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Après le sacre du Zimbabwe dans la compétition masculine au début de l’été, place aux dames. La COSAFA regroupe 12 nations dont 2 invités pour l’édition 2018 de la Coupe des nations féminine du Conseil des Associations de Football d’Afrique Australe. C’est l’Afrique du Sud qui abrite le tournoi du 12 au 22 septembre à Port Elizabeth. Zambie, Zimbabwe, Botswana, Lesotho, Madagascar, Malawi, Mozambique, Namibie, Swaziland, et les invités Cameroun (Afrique centrale) et Ouganda (Afrique de l’est) sont les autres pays participants."Dans le cadre de la préparation de la prochaine CAN, le Cameroun est invité à prendre part au tournoi amical de football féminin du Conseil des Associations de Football d’Afrique Australe (COSAFA) 2018. Ledit tournoi se déroulera du 12 au 22/09 au Nelson Mandela Bay Municipality." — Fecafoot-Officiel (@FecafootOfficie) 27 août 2018 Tous à l’assaut des Banyana Banyana, détentrices du trophée après le succès 2-1 sur le Zimbabwe l’année dernière.
Selon l’organisation des Nations Unies (ONU), il n’y a pas de « génocide anglophone » dans les régions du Nord-ouest et du Sud-ouest secouées depuis octobre 2016, par des revendications sociopolitiques qui ont débouché sur des affrontements entre séparatistes et armée régulière. A la suite des nombreuses exactions attribuées à l’armée les séparatistes ont accusé les forces loyalistes de « génocide » des anglophones. Ces accusations viennent d’être démenties par l’attachée de l’ONU basée au Cameroun qui a félicité cette semaine le gouvernement Biya pour son plan humanitaire en faveur des populations du Nord-ouest et du Sud-ouest, « ce plan confirme la reconnaissance de la situation humanitaire par le gouvernement et sa responsabilité d’assurer le bien-être et la protection des populations touchées », fait savoir le diplomate onusien.La guerre contre les séparatistes armésLes autorités camerounaises l’ont toujours clamé, « l’armée ne tue pas les civils. Les forces de l’ordre et de sécurité ripostent aux attaques des sécessionnistes armés qui commettent des exactions contre les civils. Elle a l’obligation de préserver l’intégrité du territoire national », a récemment expliqué Issa Tchiroma Bakary, le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement. La position de la communauté internationale, qui a décidé de ne pas se ranger aux côtés des séparatistes qui privent les élèves et enseignants d’école, intervient dans un contexte où le Cameroun prépare l’élection présidentielle prévue le 7 octobre 2018. Les choses sont donc désormais bien claires, aussi bien pour les Etats-Unis que l’ONU, il s’agit des terroristes armés qui affrontent les forces loyalistes dans les régions du Nord-ouest et du Sud-ouest et commettent des exactions sur les civils. Les séparatistes ont commis plusieurs erreurs d’abord la publication d’images des soldats tués et décapités sur internet, le rançonnement des populations, l’incendie des bâtiments administratifs et la chasse à l’homme contre les élèves et enseignants qui défiaient leurs mots d’ ordre. Ensuite les leaders séparatistes ou leurs soutiens dont l’écrivain et activiste camerounais patrice Nganang, se sont illustrés par la diffusion de la haine sur internet et l’appel au meurtre des soldats de l’ethnie Beti-Bulu proche du président Paul Biya. Ces erreurs visiblement leur ont été fatales.
Le président du Conseil électoral d’Election Cameroon (Elecam) l’a assuré au cours de la session de plein droit de l’organe vendredi dernier à Yaoundé.
Pour le scrutin du 7 octobre prochain, les bureaux de vote seront bien installés dans les casernes militaires. Une affirmation du Conseil électoral d’Elecam qui vient trancher sur le débat en cours actuellement au Cameroun. Les partis de l’opposition ont réclamé la suppression de ces bureaux de vote sous le prétexte qu’ils ne sont pas «ouverts au public». Le SDF a même initié une marche de protestation qui a été interdite par un sous-préfet à Douala. A Elecam, l’organe en charge de l’organisation, on est formel: «Ce n’est pas une innovation au Cameroun. Les bureaux de vote sont mis à la disposition des électeurs. Il y a des casernes dans lesquelles résident certaines familles civiles. Nous ne sommes pas dans les pays où les casernes militaires sont éloignées des habitations. C’est une réalité au Cameroun, nous vivons avec les populations voisines des casernes», assure Enow Abrams Egbe, président du Conseil électoral. Le second argument brandi par ce dernier, lors de la session de plein droit vendredi dernier, et relayé par La Nouvelle Expression du lundi 27 août 2018, est les mesures de sécurité. «Dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, nous avions des problèmes à cause de la concentration des postes de police. Toutes les parties sont désormais unanimes sur le fait qu’en raison des problèmes de sécurité, les bureaux de vote doivent être situés dans les postes de police. Pour la protection des hommes et des biens», a-t-il fait savoir. Ainsi, pour le Conseil électoral, tout débat autour des lieux des bureaux de vote est vain. Même s’il promet de faire des efforts pour les rendre accessibles. «Pour qu’il n’y ait pas de discutions inutiles avec les acteurs du processus, nous avons décidé que ces bureaux de vote seront mis à un point accessible à tout le monde. Ce qui est important c’est l’accessibilité des bureaux de vote. Nous avons donc à faire à des endroits suggérés par le Code électoral. Il s’agit d’un faux débat. N’oubliez pas que dans les bureaux de vote tous les partis politiques sont représentés. Je ne vois pas où se trouve le problème du vote dans les casernes», s’agace Enow Abrams Egbe.
La somme emportée est le fruit des quêtes, des cotisations des communautés chrétiennes. Une enquête est en cour.
Le 16 août dernier, des malfrats armés ont fait irruption à l’économat de l’évêché de Ngaoundéré entre 12h et 13h. Ils ont tenu en respect le personnel qui était en pause à cette heure de la journée et ont intimé l’ordre à la caissière principale de leur remettre tous les fonds disponibles. C’est apeurée que cette dernière a obéît sans opposer de résistance. «C’était comme dans les films. Ils sont allés vers la caisse, la suite on la connaît. Les malfrats sont repartis avec 10.900.000 FCFA. Il s’agit de l’argent destiné pour les travaux et la paie du personnel», raconte une source proche du diocèse de Ngaoundéré dans les colonnes de Repères du lundi 27 août 2018. Après le braquage, apprend-on, les hors la loi sont repartis sans inquiétude. C’est environ 30 minutes plus tard que les éléments de l’équipe spéciale d’intervention rapide (Esir) de la police débarquent sur les lieux. Le gang de braqueurs c’était déjà évaporé dans la nature. Approché par nos confrères de Repères, l’Evêque du diocèse de Ngaoundéré, Emmanuel Abbo confirme le braquage. «Une enquête a été ouverte par la police. Nous ne savons pas ce qui s’est passé. Seuls les éléments de l’enquête permettront de faire la lumière sur ce vol». Depuis jeudi dernier, la caissière et un agent d’entretien qui a vécu la scène sont entre les mains de la police pour besoin d’enquête. Selon une source proche de l’enquête, la jeune dame est considérée comme suspect dans ce braquage. D’autres employés du Diocèse de Ngaoundéré ont été aussi entendus par les enquêteurs de la police.
Le meilleur footballeur africain du siècle dernier vole au secours des nouveaux sélectionneurs des Lions Indomptables. Roger Milla estime les deux néerlandais nommés récemment sur le banc de touche de l’équipe fanion du Cameroun sont de «très grands professionnels».
La nomination, le 4 août dernier de Clarence Seedorf et de Patrick Kluivert, respectivement comme sélectionneur et sélectionneur adjoint des Lions Indomptable, a tôt fait de susciter la polémique au sein du public sportif camerounais. Mais plus encore la première sélection de ce duo dévoilée le 20 août 2018 dans laquelle ne figurent pas Benjamin Moukandjo, capitaine de l’équipe, et Christian Bassogog, meilleur joueur de la CAN 2018. Si les deux «sorciers noirs» ont justifié leurs choix du mieux qu’ils pouvaient, Roger Milla, lui, est formel: «se sont de très grands professionnels». Et c’est sur cette base qu’ils ont été choisis. «Il ne faut pas les mêler dans les affaires du quartier ou que les managers et autres personnes extérieures à la tanière appellent pour dire qu’il faut convoquer leur personne. Je condamne cela», a-t-il fait savoir dans une interview accordée à La Nouvelle Expression du lundi 27 août 2018. Le «vieux lion» pense également que les joueurs devraient intégrer l’équipe nationale par mérite. «C’est celui qui mérite sur le terrain dans son championnat qui doit faire partie de l’équipe nationale du Cameroun. On ne doit pas y faire entrer n’importe quel individu», argue-t-il. Pour Roger Milla, Clarence Seedorf et Patrick Kluivert doivent résider au Cameroun, «parce que c’est qu’ils vont entraîner». «Il faut qu’ils viennent s’installer au Cameroun pendant deux, trois ou quatre mois et faire le tour pour chercher des joueurs». Interrogé sur le retour en sélection des «bannis», l’ambassadeur itinérant estime que la porte ne doit pas leur être fermée. «Si dans leurs club aujourd’hui ils sont en forme et qu’ils jouent, il faut aller vers eux. Ils ont claqué la porte parce qu’il y avait du désordre. Je leur avais donné raison. Quand il y désordre, ce n’est pas la peine. Maintenant que les choses sont en train de vouloir changer, il faut aller vers eux».
Dans la matinée de ce mardi 28 août, l’école publique Ntam Kba III a été brûlée dans la ville de Kumba dans le Sud-Ouest du pays. Tout porte à croire que cet acte terroriste aurait été perpétré par des terroristes sécessionnistes « ambazoniens ». Un bilan désastreux avec plusieurs salles de classe inutilisables. La toiture, quant à elle, est totalement détruite. De ce fait, l’école ne pourra pas ouvrir à temps pour la rentrée scolaire prévue le 3 septembre.  [video width="640" height="352" mp4="http://agencecamerounpresse.com/wp-content/uploads/2018/08/WhatsApp-Video-2018-08-28-at-10.37.19.mp4"][/video]

Les populations riveraines du barrage hydroélectrique « Grand Eweng » (1 800 MW), d’un coût d’investissement de 1 500 milliards FCFA et dont les travaux de construction démarrent en 2020 dénoncent le manque de transparence des initiateurs du projet et une procédure d’expropriation frauduleuse en cours.

Pour les populations de l’ensemble des 29 villages, de l’arrondissement de Dibang traversé de plein fouet par le gigantesque projet, ces manquements ouvriraient la voie à la violation de leurs droits.Droits lésésA lire le manifeste adressé au président Biya, l’ambitieux projet hydroélectrique, qui sera le 4e plus grand barrage d’Afrique, charrie des frustrations et pourraient déboucher sur un nouveau front de mécontentements populaires et de soulèvements. « Nous ne sommes pas contre le développement du Cameroun. Mais ce que nous reprochons à ce projet, c’est d’une part le manque de transparence sur les documents et informations. Les populations ignorent en effet tout de la transaction secrète entre Hydromine et le gouvernement », déclare Pierre Minkeng, « Mbombog » entendez, gardien des traditions. Il ajoute, « ce projet est apparu comme une génération spontanée. Il ne respecte aucune règlementation tant locale qu’internationale. Figurez-vous que l’arrêté le déclarant d’utilité publique, n’a jamais fait l’objet de publication pourtant selon la loi il y a une procédure à suivre ». Le gardien de la tradition reproche aux autorités chargées de l’exécution du projet de vouloir faire main basse sur les indemnisations des populations. « Certains fonctionnaires véreux tentent de négocier avec les populations. Ces pauvres gens qui vivent de pêche traditionnelle dont les terres vont être expropriées n’ont même pas de site de recasement. Ces autorités essaient de faire main basse sur les indemnisations. Nous avons écrit au président. Nous attendons sa réaction. S’il nous laisse dans le flou, nous ne laisserons pas ce projet se réaliser. Nous sommes prêts à sortir les machettes », promet le gardien de la tradition. A Dibang, l’arrondissement (475 km), dans le département du Nyong-et-Kellé région du Centre, la rue gronde.Un projet gigantesqueLe projet hydroélectrique « Grand Eweng », sera réalisé par Hydromine. L’énergie sera disponible en 2025. Les autorités annoncent un important barrage hydroélectrique parmi les plus grands d’Afrique qui permettra au pays de vendre l’électricité à ses voisins d’Afrique centrale et de l’ouest, dont le Nigeria, et bien d’autres. En effet, le projet « Grand Eweng » comportera un barrage de type BCR (béton compacté au rouleau) d’environ 95 mètres de haut et 1,9 km de long. Il sera doté d’un réservoir d’une capacité de 2 milliards m3 d’eau d’une superficie de 104 km2. L’usine hydroélectrique aura une capacité de 1800 MW (Mégawatts). Il prévoit également la construction et l’exploitation des lignes hautes tensions d’une capacité de 400 KV (kilovolts). Il sera le plus important projet de l’histoire du Cameroun et plus grand projet privé en Afrique dans le secteur hydroélectrique.
Une proposition de code de conduite en période électorale a été élaborée la semaine dernière au terme d’une plateforme de concertation qui s’est tenue à l’Assemblée nationale.Un atelier de haut niveau de formation des leaders politiques et autres acteurs impliqués dans le processus électoral s’est tenu du 23 au 24 août à l’Assemblée nationale du Cameroun. Les travaux se sont déroulés sous le thème : « L’utilisation des réseaux sociaux et la sincérité de la communication politique en contexte électoral ». Cet atelier a été organisé grâce à un partenariat entre l’Ecole citoyenne et politique de Yaoundé (Ecpy) et l’Institut international pour la démocratie et l’assistance électorale (IDEA International). Au terme de deux journées d’échanges sur le comportement des internautes sur les réseaux sociaux, un projet de code de bonne conduite sur les médias sociaux a été adopté. Les recommandations provisoires proposées au cours de cet atelier ont pour objectif principal de réguler l’usage des réseaux sociaux au Cameroun en contexte électoral, à quelques semaines de la présidentielle du 07 octobre prochain. Le code de bonne conduite sur les médias sociaux tel que reformulé et adopté par l’Assemblée nationale ou par le gouvernement est attendu avant le début officiel de la campagne électorale. Le conseil électoral, les partis politiques et leurs candidats, les médias et tous les autres internautes seront soumis à un règlement sur toutes les plateformes numériques. Entre autres recommandations, on note : « l’obligation de signer ses publications, le respect de la vie privée des candidats, l’engagement à citer ses sources, à éviter les plagiats et les publications de haine ». Maurice Engueleguele, représentant de IDEA, au cours de son intervention, a également insisté sur la période d’embargo électoral, période au cours de laquelle tous les acteurs cessent de parler des élections « pour laisser les électeurs se décider sans être influencés ». Dans ce code, un accent est également mis sur l’éducation des usagers et les sanctions réservées aux médias sociaux en cas de non-respect de ses dispositions. Ce projet a été confié aux autorités compétentes qui vont décider de son statut final. Le projet final pourra être contraignant c’est-à-dire comportant des sanctions autres que celles prévues par la loi.
L’alerte a été donnée aux environs de 7h du matin par un éleveur de porcs qui cherchait de la nourriture pour ses animaux.La tête d’un enfant âgé de neuf ans environ a été retrouvée ce matin dans une poubelle au quartier Éleveur, dans l’arrondissement de Yaoundé Vème. La population dudit quartier était dans l’émoi à la suite de cette découverte macabre. « Il y a un homme qui fouille les poubelles chaque matin pour nourrir ses porcs. C’est lui qui a fait la découverte ce matin. Les enfants qui venaient verser les ordures ont alors répandu la nouvelle en faisant appel à leurs parents », raconte un témoin qui a vécu la scène.« On ne sait pas d’où vient l’enfant ni comment il a fait pour se retrouver là, encore moins où est le reste du corps. Mais une chose est sûre c’est que c’est arrivé-là cette nuit, puisque je n’ai pas vu ça quand je fouillais hier », explique l’éleveur qui a fait la découverte. Le bac à ordures dans lequel la tête a été posée se trouve sur la route de Soa. En quelques minutes, l’attroupement des populations venues vivre la scène a rendu la circulation difficile. Le sous-préfet, le préfet et les forces de maintien de l’ordre ont été alertés et sont descendus sur les lieux, accompagnés d’un médecin légiste. Le constat a été fait sous le regard interrogateur des populations.  Au moment où les autorités emportaient la tête, personne n’avait identifié l’enfant. La scène continue d’alimenter les commentaires dans le quartier. Les habitants craignent que cet enfant ait été décapité et que l’on retrouve les autres parties à d’autres endroits de la ville de Yaoundé. Cet événement survient à la veille de la rentrée scolaire et les parents craignent qu’il s’agisse de crimes rituels.
Dans le cadre de la préparation de la prochaine Coupe d’Afrique des Nations, le Cameroun est invité à prendre part au tournoi amical de football féminin du Conseil des Associations de Football d’Afrique Australe (COSAFA) 2018.
Dix jours pour célébrer le football fémininDu 12 au 22 septembre ! Retenez bien la date car durant ces 10 jours, la partie sud de l’Afrique vibrera au rythme du football féminin. En effet, la COSAFA tiendra la 6e édition de la COSAFAWomen’s Championship 2018. Cet évènement phare se déroulera à Port Elizabeth, ville d’Afrique du Sud située dans la province du Cap-Oriental. Elle permettra notamment aux dames de s’exprimer et de faire montre de leur potentiel balle au pied. Pour l’heure, le tirage au sort n’a pas encore désigné les formations qui s’affronteront au premier tour. Mais nous avons toutefois une certaine idée des formations qui y prendront part. L’Afrique du Sud, championne en titre et hôte du tournoi sera bien évidemment de la partie. Les Banyana Banyana comme on les surnomme tenteront de tout mettre en œuvre afin de conserver leur titre. Tout le continent aura donc les yeux rivés sur ce qui se passe dans cette partie de l’Afrique. Il est bon de noter que le football féminin a pris de l’ampleur partout dans le monde ces dernières années. L’Afrique n’est pas en reste et propose d’ailleurs ce genre de tournoi pour permettre aux filles de vivre leur passion. Les joutes se dérouleront dans deux enceintes, à savoir le Wilfson Stadium, d’une capacité de 10,000 places et les Gelvandale Stadium. La Zambie s’alignera également à cette compétition de plus en plus prisée tout comme le Zimbabwe, les Zèbres du Botswana, le Lesotho, Madagascar, le Malawi, le Mozambique, la Namibie et le Swaziland. Ce n’est pas tout puisque l’organisation s’attend à voir deux autres nations y prendre part. Ces derniers n’ont pas encore répondu à l’invitation lancée par la COSAFA et devrait le faire sous peu. Au total 12 formations prendront part à ce championnat. Le tirage au sort aura lieu le mercredi 29 août et les 12 formations seront réparties dans trois poules constituées chacune de quatre équipes. Les trois pays qui termineront premier de leur groupe accéderont en finale et seront rejoints par le meilleur second de l’ensemble des trois poules. Un petit résumé permet de voir que la première édition de la COSAFA Women’s Championship a eu lieu en 2002 au Zimbabwe et a vu l’Afrique du Sud l’emporter. Les Sud-Africaines restent d’ailleurs candidates à leur propre succession. Elles comptent au total quatre victoires dans la COSAFA (2002, 2006, 2008 and 2017).
Source : Camfoot
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Sunday, 05 June 2022 11:01