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Au Cameroun, le gouvernement est accusé de faire la promotion des déviances sexuelles à l’école.
Cameroun: Le gouvernement est accusé de promouvoir les déviances sexuelles à l'école
A l’origine, le livre « L’EXCELLENCE EN SCIENCES » au programme de la classe de 5e et de 2e année, écrit par Ebang Éhole Charles R, Hessel Joseph, Ango Yves Patrick et Bella Ndzana Martin T. En page 59, le livre, consulté par KOACI présente un tableau sur les pratiques sexuelles déviantes. Ledit tableau fait partie d’une série d’enseignements du module IV intitulé « Éducation à la Santé », avec quelques questions notamment sur comment lutter contre les comportements émergeants néfastes à la santé de reproduction, les attitudes à adopter pour réduire la prévalence ou éradiquer le VIH/Sida ainsi que les IST. Il enseigne aussi comment lutter contre les maladies nutritionnelles et les intoxications alimentaires. En page 60, le tableau définit le viol, la pédophilie, la zoophilie, l’inceste et les rapports sexuels précoces. L’enseignement précise, « ces pratiques ont des conséquences graves sur la santé. Sur le plan pénal, ces pratiques, surtout l’homosexualité, sont condamnées par la loi ».Levée de boucliersPour une partie des parents, le gouvernement camerounais enseigne aux élèves des pratiques sexuelles déviantes notamment le viol, la pédophilie, la zoophilie, et l’inceste. D’autres estiment par contre, qu’il s’agit d’une polémique vaine. Pour ceux-ci, les camerounais ont de la peine à briser les tabous, dans un monde en perpétuelle mutation. Au ministère des Enseignements secondaires où Koaci s’est rendu, l’on explique avoir constaté que les adolescents développent leurs caractères sexuels de plus en plus tôt. « Le nouvel enseignement cadre avec le développement et il enseigne ce qui est permis et ce qui est interdit par la société africaine, par notre culture pour conceptualiser la sexualité », explique E. Y. inspecteur au ministère des Enseignements secondaires.
Cameroun: Le gouvernement est accusé de promouvoir les déviances sexuelles à l'école
 
Cameroun: Le gouvernement est accusé de promouvoir les déviances sexuelles à l'école
Le maire trouve que la ville de Maroua est mal gérée.Profitant du passage du ministre de l’Administration territoriale le 24 août 2018, qui venait réconforter les populations victimes d’inondations, Hamadou Hamidou a saisi l’occasion pour dénoncer ce qu’il considère comme mal gouvernance. «Je ne manquerai pas de profiter de cette tribune pour porter haut le cri de détresse des populations toutes entières de la ville de Maroua. Pour faire simple je dirais et c’est un euphémisme que «Maroua se meurt». Notre ville, la plus belle cité capitale de la «fille ainée du Renouveau», a mal à sa gouvernance et à sa voirie urbaine. L’éclairage public laisse à désirer, et l’insalubrité a fait son lit. Dans un contexte, l’insécurité sous toutes ses formes ne peut que prospérer», a déclaré le maire de la commune de Maroua 1er. Notre confrère Mutations qui a également traité cette information dans sa parution du 6 septembre 2018 rapporte que d’après des sources dignes de foi qu’il a rencontrées, un brulot aurait été remis à Paul Atanga Nji. Dans ce brulot, les accusateurs du délégué du gouvernement auprès de la communauté urbaine ont demandé que ce dernier soit limogé avant le scrutin du 7 octobre 2018. C’est donc un torchon qui brûle en ce moment entre les deux autorités. Le conflit tend à opposer sur la toile les partisans des deux personnalités de la ville de Maroua.
Dans une lettre ouverte, la directrice africaine de cette Ong Mausi Segun,  demande aux ambazoniens de ne pas user de la violence contre les élèves.Sa correspondance ressemble plus à une mise à garde. L’Organisation non gouvernementale (Ong) Human rights watch demande aux sécessionnistes de ne pas entraver le déroulement des classes dans les régions anglophones. Mausi Segun appelle ces derniers à ne user ni de violence, ni d’intimidation contre les élèves car ils ont le droit à l’éducation. Suivant de près l’évolution de la crise qui paralyse depuis fin 2016 les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, l’Ong demande aux sécessionnistes de laisser les enfants fréquenter comme c’est le cas dans les autres coins du Cameroun. «N’attaquez pas les écoles. Respectez le droit à l’éducation des élèves. N’utilisez pas la violence ou l’intimidation pour entraver la bonne marche des cours ou pour empêcher les élèves d’aller à l’école», écrit la directrice africaine de Human rights watch. Dans sa lettre ouverte l’Ong met en garde les ambazoniens contre le «kidnapping ou la détention des civils qui ne partagent pas la même cause…, y compris les enseignants, les autres fonctionnaires ou représentants du gouvernement». Human rights watch demande par ailleurs aux groupes armés anglophones de «ne pas procéder à l’enrôlement, ni faire participer aux combats, des enfants âgés de moins de 18 ans», «la protection des civils», et «ne nuire ni à un civil, ni à un soldat capturé». En précisant qu’elle ne prend partie pour personne dans cette crise, Human rights watch note les exactions, les violations du Droit international et des conventions dûment ratifiées par le Cameroun. «Les groupes qui ont pris les armes contre le gouvernement camerounais doivent toujours respecter les droits de l’Homme, comme stipulé dans les lois internationales et régionales. Ces groupes armés sont également assujettis au respect des lois internationales sur la guerre qui protègent les civils et les communautés de toute attaque. Lois qui exigent le traitement humain des détenus», écrit l’Ong. Rappelons que de Human rights watch, est spécialisée dans la défense des droits de l’Homme. Sa lettre ouverte date du 30 août 2018.
Cette réunion aura lieu à Yaoundé. Elle se tiendra du 10 septembre du 11 septembre 2018.La non-convocation des assises annuelles des gouverneurs faisait déjà problème même au plus haut sommet de l’Etat. Rappelons que chaque année, sur convocation du ministre en charge de l’Administration territoriale, les patrons des dix régions du Cameroun se retrouvent à deux reprises. Les premières assises sont souvent programmées à la fin du mois de juin, au plus tard en juillet. Et les deuxièmes se tiennent en décembre. Seulement depuis l’arrivée d’Atanga Nji à la tête de ce département ministériel, les gouverneurs ne se sont pas retrouvés. Un fait difficile à accepter surtout quand on sait que le Cameroun prépare le plus grand rendez-vous de son histoire, l’élection présidentielle prévue le 7 octobre 2018. Une source du journal L’œil du Sahel qui s’exprime sous anonymat dans sa parution du 5 septembre 2018, indique que c’est finalement sur instruction de la Présidence de la république que Paul Atanga Nji à envoyer aux gouverneurs la convocation relative à leur première réunion comptant pour l’année en cours. D’après cette même source, le sommet de l’Etat a demandé que cette rencontre ait lieu avant l’élection présidentielle. On s’attend tout naturellement que les sujets de discussion lors de ces assises portent entre autres sur les questions sécuritaires en rapport avec le scrutin du 7 octobre.
Ils ont été attaqués par des hommes armés dans la nuit de mardi à mercredi.A en croire les services sanitaires, la nuit de mardi à mercredi dernier a été chaude dans le département du Mayo Sava. Cinq militaires de l’opération Alpha du Bir sont arrivés à l’hôpital de Mora : Jean Ndebe (24ans), Trésor (24ans), Jacques Voualmadou (23ans), Christophe Godwe 24ans) et Roger Chris Gana Hine. Trois d’entre eux, dont les blessures par balles paraissaient très graves ont été référés à Maroua. Leurs états « rouge » pour l’un et «jaune», pour l’autre ne pouvaient être pris en charge à Mora. Les deux autres très légèrement atteints sont sous soins à Mora. Selon leurs témoignages, ils ont été pris à partie vers 19h par des hommes armés à Malloumri à 4km d’Amchide arrondissement de Kolofata. Ils étaient alors en mission pour déloger des terroristes. Selon des sources dignes de foi, le commandant du secteur sud de l’opération Alpha avait constaté que des militaires véreux favorisent, voire encouragent des «combattants », de Boko Haram à procéder à des pillages et autres exactions sur les populations civiles. Une fois les forfaits commis, commanditaires et pillards se redistribuent le butin. C’est un secret de polichinelle dans le secteur. Le commandement s’en soucie et le commandant, sous l’oint d’une mission de «ravitaillement», a décidé d’assainir son secteur. Alors que la mission à bord d’un pickup se dirigeait vers Amchide, le véhicule a été ralenti par un bourbier. Profitant de ce ralentissement, des hommes embusqués ont ouvert le feu sur les militaires. Ils auraient attaqué à la mitrailleuse. De fortes explosions ont été entendues «mais, ce n’était pas des roquettes, probablement un éclatement de pneus», renseigne un militaire. Après de vifs échanges, les assaillants se sont retirés, faisant cinq blessés. Plus loin, à Gouzoudou, dans l’arrondissement de Kolofata, d’autres hommes armés ont attaqué le village à la faveur de la nuit. Ils ont décapités deux paysans Kolomi Malloum et Ali. Ils ont aussi mis à sac deux boutiques et emporté des denrées. Vers 20 h à Bia, non loin de Kolofata, trois hommes armés ont fait une incursion sans faire de victimes. L'agence Cameroun Presse fera la bilan de l'attaque dans quelque heures
La publication des listes définitives suscite une fois de plus de la controverse.Rendus publics le 31 août dernier, des voix s’élèvent pour dénoncer des tripatouillages autour des résultats du dernier concours de la Police du 19 août 2017. La candidate Louise Ndongo Ebongue conteste les résultats dudit concours. Dans une correspondance adressée au Délégué général à la Sûreté nationale, Martin Mbarga Nguele, elle relève une probable erreur lors des saisies desdits résultats. Selon la plaignante, le nom remplaçant le sien sur la liste définitive ne figure ni sur la principale liste d’admissibilité, ni sur la liste additive. Ce nième cas remet au bout du jour les différents scandales autour des résultats du concours d’entrée à la Police au Cameroun. L’un des scandales les plus stupéfiants est celui de 2002 sous l’ère Pierre Minlo Medjo. Lancé pour un recrutement de 1200 gardiens de la paix et 500 inspecteurs de police, les chiffres ont été multipliés par 3 voire plus. Ainsi, on est passé de 2409 admissibles à 2649 admis pour les gardiens de police ; 1024 inspecteurs de police contre 1824. Outre ces chiffres élevés, l’on dénonçait d’autres irrégularités telles que les noms mal écrits, des fausses dates de naissance, l’ordre des noms non respecté, des candidats n’ayant pas déposé de dossier de candidature cependant définitivement admis. L’arrivée à la Délégation générale à la Sureté nationale en août 2010, l’actuel Dgsn suscite beaucoup d’espoir. D’aucuns y voyaient le retour à la discipline et la fin des trafics dans ce corps de métier. Martin Mbarga Nguele déclara dans une édition de votre journal (le jour) en septembre 2011 qu’il entendait « ne rien laisser au hasard pour que la police redevienne ce qu’elle doit être, quel que soit le temps que cela prendra. » Au fil des années, les plaintes faisant suite à la longue attente des résultats devenue monnaie courante, se sont multipliées, laissant ainsi planer des soupçons de corruption, de trafic d’influence et autres. En 2016, l’affaire Vanta Eto Annie Lucrèce défraie la chronique. Selon les informations relayées par les différents médias, Vanta Eto Annie Lucrèce déclarée définitivement admise au concours de la police, n’avait pas son nom sur la liste des candidats admissibles à l’oral. L’appartenance de la jeune femme est pointée du doigt. Originaire de la Haute Sanaga, sa proximité avec quelques pontes du régime est présentée comme la solution à l’équation. En plus de ce problème, d’aucuns parlaient d’une vingtaine de personnes qui se sont retrouvées sur les listes n’ayant même pas déposé de dossier. La suite donnée àces différentes plaintes demeure inconnue. Qu’adviendra de la contestation de Louise Ndongo Ebongué ?
Une réunion d’éducation, d’information et de sensibilisation des commerçants de la ville d’Ebolowa sur la réglementation en vigueur a été organisée le 4 septembre dernier. Une concertation qui arrive après plusieurs plaintes des commerçants concernant l’arnaque dont ils sont victimes sur le terrain de la part des agents du gouvernement.Depuis plusieurs mois, les commerçants et les contrôleurs des impôts de la Délégation régionale du commerce du Sud et des municipalités se regardent en chiens de faïence. Les commerçants se plaignent de l’escroquerie et de l’arnaque qui sont devenus le sport préféré des agents des sectorielles en charge de leur encadrement. Marie-Hélène Banda, commerçante dans le secteur des produits phytosanitaires, se plaint: «j’ai commencé à payer 5.000 FCFA, puis 10.000 FCFA, ensuite 20.000 FCFA. J’ai toutes les pièces qu’on demande mais je reçois la visite des agents du ministère de l’Agriculture et du Développement rural chaque fois. Vous comprenez que c’est intenable et décourageant à la limite». Pour dissiper tous ces malentendus, les sectorielles concernées parlent plutôt de déficit d’informations de la part des commerçants. Ces derniers brillent par la non-détention des certificats de conformité, le non enregistrement au registre du commerce et aux répertoires communaux, la non-détention de la carte de commerçant etc. Ce qui fait dire à  Francis-Cyriaque Angounda, représentant du Délégué Régional du commerce du Sud, qu’ «à Ebolowa, aucun commerçant n’exerce dans la légalité. Du coup il y’a beaucoup de choses que les commerçants ignorent. On reste donc sur le coup de la tolérance administrative. Ça doit s’arrêter». Au Cameroun, incontestablement, l’activité commerciale est soumise à des conditions. Il revient donc à l’administration de jouer pleinement son rôle de protection pour éviter ces tiraillements inutiles. Cette concertation populaire  a donné l’occasion aux commerçants et aux administratifs de fumer le calumet de la paix et de regarder dans la même direction pour le bien des consommateurs. Un pacte de bonne collaboration bénéfique à tous.
"Les enfants devraient pouvoir aller a l'école en paix" a dit l'UNICEF CamerounLe représentant camerounais à l'UNICEF Cameroun, Jacques Boyer, a dit que les enfants touchés par la crise dans les régions anglophones devraient aller à l'école en paix et en toute sécurité Le chef de l'UNICEF Cameroun a fait cette remarque jeudi. pendant qu'il appelait à la protection des droits de l'enfant, Mr Boyer a dit que L'UNICEF était contre les violences et les enlèvements d'écoliers dans les zones de conflits anglophones L'UNICEF a clairement condamné ces actes de violence, enlèvement, intimidation et attentats terroristes contre les écoles des régions du Nord-Ouest et Sud-Ouest. Tous les enfants dans ces régions comme tout autres régions du Cameroun, devraient pouvoir aller à l'école Depuis la rentrée 2018/2019 Les écoles ont ré-ouvertes que dans 8 des 10 régions anglophones du pays L’empêchement dès la réouverture des écoles dans les régions Nord-Ouest et Sud-Ouest du pays a été causé par les "Ville fantôme" imposées par les leaders ambazoniens et de ce fait ont provoqué des enlèvements, des tirs à l'arme à feu dans plusieurs localités. Le manque d'élèves dans les classes est provoqué par ces fameuses villes fantômes alors que dans d'autres régions du Nord-Ouest ont été témoin de combat entre des terroristes sécessionnistes et les Forces de Défense et de Sécurité camerounaise
Le match de ce samedi est dans toutes les têtes. Il s’agit quand même d’un match de qualification à la plus haute compétition africaine. L’enjeu qui dépasse celle de la rencontre reste l’animation que va proposer Clarence Seedorf à ses hommes pour son premier match en tant que sélectionneur d’une équipe nationale. Ce vendredi, on entre donc dans le vif du sujet. Après avoir terminé la préparation du côté de Nairobi, l’avion spécial affrété pour les Lions a atterri à Moroni très tôt vendredi matin, autour de minuit et demi.
La délégation est conduite par le président du Comité de Normalisation de la Fecafoot. Venu de Yaoundé ce jeudi 6 septembre au soir, Me Dieudonné Happi a immédiatement rejoint l’équipe et le staff à l’aéroport Jomo Kenyatta de Nairobi quelques minutes avant le départ pour Moroni. La délégation camerounaise a été accueillie à l’aéroport par les responsables de la Fédération Comorienne de football et une foule de supporters constitués de nombreux Camerounais. Les Lions seront actuellement logés à l’hôtel Golden Tulip de Moroni, un hôtel 4 étoiles, l’un des plus hauts standings de la ville. Au programme ce vendredi, la reconnaissance du terrain à 15h au stade international Saïd Mohamed à Mitsamiouli, à 40 km au nord de Moroni.
Si Clarence Seedorf et Patrick Kluivert assurent le côté glamour des Lions Indomptables, les Comores ne veulent rien céder sur le terrain à l’équipe que le nouveau staff va mettre en place. Pratiquement à la fin de leur regroupement qui se tient depuis lundi, les Coelacanthes sont confiants de pouvoir tenir leur bout contre les Champions d’Afrique en titre. Le rêve de se qualifier pour la CAN 2019 est toujours vivant.
Pour Fouad Bachirou, le milieu de terrain de Malmö, « quand le match commence c’est à pourcentage de chances égales, c’est comme ça que je vois le football. Je l’ai toujours vu dans cet angle. On ne part pas favoris, on le sait, mais nous on est fiers de nos couleurs. Ce qui compte est ce que l’on fera sur le terrain samedi. On doit prouver qu’on a aussi des grands joueurs et faire le plus grand match possible. ». Ali Mmadi, joueur de Villefranche, et international est confiant Et il l’exprime clairement : « On a accroché le Ghana pourquoi pas le Cameroun (…) Tous le monde sait que le Cameroun est une grande nation africaine. C’est aussi les champions d’Afrique en titre, on ne reçoit pas n’importe qui. On va être humble et essayer de les gêner le plus possible. Tout le monde sait que c’est compliqué de venir jouer chez nous même pour les grosses équipes. On compte beaucoup sur nos supporters, ils constituent notre « 12è homme » et on va tout faire pour leur offrir un bon résultat (…) Concernant la qualification, on n’y croit encore. Dans le foot on ne sait pas ce qui peut arriver. Quand on voit des équipes comme le Cameroun et le Maroc, bien sûr qu’on est outsiders. Même le Malawi qui est une petite équipe par rapport aux deux autres, ça reste aussi une très bonne équipe. Nous on est le petit poucet du groupe mais on a notre chance et on va essayer de la saisir. »
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Sunday, 05 June 2022 11:01