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Le jeune homme employé de la société des plantations du Haut Penja passera ce 14 juillet 2021 devant le Tribunal de première instance de Mbanga, dans le département du Moungo, région du Littoral au Cameroun.

 

C’est une affaire qui retient l’attention de plusieurs internautes sur la toile. L’affaire d’un jeune homme d’une trentaine d’années, qui a réalisé une vidéo dans laquelle, il tient des propos injurieux contre le président de la République, ses ministres et leurs parents de sexe féminin.

Le jeune homme en service dans la société des plantations du Haut Penja a été appréhendé par les services de sécurité à Njombe-Penja, département du Moungo, dans la région du Littoral. Il est prévu que ce lundi 14 juillet 2021, qu’il passe devant le Tribunal de première instance de Mbanga.

L’employé de la société des plantations du Haut Penja reproche au Chef de l’Etat et aux ministres, le détournement présumé d'une partie des 180 milliards de FCFA alloués par le Fonds Monétaire International (FMI) pour la lutte contre le Coronavirus dans notre pays.

Il a également dénoncé le fait qu’il perçoive chaque mois, un salaire de 32 000 FCFA pour plus de 9 heures de travail au quotidien. Ce dernier a été arrêté avec deux de ses amis qui l’auraient aidé à réaliser la vidéo.   

L’honorable Djeumeni Benilde, du Social Democratic Front (SDF) a décidé de défendre ces jeunes.

« Après l’arrestation et la détention arbitraire dès ces jeunes de ma localité (Njombe-Penja). En ma qualité de député de cette circonscription territorialement compétente, il est de ma responsabilité de veiller au respect de leurs droits…

A ce titre, je vais dès à présent organiser leur défense auprès du tribunal de première instance de Mbanga avec un groupe d’avocat dès ce Lundi 14 Juin 2021, date de leur première comparution.

En se fondant sur le principe de la diplomatie, les pactes internationaux et la liberté d’expression, je me dois de requérir les hautes autorités de notre nation qui prônent cela ainsi que le respect des droits de chaque citoyen. Un  compte rendu permanent vous sera donné en temps opportun jusqu’à leur libération… », a-t-il déclaré hier.

 

Liliane N.

 

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Où est passée l’assistance publique aux accidentés ? Quid des assurances ? Les victimes se résignent, cinq mois après l’accident de circulation le plus mortel de l’histoire des Transports routiers au Cameroun.

 

Malgré son état physique qui suscite la pitié, Michel Djiotsap a une voix. Une voix tonnante et fluide, dont il abuse dans la manifestation de sa joie de vivre. La joie d’être encore vivant, de parler et même de faire des projets alors que la plupart de ceux avec qui il faisait le voyage cette nuit du 7 janvier 2021, ont depuis longtemps rejoint l’au-delà.

« Je suis l’un des élus de Dieu. A vrai dire, j’attends de connaître la mission pour laquelle le Seigneur m’a retenu en vie. Il va m’illuminer », assure-t-il, un brin fataliste. « Ça ne va pas très bien », tempère aussitôt le quadragénaire, qui a eu des brûlures à la tête, aux bras et au dos, à la jambe et au pied droits et dont certaines en cours de cicatrisation sont encore bien visibles. Sorti de l’Hôpital Régional de Bafoussam contre l’avis médical, il s’est réfugié dans son Village, Bafou dans la Menoua, où il trompe le temps en nourrissant ses porcs. Il explique qu’après 50 jours d’hospitalisation, le « personnel aimable » de cet hôpital dit de référence ne lui offrait plus rien.

« En dehors du pansement, la plupart des médicaments qu’on prescrivait devaient être achetés en officine. Du coup, je n’ai pas trop trouvé utile de continuer à rester là. La prise en charge annoncée par le gouvernement ne concernait que les remèdes vendus à la pharmacie de l’hôpital », explique celui qui se considère comme un revenant.

Il explique en effet que, évacués à six dans cet hôpital, seul lui et le chauffeur du bus, sont sortis vivants de l’épreuve. Les deux évacués à l’hôpital général de Douala sont morts ainsi que deux autres patients maintenus à Bafoussam.

Lire aussi :  Drame : un accident de la route sur la falaise de Ngaoundéré fait au moins 5 morts

« Je n’ai retrouvé ma sensibilité qu’à 60% environ mais je ne voyais plus ce que je foutais là-bas, dès lors que je dépendais à 90% de l’extérieur », se défend-t-il. Ainsi, supposé être pris en charge par l’Etat, ces soins lui ont coûté presque 400.000F, alors qu’il est devenu inactif.

« Depuis que je suis sorti, j’ai encore fait 30 pansements, à raison de 3.500F la séance », précise-t-il. Des moyens difficiles à rassembler pour ce conducteur d’engin de chantier, propriétaire d’un garage spécialisé au lieudit Johnny Baleng, à Dschang, avant l’accident. Aujourd’hui couvert de traces de brûlures, il ne peut plus exercer. Pourtant, il a une famille à nourrir. Une épouse, six enfants et surtout sa petite fille, qui lui a beaucoup manqué.

« Pendant que j’étais à l’hôpital, le Ministre de la Santé et celui des Transports sont venus me voir pour prendre des nouvelles sur la manière dont nous étions soignés. Ils avaient demandé qu’on ne jette pas les factures payées. Depuis qu’ils sont partis, seul un psychologue est venu du ministère nous rencontrer pour discuter. En partant, il a laissé un numéro par lequel je peux l’appeler mais je ne sais pas de quoi on va discuter. Je ne l’ai donc jamais fait », témoigne-t-il.

Pas de trace de la Protection civile, encore moins des assurances. Mais la peur de mourir du coronavirus. Même les médias les auraient-oubliés, depuis qu’ils ne peuvent plus faire des témoignages à sensation.

Précarité financière

Situation quasi-identique pour Pierre René Kana, qui lui aussi vit replié chez lui, à Dschang. Le chauffeur du bus dont les passagers ont été carbonisés dans l’accident, bénéficie, pour prendre soin de ses deux femmes et douze enfants, de son salaire d’employé maintenu à l’agence Menoua voyages. Il le lui est versé, à temps normal, depuis qu’il est devenu impotent. Contrairement à l’autre survivant, ce sont les médecins qui lui ont demandé de retourner à la maison, car le mal des côtes dont il souffre est la conséquence des fractures qu’on a soignées.

« J’ai un rendez-vous à l’hôpital dans deux mois. Les résultats des examens diront s’il m’est possible de reprendre le travail », indique l’homme de 52 ans. Contrairement à son compagnon d’infortune, il avait, en tant que conducteur averti, souscrit une assurance personnelle. « J’ai confié le dossier à un expert en contentieux. Il a dit que ça avance, c’est en cours de traitement », assure-t-il.

Il ne sait rien de ce que la compagnie de transport qui l’emploie et son assureur éventuel font de leur côté. Pour le reste, il n’a reçu le soutien de personne, depuis qu’il est sorti de l’hôpital. « Même pas un coup de téléphone des autorités », nous confie l’homme, qui se félicite d’être en vie, malgré la situation vécue cette nuit de braise.

 

L’on se souvient qu’au petit matin du 7 janvier, 2021, la collision entre une camionnette transportant du carburant de contrebande et un bus de l’agence Menoua voyages parti de Douala pour Dschang, sur la falaise de Santchou, avait fait 55 morts et 28 blessés. Sur les 23 blessés conduits à l’Hôpital de district de Dschang, seuls six patients dans un état critique avaient été transférés à l’Hôpital régional de Bafoussam tandis que les autres avaient retrouvé leurs domiciles.

Après plusieurs tours à Dschang pour l’identification des cadavres et un probable retrait des corps pour inhumation, les familles des victimes sont tombées dans le découragement. Plus grave, l’information ne circule pas.

« Cette phase reste du domaine des forces de maintien de l’ordre, en collaboration avec les autorités de santé. Le travail a été fait de ce côté-là. Nous n’osons ici dévoiler tout ce qui est fait de ce côté. Je voudrais qu’on reste concentré sûr ce que nous avons à faire : la prévention et la sécurité routières », nous a confié Moussa Nfendoun, le Délégué régional des Transports pour l’Ouest.

Lire aussi :  Deux enfants de 04 ans et 19 ans décèdent dans des conditions troubles à Dschang

A l’hôpital de district de Dschang, où une partie des restes mortuaires était gardée (et l’autre à la morgue de Penka-Michel), nous avons appris qu’il y a longtemps qu’une équipe envoyée par le Gouverneur de la Région avait fait le transfert. L’identification annoncée des dépouilles aurait dépassé la technologie disponible.

Seuls cinq corps ont pu être identifiés et remis aux familles concernées pour inhumation. Et en fonction des coutumes, des parents de victimes étaient venus avec des tradipraticiens faire des rites d’exorcisme, avant de faire le « deuil de malchance ».

Certains avaient affirmé avoir identifié des corps, à travers des incantations. Mais on ne les a pas crus. « Cela ne servira plus a rien. pour moi, surtout Qu on ne reconnaît plus vraiment personne. Je ne vois pas en quoi œ sera utile que je ramasse des squelettes quelconques peut venir encombrer ma concession J’ai déjà fait le deuil de mes enfants », nous a confié dans ce sillage un chef de famille mécontent mais néanmoins inquiet du comportement des pouvoirs publics.

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Faute d’avoir pu rencontrer le Gouverneur pour savoir ce qui a été fait des restes mortuaires, nous avons élargi la brèche ouverte par le responsable local des Transports. « Le travail a été fait de Ce côté-là. Nous n’osons ici dévoiler tout ce qui est fait de ce côté », a-t-il assuré.

De sources dignes de foi, elles seraient déjà discrètement enterrées dans une fosse commune. Pendant que les victimes et les ayant-droits des morts attendent une éventuelle indemnisation et que l’accident de la route le plus meurtrier du pays entre progressivement dans le ciel de l’oubli.

Lire aussi :  Réduction des délestages : Eneo va installer 30 transformateurs à Dschang

 

Source : le Jour n°3436

 

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Le produit Viro Green Force 4 à titre préventif et curatif du coronavirus a été proposé au gouvernement.

 

Le coronavirus continue de sévir au Cameroun et dans le monde entier au point que l’Organisation mondiale de la santé (Oms) accueille favorablement les innovations à travers le monde, y compris le recyclage des médicaments, des produits issus de la pharmacopée traditionnelle et la mise au point de nouvelles thérapies dans le cadre de la recherche de traitements potentiels de la maladie à coronavirus.

L’organisation dit aussi reconnaître que la médecine traditionnelle, complémentaire et alternative recèle de nombreux bienfaits. A preuve cette trouvaille d’une Camerounaise dans la lutte contre la pandémie.

Le Dr Joséphine Briand k., naturopathe, chercheur promotrice des Laboratoires Alt Cima, a tenu une conférence à Yaoundé en présence des responsables du ministère de la Recherche scientifique et de l’Innovation ainsi que ceux du ministère de la Santé publique, au cours de laquelle le produit Viro Green Force 4 a été présenté.

Nous apprenons qu’il aura fallu deux mois de recherches au Dr Briand K et à son équipe pour mettre sur pied le Viro-Green F4. En présentant le traitement, cette dernière a tenu à sensibiliser l’assistance sur l’hygiène alimentaire qui doit être contrôlée. Selon elle, les virus et bactéries survivent dans un organisme sale.Spécialiste de 32 médecines alternatives, Briand K a expliqué que la Covid-19 est un virus comme tous les autres qui, lorsqu’il s’installe dans un organisme sale, cherche à se nourrir. C’est pourquoi, elle conseille une bonne hygiène alimentaire afin qu’une fois installé dans un organisme propre, le virus soit suffisamment affaibli pour survivre.

Sensibilisation et consultations à Douala

Après Yaoundé, c’est au tour des opérateurs économiques et autres acteurs de développement résidant dans la région du Littoral d’accueillir pour la première fois ce produit au cours des consultations annoncées pour le jeudi 10 juin 2021 à l’Hôtel La Falaise de Bonanjo-Douala. Membre de la plateforme Diaspora Modèle Cameroun, c’est sous ce label que le produit Viro Green Force 4 (Traitement préventif et curatif) du coronavirus a été proposé avec succès au gouvernement Cameroun.

Par ailleurs, il se dit que cette solution présentée comme une contribution de la Diaspora a soigné à ce jour des milliers de personnes atteintes de Covid au Cameroun et à l’étranger. Le Coordonnateur général de la plateforme est Merimé Cesair Ngoumtsop dit Dr Love qui est par ailleurs Président exécutif de l’association Afric love.

En outre, la plateforme "Diaspora modèle Cameroun" est mise sur pied par l’association Afric Love depuis 2 années déjà. Sa mission est de : promouvoir la Citoyenneté active et les valeurs qui la sous-tendent auprès des Camerounais de la Diaspora ; susciter le retour et les investissements de la diaspora au Cameroun ; vendre la destination Cameroun ; faciliter les transactions ; promouvoir et accompagner les initiatives et actions des Camerounais de la Diaspora et enfin faciliter l’intégration des Camerounais à l’étranger. Nous apprenons que ladite plateforme compte à ce jour 20 antennes dans le monde et 6150 membres.

 

 

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Selon le ministère de la Santé publique, la situation épidémiologique est stable depuis environ trois semaines.

 

Une fois de plus, le Cameroun est parvenu à stabiliser sa situation épidémiologique. Dans ses dernières déclarations relatives à la pandémie du Coronavirus, le Dr Malachie Manaouda, ministre de la Santé publique, a fait savoir que les proportions gagnées par celle-ci ne sont plus inquiétantes ni alarmantes. 

« Depuis environ deux à trois semaines, la situation épidémiologique est stable. Nous sommes en train de redescendre parce que nous avons une baisse des contaminations et une chute du taux de mortalité », a déclaré le ministre Manaouda Malachie, le 12 mai dernier.

Pour donner des exemples concrets, le membre du gouvernement a expliqué qu’à l’heure actuelle, il y a moins de 30 personnes internées au centre de prise en charge annexe n°2 de l’Hôpital central de Yaoundé (Orca) contre 300 il y a un mois.

Même si les données du terrain montrent que la pandémie du Coronavirus se stabilise, pour le ministre de la Santé publique, il n’est pas question de relâcher les mesures barrières. Il recommande aux populations et même aux personnes vaccinées, de continuer à porter les masques de protection.

A la date du 06 mai 2021, le ministre Manaouda indiquait que le Cameroun avait déjà administré : 23 882 doses du vaccin Sinopharm et 16 089 doses du vaccin AstraZeneca. Il faut rappeler que la vaccination contre le Coronavirus a débuté en mi-mars. Depuis le lancement de la campagne de vaccination, le gouvernement encourage les populations cibles à se faire vacciner pour une protection collective. Les membres du gouvernement ont été les premières personnes à se faire administrer les premières doses du vaccin chinois Sinopharm, le premier venu et reçu dans notre pays. La Chine avait fait un don d’une cargaison de 200 milles doses au Cameroun. La cargaison en question avait été réceptionnée par Joseph Dion Ngute le premier ministre.

Liliane N.

 

 

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Joseph Beti Assomo, ministre de la Défense du Cameroun, rappelle que le port des cache-nez estampillés Mindef ou gendarmerie n’est réservé qu’aux personnels militaires.

 

Le phénomène de port des effets militaires par les civils prend des proportions incontrôlables. Joseph Beti Assomo en sa qualité de ministre de la Défense (MINDEF), veut ramener l’ordre. Il a récemment signé un communiqué dans lequel il met en garde.

Avec la pandémie du Coronavirus, certains corps de métier comme l’armée ont mis sur pied des gadgets qui leur sont propres. Parmi ces gadgets on retrouve les masques dont le port est nécessaire dans la lutte contre la pandémie. Seulement, dans la rue, il n’y a pas que les personnels militaires qui arborent les masques de leur corps de métier. Des civils sont également en possession de ceux-ci. 

« Les masques du MINDEF ou de la Gendarmerie sont gracieusement destinés aux seuls personnels militaires et civils régulièrement répertoriés dans les registres du ministère de la Défense », précise le ministre Joseph Beti Assomo.

Cameroon tribune, le quotidien à capitaux publics fait remarquer que la sortie du MINDEF est motivée par le fait que « des masques, des cache-nez estampillés ‘’MINDEF’’ et fabriqués par l’Atelier central de confection de la Réserve logistique des Armées et de la Gendarmerie font florès dehors. Ils sont portés indifféremment par militaires et civils. Les civils qui arborent cet outil de protection se font parfois passer ou sont regardés comme des personnes privilégiées. Et les agressions physiques signalées par le ministre délégué à la présidence chargé de la Défense et dont se sont rendus coupables des individus arborant des masques anti Covid-19 estampillés ‘’MINDEF’’ ou ‘’Gendarmerie’’ sont venues tout gâter ».

Dans son communiqué, le ministre Beti Assomo indique aux civils qui arborent les masques estampillés MINDEF ou Gendarmerie qu’ils violent la loi N°82/19 du 26 novembre 1982. Ladite loi interdit l’achat, la vente, la confection, la distribution, le port ou la détention d’effets et insignes militaires par toute personne physique ou morale non autorisée. Il prévient que les services spécialisés de l’armée sont désormais aux aguets pour les traquer et saisir sans préjudice des poursuites judiciaires.

 

Liliane N.

 

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Le Dr Malachie Manaouda Ministre de la Santé affirme que la courbe de vaccination est satisfaisante.

 

Le ministre de la Santé affirme que pour une protection collective, les populations doivent accepter de se faire vacciner. Le Dr Malachie Manaouda fait savoir qu’il y a déjà 20 010 personnes qui ont été vaccinées, depuis le lancement de l’opération qui a débuté en mi avril dernier.

«A la date du 29 avril 2021, le Cameroun, après 2 semaines de vaccination, affiche 20 010 personnes vaccinées. Si cette progression est satisfaisante, le Gouvernement encourage les populations à solliciter davantage les vaccins dans le cadre d’une protection collective», a tweeté le Dr Malachie Manaouda.

Lire aussi : Joseph Dion NGUTE « Je me suis fait vacciner et j’encourage les camerounais à le faire »

Il convient de noter que les camerounais ne sont toujours pas convaincus dans le bien fondé de se faire vacciner. Au départ, certains comme l’honorable Nourane Foster du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale avait demandé qu’une fois arrivé dans notre pays, que les membres du gouvernement se fassent administrer en premier et en mondo vision le vaccin anti Covid-19. Le ministre de la Santé avait donné le top départ. Par la suite d’autres membres du gouvernement ont aussi pris des doses du vaccin contre le Coronavirus.  

Au cours d’une table-ronde organisée par le ministère de la Santé, des professionnels du domaine ont indiqué que c’est le moyen sûr dans la lutte contre le Coronavirus. D’après le Dr Shalom Ndoula, secrétaire permanent du Programme élargi de vaccination, ce procédé est l’intervention de santé publique la plus efficace, quelles que soient les rumeurs et les on-dit. Pour le Pr. Anne Esther Njom Nlend, professeur de pédiatrie, par ailleurs présidente de l’Association des femmes médecins du Cameroun, il est très important de se faire vacciner.

Lire aussi : Lutte contre le Coronavirus : Voici ce que le gouvernement recommande aux personnes vaccinées

 

Liliane N.

 

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Me Lavoisier Tsapi membre du Social democratic front affirme qu’il a repris vie, 7 heures après avoir pris la première dose du remède de Mgr Samuel Kleda.

 

Présent le 2 mai 2021 sur le plateau du débat dominical d’Equinoxe Tv «Droit de réponse», Me Lavoisier Tsapi du Social democratic front (SDF) a indiqué qu’il a eu à contracter le Coronavirus. Le militant du parti de la balance a fait savoir à l’opinion et à la communauté de téléspectateurs de ce programme, que le remède de Mgr Samuel Kleda Archevêque métropolitain de Douala s’est révélé dans son cas plus efficace que le protocole gouvernemental administré aux malades du Coronavirus.

« J’ai contracté le covid-19. J’ai été sauvé par le remède de Monseigneur Kleda. J’ai pris le protocole de l’Etat, cela n’a rien donné. Je respirais que par la bouche et j’étais à deux doigts de partir. Nous nous sommes battues et on est tombé sur le remède de Mgr Kleda. Ce remède m’a redonné vie 7 heures après la prise de la première dose. Je peux témoigner que le remède de Monseigneur Kleda est un remède puissant qui soigne effectivement le Covid-19, j’en suis témoin vivant », a déclaré Me Lavoisier Tsapi.

Lire aussi : Coronavirus: le témoignage d'une famille sauvée au Centre spécialisé d'Orca

Me Lavoisier Tsapi se dit surpris de voir que les autorités n’aient pas misé sur les remèdes de Mgr Samuel Kleda. Il affirme que les produits du prélat sont mieux que le vaccin anti Covid-19 que le gouvernement propose aux populations.

« J’ai été étonné que le gouvernement n’ai pris aucune disposition pour vulgariser ce médicament en interne même s’il faut s’arrimer aux normes éditées par l’OMS. Nous avons tort de négliger nos forces et nos potentialités. Ce remède est plus puissant que le vaccin qu’on est en train de nous administrer je pense que le gouvernement ferait mieux », a-t-il ajouté.

Lire aussi : Lutte contre le Coronavirus : Voici ce que le gouvernement recommande aux personnes vaccinées 

 

Liliane N.

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La famille Mbida salue le personnel du Centre spécialisé de prise en charge des patients victimes du Coronavirus.

Ils étaient quatre membres d’une même famille affectés par le Coronavirus. Pascale Mbida, Emmanuel Mbida, Renée Mbida et William Mbida ont été tous internés au Centre spécialisé de prise en charge des patients du Coronavirus. Ils en sont sortis vivants et guéris. Ils ont donc de ce fait décidé de dire merci à l’ensemble du personnel en service au Centre spécialisé d’Orca.

Retrouvez ci-dessous le message de la famille Mbida

 

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La député du Parti Camerounais pour la réconciliation nationale Nourane Foster salue le fait que le ministre de la Santé et plusieurs cadres du gouvernement se soient fait administrer le vaccin anti Covid-19, en mondovision.

 

Après avoir vu le Dr Malachie Manaouda le ministre de la Santé recevoir en mondovision sa dose de vaccin chinois Sinopharm qui lutte contre le Coronavirus, Nourane Foster député du Parti Camerounais pour la réconciliation nationale (PCRN) annonce qu’elle pourra aussi se le faire administrer dans les jours qui suivent.

«J'ai suivi avec attention et intérêt le processus de vaccination lancé par le Gouvernement. Comme souhaité par la majorité de nos populations, le Ministre de la Santé et plusieurs Cadres du Gouvernement ont été vaccinés prioritairement et en mondovision. De manière solennelle je pourrai me vacciner dans les jours à venir. Stopcovid19», a-t-elle écrit ce 13 avril 2021 sur sa page Facebook.

Rappelons que depuis le mois de février 2021, l’honorable Nourane Foster a porté le plaidoyer d’une vaccination contre le Coronavirus qui doit débuter par les membres du gouvernement. Dans ses publications antérieures toutes faites sur sa page Facebook, elle refusait que les populations soient prises comme les cobayes dans ladite vaccination.

«Vaccin contre la Covid-19 au Cameroun! Une communication ambigüe du Gouvernement. De toute les façons, les Membres du Gouvernement doivent s'apprêter à prendre ces vaccins en premier et en mondovision. Le peuple ne sera pas cobaye de premier rang. D'où viennent ces vaccins, qui peut prendre le vaccin ? Les effets indésirables ? Les conséquences..etc», avait-elle écrit le 26 février 2021.

Et le 12 mars 2021, elle indiquait à l’opinion qu’elle a eu un échange avec le Pr Louis Richard Njock Secrétaire général du ministère de la Santé publique. Elle avait alors rapporté que l’objet de cet échange avait porté sur le vaccin Astrazeneca. Et elle affirmait avoir réitéré son souhait de voir les membres du Gouvernement recevoir ce vaccin en premier et en mondovision afin de rassurer la population.

Liliane N.

 

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En cas de manifestation post vaccinale indésirable, le gouvernement demande de faire appel au Centre d’écoute et de veille mis sur pied via le numéro 1510 ou par le site internet www.dpml.cm.

 

Ce lundi 12 avril 2021, les camerounais ont commencé à se faire vacciner contre le Coronavirus. Le gouvernement conscient du fait qu’il peut avoir des manifestations post vaccinale indésirables (MAPI), affirme par la plume du ministère de la Santé, avoir créé un Centre d’écoute de veille. Ledit Centre est accessible via le numéro 1510 ou par le site internet www.dpml.cm.

Par ailleurs, le gouvernement encourage les populations à se faire vacciner. Il convient de préciser que le vaccin actuellement disponible au Cameroun est celui produit par le laboratoire chinois Sinopharm. La Chine a offert au Cameroun dans le cadre de leur coopération une cargaison de 200 mille doses qui a été réceptionnée hier 11 avril 2021 par Joseph Dion Ngute le premier ministre.

Le gouvernement rappelle qu’il y a 243 sites dédiés à la vaccination qui ont été créés sur toute l’étendue du territoire. Pour ce jour et demain, la campagne de vaccination sera supervisée par le Dr Malachie Manaouda le ministre de la Santé. Cependant pour ce qui sera des jours suivants et des régions du Littoral et du Sud-Ouest, la supervision de l’opération sera assurée par le gestionnaire national de l‘incident pour la riposte au Covid-19.

Pour ceux des camerounais et des cibles prioritaires intéressés par la vaccination, le gouvernement fait savoir qu’ils peuvent déjà prendre attache avec les Délégations régionales et les Districts de santé les plus proches. Ils pourront donc avoir toutes les informations nécessaires et relatives à la vaccination.

 

Liliane N.

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Sunday, 05 June 2022 11:01