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Ou alors d’un TDR anti - génétique négatif de moins de 24 heures en plus des preuves qu’ils sont bel et bien vaccinés. Telle est la quintessence du communiqué conjoint signé ce Jeudi par le ministère du Sport et de l’Education Civique, la Fédération Camerounaise de Football et la Confédération Camerounaise de Football.

Autres éléments 

 

“ Le football organisé est un levier important d’intégration, de paix et d’unité entre les peuples. Il est aussi un catalyseur d’espoir, un vecteur de valeurs communes et un porteur de joie de vivre qui transcende les difficultés et les différences.

 

Ainsi, malgré le défi supplémentaire que constitue cette pandémie, la  Coupe d’Afrique des Nations doit maintenant se jouer…Son organisation doit évidemment éviter que cette compétition constitue en soi une mise en danger supplémentaire tant de la population résidant au Cameroun que des participants et spectateurs venus d’ailleurs…

 

La Can peut et doit favoriser l’adhésion rigoureuse des participants et sympathisants à l’ensemble des mesures barrières connues et développées à ce jour pour lutter contre lesdits virus: le lavage et la désinfection des mains, la distanciation physique, le port correct du masque et la vaccination”.

 

Par conséquent, 

 

“ Les supporters ne pourront accéder aux stades dans lesquels se joueront les matches de la Can 2021 que s’ils sont entièrement vaccinés et présentent un test PCR négatif de moins de 72 heures ou d’un TDR anti - génétique négatif de moins de 24 heures.  

 

Les autorités sanitaires compétentes prendront toutes les mesures nécessaires pour faciliter la vaccination et la réalisation des tests Covid - 19 sur l’ensemble des sites de la compétition.

Par ailleurs, pour un souci d’objectivité et de neutralité et en vue de garantir les mesures de confiance de part et d’autre, la Confédération Africaine de Football va faire appel à un laboratoire indépendant internationalement reconnu pour tester les joueurs des équipes nationales qualifiées et leur encadrement”.


Nicole Ricci Minyem  

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Selon des sources parlementaires et gouvernementales, Olivier Véran devrait annoncer jeudi après-midi lors de sa conférence de presse,l’élargissement du rappel vaccinal à tous les Français adultes. 

Cette décision visant à faire face à la flambée de l’épidémie de Covid-19 pourrait être appliquée dès les prochaines semaines.

Actuellement, les plus de 65 ans peuvent la recevoir, ainsi que les personnes à risque et les soignants. Les plus de 50 ans y auront accès à partir du 1er décembre et la Haute autorité de santé a recommandé vendredi dernier de l’élargir aussi aux plus de 40 ans. 

Le gouvernement assure avoir les doses nécessaires 

 

L’exécutif aurait donc décidé d’aller encore plus loin que la Haute autorité de santé en l’ouvrant rapidement à tous les adultes. Une mesure déjà envisagée par le Conseil scientifique et le Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale, deux instances consultatives, ces derniers jours.

Selon deux sources parlementaires, le Premier ministre Jean Castex, qui recevait mercredi soir les responsables des groupes parlementaires,  a indiqué que l’exécutif allait proposer de ramener le délai d’écart entre le dernier vaccin et la dose de rappel de six à cinq mois. 

“On a les doses. Mais cela nécessite de réarmer les centres de vaccination, de sensibiliser médecins de ville et pharmaciens pour qu’ils vaccinent », explique une source gouvernementale.

Retour du port du masque au restaurant 

 

La validité du test anti-Covid pour les non-vaccinés voulant profiter du pass sanitaire devrait, lui, passer de 72 heures à 24 heures. Quant au port du masque, il pourrait être rendu obligatoire dans tous les lieux intérieurs où le pass sanitaire est demandé (restaurants, centres commerciaux, lieux de spectacle, musées, etc.). Voire dans quelques lieux extérieurs à forte concentration de personnes comme les marchés de Noël, à la discrétion des préfets.

 

Un renforcement des contrôles du pass sanitaire dans les restaurants, les cinémas et les transports ainsi qu’un renforcement des campagnes de tests de dépistage dans les écoles sont également dans les tuyaux. 

 

En revanche, aucune mesure restrictive de liberté type confinement ou couvre-feu n’est actuellement sur la table. Pour l’exécutif, il s’agit de “ sauver les fêtes de fin d’année”, a souligné mercredi le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal à l’issue du Conseil des ministres et d’un Conseil de défense sanitaire.

 

N.R.M

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Le géant pharmaceutique américain Novavax a déposé ce mercredi une demande d’autorisation «de mise sur le marché conditionnelle» de son vaccin anti-Covid dans l’Union européenne. 

L’Agence européenne des médicaments ( Ema) a précisé dans la foulée qu’un avis pourrait être émis en « quelques semaines ». 

En janvier dernier, les essais cliniques du vaccin contre le Covid-19 en deux doses de Novavax avaient montré une efficacité de 89,3 %, selon l’entreprise de biotechnologie américaine dans un communiqué affichant les résultats des essais de phase 3. 

« NVX-CoV 2373 a le potentiel pour jouer un rôle important dans la résolution de cette crise sanitaire publique mondiale », avait alors affirmé le PDG de l’entreprise Stanley Erck.

A l'époque, la bonne nouvelle avait été contrebalancée par l’annonce conjointe que le vaccin était bien moins efficace face au variant identifié en premier en Afrique du Sud  (60 %), que les scientifiques considèrent comme plus contagieux.

L’entreprise s’était alors lancée immédiatement dans le développement d’un nouveau vaccin ciblant ce variant, précise le communiqué.

A l’inverse des vaccins de Pfizer et Moderna qui utilisent la technologie de l’ARN messager, l’injection du vaccin de Novavax comprend des fragments de coronavirus qui permettent de provoquer une réponse immunitaire du corps humain.

En août dernier, Bruxelles avait annoncé un contrat d’achat anticipé de vaccins avec Novavax. Le 4 août, la Commission européenne avait annoncé avoir conclu un contrat avec la société pharmaceutique américaine Novarax pour l’achat anticipé de 200 millions de doses de son vaccin, une fois qu’il aura été approuvé par l'EMA. 

Dans le cadre de ce contra, les Etats membres devaient pouvoir acheter jusqu’à 100 millions de doses du vaccin Novavax, avec une option pour 100 millions de doses supplémentaires au cours des années 2021, 2022 et 2023, une fois qu’il aura été examiné et approuvé par l’EMA comme étant sûr et efficace. 

Les États membres pourront également faire don de vaccins à des pays à revenu faible ou intermédiaire ou les rediriger vers d’autres pays européens.

 

N.R.M

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Mardi soir, le président français s’est adressé pour la neuvième fois depuis le début de la crise du Covid. Le chef de l’Etat a annoncé une batterie de mesures pour tenter de freiner la nouvelle vague épidémique qui après avoir frappé de nombreux pays européens semble arriver en France.

 

Parmi ces mesures, la plus attendue concerne la campagne de rappel vaccinal, qui a pris beaucoup de retard. Doctolib a toutefois enregistré un pic de rendez-vous vaccinaux pendant l’allocution. Pari réussi pour Emmanuel Macron ?

Quelles nouvelles restrictions ont-elles été annoncées concernant la 3e dose de vaccin ?

Si Emmanuel Macron a d’une part ouvert la vaccination pour une troisième dose aux plus de 50 ans, il a également annoncé certaines sanctions possibles pour ceux à qui ce rappel est déjà ouvert depuis septembre.

En effet, à partir du 15 décembre, les personnes de plus de 65 ans ayant reçu leur dernière dose de vaccin il y a six mois et cinq semaines et qui n’auront pas reçu leur dose de rappel verront leur pass sanitaire désactivé.

Logées à la même enseigne que les personnes non vaccinées, elles devront alors présenter un test de dépistage négatif de moins de 72 heures pour se rendre au cinéma, aller au restaurant ou encore prendre le train.

Combien de personnes sont-elles aujourd’hui concernées par cette future restriction ?

Selon les données publiées par “Santé publique France”, plus de 3,19 millions de Français de plus de 65 ans ont reçu une troisième dose de vaccin au 8 novembre.

Selon Coved Tracker, le chiffre monte à 3,5 millions de personnes ayant reçu une troisième dose, toute population confondue. Or, selon les chiffres du ministère de la Santé du 4 novembre, environ 7,7 millions de français étaient éligibles à cette dose de rappel. En se basant sur ces deux chiffres, cela signifie que seulement 45,4 % des Français éligibles à ce rappel sont allés se faire vacciner.

A noter que le pourcentage varie considérablement selon les tranches d’âge. Santé publique France note ainsi que 37,3 % de la population totale des 75-79 ans ont reçu leur troisième dose, contre 4,4 % pour les 65-68 ans ou encore 34,6 % pour les plus de 80 ans.

L’annonce d’Emmanuel Macron a-t-elle été efficace ?

Il est clair que le discours du président de la République a créé un petit électrochoc chez ceux qui traînaient des pieds pour aller se faire injecter une nouvelle dose de vaccin.

« Près 100.000 rendez-vous pour une dose de rappel ont été pris entre 20 heures et 21 heures, juste après l’allocution d’Emmanuel Macron », nous confirme Doctolib.

« Au total, 149.000 rendez-vous ont été pris pour une dose de rappel dans la journée » du 9 novembre, ajoute la plate-forme qui enregistrait plutôt des moyennes autour des 35.000 rendez-vous journaliers ces trois dernières semaines, avec des pics à 50.000 réservations quotidiennes dans les meilleurs cas.

Selon les graphiques de Doctolib, on peut également remarquer qu’avant même qu’Emmanuel Macron ait pris la parole certains avaient anticipé les annonces et voulu éviter les embouteillages. 96.400 rendez-vous pour une dose de rappel ont ainsi été pris dès le 8 novembre, à la veille du discours.

Est-ce suffisant pour rattraper le retard ?

Ces chiffres sont assez loin du million de réservations qui avaient été effectuées après l’annonce de la mise en place du pass sanitaire cet été par Emmanuel Macron et la campagne vaccinale qui avait suivi.

Mais le nombre de personnes concernées est aussi moindre. Actuellement près de 4,9 millions de personnes de plus de 65 ans éligibles au rappel vaccinal ne l’ont pas reçu.

Ce chiffre augmente progressivement chaque semaine avec de nouvelles personnes dont le dernier vaccin date de plus de six mois. Mais en deux jours, ce sont déjà 245.000 Français qui vont recevoir leur troisième dose de vaccin. Si les prises de rendez-vous poursuivent ce rythme soutenu, la campagne de rappel pourrait bientôt rattraper son retard.

Néanmoins, la menace de perdre la validité de son pass sanitaire risque de ne pas être un levier pour certaines personnes éligibles.

Vendredi dernier, le Premier ministre Jean Castex a en effet assuré que « 1,3 million de plus de 65 ans de nos concitoyens n’ont pas encore reçu de dose » de vaccin. Ces derniers semblent donc déjà très bien s’accommoder d’une vie sans pass sanitaire validé par une vaccination.

 

N.R.M

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A l’issue du Conseil de défense sanitaire ce mercredi matin, Gabriel Attal a appelé à « accélérer la campagne de rappel vaccinal » contre le Covid-19. 

Le porte-parole du gouvernement a évoqué le chiffre de deux millions de troisièmes doses administrées. Un total jugé décevant, sur six millions de concernés, alors que l’idée de conditionner le pass sanitaire au rappel est « une piste qui fait son chemin ». Où en est vraiment l’administration des 3e doses de rappel ? 20 Minutes fait le point.

 

Les chiffres du rappel sont-ils vraiment trop bas ?

 

« Deux millions de personnes déjà doublement vaccinées  qui font leur rappel en un mois et demi, c’est pas mal », juge Michaël Rochoy, médecin généraliste et membre du collectif Du Côté de la Science. 

En réalité, Gabriel Attal a gonflé les chiffres… des éligibles. Parmi les plus de 65 ans et les personnes fragiles, « tout le monde n’est pas vacciné depuis 6 mois », rappelle Michaël Rochoy.

A l’unisson, Marie-Aline Bloch, chercheuse en sciences de gestion à l’École des hautes études en santé publique, avance une estimation à moins de 5 millions d’éligibles. Et même à 6 millions en ce 20 octobre, « il faut le temps de s’organiser » plaide le médecin, qui critique une « déconnexion du réel » de l’exécutif.

 

Quelles sont les limites qui freinent la campagne de rappel ?

 

La fermeture des grands centres de vaccination, où les patients défilaient à la chaîne, a forcément limité le nombre d’injections quotidiennes. Conséquence, la pression retombe sur les généralistes, dont les emplois du temps sont déjà bien chargés, et les pharmacies. 

Michaël Rochoy pointe les difficultés d’approvisionnement et de conservation des doses, alors que le Moderna n’est plus autorisé pour ce rappel.  « Avec la fin du masque à l’école, on a aussi un rebond des maladies chez les enfants, ce qui occupe encore des créneaux », se désole-t-il.

Côté patients, comme l’épidémie s’est calmée, « certaines personnes craignent moins d’être malade ou de le transmettre » selon Marie-Aline Bloch. 

La chercheuse pointe aussi le flou qui a entouré ce rappel pendant plusieurs semaines et une certaine lassitude « pour ceux qui ont pris leurs responsabilités » alors qu’il reste encore des personnes non vaccinées.  

Est-il vraiment urgent d’avancer sur la campagne de rappel ? 

 

« Avec le temps, l’immunité diminue chez les personnes âgées », rappelle Marie-Aline Bloch, entraînant le retour de formes symptomatiques. Mais selon une étude de l’Epi - Phare, l’efficacité du vaccin ne diminue pas sur les formes graves après cinq mois. 

 

Un éventuel retard dans la campagne de rappel ne constitue donc pas « un danger de pression sur le système hospitalier », estime Michaël Rochoy.

 

Pour le médecin généraliste, il faut d’abord « mettre le paquet sur les personnes qui ne sont pas encore vaccinées » et sont plus à risque de contracter le Covid - 19.  

 

L’idée d’envoyer plus de doses vers les pays pauvres, faiblement vaccinés et où de nouveaux variants pourraient plus facilement émerger, est aussi avancée. Mais surtout, la campagne va se poursuivre naturellement avec la vaccination contre la grippe.  

 

« Beaucoup de patients attendaient pour faire les deux en même temps et ont déjà pris rendez-vous » assure le médecin.

 

N.R.M

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Face au nombre quotidien record de décès et de contaminations depuis plusieurs jours, le gouvernement russe a annoncé une première mesure au niveau national pour freiner la vague épidémique. 

« Bien entendu, je soutiens la proposition de déclarer la période du 30 octobre au 7 novembre comme chômée », a déclaré le président russe, Vladimir Poutine, mercredi. 

Cette semaine de congés payés coïncide avec les vacances scolaires russes et seuls les 1, 2 et 3 novembre étaient ouverts, du fait de jours de week-end et de jours fériés.

Le président russe a aussi imploré la population, très récalcitrante, de se faire vacciner. « S’il vous plaît, soyez responsables », a-t-il dit, « il n’y a que deux manières de sortir de cette période (d’épidémie) : soit en tombant malade, soit en se faisant vacciner ». Il a qualifié de « dangereux » le faible taux de vaccination en Russie. 

 

Une période reconductible selon les régions 

 

Vladimir Poutine a aussi appelé à accélérer le dépistage et à renforcer les mesures d’isolement des cas contacts. Le président russe a également donné la possibilité aux régions d’entamer plus tôt, ou de prolonger, la semaine de congé si la situation épidémique le justifie.

 

La Russie est confrontée depuis juin à une vague épidémique, due au variant Delta, qui s’est considérablement aggravée depuis un mois sur fond de vaccination poussive, de restrictions sanitaires inexistantes et de mesures de distanciation et de port du masque peu ou pas respectées.

 

Nombre record de morts en Russie

 

Le nombre de morts et de nouveaux cas de contaminations liées au Covid-19 continue de monter en flèche en Russie. Pour le quatrième jour d’affilée, le pays a enregistré un record de décès quotidiens avec 887 morts lors des dernières 24 heures, selon le bilan publié par le gouvernement. La veille, le pays avait enregistré 867 décès.

Par ailleurs, 24.522 nouvelles infections ont été recensées. Un niveau qui n’avait pas été atteint depuis le 22 juillet. Les cas sont principalement en hausse à Moscou (3.993) et Saint-Pétersbourg (2.281).

 

Seuls 29 % des Russes complètement vaccinés

 

Depuis la mi-juin, la Russie est secouée par une grave quatrième vague du Covid-19 favorisée par le variant Delta. L’épidémie est décuplée par une campagne de vaccination poussive, le refus des autorités d’introduire des mesures sanitaires plus strictes, et le faible respect du port du masque au sein de la population. 

Selon les chiffres du site spécialisé Gogov, seuls 29% des Russes sont actuellement complètement vaccinés, alors qu’il existe quatre vaccins nationaux.

La Russie est le pays le plus meurtri d’Europe avec 208.142 morts, selon les chiffres du gouvernement. Fin juillet, l’institut des statistiques Rosstat, qui possède une définition plus large des morts dues au Covid-19, faisait lui état de plus de 350.000 décès.

 

N.R.M

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Le laboratoire Pfizer proposerait-il des conditions contractuelles des plus drastiques – et discutables – à certains pays intéressés par son vaccin  contre le coronavirus? 

Cette affirmation est relayée par de nombreux internautes, à la faveur d’une intervention vidéo de Michèle Rivasi,le 23 septembre, au sein du « Conseil scientifique indépendant ». Un rendez-vous régulier organisé par le collectif Réinfo Covid, opposé aux vaccins et critique des mesures sanitaires du gouvernement.

« Autre chose que je voudrais vous apprendre : il y a beaucoup de pays africains [et d’Amérique Latine, dont l’Argentine] qui refusent, par exemple, les doses de Pfizer et les doses de Moderna. Pourquoi ? 

[…] Pfizer et Moderna leur disent : "OK, on vous vend les doses, mais à une seule condition : c’est que vous acceptez que si jamais il y a des effets secondaires, c’est votre pays qui va payer les indemnités. Et comme on ne vous fait pas confiance, vous n’avez pas assez de capitaux, on vous demande d’hypothéquer les richesses de votre pays" », affirme la députée européenne dans cette séquence de 2 minutes devenue virale.

Contactée par “20 Minutes” pour en savoir plus sur les pays qui seraient concernés et sur les sources de cette affirmation, l’équipe de Michèle Rivasi cite notamment une enquête de février 2021 réalisée par l’ONG Bureau of investigative journalism.

Celle-ci affirmait, grâce notamment aux témoignages de fonctionnaires locaux, que les négociations contractuelles de Pfizer avec certains pays d’Amérique Latine, dont l’Argentine, relevaient d’une forme de « rançon » au vu des conditions demandées et de l’urgence d’obtenir des doses de vaccin.

« Les négociateurs [de Pfizer] demandaient des indemnités supplémentaires contre toute action individuelle en justice potentielle en cas d’effets indésirables post-vaccination. 

En Argentine et au Brésil, Pfizer a demandé des actifs souverains [en guise de garantie] pour tout futur coût juridique potentiel », détaillait l’article, expliquant ainsi les raisons pour lesquelles ni le Brésil ni l’Argentine n’avaient signé de contrat avec Pfizer à l’époque.

 

« La loi n’est pas compatible avec certaines des exigences contractuelles de Pfizer »

 

Depuis, l’Argentine a misé sur une combinaison de vaccins Spoutnik V et de Moderna ou d’AstraZeneca pour pallier les retards de livraison, comme le rapportait “Courrier international” en août 2021. 

Quelques mois plus tôt, Nicolas Vaquer, directeur de Pfizer Argentine, expliquait aux  députés locaux l’absence d’accord entre l’entreprise et le pays par le fait qu' “aujourd’hui, la loi n’est pas compatible avec certaines des exigences contractuelles de Pfizer”.

Quant aux « pays africains » évoqués par Michèle Rivasi, son équipe cite de nouveau une enquête du Bureau of investigative journalism, datée cette fois d’avril 2021, concernant l’Afrique du Sud. 

L’ONG y soutenait que Pfizer avait tenté de convaincre le gouvernement d’hypothéquer des actifs souverains en guise d’indemnité contre d’éventuelles poursuites judiciaires pour effets indésirables.

Le ministre de la Santé de l’époque, Zweli Mkhize, déplorait à cette occasion des clauses contractuelles « difficiles et parfois déraisonnables », jugeant même la demande sur les actifs souverains « trop risquée ». Depuis, Pfizer a tiré un trait sur ces conditions et livré ses premières doses de vaccin à l’Afrique du Sud en mai dernier.  

 

N.R.M

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De plus, elles sont “des vecteurs de contamination plus dangereuses que toutes celles qui n’ont jamais pris le moindre vaccin”. Alors, si le décès de Jacob Desvarieux a fait grand bruit alors qu’il avait reçu tous les vaccins et devait en principe être à l’abri  de cette pandémie, le reportage fait par nos confrères de Rfi il y a quelques heures vient un peu plus semer le doute dans les esprits

 

Notre confrère laisse entendre que “Le conseil d’état affirme que les personnes vaccinées peuvent être porteuses de virus et contribuer à sa diffusion dans des proportions qui ne sont pas véritablement connues aujourd’hui…

Comme cela se vit depuis un an, on va continuer d’enfermer les gens bien portants et sensés être protégés par le vaccin, en prétextant une contagion invisible ;

Une manière de faire de chaque personne en bonne santé, un danger potentiel tout cela pour maintenir le narratif de la peur et de contrôle…”.

Plus encore, certains médecins biologistes, à l’instar d’un certain “Olivier Verain”, affirment que : “Les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont le plus exposées aux formes graves et au décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin, ou de réinfection post vaccinal ou encore de la virulence d’un variant…”.

Une généticienne, “Alexandra Orion Coude, qui avait déjà donné des alertes sur cette question, en relevant que “ Les personnes vaccinées étaient plus vulnérables face aux ré-infections et aux variants…

Les personnes vaccinées répandent plus de particules virales autour  d’elles quand elles respirent par rapport aux non vaccinées et sont donc plus contagieuses que les autres”.

Ce qui signifie en clair qu’une personne vaccinée, protégée ou pas, continue de diffuser la maladie autour d’elle et qu’elle la diffuse plus qu’une personne saine.

Curiosité

Lorsque cette pandémie est apparue, les Etats, comme c’est encore le cas présentement ont défini des mesures qui devaient être prises afin de protéger les populations de ce tueur silencieux qui, du point de vue de certains médias, des communicateurs et autres organismes des questions de santé pouvait être neutralisé grâce au vaccin.

Un matraquage médiatique est mis en branle depuis belle lurette, afin de convaincre les sceptiques par rapport aux risques qu’ils encourent, en refusant de se plier à la donne mondiale. Alors, que penser de cette autre actualité ? De quelle manière peut-on véritablement se protéger contre le coronavirus et ses multiples variants ? Qu’est ce qui peut expliquer, justifier que des sanctions soient prises à l’encontre les personnes, notamment du personnel médical  qui refuse de se faire vacciner alors qu’il est dit qu’on est libre de le faire ou non. Qu’est ce qui se cache réellement derrière cette histoire de Covid-19 ?

 

Nicole Ricci Minyem

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L’information a été rendue publique ce Jeudi par l’AFP qui s’est appuyé sur des sources officielles ; C’est par le même canal qu’il a été souligné que les pays pauvres sont désavantagés et que rapportées à la population mondiale, 52 doses (premières ou deuxièmes) ont été administrées pour 100 habitants.

Les injections ont légèrement ralenti : ce quatrième milliard a été atteint en 30 jours, alors qu’il n’en avait fallu que 26 pour atteindre le précédent. Les premier et deuxième milliards avaient été atteints respectivement en environ 140 et 40 jours.

Les Emirats mènent la danse

Quatre doses administrées sur dix (1,6 milliard) l’ont été en Chine, l’Inde (451 millions) et les Etats-Unis (343 millions) complétant le podium en valeur absolue. Mais rapporté à la population, parmi les pays de plus d’un million d’habitants, c’est au Proche-Orient que se trouve le champion de la vaccination : les Emirats arabes unis, qui ont administré 168 doses pour 100 habitants, flirtent avec les 70 % de population complètement vaccinée. L’Uruguay et Bahreïn dépassent les 60 %.

Suivent dans le peloton de tête le Qatar, le Chili et le Canada (129 doses pour 100 habitants), Israël (128), Singapour (125), le Royaume-Uni, la Mongolie et le Danemark (124), ainsi que la Belgique (122). Ces pays dépassent plus ou moins largement les 50 % de population complètement vaccinée (entre 52 % et 63 %).

La Chine (111 doses pour 100 habitants), les Etats-Unis (104) et l’Union européenne (103) ne sont pas loin. Les Etats-Unis et l’UE ont complètement immunisé près de la moitié de leur population, tandis que la Chine ne communique pas cette donnée.

Les Etats-Unis calent

Mais les Etats-Unis, dont la campagne avait démarré très fort, vaccinent désormais beaucoup plus lentement. Au cours de la semaine écoulée, le pays n’a injecté des doses qu’à 0,2 % de sa population chaque jour, loin derrière la Chine (1,1 %) et l’UE (0,7 %).

C’est actuellement le Bhoutan qui vaccine le plus vite, injectant des doses à 4,9 % de sa population chaque jour. Comme il l’avait fait pour les premières doses au printemps, le pays vient d’administrer des deuxièmes doses à près de 60 % de sa population en une dizaine de jours. Un rythme observé dans aucun autre pays.

Suivent la Malaisie et le Sri Lanka (1,5 % de leur population chaque jour). En Europe, les pays les plus rapides actuellement sont le Danemark, l’Irlande et la Turquie (1,1 % chacun), devant la Belgique et la France (1 %).

Frémissement dans les pays pauvres

Si la plupart des pays pauvres ont désormais commencé à vacciner, principalement grâce au mécanisme Covax (OMS, alliance Gavi et coalition Cepi), la vaccination anti-Covid reste très inégalitaire : les pays à « revenu élevé » (au sens de la Banque mondiale) ont administré en moyenne 97 doses pour 100 habitants, contre seulement 1,6 dose dans les pays à « faible revenu ».

Les injections dans ces pays ont toutefois frémi récemment, grâce à des dons de doses inutilisées par les pays riches, principalement AstraZeneca/Oxford ou Johnson & Johnson. L’Afrique reste le continent le plus en retard, avec 4,8 doses administrées pour 100 habitants, soit 10 fois moins que la moyenne mondiale (52).

Alors que de nombreux pays riches vaccinent déjà les adolescents, trois pays n’ont toujours pas démarré leur campagne : le Burundi, l’Erythrée et la Corée du Nord. Haïti et la Tanzanie sont les derniers pays en date à avoir commencé à vacciner, respectivement le 16 et le 28 juillet.

 

N.R.M

 

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Les deux principaux vaccins chinois contre le virus Covid-19 font l'objet d'une actualité négative ces derniers temps : une augmentation des infections et même des décès parmi les populations vaccinées avec Sinovac et Sinopharm.

 

Cela suscite des interrogations sur l'efficacité de ces vaccins, même si les experts soulignent qu'ils ont également sauvé de nombreuses vies.

Les deux vaccins sont largement utilisés dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, et les conséquences pourraient donc être énormes.

Mais les craintes sont-elles justifiées ? Et que peuvent faire les gouvernements qui utilisent ces vaccins pour protéger leurs populations ?

Comment fonctionnent les vaccins ?

Les vaccins fabriqués par Sinovac Biotech, société basée à Pékin, et Sinopharm, société d'État, utilisent tous deux des virus inactivés pour déclencher la production d'anticorps qui combattent le coronavirus.

Le virus est tué avant d'être injecté dans le corps des personnes, de sorte qu'il ne peut pas transmettre le Covid-19.

 

Lors d'un vaste essai au Brésil, deux doses du vaccin Sinovac, prises à 14 jours d'intervalle, ont eu une efficacité de 51% contre le Covid-19 symptomatique. Dans les essais menés dans plusieurs pays, les résultats de Sinopharm étaient plus élevés, soit 79 %.

Ces résultats reflètent des conditions d'essai spécifiques, mais même le résultat le plus faible pour Sinovac était suffisamment bon pour recevoir une approbation d'urgence de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

Les vaccins présentent une caractéristique essentielle : ils peuvent être conservés à la température normale d'un réfrigérateur, ce qui facilite leur utilisation dans les pays pauvres qui n'ont pas accès à des installations de stockage spécialisées.

Ensemble, ils sont utilisés dans près de 100 pays d'Asie, d'Amérique du Sud et de certaines régions d'Afrique. L'Égypte et le Maroc ont récemment annoncé qu'ils seraient les premiers pays d'Afrique à commencer à fabriquer ces vaccins.

Airfinity, une société d'analyse de données scientifiques, affirme que 2,9 milliards de doses de Sinovac pourraient être produites cette année - plus de 943 millions ont déjà été livrées.

 

Où les gens tombent-ils malades ?

Le Chili, la Mongolie et les Seychelles figurent parmi les pays où les infections sont en hausse malgré la vaccination de masse au moyen des vaccins chinois.

Le Chili a rétabli un couvre-feu et réimposé des restrictions aux voyages en réponse à la variante Delta, qui est plus transmissible que les variantes précédentes.

Plus de 70 % des Chiliens sont entièrement vaccinés, la plupart avec le vaccin Sinovac.

 Les Seychelles et la Mongolie, quant à elles, ont récemment enregistré l'une des plus fortes augmentations du nombre de cas par habitant, malgré leur faible population.

Ces deux pays comptent beaucoup sur Sinopharm et leurs programmes de vaccination sont avancés : 68 % des adultes sont entièrement vaccinés aux Seychelles et 55 % en Mongolie.

En Indonésie, la principale association de médecins et d'infirmières a déclaré qu'au moins 30 travailleurs de la santé étaient morts alors qu'ils avaient reçu deux doses du vaccin Sinovac.

 

Les vaccins sont-ils donc défaillants ?

Les vaccins ne sont pas le seul facteur à expliquer ce qui se passe dans ces pays.

La principale association de médecins d'Indonésie a déclaré que les comorbidités pouvaient avoir joué un rôle dans le décès des travailleurs de la santé.

Avec seulement 5 % de sa population entièrement vaccinée, le pays est "au bord de la catastrophe", selon la Croix-Rouge, les travailleurs médicaux étant confrontés à de longues journées de travail et à une plus grande exposition au virus.

 Au Chili, certains experts attribuent la recrudescence des cas en avril au fait que les personnes se sont mélangées trop tôt après avoir reçu le vaccin, en particulier après la première dose, qui n'offre qu'une protection partielle.

Les responsables de la Mongolie et des Seychelles soulignent que la plupart des personnes décédées du Covid étaient en soins intensifs ou n'avaient pas été vaccinées.

Les experts soulignent également qu'aucun vaccin n'offre une protection à 100 % : il n'empêchera pas nécessairement chaque individu d'attraper le virus ou de tomber malade s'il le fait.

Le professeur Fiona Russell, du Murdoch's Children Research Institute en Australie, explique à la BBC que la caractéristique la plus importante des vaccins est de prévenir les maladies graves et les décès. À cette fin, tous les vaccins disponibles sont performants, ajoute-t-elle.

 Dans les essais menés au Brésil, Sinovac s'est avéré efficace à 100% contre la maladie grave et les hospitalisations. L'efficacité de Sinopharm était de 79 % contre les hospitalisations.

Le professeur Ben Cowling, responsable de l'épidémiologie et de la biostatique à l'université de Hong Kong, affirme qu'en dépit d'une "efficacité modeste" contre le Covid symptomatique, Sinovac et Sinopharm offrent tous deux "un niveau de protection très élevé" contre la maladie grave.

"Cela signifie que ces vaccins inactivés auraient déjà sauvé beaucoup de vies", dit-il à la BBC.

 

Comment les variants affectent-ils les vaccins ?

Ces études ont toutefois testé les vaccins contre le virus original découvert dans la ville chinoise de Wuhan. Aucune nouvelle donnée n'a été publiée sur leur efficacité contre les variants.

Sur la base d'études tentant de modéliser la protection immunitaire contre le virus, le professeur Cowling estime que la protection offerte par les vaccins à virus inactivé contre le variant Delta pourrait être inférieure de 20 % par rapport à la souche originale.

Ses calculs suggèrent une réduction encore plus importante contre le variant Beta, découvert pour la première fois en Afrique du Sud.

Le professeur Jin Dong-yan, virologue également de l'université de Hong Kong, a déclaré à la BBC qu'il était "attendu" que l'efficacité des vaccins chinois diminue contre les variantes, y compris la variante Delta.

Mais il a déclaré que "Sinovac et Sinopharm sont de bons vaccins" et que les personnes qui n'ont pas accès à des vaccins présentant des résultats d'efficacité plus élevés devraient quand même recevoir leurs injections.

Toutefois, a-t-il ajouté, elles doivent continuer à respecter les règles de distanciation sociale et les autres mesures visant à limiter les infections.

 

Faut-il proposer des injections de rappel ?

De plus en plus, les experts et les gouvernements sont également favorables aux rappels d'un même vaccin ou à la combinaison de deux vaccins différents, même si peu d'études prouvent que cela fonctionne.

Le professeur Jin indique qu'un rappel des vaccins Pfizer ou Moderna pourrait renforcer la protection initiale conférée par une injection de Sinovac et Sinopharm.

En Indonésie, les travailleurs de première ligne recevront un rappel de Moderna après deux vaccins Sinovac, tandis que Bahreïn invite les personnes de plus de 50 ans à recevoir un rappel de Pfizer après deux vaccins Sinopharm.

Les Émirats arabes unis et la Turquie proposent à leurs citoyens une troisième injection de Sinopharm et de Sinovac, respectivement, et la Thaïlande envisage également cette mesure.

Mais le professeur Cowling s'est interrogé sur les avantages d'une troisième injection en Indonésie, où la vaccination en est encore à ses débuts.

"Il faut vraiment bien réfléchir à l'avantage supplémentaire d'une troisième dose par rapport à l'aide que deux doses pourraient apporter à une personne âgée de la communauté qui n'a pas encore eu l'occasion d'être vaccinée", dit-il.

Sinovac Biotech précise qu'elle mène des essais cliniques sur l'efficacité d'une troisième dose et que les résultats sont encourageants, mais insiste sur le fait que deux doses sont suffisantes pour offrir une protection contre le Covid-19.

Le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Wang Wenbi, affirme que les vaccins du pays "ont acquis une bonne réputation dans la communauté internationale, leur sécurité et leur efficacité étant largement reconnues".

 

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01