vrai dialogue inclusif. L’autre condition est la réforme consensuelle du système électoral.

Pour le Pr Jacques Fame Ndongo, Mauric Kamto en menaçant de lancer un nouveau Plan de résistance nationale et de lancer un appel au départ du Chef de l’Etat, montre tout simplement qu’il souffre de la schizophrénie.

   Appel à l’insurrection : Maurice Kamto reconnaît la légitimité de Paul Biya et tombe le masque sur ses véritables intentions 

 

Retrouvez ci-dessous la réponse de Jacques Fame Ndongo à Maurice Kamto

- Devinette : « mon parti n’a ni conseiller municipal, ni député, ni sénateur. J’ai la tête dans la lune et les pieds dans la caverne des illusions ».

- « Depuis l’élection présidentielle de 2018, je rêve de déloger le Président Paul BIYA d’Etoudi en demandant au peuple de se soulever contre le président démocratiquement élu ».

- Le peuple ne daigne guère se mettre en rébellion, car il sait que je suis un vendeur d’illusions, un fantasmeur et un illuminé qui pond, sempiternellement, de gros mensonges, comme Falstaff, le célèbre héros de Shakespeare, dans Henri IV ».

- Hier, j’ai encore durci le ton… du gros mensonge en subordonnant l’organisation des élections régionales à la révision du code électoral. Je sais que mes incantations resteront vaines et stériles. Mais, je m’obstine dans mon volumineux manuel de politique fiction, afin d’amuser la galerie.

- Mon credo : « JE DELIRE, DONC JE SUIS ».

- « Qui suis-je ? »

- Réponse : Maurice Kamto.

- Comment les psychologues appellent-ils ce genre de pathologie ?

- Réponse : la schizophrénie.

  Grégoire Owona à Maurice Kamto : « Le Pouvoir parcimonieusement construit ne se prend pas dans la rue mais par les urnes »  

 

Liliane N.

Published in Parti politiques

Cette fois, le prétexte pris par le Secrétaire à la communication du Comité Central du Rdpc pour s’adresser au président du Mrc est la « Déclaration portant mise en garde du peuple camerounais au gouvernement contre l’organisation de toute élection avant la fin de la guerre civile dans les régions anglophones et la reforme consensuelle et effective du système électoral ».

 

Une sortie datant du 19 Juillet dernier alors que quelques heures auparavant, la cellule de communication de ce parti politique invitait les Camerounais à s’inscrire massivement sur les listes électorales.

Les « inepties » relevées par le parti proche du pouvoir et reprise dans cette réponse porte entre autres sur :

« Les lacunes énonciatives et grammaticales (la forme) avec une confusion entre le destinateur et le destinataire du message »

Selon Jacques Fame Ndongo, « Monsieur Kamto ne maîtrise pas ou feint d’ignorer les normes fondamentales d’une communication pertinente…Il s’agit, tantôt du peuple, du MRC ou d’un émetteur narcissique qui s’exprime sous la forme du pronom personnel « Je »…

Le MRC et M. Kamto se substituent abusivement au Destinateur (le peuple camerounais) qui figure dans le péritexte (ou titre de son texte)... M. Kamto voudrait s’arroger ainsi un droit ou une légitimité qu’il n’a pas ».

Dans le même paragraphe, le membre du gouvernement parle de « multiplication incongrue des récepteurs - Multiplication chaotique des Destinateurs et des Destinataires - Cacophonie communicationnelle… ».

Au plan du fond, la contestation non fondée du code électoral

« Le leader du MRC affirme que le code électoral camerounais révèle des lacunes, insuffisances, incohérences et dysfonctionnements. Cela peut paraître injurieux vis-à-vis de notre droit positif. Le code électoral ne peut guère être frappé d’inconstitutionnalité… Le seul arbitre de la constitutionnalité des lois dans notre Etat est le conseil constitutionnel, quoique le MRC (association privée d’utilité publique qui concourt à l’explosion du suffrage, selon l’article 3 de la Constitution), veuille s’ériger en juge constitutionnel… ».

Dans cette partie de son texte, le professeur Jacques Fame Ndongo parle également de « L’exigence d’une reforme consensuelle dans la préparation et l’adoption du code électoral en lieu et place de la procédure constitutionnelle légale établie.

Il précise en outre que la démarche du leader du mrc indique qu’il s’agit d’une  « pensée sinusoïdale - L’hérésie juridique des « propositions de loi » chimériques car, « l’initiative de la révision de la Constitution appartient concurremment au Président de la République et au parlement ». Citoyen ordinaire, M. Kamto ne peut donc initier aucune révision constitutionnelle… ».

S’agissant des suggestions de l’UA, de l’UE et d’ELECAM quant aux élections de 2018, le ministre de l’Enseignement Supérieur affirme qu’aucun document venant de ces organismes « ne remet péremptoirement en cause le « résultat » de l’élection présidentielle de 2018… ».

Que demande M. Kamto aux forces de défense et de sécurité ?

« Il leur demande de le rejoindre dans son projet séditieux contre la « dictature » supposée. C’est un appel à la rébellion. Or, les forces de défense et de sécurité n’ont pas vocation à mener des actions attentatoires aux Institutions de la République et à celui qui les incarne, constitutionnellement, à savoir le Chef de l’Etat (Chef des Armées), élu au suffrage universel direct, et en toute transparence et sincérité démocratiques par le peuple camerounais…

Nos forces de défense et de sécurité ont toujours été loyales et républicaines. Nul n’a le droit de les infantiliser en les incitant à violer leur serment d’Honneur et de Fidélité… ».

Dans cette réplique de plusieurs pages, le Secrétaire à la Communication du Rdpc précise, pour finir à l’endroit du leader du Mrc que tous les corps de métier et autres partenaires bilatéraux  à qui il fait le reproche de « ne pas s’adjoindre à son élan insurrectionnelle » respectent la souveraineté, l’indépendance et la  liberté du peuple Camerounais.

 

Nicole Ricci Minyem 

 

Published in Politique

Alors que le président du Mrc présente ces territoires comme des « zones apocalyptique » le Secrétaire à la Communication du Comité Central du RDPC, membre du Bureau Politique lui donne la réplique en douze points.

 

1- Logique nihiliste

Fidèle à sa logique nihiliste, M. Kamto vient de pondre un nouveau mensonge. Le canular d’hier a trait au Nord-Ouest et au Sud-Ouest présenté comme une zone apocalyptique. Une grande puissance serait sollicitée par le « tireur de pénalty » pour la saisine du Conseil de Sécurité de l’ONU.

M. Kamto aurait besoin de ce coup, de pouce hypothétique, voire fugace ou centrifuge, pour marquer le but décisif et mettre ainsi fin à un match qui se déroule dans les nuages de son imagination en quenouille.

2- Hors-la-loi

Le RDPC rappelle qu’avec tous et pour tous, le Président de la République, S.E. Paul BIYA, œuvre méthodiquement au retour progressif de la paix dans cette zone ulcérée par les actes ignobles que commettent des hors-la-loi et que jugulent, avec professionnalisme, les forces de défense et de sécurité tout en respectant les Droits de l’Homme.

3- Enquête appropriée

Au demeurant, l’Etat punit sévèrement toute dérive avérée, le cas échéant, après une enquête appropriée et réglementaire, conformément aux lois de la République.

4- Reconstruction

En outre, le Chef de l’Etat mène, avec détermination, une bataille salutaire en vue de la reconstruction et du développement des régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest qui ne demandent qu’à vivre dans la sérénité et saluent ostensiblement les actes républicains de M. le Président Paul BIYA.

5- Les ex-combattants

Il met tout en œuvre pour la réinsertion socio-économique des ex-combattants «ambazoniens ». Plusieurs ont, du reste, pris une part active au Grand Dialogue National initié par S.E. Monsieur le Président de la République et présidé par M. le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, Chief Dr Joseph Dion Nguté.

6- Système judiciaire

Il suit méticuleusement l’arrimage harmonieux du système judiciaire camerounais aux normes juridiques et juridictionnelles héritées de notre Histoire moderne.

7- Décentralisation accélérée

Il a mis sur pied une décentralisation accélérée et efficiente en vue d’optimiser la démocratie régionale et locale dans un Etat un, indivisible, mais riche de sa diversité politique, sociologique, religieuse et générationnelle. Un régime spécial est prévu pour les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest.

8- Deux sous-systèmes éducatifs

Il promeut, avec ténacité, la consolidation du bilinguisme, du multiculturalisme et des deux sous-systèmes éducatifs d’essence anglophone ou francophone.

9- Evolution positive

En clair, les allégations de M. Kamto sur le Nord-Ouest et le Sud-Ouest relèvent de la fantasmagorie et font fi de l’évolution positive de la situation sécuritaire, économique et sociale dans ces deux régions, sous le leadership pugnace de S.E. Paul BIYA, Président de la République, Chef de l’Etat, avec le soutien constant du peuple camerounais, libre, souverain, maître de son destin, et l’appui de nos partenaires bilatéraux et multilatéraux.

10- Cocasse délectation

Le RDPC subodore que le prochain mensonge du Président élu … du MRC est en gestation. Il l’attend avec une cocasse et rabelaisienne délectation.

11- Droit imaginaire

Le MRC guette et quête encore et toujours le regard approbateur et l’oreille bienveillante du peuple camerounais. Comme Godot, ce regard et cette oreille se font aussi rares qu’une larme de libellule.

12- Comme une roquette en miettes

En attendant Godot, le MRC est confiné dans … son manuel de politique fiction et de droit imaginaire. Il caquette comme une roquette en miettes.

 

N.R.M

 

Published in Défense

La cérémonie de remise des parchemins a eu lieu ce Mardi, au cours de l’audience que le Professeur Jacques Fame Ndongo – Ministre de l’Enseignement Supérieur –Chancelier des Ordres Académiques a accordé à la première cuvée des chefs juniors entreprises et des porteurs de projets.

 

Ces entrepreneurs juniors sont issus de trois éditions du Génie et Talent de l’Etudiant Camerounais ainsi que du Programme Présidentiel d’Appui à l’Employabilité des Jeunes diplômés de l’Enseignement Supérieur pour la création d’Entreprises (PRO-PAEJ).  

En célébrant ces jeunes porteurs de projets, le Professeur Jacques Fame Ndongo, à travers le département ministériel dont il a la charge, marque une avancée significative dans l’opérationnalisation de la troisième composante du triptyque Professionnalisation des enseignements – Employabilité des diplômés – Assurance qualité.

Cas du PRO-PAEJ

Au cours des différentes allocutions, il a été relevé que dans le cadre de l’atteinte de ses objectifs, ce programme ambitionne de mettre en relief, toutes les autres composantes émanant des projets existant au sein du Minesup, à savoir la composante détection et la composante incubation, afin de structurer la chaîne de l’innovation universitaire.

En d’autres termes, il s’agit de mettre en place, un mécanisme permettant à l’enseignement supérieur camerounais de conduire de l’idée des porteurs de projet des diplômés de l’enseignement supérieur à la mise sur le marché des produits nouveaux.

Une action qui vise à améliorer le rendement externe, à réaliser efficacement les missions de recherche, d’innovation et d’appui au développement, et contribuer par ricochet de manière significative à l’atteinte de l’objectif de développement de la seconde phase de la Vision 2035 qui est le niveau d’un pays à revenu intermédiaire de la tranche supérieure.

Il est par ailleurs important de relever que le PRO-PAEJ, est la concrétisation de la Nouvelle Gouvernance Universitaire qui promeut une gouvernance académique, de même que l’insertion socioprofessionnelle des jeunes diplômés par l’auto emploi.

Une appétence qui  s’articule autour de trois points : L’Assurance qualité pour mettre en relief la compétitivité de nos universités - La professionnalisation des enseignements, c’est-à-dire la maximisation optimale des savoirs faire et de la compétence - L’employabilité des diplômés à savoir, l’aptitude de ces derniers à s’insérer efficacement dans le circuit de production.

Il importe également de relever, de l’avis de certains acteurs que « Des actions entreprises par l’enseignement supérieur ces dernières années, ont davantage concerné l’assurance qualité et la professionnalisation si l’on s’en tient aux résultats disponibles ».

Activités déjà réalisées dans le cadre du PRO-PAEJ

Depuis le 04 novembre 2019, deux mille quatre cent (2 400) dossiers provenant des dix régions du pays et de la diaspora ont été réceptionnés.

Au terme des opérations de dépouillement et d’analyse desdits dossiers avec l’appui de dix experts accompagnateurs recrutés à cet effet, le Secrétariat technique a finalement travaillé sur 1947 dossiers jugés conformes et donc recevables.

Sur les 1947 dossiers analysés, 20% étaient des entreprises, 10% des activités génératrices de revenus et 70% des idées projets. 30% des dossiers ont été déposés par les femmes et 70% par les hommes dans des domaines d’activités tels que : l’agroalimentaire, les TIC, le commerce, la santé, la technologie, l’environnement, les services et bien d’autres.

Traitement des dossiers reçus

Après leur conditionnement, trois ateliers mixtes de dépouillement et d’analyse ont été constitués, chaque atelier étant constitué de cinq consultants ayant des compétences en création et développement d’entreprises qui étaient chargés chacun d’examiner chaque dossier suivant des critères ci-après : Conformité du dossier 10 pts - Domaine d’activité 10 pts - Niveau d’évolution de l’activité 15 pts - Potentiel d’emplois 15 pts.

Ceux-ci ont ensuite été compilés, synthétisés puis centralisés dans une banque de données électronique. Ce qui a permis de procéder à une classification en fonction des notes attribuées à chaque projet.

En fin de compte, ce sont 150 dossiers qui ont été présélectionnés, servant ainsi de base de travail pour les équipes mixtes MINESUP-Experts accompagnateurs dans le cadre des missions de visite sur le terrain.

A l’issue du diagnostic qui a permis d’avoir une idée claire de chaque activité et d’évaluer les besoins réels en accompagnement de ces structures, 100 projets ont été jugés éligibles pour bénéficier d’un accompagnement pour cette phase pilote du PRO-PAEJ.

Les promoteurs viennent des dix régions et, pendant une semaine, ils ont été capacités en techniques et outils dans le domaine de l’entrepreneuriat, notamment dans le montage, la conduite et la gestion de leurs futures entreprises…

L’accompagnement des experts dont ils bénéficient, dans le cadre de la maturation de leur plan d’affaires va permettre à chacun de ces jeunes de recevoir des financements pour la mise en œuvre de leur projet.

Et, pour le ministre de l’Enseignement Supérieur, « c’est une fierté de voir ainsi les Jeunes Camerounais prendre ainsi leur destin en main… ».

 

Nicole Ricci Minyem 

 

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C’est dans un document de six pages, avec comme titre : « Maurice Kamto désormais confiné dans son manuel de politique – fiction que  le Secrétaire à la Communication du Comité Central du RDPC a réagi à la dernière sortie (1er Juin) du président du Mrc. Un résumé fait par les médias Camerounais.

 

« Le Pr Jacques Fame Ndongo, comme il aime bien le faire, a choisi un registre de langue on ne peut plus soutenu, pas aisé à la compréhension du Camerounais lambda, et un style hermétique pour battre en brèche « La succession de gré à gré » qui serait en préparation dont a fait allusion Maurice Kamto dans son dernier discours.

Pour le chef supérieur de Nkolandom, le « Gré à gré » n'existe pas dans la constitution camerounaise et n'est pas à l'ordre du jour au RDPC ou au sein du régime Paul Biya - Président de la République du Cameroun.

Le ministre d’Etat – ministre de l’Enseignement Supérieur a évoqué la genèse de cette locution qui selon ses allégations est un substantif qui fonctionne merveilleusement bien dans le lexique économique et commercial et connote le copinage, le népotisme, le choix quasi discrétionnaire, sinon arbitraire dans l'imagerie populaire.

Il poursuit en précisant que l'auteur de « L'Urgence de la pensée » a subrepticement introduit ce terme dans le champ politique, vu que cela est anticonstitutionnel : « Le gré à gré successoral n'existe pas dans notre constitution. Il ne peut donc être utilisé par qui que ce soit, à fortiori par le président Paul Biya, légaliste pur et dur qui est à la tête d'un État de droit qu'il a façonné inlassablement depuis son accession à la magistrature suprême », peut on lire dans ce document.

Il considère donc in fine cela comme une « imagination féconde et vagabonde » de Maurice Kamto. Pour lui ce n'est rien d'autre qu' « Une ruse sans muse ni écluse par le mécanisme de la « Concaténation » du mot gré à gré de l'économie à la politique.

Le ministre d’Etat – ministre de l’Enseignement Supérieur croit savoir que le leader du Mrc se livre à un combat picaresque contre une pieuvre fantasque sortie du magma effervescent et incandescent de son imagination féconde et vagabonde.

En ce qui concerne la crise anglophone, l'auteur de « Ils ont mangé mon fils » affirme qu'elle est en train d'être "résolue avec tous et pour tous" à travers le grand dialogue national.

Sur la réforme du système électoral, le Secrétaire à la Communication du Comité Central du RDPC indique que cela passe par un projet de loi ou une proposition de loi. Il pense dès lors que Maurice Kamto en exigeant cette réforme alors qu'il n'a ni député ni sénateur parce qu'il a refusé d'aller aux élections locales; « Caquette, guette, quête mais rejette les Urnes ».

Pour terminer, le Dramaturge fulmine qu' « Il ne faut pas jouer avec le Cameroun » qui d'après lui n'est ni un califat, ni une monarchie, ni une autocratie, ni une oligarchie, ni une ploutocratie, mais une démocratie avancée ».

 

N.R.M

 

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Le Pr Jacques Fame Ndongo Ministre d’Etat, Ministre de l’Enseignement supérieur affirme que les responsables des Universités d’Etat maîtrisent parfaitement la gestion des espaces, du temps et des ressources humaines, logistiques, matérielles, numériques et financières.

 

Le Pr Jacques Fame Ndongo s’est entretenu avec Cameroon tribune le quotidien à capitaux publics, sur la question de la rentrée académique, qui aura lieu le 01er juin 2020, c’est-à-dire lundi prochain. Le Ministre D’Etat, Ministre de l’Enseignement supérieur n’affiche aucune crainte pour ce qui est des étudiants, qui sont appelés à regagner les amphis, en ce contexte où les cas de contamination au Coronavirus ne cessent de croître. A la question de savoir s’il est possible que les Universités parviennent à respecter l’une des mesures édictées par l’Organisation mondiale de la santé, notamment la distanciation sociale, prescrivant un regroupement de pas plus de 50 personnes, le Ministre se veut rassurant. 

“Les autorités universitaires savent gérer l’espace et le temps de manière rationnelle, ainsi que les ressources humaines, logistiques, matérielles, numériques et financières. Il suffit de respecter quelques principes pratiques : la rotation des enseignements et des enseignants, le fractionnement des effectifs académiques, l’échelonnement des cours dans le temps (exemple : dans une université donnée, le lundi peut être consacré aux 1ères années, le mardi aux 2ème années, le mercredi aux 3èmes années etc… et les amphithéâtres sont subdivisés en conséquence, pour éviter l’agglutination surdimensionnée des étudiants au delà de 50 personnes, dans un espace académique précis).

En sémiologie, cela s’appelle la proxémique. Dans certaines Universités, l’outil radiophonique voire télévisuel sera mis à contribution : plusieurs groupes d’étudiants suivront le même cours dans plusieurs salles, afin de minorer la massification des effectifs et les risques exponentiels de contamination. Evidemment, cette multiplication des salles induit une maximisation des heures complémentaires et une hypertrophie de l’incidence financière. Des solutions endogènes sont identifiées par les Universités, pour résoudre ces problèmes pécuniaires, en attendant un appui exogène, si tant est que la haute hiérarchie le juge opportun, en fonction de la situation macro-économique et des arbitrages régaliens”, explique le Ministre.

Le gouvernement confirme la reprise des cours prévue le 01er juin 2020

La réduction des effectifs à 50 étudiants dans un amphi pouvant conséquemment appeler à une augmentation du personnel enseignant, le Pr Jacques Fame Ndongo se veut une fois de plus rassurant, sur l’organisation qui sera dans ce cas de figure adoptée. 

“En réalité, depuis plusieurs années, dans toutes les universités du Cameroun, les cours non-présentiels et les cours présentiels cohabitent. Le don, par le chef de l’Etat, de 500 000 ordinateurs, aux étudiants des Institutions universitaires publiques ou privées du Cameroun et la construction de 10 centres de développement du numérique universitaire (dans les huit universités d’Etat, à l’Université inter-Etats Congo-Cameroun et au niveau central, pour un (réseautage numérique des Universités) constituent une plus-value substantielle pour le système universitaire camerounais”, déclare le Ministre de l’Enseignement supérieur.

 

Liliane N.

 

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C’est l’une des décisions prises par la conférence des chefs des institutions universitaires.

 

Les Recteurs des Universités camerounaises ont décidé que dès la rentrée académique, des contrôles sanitaires seront de mise. C’est une mesure qui entre dans le cadre de la lutte contre la pandémie du Coronavirus, qui sévit aussi au Cameroun. En sa qualité de président de la Conférence des chefs des institutions universitaires, le Pr Maurice Aurélien Sosso recommande d'instaurer ces contrôles aux points d'accès aux campus, à l'entrée des amphithéâtres, dans les salles de cours, les laboratoires, les ateliers etc. En plus de l’application des contrôles sanitaires, le Pr Maurice Aurélien Sosso recommande une « autonomie académique et financière » afin de lutter efficacement contre la pandémie en tenant compte des environnements spécifiques. 

 

A titre de rappel, c’est depuis le 17 mars 2020, que les Universités qu’elles soient privées ou publiques ont mis la clé sous le paillasson. La décision de fermer les Universités faisait partie des toutes premières mesures composant la stratégie gouvernementale de riposte contre le Covid-19 au Cameroun. Elle prendra fin le 1er juin prochain. Etant donné que le Pr Jacques Fame Ndongo Ministre d’Etat, Ministre de l’Enseignement supérieur après une concertation avec les administrateurs des institutions universitaires publiques et privées du Cameroun, a annoncé que les cours reprendront dans les amphis à la date suscitée. 

 

Les étudiants faut-il le rappeler, auront à passer seulement huit semaines dans les amphis. Parce que l’année académique 2019-2020 va s’achever le 30 août 2020.

 

Liliane N.


 
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Dans un document publié ce 15 avril, il laisse entendre que : « le président élu du MRC a saisi par un moyen laissant trace, le président et le Bureau de l’Assemblée nationale afin qu’il demande au Conseil constitutionnel de constater la vacance de la présidence de la République ». 

 

Dans un document intitulé « Halte à la politique -Fiction : la présidence de la République n’est pas vacante au Cameroun », rendu public en date du 15 avril 2020, le secrétaire à la Communication du Comité central du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC) décrypte le texte du candidat malheureux à l’élection présidentielle du 07 octobre 2018. 

Le Pr. Jacques Fame Ndongo, secrétaire à la Communication du Comité central du RDPC retient deux paradigmes. Il s’agit de la forme (recevabilité de la saisine) et du fond. 

Pour ce qui est de la forme, le cadre du parti souligne, « M. Kamto a saisi le président de l’Assemblée nationale. C’est une démarche nulle et de nul effet ». Pour étayer son argument, il s’appuie sur l’article 81, alinéa 1 du règlement intérieur de l’Assemblée nationale qui dispose que « les pétitions doivent être adressées au président de l’Assemblée nationale par un ou plusieurs députés ». 

Fame Ndongo, pense que sur cette base, aucun citoyen ordinaire n’a le droit de saisir le président de l’Assemblée nationale ou le Bureau. « C’est un impératif exclusif. Le verbe « devoir » est dirimant et non pas facultatif ou permissif (les pétitions doivent…). Et le mode « indicatif » relève de l’effectivité et non de la virtualité ou de l’optatif », décrypte le secrétaire à la Communication du Comité central.  

Celui-ci, fait dans le même temps observer qu’au Cameroun, il n’y a pas de la loi d’initiative populaire (comme dans quelques rarissimes pays). Poursuit-il, les experts précisent que le « constitutionnalisme démotique » (demos=peuple en grec) n’existe pas au Cameroun.

« Nous sommes dans un régime de démocratie représentative. Cela signifie que les citoyens s’expriment directement, en matière de Droit constitutionnel, soit par l’élection de leurs représentants, soit par voie de référendum. La saisine par M. Kamto (citoyen ordinaire) du président de l’Assemblée nationale est donc nulle et de nul effet. S’il était député, il aurait pu saisir le président de l’Assemblée nationale. Mais on le sait, avec des « si », on mettrait Paris dans une bouteille », note Fame Ndongo. 

 

Second paradigme

Quant au second paradigme, c’est-à-dire le fond, Jacques Fame Ndongo mentionne, la présidence de la République n’est pas vacante au Cameroun. « Les conditions juridiques pouvant induire le déclenchement du constat de vacance de la présidence de la République sont les suivantes : le décès, la démission ou l’empêchement définitif (article 6, alinéa 4 de la Constitution) », croit savoir le membre du Bureau politique du RDPC.

Pour lui, aucune des hypothèses émises par Kamto n’est avérée, vérifiée ou validée. En conséquence, la « démarche du président élu du MRC est sans fondement juridique », il en veut pour preuve, « aujourd’hui, le Président de la République, Chef de l’Etat, a signé un décret portant commutation et remise des peine, et un autre texte portant nomination d’un membre du Conseil constitutionnel ». 

Le Pr. Jacques Fame Ndongo rappelle, « on ne peut pas être mort, démissionnaire ou définitivement empêché et exercer pleinement ses responsabilités constitutionnelles. C’est le principe aristotélicien du tiers exclu (A ne peut pas être non A ; ou bien, si A est différent de B, A ne peut pas être B). Ce qu’il fallait démontrer (CQFD). Halte à la politique fiction », relève-t-il.  

Il convient d’indiquer à titre de rappel qu’après la création de l’association « Survie Cameroon-Survival Initiative », le 27 mars dernier par le président du MRC pour la collecte de fonds de lutte contre le Covid-19, le Pr. Jacques Fame Ndongo lui a opposé une réplique. Celui-ci, estimait dans une sortie en date du 28 mars, qu’il ne s’agit ni plus, ni moins d’un stratagème insurrectionnel.  

 

Innocent D H

 

Published in Institutionnel

Sur les bases qui lui sont propres et dont il détient seul le pouvoir, le leader du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun a cru bon de donner un ultimatum au Président de la République. 

Une sortie qui lui a valu une réplique du Secrétaire à la Communication du Rassemblement Démocratique du peuple Camerounais qui estime qu’il ne s’agit ni plus, ni moins que d’un stratagème insurrectionnel.

 

Published in Parti politiques

La réunion tenue il y a quarante huit  heures, a porté des fruits. Les derniers manifestants ont regagné leur lieu de résidence respectif ce Vendredi, convaincus de ce que les décisions prises à l’issue d’une concertation leur tutelle, vont porter les fruits escomptés. Retour sur quelques réactions recueillies à l’issue des assises 

 

Porte parole des enseignants

 « Vous savez, nous avons choisi le bon endroit, nous avons choisi la bonne personne, notre ministre de tutelle, qui a su trouver le bon compromis pour résoudre notre problème, pour résoudre nos frustrations, pour régler la question de l’injustice, qui a justifié notre présence ici, depuis trois semaines. Nous sommes vraiment très contents, merci monsieur le ministre. Ce compromis est rassurant et, à cette occasion, dès aujourd'hui, nous allons lever le camp. Progressivement pour ceux qui sont à Bamenda, Buea, Maroua, Ngaoundéré et complètement, nous irons vider le camp demain matin. Je puis rassurer tous les camarades, toutes nos familles, solution a été trouvé à travers un compromis qui nous arrange et qui justifie les propos que nous tenons aujourd'hui… ».

Ministre de l’Enseignement Supérieur

« Je remercie sincèrement le Chef de l’Etat, son Excellence Paul Biya, qui a voulu prescrire ce recrutement spécial inédit, de deux mille enseignants dans les Universités d’Etat, titulaires du Doctorat, du Phd ou de tous diplôme jugé équivalent. Nous avons également la possibilité du remplacement numérique qui est classique dans les Universités et qui sera mise en œuvre, toutes affaires cessantes… Comme vous le savez, l’erreur est humaine donc, ce n’est pas la première fois qu’il y’a une erreur. Dès que nous aurons constaté objectivement ces erreurs, j’ai demandé aux recteurs de les corriger illico presto, sans rien attendre. Parce que le Chef de l’Etat nous demande l’excellence académique, la rigueur méthodologique et, finalement, l’objectivité scientifique. Ensuite, je remercie ces vaillants Camerounais, ces docteurs ici présents qui sont le Cameroun de demain.  Parce que le Cameroun se bâtira, comme le Chef de l’Etat aime à le dire, avec la jeunesse. Cette jeunesse a exprimé les doléances, et de nombreuses séances de travail ont permis d’assister à cet heureux dénouement. Donc, je les remercie pour leur patriotisme, pour leur engagement, et pour leur volonté de contribuer de manière décisive, à la capacitation intellectuelle de leurs cadets… ».

Aucune liste additive - Le professeur Jacques Fame Ndongo a tenu à refaire ces quelques précisions

« Le recrutement se fera en respectant les canons universels des normes académiques. Le département avec une audition, l’établissement avec une la commission consultative du recrutement des assistants, présidé par le recteur ou le vice chancellor. C’est ce qui concerne les assistants…Mais, si tant qu’il y’ait des chargés de cours, ça se fera par le comité consultatif inter ministériel. Chargé de cours, maître de conférences, ou professeurs titulaires. Le Chef de l’Etat demande l’excellence académique, l’équité, la justice sociale et, c’est tout cela que nous allons continuer de mettre en œuvre, pour le plein essor de cette jeunesse universitaire, en qui nous avons entièrement confiance et que nous félicitons… ».    

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Nicole Ricci Minyem 

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01