La 14e édition du concours de la plus belle femme du Cameroun se tiendra le 21 décembre 2019. Une édition qui se veut riche en innovations. L’édition de cette année est placée sous le thème : « Beauté au service de l’excellence du vivre ensemble et de la cohésion sociale ». Main dans la main, le ministère des arts et de la culture et du comité d’organisation du concours Miss Cameroun sont décidés à donner un cachet particulier à cette nouvelle édition.
Grâce à cet encadrement du ministère des arts et de la culture, le COMICA pense pouvoir toucher plus de villes camerounaises. Question de donner la possibilité à toutes les filles du pays d’espérer porter la prestigieuse couronne.
Le programme des présélections prévoit un tour des différentes régions du pays. La caravane de sélection commence par le grand Nord du Cameroun. Adamaoua – Extrême-Nord – Nord à partir du 28 juillet de cette année. Ensuite, la grande région de l’ouest, notamment, le Nord-ouest et l’Ouest du Cameroun le 24 Août. Le Sud prendra le relais le 14 septembre et c’est précisément la ville de Kribi qui accueillera la caravane de sélection. Puis ce sera au grand littoral, comprenant les régions du Littoral et du Sud-ouest, le 05 octobre. Et la dernière étape sera le 26 octobre avec les régions du Centre et de l’Est.
Les critères sont également connus. Les candidates sont de nationalité camerounaise. Elles doivent bénéficier d’une excellente réputation, elles devraient être de bonne moralité et disposer d’un casier judiciaire vierge. Les prétendantes devront surtout être âgée entre 17 et 29 ans, et avoir au minimum 1,68 mètre, et disposer d’une bonne présentation physique et être naturelle. Elles devraient pouvoir s’exprimer dans les deux langues officielles du Cameroun et dans une langue locale.
La cagnotte de cette année sera un peu revue à la hausse. La plus belle fille recevra une enveloppe de 5 millions de Fcfa . en plus de cette belle enveloppe, elle recevra de nombreux cadeaux et un salaire de 150 000 fcfa chaque mois pendant toute l’année de son mandat. De plus elle et sa première dauphine recevront un appartement privé pour la durée du mandat. Un véhicule 4X4 sera mis à sa disposition. Les dauphines de la Miss repartiront avec 3 millions, 2 millions et 1,5 millions de fcfa respectivement. Une cagnotte qui pourra raviver l’intérêt des filles pour cette compétition.
Stéphane NZESSEU
Les championnes d’Afrique en titre ont remis ça. Elles ont été accueillies en grande pompe en fin de matinée à l’aéroport international de Yaoundé Nsimalen.
Aucune mobilisation particulière du ministère des sports autour des lionnes championnes d’Afrique. Mis à part le ministre en personne et quelques membres de sa délégation, pas d’euphorie particulière pour l’accueil des lionnes du volley-ball. Chose curieuse, c’est ce matin, à quelques minutes de l’arrivée des filles de Jean René Akono que le ministère des sports a rendu public un communiqué indiquant aux populations de Yaoundé que les lionnes arrivent et demande qu’un accueil chaleureux leur soit réservé. Tout s’est fait dans la précipitation. Finalement, les lionnes sont revenus comme elles sont parties, sans tambours ni trompettes.
Les lionnes indomptables du volley-ball ont subi toute sorte de frustration de la part du ministre et de son département ministériel durant toute la période de préparation de cette compétition. Le staff administratif des sports et de l’éducation civique était focalisé sur les lions du football, le sport majeur. Plusieurs faits sont égrenés pour illustrer cet abandon. Narcisse Mouelle Kombi n’était pas aux côtés des lionnes à l’occasion du tournoi des éliminatoires des jeux africains 2019 de la zone 4. Alors qu’il devait ouvrir la compétition, il n’est tout simplement pas venu. Le ministre des sports va une fois de plus boycotter la cérémonie de remise du drapeau aux lionnes du volley-ball qui prenaient la route pour le Caire en vue de cette compétition qu’elles viennent de remporter. Pire encore, alors que les lionnes doivent prendre la route pour le Caire, le budget indispensable pour le déplacement n’est pas disponible à temps. Les administrateurs font traîner l’équipe nationale de volley-ball. La menace d’un forfait plane sur l’équipe que conduit la capitaine Christelle NANA. C’est grâce à des âmes de bonne volonté et à l’abnégation du président de la fédération Serge Abouem que les filles vont se retrouver en Egypte pour défendre le titre du Cameroun. Quel calvaire !
Et pourtant, quelques jours avant, le même ministre s’est fait presque humilié par les lions du football qui réclamaient des primes colossales avant d’embarquer pour l’Egypte. Il faudra attendre la victoire en demi-finale face à l’Egypte pour voir apparaître une lettre de félicitation du ministre des sports qui n’a pas jugé bon de rester aux côtés de ces filles alors qu’il a passé des semaines en Egypte squattant les couloirs de l’hôtel des lions du football. Sans primes, sans promesses particulières, elles ont su défendre les couleurs du Cameroun.
Bienvenue les championnes.
Stéphane NZESSEU
La 14e édition du concours de la plus belle femme du Cameroun se tiendra le 21 Juin 2019. Une édition qui se veut riche en innovations. L’édition de cette année est placée sous le thème : « Beauté au service de l’excellence du vivre ensemble et de la cohésion sociale ». Main dans la main, le ministère des arts et de la culture et du comité d’organisation du concours Miss Cameroun sont décidés à donner un cachet particulier à cette nouvelle édition.
Grâce à cet encadrement du ministère des arts et de la culture, le COMICA pense pouvoir toucher plus de villes camerounaises. Question de donner la possibilité à toutes les filles du pays d’espérer porter la prestigieuse couronne.
Le programme des présélections prévoit un tour des différentes régions du pays. La caravane de sélection commence par le grand Nord du Cameroun. Adamaoua – Extrême-Nord – Nord à partir du 28 juillet de cette année. Ensuite, la grande région de l’ouest, notamment, le Nord-ouest et l’Ouest du Cameroun le 24 Août. Le Sud prendra le relais le 14 septembre et c’est précisément la ville de Kribi qui accueillera la caravane de sélection. Puis ce sera au grand littoral, comprenant les régions du Littoral et du Sud-ouest, le 05 octobre. Et la dernière étape sera le 26 octobre avec les régions du Centre et de l’Est.
Les critères sont également connus. Les candidates sont de nationalité camerounaise. Elles doivent bénéficier d’une excellente réputation, elles devraient être de bonne moralité et disposer d’un casier judiciaire vierge. Les prétendantes devront surtout être âgée entre 17 et 29 ans, et avoir au minimum 1,68 mètre, et disposer d’une bonne présentation physique et être naturelle. Elles devraient pouvoir s’exprimer dans les deux langues officielles du Cameroun et dans une langue locale.
La cagnotte de cette année sera un peu revue à la hausse. La plus belle fille recevra une enveloppe de 5 millions de Fcfa . en plus de cette belle enveloppe, elle recevra de nombreux cadeaux et un salaire de 150 000 fcfa chaque mois pendant toute l’année de son mandat. De plus elle et sa première dauphine recevront un appartement privé pour la durée du mandat. Un véhicule 4X4 sera mis à sa disposition. Les dauphines de la Miss repartiront avec 3 millions, 2 millions et 1,5 millions de fcfa respectivement. Une cagnotte qui pourra raviver l’intérêt des filles pour cette compétition.
Stéphane NZESSEU
Qui vous a fait juger des affaires intérieures du Cameroun? Vous devriez faire face aux inondations à Washington DC et permettre au Cameroun de gérer sa crise. Avez-vous déjà vu des parlementaires camerounais aux États-Unis pour une mission d'enquête? Même votre ambassade des États-Unis à Yaoundé sait que l'Amérique est fière d'accueillir des dirigeants des groupes ambazoniens tels qu'Eric Tataw, Tapang Ivo Tanku, Ebenezer, John Mbah, Yannick Sicot, Boh Herbert, Chris Bongam, Patrice Nganang et de nombreux autres migrants camerounais résidant notamment dans le Maryland , parrainant le terrorisme au Cameroun.
Les chefs de ce groupe terroriste collectent des fonds devant le public américain et tiennent des réunions même à proximité de la Maison Blanche. Vous leur vendez des armes à feu AK47 qu'ils utilisent pour tuer des paysans au Cameroun.
Les immigrés camerounais terrorisant le Cameroun depuis les États-Unis, réalisent des vidéos en direct sur Facebook pour semer la terreur dans le cœur de notre peuple et leur priver de la paix. L'Amérique peut-elle jurer qu'elle n'a jamais regardé l'émission en direct sur Facebook dans laquelle Eric Tataw demande aux terroristes de se couper les mains des femmes et des enfants au Cameroun? L'Amérique n'a-t-elle jamais regardé Tapang Ivo Tanku sur Facebook en direct, demandant aux terroristes de casser des ponts et de creuser des routes au Cameroun? Qu'en est-il du soi-disant professeur Patrice Nganang qui fait des déclarations xénophobes ouvertes entre tribus camerounaises d'Amérique?
L'Amérique utilise des Camerounais naturalisés comme Patrice Nganang pour combattre le Cameroun pour des raisons qui leur sont mieux connues. L'Amérique est un paradis pour les immigrants camerounais qui terrorisent le Cameroun, ferment nos écoles, paralysent, gênent les affaires et tuent des enseignants ainsi que des femmes enceintes. L’Amérique est heureuse d’engendrer des terroristes qui ont brûlé presque tous nos marchés et nos écoles publiques, y compris certains hôpitaux. Le Cameroun ne peut JAMAIS accorder la liberté à quiconque menace la paix de l’Amérique depuis le Cameroun, c’est ce que les nations amies devraient se faire les unes aux autres.
L'Amérique jette des pierres sur le Cameroun et cache ses mains. Si l’Amérique n'accueillait pas des terroristes qui organisaient des décapitations et l’enlèvement de personnes pour obtenir une rançon énorme au Cameroun, le terrorisme ambazonien aurait pu être réglé depuis longtemps. L’Amérique est le problème. Vous, Karen Bass, membre du Congrès, avez laissé la cause de la crise anglophone aux États-Unis et venez au Cameroun pour savoir quels faits? Si vous aimez le Cameroun, pourquoi ne pas directement emprisonner les terroristes qui paient pour que des bombes soient posées sur nos routes en provenance d'Amérique? Je vous suggère que l’Amérique a créé et entretient l’ambazonie par l’intermédiaire de ses dirigeants d’anneaux sur lesquels le FBI n’a jamais enquêté. C'est sur la bande vidéo que le plus grand nombre d'ambazoniens vivent en Amérique, où Sisiku Julius Ayuk Tabe a déclaré son indépendance en 2016. Vous connaissez leur drapeau, vous connaissez leur hymne, vous connaissez leur nom, bref vous les connaissez.
En passant, si vous-même Karen Bass s'aventure à Guzang dans la région Nord-Ouest, Chris Anu ordonnera votre enlèvement et votre décapitation, de la même manière qu'ils ont tué D.O Namata Marcel Diteng. Dois-je vous rappeler que Chris Anu vit aux États-Unis et que ses messages haineux et extrémistes sont partout sur YouTube?
Ambazonie n'a aucun cas !
Ils utilisent des armes pour forcer leur opinion sur les autres et faire en sorte que leur revendication de sécession soit populaire dans le monde entier. Si l'ambazonie cesse d'enlever les écoliers, de harceler les parents et les autorités scolaires, les écoles reprendront dans les régions du sud-ouest et du nord-ouest en septembre. Si Ambazonia avait un cas génial, ils n'auraient pas recours aux armes. Ils tuent des soldats, les décapitent, coupent leurs parties du corps et confisquent à des fins rituelles. Mais cette même ambazonie est la première à lancer un génocide devant la communauté internationale. Le point culminant de la stupidité de l'ambazonie est l'enlèvement récent de l'archevêque Cornelius Esua et le deuxième enlèvement de Ni John Fru Ndi, chef du parti de l'opposition SDF, tous deux résidant dans la région du Nord-Ouest du Cameroun. Les terroristes ambazoniens ont frotté l'archevêque dans la boue après l'avoir gardé en captivité pendant 24 heures, sans raison valable. L’homme de Dieu revenait d’une tournée pastorale, c’était le seul crime qu’il avait commis. Ambazonia attaque Dieu, mais les États-Unis voient toujours une raison de protéger leurs chefs de file. Les terroristes ambazoniens ont également kidnappé le président du SDF, l'obligeant pendant 48 heures à ordonner la démission des sénateurs et des parlementaires de son parti. Karen Bass, vous êtes également politicienne et parlementaire, imaginez-vous à la place de Fru Ndi, torturée pour avoir veillé à ce que vos collègues restent au parlement. Est-ce ainsi que les choses se passent en Amérique? Alors pourquoi protéger les chefs de file des groupes terroristes ambazoniens résidant en Amérique? Cela fait 3 ans que nous posons cette même question à l’Amérique, mais aucun des terroristes ambazoniens n’a été arrêté aux États-Unis.
Ambazonia est l’insurrection terroriste la plus dangereuse au monde. Ils sont pires que ISIS et Boko Haram mis ensemble, je prie pour qu'ils frappent bientôt l'Amérique, pour que vous compreniez ce que nous ressentons et de quoi je parle ici. À propos, des terroristes ambazoniens ont commencé à tuer des Américains au Cameroun. Le cas du missionnaire américain abattu avec un dane gun dans le nord-ouest il y a quelques mois est un exemple clair et net. Les terroristes sont des bêtes, ils sont dangereux pour tout le monde, y compris les Américains!
Lorsque l'Amérique a été frappée par Oussama Ben Laden, le Cameroun a partagé sa douleur. Maintenant que cette ambazonie terrorise le Cameroun, les États-Unis préfèrent protéger les terroristes. Comment un groupe terroriste très dangereux, aussi puissant que l’ambazonie, peut-il prétendre être faible et une nation aussi intelligente que l’Amérique doit-elle craquer pour cela? L'ambazonie est le problème au Cameroun, pas notre armée désintéressée pour l'amour du Christ! Ce que nous attendons des États-Unis, c’est qu’ils utilisent leurs renseignements pour identifier et punir tous ceux qui contribuent au gofundme et au varoius pour armer des terroristes au Cameroun. L'Amérique n'a pas besoin de venir au Cameroun pour résoudre notre crise interne, si vous nous aimez, amenez Eric Tataw, Tapang Ivo Tanku, Chris Bongam, John Mbah Akuru, Ebenezar Akwanga, Chris Anu, Patrice Nganang et ses associés. Ils sont tous là avant que votre nez en Amérique, orchestrant la terreur au Cameroun, traitent avec eux avant qu'ils traitent avec l'Amérique.
Frankline Njume
La réunion sur les migrations en Afrique centrale s’ouvre ce lundi à Yaoundé. Cette rencontre organisée par la communauté économique des Etats de l’Afrique centrale CEAC a pour objectif général de contribuer au renforcement de l’intégration régionale en Afrique centrale à travers l’amélioration des capacités de gestion des flux migratoires et cela en perfectionnant les capacités de recherche du secrétariat général de la CEAC dans l’optique d’améliorer la situation des migrations et le renforcement des relations migration-développement.
Contrairement à ce que l’on pourrait croire, il y a un important flux de migration dans les Etats de l’Afrique Centrale. Même s’il faut reconnaitre que ce n’est pas la même chose que le flux des migrations constatées en Afrique de l’ouest. La principale cause des migrations dans les pays de l’Afrique centrale a toujours été les situations sécuritaires précaires dans ces Etats. Les conflits dans divers pays sont à l’origine de millions de déplacés à l’intérieur du pays et même hors desdits Etats. Les rwandais migrants pour le Congo Démocratique, les congolais dans leur pays fuyant les zones de conflits, les camerounais qui vont au Gabon et en Guinée Equatoriale, les centrafricains qui fuient les conflits dans leurs Etats. 80% des migrations sur le continent noir sont intra-africaines.
Les migrations en Afrique Centrale prennent également en compte ceux des citoyens de ces pays qui quittent la sous-région pour l’occident ou pour l’Asie. Seulement, il faut reconnaitre que ces migrations causent un certain nombre de problèmes qu’il faut résorber. Notamment, des pertes relatives aux ressources humaines particulièrement celles hautement qualifiées. Cette « fuite de cerveaux » et bras forts renforcent les inégalités du point de vue développement entre le Cameroun au profit des pays industrialisés à savoir : la France, l’Allemagne, l’Italie et les Etats-Unis principaux pays d’accueil. Des pertes fiscales dues au départ des travailleurs qualifiés. Elles se composent de deux éléments essentiels : les impôts et taxes qu’auraient pu reverser les migrants au trésor public ainsi que la perte du rendement de l’investissement gouvernemental dans le capital humain de ces derniers à travers des subventions liées à l’éducation et la formation. Il convient de mentionner que les subventions allouées par l’Etat sont d’autant plus importantes s’agissant des études supérieures que celles du primaire ou du secondaire. L’on peut donc comprendre l’incidence d’une immigration non maîtrisée sur la croissance et la productivité.
Selon le rapport de l’Ordre des Médecins du Cameroun, en prenant 2009 comme point de départ, 4200 médecins en majorité spécialistes exercent à l’étranger particulièrement en France et 800 au Cameroun. Ce qui signifie que, l’on compte 1 médecin pour 10 000 à 20 000 habitants pour les grandes villes et 1 pour 40 000 à 50 000 habitants pour les zones reculées. Ce même rapport stipule que, en considérant toujours l’année 2009 comme an 0, le Cameroun connaît le départ de 20 000 professionnels de santé (infirmiers et médecins toute spécialité confondue) par an. Il faut stopper l’hémorragie.
Stéphane NZESSEU
La salle des actes de cette mairie a abrité vendredi 12 juillet, la réunion de lancement de la sensibilisation sur la réglementation, la fabrication, l'importation et la commercialisation des emballages plastiques non biodégradables. C'était sous la présidence du Préfet de la Bénoué David Embe qui a invité les maillons de la protection de l'environnement à lutter efficacement contre les effets néfastes des emballages non biodégradables.
La croissance économique, les phénomènes d'urbanisation, et la poussée démographique ont favorisé la montée en puissance de l'utilisation des emballages plastiques au Cameroun. Une situation qui justifie la prise par le gouvernement depuis plusieurs années d'un train de mesures de croisade contre des emballages non biodégradables. La commune de Garoua 3ème qui vient de lancer la sensibilisation, mise sur la contribution des populations à la base. " Nous avons réuni aujourd'hui tous les leaders de la société civile. À travers eux et les conseillers municipaux, nous pensons que les populations auront des bonnes informations afin de mieux les aider à mener la lutte contre les emballages plastiques non biodégradables ", déclare Hamidou Laïmani, maire de la commune de Garoua 3ème.
Ces emballages plastiques qui ont des conséquences sur plusieurs secteurs d'activités notamment l'agriculture et l'élevage peuvent compromettre la santé publique, l'assainissement et le drainage des eaux. Les participants à cette réunion venus des administrations sectorielles du commerce, des douanes, partenaire du ministère de l'environnement, de la protection de la nature, et du développement durable ont sous l'égide du Préfet de la Bénoué David Embe proposé des moyens de substitution des emballages non biodégradables.
Cette réunion de lancement de la sensibilisation tenue à la salle des actes de la commune de Garoua 3ème entre en droite ligne du transfert des compétences aux collectivités territoriales décentralisées en application de l'arrêté conjoint Minepded et Mincommerce du 24 août 2019 portant réglementation de la fabrication, de l'importation, et de la commercialisation des emballages non biodégradables. En marge de la cérémonie, une descente de sensibilisation a été effectuée au marché de Djalingo.
Innocent D H
Le document a été présenté jeudi lors d’un atelier à l’ensemble des personnels du ministère des Travaux publics et des entreprises privées du secteur.
C’est une véritable boussole que le gouvernement, à travers le ministère des Travaux publics (Mintp), met à la disposition de ses personnels et des acteurs de la construction en général au Cameroun. La version provisoire du guide de maturation technique des projets présentés jeudi à Yaoundé met en relief les phases du cycle d’un projet d’infrastructure, à savoir : l’instruction, la formulation et la conception.
D’après Marie Louise Nga Messanga, chef de la cellule des pièces graphiques au Mintp, c’est justement à ce niveau que le bât blesse en ce qui concerne la réalisation des projets d’infrastructures dans notre de pays. En effet, indique Cameroon Tribune, le Cameroun a engagé, depuis quelques années, de nombreux chantiers comme la construction des routes, des bâtiments et d’adduction d’eau. Bien que les plans soient bien ficelés, les financements dégagés, les ressources techniques et financières mobilisées, certains aspects techniques sont traités avec « désinvolture ».
Conséquence, les avenants, le surcoût des projets et le non-respect des délais sont récurrents. Tout ceci pose un problème de maturation des projets étant entendu qu’un projet mature est, d’après Marie Louise Nga Messanga, un projet prêt à être réalisé. En ouvrant l’atelier, Awoh Dang Denis, inspecteur général en charge des questions techniques au Mintp a indiqué qu’il s’agit d’offrir aux intervenants du secteur des travaux publics, un instrument de travail didactique afin de « contenir les délais prolongés de réalisation des études techniques et de maîtriser les problèmes de surcoût et des avenants récurrents ».
Le guide de maturation est un document de 60 pages. Préfacé par Emmanuel Nganou Djoumessi, le ministre des Travaux publics, il est segmenté en deux grandes parties, hors mis les préliminaires et les annexes. Rédigé sur la base du décret de juin 2018 fixant les règles régissant le processus de maturation des projets d’investissement public, il constitue d’après Awoh Dang Denis, un manuel d’initiation à la maturation des projets en fonction des domaines techniques mais aussi un recueil de certains textes et directives.
Otric N.
Le 10 juillet 2019, le Cameroun a intégré le Conseil international consultatif du cajou (CICC), la plateforme panafricaine de promotion et de développement de cette culture de rente.
Modeste producteur d'anacarde, le Cameroun a intégré le 10 juillet 2019 à Abidjan, siège de l’organisation, le Conseil international consultatif du cajou (CICC), la plateforme panafricaine de promotion et de développement de cette culture de rente.
En effet, selon les informations rapportées par notre confrère Jeune Afrique, le Cameroun, représenté par le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Gabriel Mbairobé, avait fait le déplacement à Abidjan, pour parapher les documents de l’adhésion en présence de Souleymane Diarrassouba, le ministre ivoirien du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME.
Dixième membre de cette organisation, le Cameroun est donc le tout premier pays d’Afrique centrale à intégrer le CICC qui rassemble l’ensemble des producteurs africains et représente 60 % des approvisionnements mondiaux, estimés à 1,6 million de tonnes en 2017. La locomotive économique de la Cemac entend ainsi profiter de l’expérience des autres membres pour enraciner la culture de la noix de cajou sur son territoire.
Selon investir au Cameroun, la production de l’anacarde intéresse déjà une grande unité agro-industrielle au Cameroun. Il s’agit de la Sodecoton. Le géant industriel des régions septentrionales du pays entend développer cette culture, non seulement pour procurer une nouvelle source de revenus aux producteurs de coton, mais aussi et surtout pour diversifier les cultures de rente dans cette partie du Cameroun, dans laquelle le coton dicte sa loi.
Mais alors que la production africaine de noix de cajou croît de 5 % annuellement, impactant les cours mondiaux, la Côte d’Ivoire, numéro un mondial de cette culture de rente avec 760 000 tonnes en 2018, traverse une crise marquée par la mévente de sa récolte et la baisse de la qualité.
Danielle Ngono Efondo
Who made you judge over Cameroon's internal affairs? You guys should deal with the flood in Washington DC and allow Cameroon to manage its crisis. Have you ever seen Cameroonian parliamentarians in the USA for a fact finding mission? Even your U.S. Embassy Yaounde knows that you America is a proud host of Ambazonian ring leaders like Eric Tataw, Tapang Ivo Tanku, Ebenezar, John Mbah, Yannick Sicot, Boh Herbert, Chris Bongam, Patrice Nganang and many more Cameroonian immigrants resident especially in Maryland, sponsoring terrorism in Cameroon.
Those terrorist ring leaders raise funds infront of the American public and hold meetings even within the vicinity of the White House. You sell them AK47 guns which they use to kill peasant farmers in Cameroon.
The Cameroonian immigrants terrorising Cameroon from the USA, make live videos on facebook to sow terror in the hearts of our people and take away their peace. Can America swear that they have never watched a facebook live show in which Eric Tataw is instructing terrorists to chop off the hands of women and children in Cameroon? Has America never watched Tapang Ivo Tanku on facebook live, instructing terrorists to break bridges and dig up roads in Cameroon? What about the so-called Professor Patrice Nganang who is making open xenophobic declarations between tribes in Cameroon from America?
America is using naturalised Cameroonians like Patrice Nganang to fight Cameroon for reasons best known to them. America is a safe heaven for Cameroonian immigrants who are terrorising Cameroon, shutting down our schools, crippling, businesses and killing teachers plus pregnant women. America is happy to breed terrorists who have burnt down almost all our markets and public schools including some hospitals. Cameroon can NEVER grant liberty to anyone threatening the peace of America from Cameroon, that is what friendly nations should do to one another.
America is throwing stones on Cameroon and hiding its hands. If America was not hosting terrorists who are masterminding beheadings and the kidnapping of people for huge ransoms in Cameroon, ambazonian terrorism could have long been sorted out. America is the problem, you Congressmember Karen Bass left the cause of the anglophone crisis in America and was coming to Cameroon to find which facts? If you love Cameroon, why don't you directly jail the terrorists who are paying for bombs to be planted on our highways from America? I put it to you that America created and is sustaining ambazonia through its ring leaders whom the FBI has never investigated. It is on tape that the highest number of ambazonians live in America, where Sisiku Julius Ayuk Tabe declared their independence in 2016. You know their flag, you know their anthem, you know their names, in short you know them.
By the way, if even you Karen Bass ventures into Guzang now in the NW Region, Chris Anu will order your abduction and beheading, same way they killed D.O Namata Marcel Diteng. Do I need to remind you that Chris Anu lives in the USA and his hate and extremist messages are all over YouTube?
Ambazonia has no case!
They are using arms to force their opinion on others and make their secession claim popular around the world. If ambazonia stops kidnapping school children, harrassing parents and school authorities, schools will resume in the SW and NW regions fully this September. If ambazonia had a geniune case, they won't resort to the use of arms. They kill soldiers, behead them, chop off their body parts and confiscate for ritual purposes. But that same ambazonia is the first to cry genocide before the international community. The climax of ambazonia's stupidity is the recent abduction of Archbishop Cornelius Esua and the second abduction of Ni John Fru Ndi, leader of the renoun SDF opposition party, both resident in the North West Region of Cameroon. The ambazonian terrorists rubbed the archbishop in mud after keeping him in captivity for 24 hours, for no good reason. The man of God was coming back from a pastoral tour, that was the only crime he committed. Ambazonia is attacking God, but America still sees reason to protect its ring leaders. The ambazonian terrorists equally kidnapped the SDF Chairman, forcing him for 48hours to order the senators and parliamentarians of his party to resign. Karen Bass, you are also a politician and parliamentarian, imagine yourself in the place of Fru Ndi, tortured for ensuring your colleagues remain in parliament. Is that how things are done in America? So why protect the ambazonian terrorist ring leaders resident in America? Its been 3 whole years now that we are asking America this same question, yet none of the ambazonian terrorist has been brought to book in the USA.
Ambazonia is the most dangerous terrorist insurgency existing in the world right now. They are worse than ISIS and Boko Haram put together, I pray they soon hit America, so that you guys understand how we feel and what I am talking about here. By the way, ambazonian terrorist have started killing Americans in Cameroon. The case of the American missionary shot with a dane gun in the NW some months back, is a clean and clear example. Terrorists are beasts, they are dangerous for everyone including Americans!
When America was hit by Osama Bin Ladin, Cameroon shared their pain. Now that ambazonia is terrorising Cameroon, America prefers to protect the terrorists. How can a very dangerous terrorist group as STRONG as ambazonia, pretend to be weak, and a nation as smart as America is falling for that? Ambazonia is the problem in Cameroon, not our selfless military for Christ sake! What we expect from America is that they use their intelligence to identify and punish all those doing gofundme and varoius contributions to arm terrorists in Cameroon. America does not need to come to Cameroon to solve our internal crisis, if you love us, bring the likes of Eric Tataw, Tapang Ivo Tanku Chris Bongam, John Mbah Akuru, Ebenezar Akwanga, Chris Anu, Patrice Nganang and Co to book. They are all there before your nose in America, orchestrating terror in Cameroon, deal with them before they deal with America.
Frankline Njume
La ministre du Développement urbain et de l'Habitat, Celestine Ketcha Courtès, a terminé une visite de travail à Bertoua, région de l'Est, où elle a exprimé sa déception face à l'exclusion des populations locales dans l'exécution du programme de capitale régionale C2D à Bertoua.
L’Etat a débloqué la somme de 70 millions de F Cfa pour subventionner le processus d’intégration des ex-combattants de Boko-Haram dans la région de l’Extrême-Nord.
Le gouvernement camerounais vient de débloquer la somme de 70 millions de FCfa pour la prise en charge des ex-combattants de Boko Haram dans la région de l'Extrême-Nord Cameroun. L’annonce a été faite la semaine dernière par Faï Yengo Francis, le coordonnateur national du Comité national de désarmement, de démobilisation et de réintégration (CNDDR), en visite au centre régional de Maroua. Cet organe a été créée par décret présidentiel du 30 novembre dernier afin d’offrir un cadre d’accueil et de réinsertion sociale aux ex-combattants de la secte islamiste nigériane et aux «groupes armés» des régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, secouées par la crise anglophone depuis octobre 2016. La subvention a été mise à la disposition du secteur numéro 1 de la force multinationale mixte de lutte contre la secte islamiste.
Cependant, cette nouvelle n’a pas fait que des heureux. Selon le trihebdomadaire l'Œil du Sahel, la nouvelle du déblocage de ces fonds a créé des remous au sein de l’armée camerounaise, notamment parmi les militaires de la Force multinationale mixte (FMM) déployée dans l’Extrême-Nord pour combattre le groupe terroriste nigérian. Ces militaires selon ce journal, estiment que le gouvernement réserve un « traitement de faveur » aux ex-combattants, qui « ont massacré beaucoup de personnes et tué également plusieurs hommes en tenue, particulièrement les militaires ». La nouvelle est également mal perçue par la population locale, qui a confié à ce journal, que « le fait de médiatiser cette annonce peut engendrer un soulèvement ».
En mai 2019, le Comité national de désarmement, de démobilisation et de réinsertion (CNDDR) a annoncé que près de 165 combattants ont déposé les armes. Selon cet organe, 109 de ces repentis ont déposé les armes à Mora, localité de l’Extrême-Nord frontalière du Nigeria. Dans la zone anglophone secouée par une crise sécuritaire dite anglophone, 21 séparatistes ont intégré le programme à Bamenda, capitale régionale du Nord-Ouest et bastion de la contestation anglophone, et 35 autres à Buea, chef-lieu de la région du Sud-Ouest.
C’est depuis 2014, que les combattants de Boko Haram sévissent dans la région de l’Extrême-Nord, frontalière du Nigeria. Depuis le début de l’année 2019, plus de 52 personnes ont été tuées dans plusieurs attaques dans cette région, malgré l’intervention de la Force multinationale mixte (FMM) déployée dans l’Extrême-Nord pour combattre le groupe terroriste nigérian.
Marie MGUE
Les deux équipes se sont qualifiées ce dimanche pour la finale, à l’issue des demi-finales de la 32e édition de la Can 2019 qui se déroule en Egypte.
Le successeur du Cameroun champion d’Afrique en tire, sera le Sénégal ou l’Algérie. Ces deux sélections ont décroché dimanche 14 juillet 2019, leur ticket de qualification pour l’ultime duel de la 32e édition de la Coupe d’Afrique des nations (Can) qui a démarré le 21 juin 2019 en Egypte. C’est sur un coup de chance, que les Sénégalais se sont hissés en finale en éliminant la Tunisie (1-0). Au cours d’un match où chaque équipe a raté un pénalty, les Lions de la Téranga ont sur un coup-franc tiré par Saivet, bénéficié d’une erreur du tunisien Bronn, qui a marqué contre son camp à la 101e min.
Après 17 années, les hommes d’Aliou Cissé joueront pour la seconde fois de l’histoire la finale de la Can. Ils tenteront de faire oublier l’édition 2002 où ils avaient perdu face au Cameroun, contre l’Algérie, l’un des gros morceaux de cette compétition. Logés dans la même poule en phase de groupes, les Fennecs avaient battu les Lions de la Téranga sur un score de 2-0. « C’est pour moi une fierté d’arriver en finale, 17 ans après notre dernière finale de la Can. A force de persévérance et de dur travail, nous sommes récompensés. Je remercie mon collègue Alain Giresse qui m’a légué le groupe il y a cinq ans et cette qualification est le fruit également du travail qu’il avait effectué au Sénégal avant mon arrivée. Ce fut un match sous pression, un match incroyable qui restera certainement dans les annales du football africain », a relevé le sélectionneur sénégalais au terme du duel.
L’Adversaire du Sénégal en finale, l’Algérie, a été plus fort que les Nigérians, trois fois champions d’Afrique dans la deuxième demi-finale de la journée au stade international du Caire. Les Fennecs ont obtenu leur qualification à l’ultime minute du duel. Après une partie disputée, Riyad Mahrez a délivré tout un peuple par un coup franc décisif (2-1) qui a propulsé les Algériens en finale, 29 ans après le titre obtenu 1990. « Nous sommes fiers et heureux d’avoir remporté cette partie. Nous savons que le peuple est derrière nous à fond et nous voulons tout leur donner. Je pense que c’est le but le plus important pour moi en sélection. C’est mon rêve de remporter la CAN et il nous reste un match. Nous allons bien nous reposer parce que ce sera une autre bataille contre le Sénégal que nous avons déjà rencontré dans ce tournoi », se réjouit Riyad Mahrez, buteur et homme du match de ce duel.
Les Super Eagles, absents de la dernière édition en 2017, ont été désillusionnés et devront se battre contre la Tunisie, pour décrocher la troisième place du tournoi. « Je crois que ce fut un match très disputé. L’Algérie a dominé la première partie et nous sommes revenus au cours de la deuxième période mais, l’adversaire a su faire la différence dans les dernières minutes. C’est une victoire méritée de l’Algérie », affirme, Gernot Rohr, sélectionneur du Nigeria.
Le match de classement se déroulera le 17 juillet prochain, tandis que la finale est prévue le 19 juillet au Caire.
Marie MGUE
Les Lionnes indomptables ont battu en finale le Kenya et ont conservé le titre de champion d’Afrique au terme de la 12e édition du Championnat d’Afrique de volleyball féminin ce dimanche en Egypte.
Comme en 2017, les Lionnes Indomptables du volleyball du Cameroun se sont hissées au sommet du volleyball africain. Les camerounaises ont une fois de plus dominé les Kenyanes lors de la finale de la 19e édition du Championnat d’Afrique des Nations de volleyball féminin qui a débuté en Egypte le 9 juillet 2019. Les Camerounaises se sont imposées sur un score de 3 sets à 2 (25 (1) 17 ; 25 (2) 27 ; 25 (3) 23 ; 23 (4) 25 ; 16 (5) 14) ce dimanche 14 juillet 2019 devant une formation kenyane qui les a battu à la phase de poule de cette édition.
Les pouliches de Jean René Akono ont neutralisé leur adversaire dès le premier set. Mais les Kenyanes plus fortes mentalement, ont gagné le deuxième set avant de s’incliner à la troisième manche. Très difficile, le quatrième set va tourner à l’avantage des Kenyanes (25-23). C’est finalement au bout d’un tie-break interminable que les Lionnes Indomptables ont remporté le trophée en battant les Kenyanes, neuf fois championnes d’Afrique (16-14). Une victoire méritée pour la sélection nationale senior de volleyball dames, qui décroche ainsi son deuxième titre consécutif dans la compétition.
Avant ce succès en finale, les Lionnes Indomptables ont réalisé une bonne entame dans ce tournoi organisé par l’Egypte. Christelle Nana et ses coéquipières ont battu le Botswana sur le score de 3 sets à 0 (25-12, 25-17, 25-10) lors de leur première sortie. Elles se sont ensuite défaites de l’Algérie sur le même score (25-21, 25-5, 26-24). Lors de leur troisième journée, les Camerounaises se sont inclinées devant le Kenya 2 sets à 3 (25-18, 25-16, 25-27, 28-30, 11-15) après avoir remportées les deux premiers sets de la partie. Après une journée de repos, les protégées de Jean René Akono se sont bien reprises en éliminant le pays hôte, l’Egypte samedi dernier en demi-finale sur le score de 3 sets à 0 (25-23, 25-21, 25-18).
En plus du titre continental, trois camerounaises ont obtenu des distinctions honorifiques individuelles. Il s’agit de la capitaine des Lionnes, Christelle Nana, élue meilleure réception, Raïssa Nasser qui a obtenu le titre du meilleure Libéro et Crescence Moma, qui a reçu le prix de la meilleure attaquante et meilleure joueuse de la compétition. Les Lionnes seront de retour ce lundi 15 juillet 2029 via l’aéroport international de Yaoundé-Nsimalen aux environs de 11 heures.
Championnat national de Volleyball féminin 2019 / Classement final :
1-Cameroun
2-Kenya
3- Sénégal
4-Egypte
5- Algérie
6- Maroc
7- Botswana
Marie MGUE
Reconnu coupable de nombreuses filouteries, la Commission d’Ethique de la Fédération camerounaise de football, a suspendu à vie l’ancien président de la Fecafoot, Tombi A Roko, de toute activité relative au football.
C’est au terme d’une procédure disciplinaire que la Commission d’Ethique de l’instance qu’a dirigée Tombi à Roko de 2015 à 2017 (Fécafoot), a décidé de son sort. En effet, la commission d’éthique l’a reconnu coupable de plusieurs malversations financières, notamment la mise à disposition de fonds aux personnels et à certains individus sans justificatifs, l’octroi d’avantages aux membres de son comité, ou encore le non-remboursement de crédits, a-t-on appris des médias locaux.
l’ancien président de la Fecafoot est aussi pointé du doigt dans les projets de constructions de stades dans quatre localités au Cameroun (Bafia, Sangmelima, Bangangté et Bamenda), et est accusé de conflit d’intérêts et d’avoir transformé un don de 6.000 ballons offerts par l’ancien équipementier allemand Puma en commande de ballons pour un montant de 79 millions de francs CFA (plus de 120.000 euros).
En plus de la suspension à vie de toute activité liée au football, Tombi A Roko Sidiki écope également d’une amende de 10 millions de francs CFA. Celle-ci doit être réglée dans un délai de 6 mois à compter du 1er juillet 2019. Il pourrait également faire l’objet de poursuite judiciaire devant les juridictions de Droit commun, car la Commission en a donné quitus à l’actuel président de la fédération, Seidou Mbombo Njoya.
Notons aussi que d’autres anciens responsables de la Fécafoot sont également visés par les mêmes sanctions. Il s’agit de : Gilles Abega Nguini, qui écope de 5 ans de suspension, outre une amende de 10 millions de FCFA.
Mbida Mbida Faustin Blaise, coupable d’avoir bénéficié d’un crédit scolaire de 5 millions encore non remboursé(…) est suspendu pour deux ans et devra payer une amende d’un million FCFA pour réparation.
Abousalam Mahaman : coupable de manquements graves aux dispositions du code d’éthique de la Fécafoot. Il est suspendu pour cinq ans et doit payer une amende de deux millions de Fcfa.
Ayagma Hector, reconnu coupable pour manquements graves aux dispositions du code d’éthique de la Fécafoot relatives à la justification de dépenses par une facture sans preuve de livraison, d’un montant de deux millions de Fcfa. Il est de ce fait suspendu de toute activité relative au football pour une durée d’un an et doit payer une amende de deux millions de Fcfa.
Danielle Ngono Efondo