Dans une tribune publiée ce dimanche 25 octobre 2020, le secrétaire à la communication du Comité central du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC) condamne d’un ton ferme la tuerie des 06 élèves à Kumba dans la région du Sud-Ouest Cameroun. Jacques Fame Ndongo martèle que ces terroristes sans conscience n’anéantiront jamais la République.
« Lovées dans l’Olympe scintillant de leur pureté, de leur candeur et de leur soif du savoir, les six élèves massacrés hier à Kumba par des séparatistes loufoques, baroques et forcenés parlent à la conscience universelle. C’est l’humanité qui est flagellée, ulcérée et crucifiée. C’est la condition humaine qui est stipendiée et abâtardie », postule d’entrée de jeu, le secrétaire à la communication du Comité central du RDPC.
Jacques Fame Ndongo ne comprend pas comment des humains peuvent-ils arriver à commettre ces genres de crimes, s’ils ne sont des « illuminés moyenâgeux, des sado-masochistes ». « J’accuse les barbares qui massacrent des innocents avec un cynisme inégalé. J’accuse les scélérats qui s’opposent à l’école, à la connaissance, à la compétence, c’est-à-dire à l’avenir du Cameroun, de l’Afrique, du monde », dénonce-t-il. Il condamne ainsi avec la dernière énergie ces « sado-masochistes qui se complaisent dans la sauvagerie la plus abjecte. J’accuse ces brigands sécessionnistes qui exterminent la jeunesse camerounaise si talentueuse, si inventive, si géniale. J’accuse ceux qui égorgent le Cameroun de demain ».
Ces sanguinaires vont répondre de leurs actes macabres quel que soit le temps que ça mettra, croit fermement le Ministre d’Etat, Ministre de l’enseignement supérieur (Minsup). D’ailleurs, « L’Histoire retiendra qu’ils ont voulu assassiner le Cameroun. Ils ont plutôt tué leurs desseins macabres et rétrogrades. Leur combat est voué à l’échec : toute la Nation est mobilisée contre ces sadiques sanguinaires. Honnis soient ceux qui les soutiennent, implicitement ou explicitement, parce qu’ils veulent vouer aux gémonies le Président de la République, Chef de l’Etat, Chef des armées, S.E Paul BIYA, apôtre de la paix, de l’unité, du progrès et de la coopération rénovée, dans une Humanité juste et équilibrée », fait savoir l’Homme politique.
D’un ton ferme, Jacques Fame Ndongo interroge ces « Wisigoths des temps modernes ». « Terroristes sans conscience, avez-vous une âme, qui s’attache à la conscience universelle ? avez-vous une conscience pour AIMER nos enfants, vos enfants, nos élèves, nos élèves qui sont la fleur et le nectar du Cameroun ? », écrit-il.
Le secrétaire à la communication du parti du flambeau est sans équivoque, la République ne sera jamais anéantie. « La République est debout. Sous la houlette du Chef de l’Etat, S.E Paul BIYA, la République avance, fière, digne, intrépide et déterminée, avec tous et pour tous, dans la légalité, la fraternité et la solidarité », indique le Minsup.
Le Pr Jacques Fame Ndongo déclare pour finir, « Honte aux prétendus « libérateurs du peuple » ou « chasseurs du Président démocratiquement élu » : ils rêvent de prendre en otage l’école et les élèves, c’est à dore l’avenir de notre cher et beau pays : « L’école n’est pas une arène politique. L’école aux écoliers, la politique aux politiciens » (dixit S.E Paul BIYA, Yaoundé, le 4 octobre 1991) ».
Innocent D H