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Rigobert Song Bahanag n’exclut pas la possibilité de retenir dans la sélection des Lions indomptables, 1 ou 2 joueurs locaux.

 

Le match Lions indomptables vs joueurs locaux a satisfait le coach Rigobert Song Bahanag. Ledit match qui a eu lieu le 4 juin 2022, s’est naturellement soldé avec la victoire des Lions. Ils ont marqué 4 buts contre 1. Ignatius Ganago, Oyongo Bitolo et Vincent Aboubakar ont tous marqué sur penalty. Le troisième but est celui de CSC de Zemba. Joseph Apam est le buteur pour les locaux. Pour le coach Rigobert Song Bahanag, il y a lieu d’être satisfait et envisager une bonne suite pour un ou deux joueurs du championnat local.

« Vous avez vu ils n’ont pas été ridicules. Ce n’est pas le résultat le plus important mais la manière avec laquelle ils se sont comportés. Il y’a 1 ou 2 joueurs qui vont compléter l’effectif qui se déplacera pour le 9 juin. Je ne pourrai pas appeler tout le monde non plus par rapport au match qui se jouera dans quelques jours. Je vais voir avec mon staff quelles sont les personnes qui pourront nous accompagner. On ne les prend pas pour les faire plaisir mais c’est un signe de motivation pour les faire rêver », a-t-il déclaré.

Après ce match, les Lions indomptables vont se rendre à Dar es Salaam en Tanzanie pour affronter le Burundi lors de la deuxième journée des éliminations de la CAN 2023. Il faut noter que le Cameroun était censé affronter le Kenya pour la première journée de qualification pour la CAN 2023, cependant son match a été annulé du fait de la disqualification de son adversaire.

 

Liliane N.

Avec 440 cas de choléra enregistrés entre avril et mai 2022 et 8 décès, cette structure hospitalière non étatique est l’un des épicentres de la lutte contre l’épidémie. 

 

Selon le constat fait le 03 juin 2022, cette formation sanitaire ne compte désormais plus que 14 patients. Tous sont dans un état désormais stable et sont internés dans un espace aménagé pour la prise en charge des personnes atteintes de cette maladie.

Etienne Richard, directeur de l'hôpital Saint Jean de Malte de Njombe, indique qu’entre les mois d’avril et de mai 2022, cette structure a accueilli jusqu'à 36 patients par jour. Une situation qui a amené le staff managérial à recruter une dizaine de personnel en dépit de fortes tensions de trésorerie.

L’une des recrues munie d’un mégaphone, avait pour mission de se balader dans l’enceinte de l’hôpital, afin de sensibiliser les usagers sur la pandémie du choléra. D’ailleurs, l’on remarque que les affiches sur les mesures à adopter pour éviter de se faire contaminer tapissent encore les murs des différentes unités médicales.

Toutes ces actions ont été présentées au Ministre de la Santé publique il y a quelques jours, à l’occasion de sa visite de travail à l’hôpital Saint Jean de Malte de Njombe.

Le Dr. Manaouda Malachie a profité de cette occasion, pour demander à ses proches collaborateurs d’examiner les éventuelles possibilités d’accompagner cette Fosa, dans la lutte contre cette maladie ainsi que dans le relèvement de son plateau technique.

Au préalable, le Minsanté et sa délégation ont fait le tour de cette infrastructure sanitaire, qui a bénéficié d’un financement du Contrat-Désendettement-Développement (C2D), pour la réhabilitation de certains services dont le laboratoire, la médecine générale, la néonatalogie…

Au service de laboratoire coordonné par Atefack Paulin, l’on apprend que chaque mois, près de 1600 malades sont reçus, 4500 examens réalisés et, fait rare, 120 donneurs de sang.

Au service des urgences, le Dr. Ndjiwo fait savoir que cette unité de soins est dotée depuis peu d’une salle de dégagement (pour préparer les patients avant l’intervention au bloc), d’une salle de déchoquage.

Présenté par Etienne Richard - Directeur de l'hôpital Saint Jean de Malte de Njombe comme le service le plus sollicité, les urgences ont reçu une moyenne de 30 accidentés de la route entre les mois d’avril et de mai.

Parvenu au bloc opératoire, on découvre deux salles en pleine rénovation avec sciatiques installés, autant que des circuits de fluides et une climatisation centrale opérationnelle.

L’hôpital enregistre en moyenne 1000 naissances par an et est doté d’une maternité munie de plusieurs salles d’accouchement, de même qu'une dizaine de couveuses et autant de berceaux.

Après sa visite, Manaouda Malachie - ministre de la Santé Publique a félicité l’équipe dirigeante pour la qualité des soins et services offerts aux populations. Il a également promis de se pencher sur le besoin en ressources humaines exprimé en fonction des spécialités définies. 

 

N.R.M

Le président de la République Paul Biya a respectivement nommé Recteurs de l’université de Bertoua, d’Ebolowa et de Garoua, le Pr ETOUA Remy Magloire Dieudonné, le Pr ÉTOA ETOA Jean Bosco et le Pr Bakari Oumarou.

Le 3 juin 2022, le président Paul Biya a signé un décret portant nomination des premiers responsables des universités d'Etat de Bertoua, Ebolowa et Garoua nouvellement créées. Les premiers recteurs desdites universités sont donc le Pr Remy Magloire Dieudonné Etoua pour ce qui est de l’institution universitaire de Bertoua, le Pr Jean Bosco Étoa Etoa pour Ébolowa et le Pr Bakari Oumarou  pour celle de Garoua.

Pour parler en bref de ces Recteurs des universités d’Etat de Bertoua, d’Ebolowa et de Garoua, il faut savoir qu’en ce qui concerne le Pr Remy Magloire Etoua, c’est un mathématicien qui a soutenu une thèse à l’Université de Montréal au Canada. Avant sa nomination, il était le Directeur de l’École nationale supérieure polytechnique de Yaoundé (ENSPY). Il fut aussi sous-directeur de la diplomation et de l’authentification au ministère de l’Enseignement supérieur (Minesup).

S’agissant de Jean Bosco Etoa Etoa, le premier recteur de l’université d’Ebolowa, région du Sud, c’est un maître de conférences. L’universitaire a étudié la programmation mathématique à l’université Paris VI-Pierre et Marie Curie, en France. Il commence sa carrière comme enseignant à la faculté des sciences économiques et de gestion de l’université de Yaoundé II-Soa.

Avant d’être nommé Recteur, il était conseiller technique et chef de la division de l’éducation, de l’enseignement et de la recherche dans les services du Premier ministre. Il avait en charge l’analyse et le suivi de l’application de la politique du gouvernement dans les domaines de l’éducation de base, des enseignements secondaires, de la formation professionnelle de l’enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l’innovation.

Liliane N.

 

 

 

La dame devait régler une facture de 1 million 250 FCFA.

Grâce à l’intervention du ministre de la Santé le Dr Malachie Manaouda, dame Awawou a retrouvé la liberté et a pu sortir de l’hôpital Laquintinie de Douala où elle était retenue avec ses triplés depuis 4 mois. Dame Awawou se trouvait dans l’incapacité de payer la facture d’1 million 250FCFA après avoir donné naissance à ses triplés. L’affaire ayant été rendue publique par le confrère Le Tgv de l’info et relayée par certains médias en ligne, le ministre de la Santé a décidé de voler au secours de cette compatriote, qui a regagné son domicile.

«Il a pris en charge la facture et a ordonné la libération de la dame et ses enfants. Choses qui a été faite illico presto. Contrairement à ce que la dame et son époux m'ont fait savoir, le Directeur de l'hôpital Laquintinie avec qui nous a échangé de façon conviviale nous a fait savoir que l'hôpital Laquintinie lui a accordé un forfait de 50%, malheureusement sans suite et que le ministre de la santé publique le Dr MANAOUDA MALACHIE a pris en  charge le paiement des 50%...Un geste du ministre de la santé publique MANAOUDA MALACHIE  à saluer même si les services sociaux dans les hôpitaux publics doivent être effectif», peut-on lire dans la publication de Le Tgv de l’info.

Pour la petite histoire, Dame Awawou est âgée de 32 ans. Elle est vendeuse de tomate au marché central de Douala. Et c’est le 22 février 2022 qu’elle a donné naissance  prématurément à 3 bébés. Son époux et père des triplés, Habilou Mounde est chauffeur de profession, selon ses déclarations. Avec l’arrivée de leurs enfants, le couple a épuisé ses économies. A bout de souffle, le couple s’est retrouvé dans la situation indélicate dans laquelle, il est sorti grâce à l’intervention du ministre Manaouda.

Liliane N.  

Les autorités nigérianes ont confirmé une attaque perpétrée pendant l’office du 5 juin 2022 à l’église catholique Saint François de la ville d’Owo, dans le Sud-Ouest du pays.

 

L’église Saint François dans l’Etat d’Ondo au Nigeria a été prise pour cible par des hommes armés ce dimanche 5 juin 2022. Des assaillants ont fait irruption pendant la messe et ont ouvert le feu.

Selon la porte-parole de la police de l'État d’Ondo, Funmilayo Ibukun Odunlami, ils étaient munis d'armes à feu et d'explosifs. Des témoins ont rapporté avoir entendu la détonation d’un engin explosif avant les coups de feu à l’intérieur de l’église.

« Il est encore tôt pour dire exactement combien de personnes ont été tuées. Mais de nombreux fidèles ont perdu la vie tandis que d'autres ont été blessés dans l'attaque », a déclaré Funmilayo Ibukun Odunlami qui a égalment fait savoir qu’une enquête a été ouverte. Un médecin d'un hôpital d'Owo a déclaré à l'agence de presse Reuters qu'au moins 50 cadavres ont été transportés dans deux hôpitaux de la ville.

Aucun groupe n’a revendiqué cette attaque dont les motivations restent inconnues. Cependant plusieurs pointent le doigt vers les terroristes dits de Fulani.

« Quoi qu'il arrive, ce pays ne cédera jamais aux gens malfaisants et méchants, et les ténèbres ne vaincront jamais la lumière. Le Nigeria finira par gagner », a déclaré le président Muhammadu Buhari, ajoutant que « seuls les démons de la région voisine ont pu concevoir et commettre un acte aussi odieux ».

« Le Pape a appris l'attaque (survenue) à l'église d'Ondo, au Nigeria, et la mort de dizaines de fidèles, dont de nombreux enfants, pendant la célébration de la Pentecôte… Alors que les détails de l'incident sont en train d'être clarifiés, le Pape François prie pour les victimes et pour le pays, douloureusement affectés lors d'un moment de célébration, et les confie au Seigneur, afin qu'il envoie son Esprit pour les consoler », a indiqué le service de presse du Vatican dans un communiqué.

L'armée nigériane est déployée sur de nombreux fronts pour tenter d'enrayer l'insécurité dans le pays. Une insurrection jihadiste fait rage depuis 12 ans dans le nord-est, les gangs de pilleurs et de kidnappeurs terrorisent le nord-ouest et centre, tandis que le sud-est est le théâtre de mouvements séparatistes.

Bien que rares dans le Sud-Ouest du pays, les attaques contre les églises sont fréquentes au Nigeria. En août 2020, des hommes armés ont lancé un assaut contre le Lion of Judah Church, une église située dans le village d’Azikoro, dans la région du gouvernement local de Yenagoa, dans l’État de Bayelsa. Au cours de leur incursion, les assaillants avaient tué quatre membres de l’église, incendié un bâtiment voisin et saccagé un véhicule.

Six civils maliens et deux Casques bleus égyptiens de la mission de l'ONU au Mali ont été tués jeudi et vendredi dans l'explosion de deux engins improvisés distincts dans le centre du pays, a-t-on appris de sources locales et onusiennes.

 

Une charrette de retour du marché a sauté sur une mine près de Waya jeudi, ont indiqué vendredi un responsable militaire et deux édiles locaux qui s'exprimaient sous couvert d'anonymat pour leur sécurité, étant donné la forte présence jihadiste dans le secteur.

Cinq civils ont trouvé la mort jeudi et un sixième a succombé à ses blessures vendredi, selon ces mêmes sources.

Vendredi, deux soldats de la Minusma ont été tués et un troisième blessé par l'explosion d'un autre engin artisanal près de Douentza (centre), sur l'axe conduisant à Tombouctou (nord), a indiqué le porte-parole de la mission Olivier Salgado sur les réseaux sociaux.

Les soldats faisaient partie du contingent égyptien de la Minusma, a indiqué un responsable sécuritaire.

Le Conseil de sécurité de l'ONU a "condamné dans les termes les plus forts" cette "attaque", dans un communiqué. Ses membres ont exhorté les autorités à enquêter et traduire en justice les auteurs de cet acte, qui "peut constituer un crime de guerre sous la juridiction internationale".

Ce sont les deuxième et troisième Casques bleus tués en trois jours. Un soldat jordanien a succombé à une attaque à l'arme légère et au lance-roquettes contre le convoi dans lequel il se trouvait mercredi à Kidal (nord).

Avec plus de 12.000 soldats déployés dans ce pays plongé dans la tourmente depuis le déclenchement d'insurrections jihadiste et indépendantiste en 2012, la Minusma est la mission de l'ONU la plus dangereuse au monde. Depuis sa création en 2013, 174 de ses Casques bleus ont trouvé la mort dans des actes hostiles.

Les engins explosifs improvisés (EEI) sont l'arme de prédilection des jihadistes contre la Minusma ainsi que les forces maliennes. Ils tuent aussi régulièrement de nombreux civils.

Sept Casques bleus togolais dans un convoi logistique ont été tués par l'explosion d'un tel engin en décembre 2021 entre Douentza et Sévaré.

"Extrême dévouement" des Casques bleus

Vendredi, les casques bleus se trouvaient dans une escorte d'une douzaine de véhicules onusiens qui accompagnaient un convoi de camions civils transportant du carburant, a précisé M. Salgado.

Une mine a explosé au passage du convoi, a rapporté M. Salgado. De tels convois peuvent s'étirer sur des kilomètres.

Ce type de mine peut sauter au contact d'une roue ou être actionné à distance.

"Une semaine dure, très dure pour nous. On ne dira jamais assez la difficulté de notre tâche et l'extrême dévouement de nos Casques bleus", a tweeté le chef de la Minusma El-Ghassim Wane.

C'est la sixième attaque contre un convoi de l'ONU depuis le 22 mai, a dit à New York Stéphane Dujarric, porte-parole du secrétaire général Antonio Guterres. Ce dernier "condamne cette nouvelle attaque", a-t-il dit.

"En dépit de ces circonstances difficiles (...) nos collègues poursuivent leur travail conformément à leur mandat" délivré par le Conseil de sécurité, a-t-il déclaré, citant la participation de la Minusma à la récente restauration de deux ponts détruits par des attaques dans la même région.

Le centre du Mali est l'un des principaux foyers des violences qui ensanglantent le Sahel. Parties du nord, ces violences se sont étendues au centre ainsi qu'au Burkina Faso et au Niger voisins. Elles ont fait des milliers de morts civils et combattants et des centaines de milliers de déplacés.

Deux rapports rendus publics cette semaine, l'un du secrétaire général de l'ONU, l'autre de la division des droits de l'Homme de la Minusma, s'alarment d'une intensification des violences dans le centre et le nord.

 

C’est ce dimanche que le président Russe a prévenu que Moscou frapperait de nouvelles cibles si les Occidentaux fournissent des missiles de longue portée à l'Ukraine, jugeant que les livraisons actuelles d'armes visaient à “prolonger le conflit”.

 

Si des missiles de longue portée sont livrés à l'Ukraine, “alors nous tirerons les conclusions appropriées et utiliserons nos armes (...) pour frapper des sites que nous n'avons pas visés jusqu'à présent”, a déclaré Vladimir Poutine, selon les extraits d'une interview à paraître ce dimanche soir sur la chaîne de télévision Rossiya-1. Le chef de l'État russe n'a pas défini la portée à partir de laquelle Moscou réagirait, ni précisé quelles cibles pourraient être visées.

Moscou dit avoir détruit des blindés par des pays d’Europe de l’Est 

La Russie a affirmé avoir détruit dimanche des blindés fournis à l'Ukraine par des pays d'Europe de l'Est dans des frappes aériennes sur Kiev, les premières depuis plusieurs semaines.

“Des missiles de haute précision et de longue portée tirés par les forces aérospatiales russes sur la banlieue de Kiev ont détruit des chars T-72 fournis par des pays d'Europe de l'Est et d'autres blindés qui se trouvaient dans des hangars”, a déclaré le porte-parole du ministère russe de la Défense, Igor Konachenkov. 

Des “explosions” ont secoué Kiev dimanche matin, a affirmé son maire Vitali Klitschko dans un message sur Telegram.

“Plusieurs explosions dans les quartiers de Darnytsky et Dniprovsky de la ville. Les services sont en train d'éteindre” le feu, a écrit l'édile de la capitale ukrainienne.

“L'agresseur continue de lancer des missiles et de mener des frappes aériennes sur les infrastructures militaires et civiles de notre pays, en particulier à Kiev”, a écrit l'état-major de l'armée ukrainienne sur sa page Facebook.

La capitale, autour de laquelle l'étau russe s'est desserré fin mars début avril, avait été notamment frappée le 28 avril, le jour de la visite du secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres.

Selon le président ukrainien Volodymyr Zelensky, “cinq missiles” s'étaient alors abattus sur Kiev. Des alertes aux raids aériens ont résonné dans de nombreuses autres villes du pays dans la nuit de samedi à dimanche.

Poursuivant son action de plaidoyer et d’accompagnement pour l’enseignement de ces notions dans les écoles de Statistiques, l’Entité des Nations Unies pour l'Égalité des Sexes et l’Autonomisation des Femmes (ONU Femmes) a apporté une expertise en dispensant le cours intitulé : “Statistiques de Genre : Concepts, Approches et  Méthodes” aux étudiants de cinquième année de l’Institut Sous-régional de Statistique et  d’Economie Appliquée (ISSEA).

 

Cet enseignement fait suite à une requête émise par cette institution qui a sollicité l’expertise de ONU Femmes pour l’opérationnalisation de ce cours, récemment introduit dans son programme de formation. 

Le Bureau ONU Femmes du Cameroun a désigné Waffo Ulrich Inespéré, Expert en Statistiques de Genre et ODD à ONU Femmes, pour l’accompagnement technique. Ce dernier a, dans son approche, veillé à l’interactivité des échanges et encouragé les étudiants à s’intéresser à ce nouveau domaine d’étude dans leurs recherches et travaux futurs.

Il est important de rappeler que l’introduction du cours sur les statistiques de genre dans l’unité d’enseignement “Statistiques  Sectorielles” à l’ISSEA à partir de l’année académique 2021/2022 est l’aboutissement d’un plaidoyer initié par ONU Femmes depuis 2019, dans le cadre de son projet “Making Every Woman and Girl Count”, dont l’objectif est de renforcer le système statistique camerounais pour une meilleure production et utilisation des statistiques de genre.

Elle témoigne aussi de la volonté du top management de l’ISSEA de moderniser le parcours de formation en son sein, en l’arrimant aux thématiques innovantes et pertinentes dans le cadre de la réalisation des Objectifs de Développement Durable.

Parmi les recommandations formulées à l’issue de l’atelier, l’on peut noter celle dans laquelle les participants sollicitent leur intégration au sein du programme “Women Count”,  à travers des stages académiques. 

 

N.R.M

Des terroristes en pleine débandade qui, touchés par une compassion aussi providentielle que foudroyante, décident d’abandonner armes, bagages et otages, afin de mieux passer par les portes étroites du salut. 

 

Entre tragédie et comédie, ainsi se termine la captivité de la Sénatrice Elizabeth Regina Mundi, enlevée et gardée comme otage quelques jours auparavant par une bande de brigands nourrissant des prétentions sécessionnistes.

L’heureux dénouement de cette scabreuse affaire qui aura tenu l’opinion en émoi, met une fois de plus en lumière, la redoutable efficacité de la synergie qui existe entre la Nation et ses Forces de Défense et de Sécurité, l’une et l’autre se prêtant mutuellement assistance dans les chantiers d’intérêt général, notre sécurité en particulier.

La force de ladite synergie est telle que sur la base du quotidien, des malfaiteurs isolés ou en bandes sont dénoncés aux forces de maintien de l’ordre, les mots d’ordre de désobéissance ne sont plus suivis, et même les menaces brandies par les terroristes ne parviennent plus à perturber l’activité sociale dans les régions où ces hors-la-loi projettent d’instaurer un climat d’insécurité.

Les seuls à ne pas s’apercevoir de ce regain du réflexe patriotique, sont les impénitents de la mystification numérique, eux qui se seront imaginés à la tête d’un proto-État créé de toutes pièces depuis un smartphone, avec une masse négligeable d’aliénés moraux, psychotiques et d’attardés intellectuels qui se verront affublés d’une nationalité, une histoire et une cosmogonie tout aussi imaginées.

L’épais voile de promesses chimériques s’étant dissipé à l’épreuve de la réalité des violences indiscriminées, sont apparus au grand jour, l’hypocrisie, la cupidité et le travestissement des prosélytes de la néo-féodalité corporatiste, impitoyables vampires qui font fortune sur nos infortunes.

Désormais, plus aucune empathie, plus aucune sympathie pour ces artisans de nos malheurs, plus aucun refuge ni aucune provision pour ces bâtisseurs de ruines.L’imposture séparatiste a fait son temps, et beaucoup de mal, hélas !Maintenant, extirpons-la définitivement de notre environnement !

 

Capitaine de Vaisseau

ATONFACK GUEMO

Chef de Division de la Communication - MINDEF

Selon le Chef d’Etat sénégalais Macky Sall, le président Vladimir Poutine a exprimé sa disponibilité à faciliter l’exportation des céréales ukrainiennes.

C’est l’une des audiences qui était très attendue par les africains. L’audience du Chef d’Etat sénégalais Macky Sall par ailleurs président en exercice de l’Union africaine à lui accordée par le président russe Vladimir Poutine. La rencontre entre les deux Chefs d’Etat a eu lieu hier 3 juin 2022 à Sotchi. Il aura été question de discuter sur les exportations des céréales. Le fait étant que l’Afrique subit les effets du conflit ukraino-russe.

Le président de l'Union africaine Macky Sall, a déclaré à son homologue russe qu'il devrait tenir compte de l'impact que les pénuries alimentaires, causées par le conflit ukrainien ont sur le continent, rapporte l'agence de presse AFP. L'AFP cite le président Sall lui disant que le président Vladimir Poutine devrait "prendre conscience que nos pays, même s'ils sont loin du théâtre [d'action], sont victimes sur le plan économique" du conflit. Il a ajouté que les approvisionnements alimentaires devraient être "en dehors" des sanctions de l'Occident contre la Russie. Au terme de l’audience, il a indiqué que le président Poutine a plutôt été disposé à faciliter les exportations des céréales.

«Je remercie le Président Poutine pour son aimable accueil et pour notre entretien convivial en compagnie du Président Moussa Faki Mahamat, président de la Commission de l’Union africaine. Le Président Poutine nous a exprimé sa disponibilité à faciliter l’exportation des céréales ukrainiennes. La Russie est prête à assurer l’exportation de son blé et de son engrais. J’appelle tous les partenaires à lever les sanctions sur le blé et l’engrais », a écrit le président Macky Sall sur son compte Twitter.

Liliane N.

 

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01