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Actuellement suspendus de leurs fonctions par la hiérarchie de l’entreprises, les mis en cause ont été sommé de rembourser intégralement la somme extorquée sous peine de sanctions disciplinaires.
Les nommés Edzoe Toulou Eugène Emygde, matricule 101188 et Tchana Mbatcham Clément Blaise, matricule 100843, deux employés de la Cameroon Telecommunications (Camtel) sont actuellement suspendus de leurs fonctions. Les deux hommes occupaient respectivement les postes de chauffeur et de chef de centre d’exploitation des systèmes d’information et des réseaux IP à la représentation régionale de Camtel dans la région de l’Est. Ils sont soupçonnés «d’arnaque de la clientèle» et «d’extorsion des fonds» d’un montant de 2.920.000 FCFA à l’Evêque du Diocèse de Doumé-Abong-Mbang le 20 juillet 2018. D’après Le Messager du lundi 27 août 2018, les deux mis en cause n’ont pas pu se justifier face à l’accusation. Toute chose qui a poussé  la hiérarchie de l’entreprise à signer, le 21 août 2018, deux notes de suspension provisoire à leur encontre. Selon le journal, cette suspension court sans préjudices des autres actions disciplinaires qui pourraient être engagées à leur encontre jusqu’à la production des documents justifiant le remboursement intégral de la somme extorquée et actuellement réclamée par Mgr Jan Ozga, Evêque du Diocèse de Doumé-Abong-Mbang. Au cas où cette somme d’argent ne sera pas remboursée après cette mise en débet, d’autres sanctions pourraient venir de la direction générale de Camtel. Notamment licenciement ou des poursuites judiciaires contre ces employés. Les missions régulièrement assignées à ces employés de terrain de Camtel se résument le plus souvent à l’étude, l’installation, l’exploitation et l’entretien des infrastructures nécessaires à la fourniture des services de télécommunication ainsi que la connexion des réseaux nationaux aux réseaux étrangers. Malheureusement, certains employés profitent de l’ignorance des usagers pour leur extorquer d’énormes sommes d’argent en contre partie de leurs services.
Les populations des localités sinistrées de Gakle et Katouala ont reçu jeudi dernier le don du couple présidentiel.Le don du couple présidentiel est composé des matelas, des denrées alimentaires notamment riz, mil, huile végétale, des boîtes de sardine. Il y a aussi les produits ménagers à l’instar des savons et une enveloppe financière. Cet appui du Chef de l’Etat et de son épouse a été remis à 187 familles sinistrées par le ministre de l’Administration territoriale Paul Atanga Nji. Prenant part à la cérémonie de remise de ces dons qui s’est déroulée à l’esplanade de l’école publique de Gakle, le maire de la commune Hamadou Idou a tenu à remercier le couple présidentiel pour le geste. Et il a souhaité que le Chef de l’Etat vienne lancer sa campagne électorale à Maroua dans la région de l’Extrême-Nord. Rappelons que dans la nuit du 24 au 25 juillet 2018 cette région a connu des pluies diluviennes. Celles-ci ont laissé des familles sans domicile. Elles ont détruit des biens et emporté le bétail à Gakle et à katouala.
Le retour à la paix dans cette région anglophone a été le principal message des intervenants de cette réunion.Le Forum du Sud-Ouest qui a eu lieu le 25 août 2018 dans la ville de Buea, chef-lieu de la région, a été présidé par Peter Mafany Musonge, le président de la Commission nationale pour la promotion du bilinguisme et du multiculturalisme. Le Forum qui a connu la participation du gouverneur du Sud-Ouest Bernard Okalia Bilaï, les élites, les forces vives et les populations de la région, a été placé sous le thème «South west region: facing our challenges together». Son objectif était de réfléchir sur les voies et moyens à adopter pour mettre fin à la crise. Car le problème anglophone paralyse aujourd’hui le quotidien des populations, la productivité des entreprises, le fonctionnement de l’école, les services de santé, l’activité économique. Le Forum a été axé sur quatre aspects notamment l’impact socio économique, les choix politiques du Sud-Ouest, l’urgence de promouvoir les jeunes et les femmes, le réveil culturel et la préservation de la région. Il a également été l’occasion de souligner l’urgence de la situation. Surtout au vu des violences enregistrées ces derniers mois dans cette localité. Ces violences étant entre autres des enlèvements et meurtres des chefs traditionnels, assassinats des civils, intimidations des élèves et parents, destructions de biens et de projets d’investissement public, incendies de stations de service, de banques, d’infrastructures de la Cdc.
Ces soldats ont reçu des mains du ministre de la défense le drapeau de la nation.La cérémonie de prise d’armes a eu lieu le 24 août 2018 dans la capitale, précisément à la Brigade du Quartier général. En leur remettant le drapeau, le ministre de la Défense (Mindef) Joseph Beti Assomo a invité les 750 militaires et 350 gendarmes envoyés à la République centrafricaine (Rca), à être disciplinés et surtout faire la fierté du Cameroun. «Le premier principe que je voudrais vous donner est celui du non usage de la force, excepté en cas de légitime défense. Vous devez garder à l’esprit que la Minusca agit sur le chapitre 7 de la charte des Nations unies et que son mandat intègre la protection des civils avec comme corolaire, l’extension de la légitime défense au tiers», a déclaré le Mindef. Précisons que ces 1100 soldats camerounais qui font partie du cinquième contingent, vont en Centrafrique dans le cadre de la Mission intégrée des Nations unies. Le Colonel Martin Prosper Bayemi à qui a été remis le drapeau du pays, à la suite du Mindef a déclaré qu’ils comprennent la responsabilité qui est la leur. Cette mission étant de représenter valablement le Cameroun. Il a ajouté qu’ils vont travailler pour la protection des populations. Ils vont devoir apporter leur aide aux agences humanitaires et restaurer la légitimité en Rca. Rappelons que la crise en Centrafricaine est née en 2013. Selon l’Organisation des Nations unies, cette crise affecte 2,4 millions de personnes qui ont besoin d’une assistance humanitaire. 1,4 million de personnes sont déplacées. 1,1 million de personnes sont en insécurité alimentaire aigüe.
La tête de l'enfant aurait été retrouvée ce matin dans une poubelle a coté du carrefour éleveur à Yaoundé. Tout porte à croire que cet enfant aurait été sacrifié pendant un crime rituel. Les enlèvements d’enfants, les mutilations de cadavres et les trafics d’organes sont en recrudescence au Cameroun, dans le cadre de pratiques rituelles à des fins d’obtention de pouvoir ou d’enrichissement. 

La question de la forme de l’État au Cameroun oppose en apparence trois thèses, à savoir les unitaristes, les fédéralistes et les sécessionnistes. Si les sécessionnistes assument publiquement l’objectif de partition du Cameroun, en revanche, certains fédéralistes, notamment ceux qui soutiennent la thèse de la constitution des États fédérés sur la base linguistique, avancent masqués. Ils dissimulent mal leur agenda qui consiste, in fine, dans la sécession du Cameroun. Nous voulons ici faire tomber ce masque afin de révéler le vrai visage de ces fédéralistes camerounais.

Le fédéralisme et ses formes historiques

Il importe de préciser d’entrée de jeu qu’il n’y pas de lien logique entre le fédéralisme et la sécession. Le problème réside plutôt dans la forme du fédéralisme. En effet, il existe deux types de fédéralisme, à savoir le fédéralisme géographique pratiqué aux États Unis d’Amérique, par exemple, et le fédéralisme ethnique dont on fait l’expérience en Éthiopie.

Contrairement au fédéralisme géographique, le fédéralisme ethnique fait des sensibilités culturelles, ethniques, le critère de constitution des États fédérés. Autrement dit, sans interroger la pertinence du concept d’ethnie, ce fédéralisme veut qu’à chaque ethnie ou groupe ethnique, corresponde un État fédéré. Un juriste et politiste comme Michalon soutient que cette forme de l’État correspond aux spécificités culturelles de l’Afrique. Dans la constitution fédérale éthiopienne, les groupes ethniques sont considérés comme des nations, des nationalités ou des États. Ce fédéralisme éthiopien a pour base la langue. Voilà pourquoi il est dit ethnolinguistique. Parce qu’il est linguistiquement déterminé, le fédéralisme éthiopien reconnaît à chaque nation ou nationalité le droit d’assurer la formation des jeunes dans la langue locale. Ceci engendre des difficultés de communication qui problématisent considérablement l’unité du pays. Pour maintenir cette unité, les politiques éthiopiens ont recours à des expédients fort bricolés, à l’instar des pressions économiques.

Le cloisonnement constitutionnel des identités artificielles dont s’accompagne le fédéralisme ethnolinguistique éthiopien a obligé le législateur à reconnaître aux États le droit de faire sécession. L’exemple éthiopien montre que lorsque la base du fédéralisme est autre que politique, les risques de sécession sont élevés, comme c’est le cas au Cameroun.

Le fédéralisme Camerounais

Deux thèses fédéralistes s’affrontent au Cameroun, à savoir le fédéralisme géographique assumé par Joshua Osih, par exemple, et une autre forme qu’il est difficile de nommer. Cette forme est particulière dans la mesure où elle ne correspond à aucune forme connue. En effet, ce fédéralisme insiste sur la constitution de deux États fédérés sur la base linguistique, à savoir un État anglophone et un État francophone. Ce fédéralisme n’est ni géographique, ni ethnique, ni ethnolinguistique. Nous pourrions, faute de mieux, le nommer linguistique. Les deux langues choisies comme base de ce fédéralisme (le français et l’anglais) sont héritées de la colonisation. L’insistance sur ces langues coloniales comme base du fédéralisme trahit la tendance néocoloniale de ce fédéralisme qui consiste, suivant le principe cher aux colons et rappelé par Towa à la suite de Nkumah, à savoir : « diviser pour mieux régner ».

L’agenda caché des fédéralistes linguistiques camerounais

Il y a, dans le fédéralisme linguistique camerounais, une volonté de nier la diversité socio-culturelle et linguistique du pays : le Cameroun est une mosaïque de peuples et de cultures dont la répartition géographique n’est pas fonction de la carte administrative du pays. C’est ainsi qu’on rencontre les Sawa, par exemple, dans le Littoral, le Sud, le Sud-ouest, etc. Le problème que les fédéralistes ne résolvent pas est celui de la gestion de cette diversité : pourquoi fonder le fédéralisme sur les langues coloniales et non sur les langues locales ? Comment peut-on contraindre un individu à s’identifier comme anglophone ou francophone et non comme Ewondo, Bakweri, Moundang, etc. ? Qu’est-ce qui empêche, une fois la base linguistique du fédéralisme admise au Cameroun, que des tribus instrumentalisent cette base pour demander à se constituer en États fédérés ? C’est ici qu’apparaît l’un des aspects de l’agenda secret des fédéralistes camerounais, à savoir l’éclatement du Cameroun en micro-États.

Le problème majeur auquel ces fédéralistes doivent faire face au Cameroun est que les langues sur lesquelles ils fondent leurs revendications sont dynamiques et donc difficiles à circonscrire géographiquement. Comment, en effet, identifier un anglophone et le distinguer d’un francophone dans un contexte camerounais où l’apprentissage et la manipulation de ces langues ne correspond à aucune répartition sociologique ou géographique ? Y a-t-il une essence du francophone différente de celle de l’anglophone au Cameroun ?

Les fédéralistes linguistiques camerounais répondent par l’affirmative à cette dernière question. C’est, du moins, ce qui ressort du distinguo que le cardinal Christian Tumi établit entre « false anglophone » et « true anglophone ». Selon cette distinction, l’anglophonie et la francophonie ne sont ni des catégories culturelles ni des catégories linguistiques. C’est ainsi qu’un Camerounais qui ne s’exprime qu’en anglais, qui n’a vécu que dans le Nord-ouest ou le Sud-ouest du pays, qui est culturellement intégré, peut être déclaré « false anglophone », parce qu’il n’aurait pas cette essence anglophone acquise une fois pour toutes avant 1961, année de la réunification du Cameroun. En effet, selon Tumi, est anglophone celui qui était installé ou dont les parents étaient installés dans le Nord-ouest ou le Sud-ouest du Cameroun avant 1961.

À partir du moment où les fédéralistes linguistiques camerounais nient une réalité simple, à savoir que la francophonie et l’anglophonie sont non des essences intangibles, mais des catégories linguistiques dynamiques, on comprend que l’idéologie dont ils sont porteur ne consiste pas seulement dans la fédéralisation du Cameroun en vue d’une meilleure gestion de la chose publique. Leur but effectif est de cloisonner des identités créées artificiellement au mépris des réalités sociologiques, linguistiques, culturelles et historiques du Cameroun.

L’énergie qu’ils mettent à créer ces identités pour les imposer dans l’échiquier politique camerounais, montre que leur projet est plus vaste que la modification de la forme de l’État en vue d’une meilleure gestion du bien commun. Le but final de leur démarche est la scission du Cameroun sur la base d’identités artificielles rigides et incapables de dialoguer : l’identité anglophone et l’identité francophone. Parce qu’elles ne peuvent pas dialoguer, ces identités ne peuvent pas cohabiter. C’est alors que le fédéralisme linguistique camerounais conduit à la sécession.

Le fédéralisme linguistique est-il la solution aux problèmes politiques, économiques et sociaux qui secouent le Cameroun ? La réponse à cette question est que ce fédéralisme est un problème supplémentaire dont le Cameroun se passerait bien en ce moment de son histoire. Non seulement il existe des alternatives crédibles historiquement éprouvées à ce fédéralisme, à savoir un État unitaire décentralisé et un fédéralisme géographique, mais en plus, le problème du Cameroun est moins la forme de l’État que la gouvernance (voir la « philosophie de la gouvernance » de Lucien Ayissi).

Article par : Le jeune patriote anonyme

La conférence conjointe de la section RDPC Mvila nord-ouest, organisée le 25 Août 2018 à Ngoazip II, a été l’occasion pour les fils et filles de cet arrondissement d’envoyer un signal fort aux huit partis politiques opposés à Paul Biya dans le cadre de la présidentielle du 7 Octobre prochain.Faire quorus derrière la candidature de Paul Biya. Tel est le mot d’ordre prît au terme de cette concertation aux allures de réunion élargie. D’ailleurs, le thème de cette rencontre à savoir «Militantes et Militants de la section RDPC Mvila nord-ouest tous derrière Son Excellence Paul Biya pour la consolidation de l’unité nationale, la stabilité et la paix dans notre pays», traduisait déjà suffisamment l’engagement des fils et filles de Biwong-Bane à soutenir le candidat du RDPC. Pour Bertrand Magloire Medounga, le président de la section RDPC Mvila nord-ouest, «c’est le moment pour nous fils et filles de Biwong-Bane de taire nos querelles et divergences pour retourner l’ascenseur à Paul Biya pour toute l’attention qu’il a accordé à notre arrondissement depuis 1982». Le bilan de l’opération «Biwong-Bane réveilles-toi» dressé durant les travaux de Ngoazip II a davantage galvanisé les populations  et consolider l’engagement et le dynamisme militant des responsables des quinze sous-sections de cette unité politique. Cet arrondissement a de ce fait toutes les raisons pour s’aligner derrière Paul Biya: le nombre d’écoles construites, le nombre de centres de santé fonctionnels, l’électrification, le nombre de forages construits, le nombre de fils et filles de Biwong-Bane occupant des postes de responsabilité dans la haute administration. Selon Bertrand Magloire Medounga, «pour toutes ces raisons Biwong-Bane ne doit pas lésiner sur ses moyens et Paul Biya peut dormir tranquille, le score dans notre arrondissement est de 100% en sa faveur». Pour couronner cette rencontre, le plan de la stratégie de campagne électorale a été déroulé. Entre les lignes, Biwong-Bane ne compte pas «abandonner le Cameroun entre les mains inexpertes».
L’entraineur de l’Olympique de Marseille avait déclaré, après l’échec de son prêt au Sporting de Lisbonne, qu’il était très heureux d’avoir Clinton Njié de retour avec son club. Et il espérait que ce soit lui qui inscrive le but vainqueur. Ce dimanche, lors du match Marseille contre rennes, l’international camerounais n’a pas débuté la rencontre. Et pour rester fidèle à lui-même, alors que le score était de deux buts partout, Rudi Garcia a fait entrer Njié à la 90e minute.
Peut-être parce que les deux équipes ont tout donné dans la rencontre, les arrêts de jeu de cinq minutes n’ont rien changé au score, mais le camerounais a au moins renoué avec les terrains, et va définitivement mettre les nouvelles moins réjouissantes du début de semaine dernière sous l’éteignoir.
Source : Camfoot
Le champion du Cameroun a été éliminé de la coupe du Cameroun ce dimanche après-midi par le champion sortant, Eding Sport. Le club du septentrion ne va donc pas réaliser le doublé Championnat-Coupe du Cameroun comme il l’espérait. Le CENAJES de Bertoua a été le théâtre de la sortie de cette équipe qui a gaillardement mené le championnat. Et pourtant, c’est Coton Sport qui s’était inscrit le premier au score par l’intermédiaire de Daouda Kamilou sur penalty.
Eding qui n’entendait pas faire de la figuration va inscrire deux buts pour fermer les livres. Les résultats des quarts de finale de la Coupe du Cameroun sont les suivants : • Unisport Renaissance (1-0)
• Coton Sport - Eding Sport (1-2)
• Panthère - Union (1-0)
• Lion Blessé - TKC (2-0)

L’international camerounais a savouré ce dimanche sa première victoire avec sa nouvelle équipe, Mayence, qui évolue au sein de la Bundesliga allemande. Même si le milieu de terrain n’a pas débuté la rencontre, il est très vite entré en jeu, à la 42e minute pour remplacer Philippe Gbamin, sorti sur blessure. C’était aussi le premier match de la saison et Mayence a plutôt bien fait à domicile contre Stuttgart. L’unique but de la partie a été inscrit par Anthony Ujah à la 76e minute.

Source : Camfoot

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Sunday, 05 June 2022 11:01