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L’ancien capitaine des Lions Indomptables du Cameroun aurait acquis le premier le terrain querellé tandis que son adversaire y a aussi obtenu un titre foncier.
L’ancien footballeur Rigobert Song Bahanak et Albert Kouinche, président directeur général d’Express Union sont devant la barre pour une parcelle de terrain située au quartier Golf à Yaoundé. Ce dossier qui est pendant devant le Tribunal administratif de Yaoundé depuis 2017, semble être loin de son dénouement. En effet, à en croire l’hebdomadaire Kalara du lundi 10 septembre 2018, Rigobert Song veut faire annuler le titre de propriété de son adversaire, évoquant le motif de la fraude. Il avait introduit pour cela, un recours le 20 février 2017. Au cours de l’audience qui a eu lieu le 4 septembre dernier, l’ancien capitaine des Lions Indomptables du Cameroun affirme avoir acquis cette parcelle de terrain avant son adversaire. Il raconte d’ailleurs que sous un faux prétexte de l’exécution d’une décision de justice, un autochtone du quartier a accaparé les lotissements de la Mission d’Aménagement et d’Equipement des Terrains Interurbains (MAETUR), auprès de laquelle il a acquis son terrain, le 3 septembre 2007 et les a cédés au tiers, peut-on lire dans le journal. De son côté, Albert Kouinche affirme avoir acquis le morceau de terrain querellé le 17 mai 2013 par devant notaire. Il lui sera délivré par la suite un titre foncier. L’opérateur économique soutient que le tribunal ne peut annuler son titre foncier, alors que l’acte de vente sur lequel il repose n’est pas contesté. Cependant, un doigt accusateur est pointé sur les autochtones, soupçonnées par les plaignants de ne pas jouer franc jeu. « Ces malins sont partis au tribunal munis de la même convention pour obtenir des décisions. Aujourd’hui, 45 faux titres fonciers se baladent au quartier Golf. Certaines personnes ont des titres fonciers sur des immeubles bâtis par des tiers. Certains sont même en prison », commente un habitant de cette zone. Quoi qu’il en soit, le tribunal a prescrit une expertise dont le premier volet consiste à déterminer le statut juridique dudit terrain d’une part ; et d’autre part, pour ce qui est du domaine cadastral,  un expert a été commis pour avoir meilleures informations concernant la situation géographique du terrain et la superposition alléguée des deux titres fonciers.
Des affrontements entre sécessionnistes et et le F.D.S. ont éclaté mardi matin à Buéa, capitale de la région du Sud-Ouest du Cameroun, ont rapporté des témoins.
“Il y a eu des affrontements entre des Amba boys et soldats”, a déclaré un témoin joint depuis Yaoundé. “Nous avons entendu des coups de feu dans la zone de Mile 16”, un quartier périphérique de Buea, a confirmé un habitant de la ville. Aucun bilan des combats n’était disponible dans la matinée, la zone des affrontements étant inaccessible. “Les Amba boys sont entrés à Mile 16 tôt le matin, ont commencé à tiré en l’air, bloqué la route et incendié des véhicules”, a relaté le témoin. Des militaires, selon la même source, sont arrivés sur place rapidement, obligeant les séparatistes à se retirer de la zone, après des échanges de coups de feu. Les régions anglophones du Nord-Ouest et du Sud-Ouest sont confrontées à une grave crise depuis fin 2016 sur fond de velléité d’indépendance du Cameroun anglophone. Les combats y sont devenus depuis quasi-quotidiens depuis et la situation sécuritaire s’est encore détériorée alors qu’une élection présidentielle est prévue le 7 octobre dans le pays. Les séparatistes ont annoncé que ce scrutin n’allait pas se tenir au Cameroun anglophone, mais les autorités promettent qu’il y aura bel et bien lieu. Dans la nuit de samedi à dimanche, un chauffeur d’autocar a été tué et plusieurs personnes blessées dans une attaque, à quelques kilomètres de Bamenda, le chef-lieu de la région du Nord-Ouest. A la suite de cette attaque, les autorités ont instauré dans toute la région un couvre-feu nocturne de 18 heures à 6 heures du matin pour une durée indéterminée. Au Cameroun anglophone, 109 membres des forces de l’ordre et de sécurité ont été tués, selon le gouvernement qui qualifie les séparatistes de “terroristes”. Le nombre de victimes enregistrées chez les séparatistes n’est pas connu. Plusieurs centaines de civils auraient perdu la vie dans ce conflit, selon des ONG.
Les travaux sur la première phase de ce chantier doivent prendre fin le 12 octobre 2018.
Dans son édition du 10 septembre 2018 le quotidien Le Jour rapporte que pour la continuité des travaux relatifs à la première phase de l’autoroute Yaoundé-Douala, il y a un besoin d’un financement supplémentaire, estimé à environ 40 milliards de FCFA. En fait il se trouve qu’il y a des travaux de raccordement qui doivent être effectués pour permettre la mise en exploitation de cette partie de l’ouvrage. Le journal cite entre autres «le raccordement au réseau urbain de la ville de Yaoundé par Minkoameyos, le raccordement à la RN3 par Boumneyebel, les aménagements connexes et l’acquisition des équipements pour le fonctionnement des gares de péages et aires de service et de repos, pour un montant d’environ 108 milliards de FCFA». Le quotidien rapporte par ailleurs que ce chantier comme bien d’autres a connu des heurts. Les plus en vue étant les lenteurs observées dans la libération des emprises des travaux et la mobilisation des contreparties. Pour rappel la construction de la première phase de l’autoroute Douala-Yaoundé a débuté en octobre 2014. Cette première phase s’étend sur 60 Km entre la localité de Nkolkoumou et Bibodi. C’est l’entreprise chinoise China First Highway Engineering Company qui est adjudicataire de ce marché. Le groupement Scet Tunisie/Louis Berger assure le contrôle technique de l’ouvrage. En principe il faut construire 60 Km d’autoroute sur un profil de 2X2 voies extensibles en 2X3 voies. L’ouvrage a deux chaussées de 7,50 m chacune, deux bandes d’arrêt d’urgence de 3m de largeur chacune, un terre-plein central de 10,5m en forme de «V». Le cout global de l’ouvrage est de 284 milliards de FCFA. Il est supporté à hauteur de 85% par Exim Bank China et 15% par le Gouvernement du Cameroun. En complément d’information, il est à noter que la deuxième phase de l’ouvrage va s’étendre sur une distance de 136 Km. Elle ira de Bibodi à Douala Est.
Il a commis son dernier acte ce samedi 8 septembre 2018 au quartier Makepe.D’après notre source samedi dernier l’inspecteur de police en service au commissariat du 12e arrondissement et détaché à la Communauté urbaine de Douala, a écumé des snacks avec des acolytes au quartier Makepe. Ils ont volé aux gens toutes sortes de chose. C’est donc grâce au Gps installé dans un des téléphones portables volés, qu’ils vont être appréhendés. Le butin pris a été retrouvé dans un hôtel de la ville. L’inspecteur de police est passé aux aveux. Pour exploitation il a été gardé dans les cellules du commissariat central n°4 de Logbessou. Son premier interrogatoire a eu lieu lundi dernier devant le commissaire du gouvernement. Dans nos prochaines publications, nous reviendrons sur cette histoire.
« Le discours de haine dans les médias au Cameroun » ! C’est le thème d’un séminaire qu’organise le Conseil National de la Communication (CNC) ce 11 septembre 2018 à Yaoundé. Ledit séminaire destiné aux professionnels des médias, visent à lutter contre la « la publication d’information et la diffusion de programmes mettant en exergue des propos haineux incitant à la violence, à l’exclusion, à la stigmatisation ou à la sédition ».
A cette occasion, le président du CNC, Peter Essoka était l’invité du journal de 13 heures de la CRTV radio ce mardi. L’ancien journaliste de la CRTV a dit craindre le scénario d’un génocide rwandais au Cameroun. Voici un extrait de son entretien retranscrit par Cameroon-info.net :Question : Face au discours de la haine qui se banalise dans les médias, ressentez-vous de la haine ?Peter Essoka : Pas du tout ! J’ai ce caractère chrétien que j’utilise dans tout ce que je fais, malgré tout ce qui peut m’arriver. J’ai été condamné par la justice sur la même chose ; parce que j’ai essayé de critiquer le fait qu’il ne faut pas utiliser le discours de haine que certains médias ont proposé et qui donnent ça à n’importe qui n’importe comment.Question : A votre avis, où est-ce que les propos haineux se développent le plus ?Peter Essoka : Partout ! Parce que c’est n’importe qui est là. Quand les médias conventionnels commencent à utiliser ce discours j’ai peur. Nous allons essayer de à tout prix que ça ne se passe pas. Il faut qu’on change.Question : Y-a-t-il des expressions qui choquent particulièrement dans le discours médiatique ?Peter Essoka : Absolument ! Peut-être, ce ne sont pas des paroles, mais quand tu montres un professeur nu devant un public, est-ce que ça c’est du journalisme ? Quand tu dis « une certaine partie de votre pays est formée de rats et de cafards et que tout le monde qui vient de ce côté du pays est terroriste donc il faut prendre tout ce monde et les tuer » ; est-ce que ça c’est ce qu’un vrai journaliste, un média doit dire ? Non pas du tout ! Ce qu’on est en train de faire, c’est encourager ce qui a été encourager au Rwanda en 1994. Et qu’est-ce qu’on a eu, la guerre civile. Est-ce que c’est ça qu’on veut dans ce pays ? Le Cameroun que tout le monde a classé comme un pays paisible. Pas du tout ! Ce séminaire, c’est pour rappeler aux journalistes que le moment n’est pas à la destruction du pays. Nous sommes-là pour construire, éduquer les gens.
En l’espace d’une semaine, deux ministres ont exprimé l’indignation du gouvernement face à l’attitude des ONG internationales qui de leur avis, restent silencieuses sur les exactions commises par les sécessionnistes dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest anglophone.
Ce silence est assourdissant, à défaut d’être complice ! C’est l’avis du gouvernement sur l’attitude des ONG internationales sur les derniers développements de l’actualité dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, théâtre d’une importante crise sociopolitique depuis près de 24 mois. La rentrée scolaire a donné lieu à une nouvelle escalade de la violence : assassinat d’enseignant, attaques dans les écoles, enlèvements des élèves, assassinats des hommes en tenue, tout ou presque y est passé. Dans le communiqué signé suite à ces évènements, le porte-parole du gouvernement a clairement fustigé l’attitude des ONG. « Le gouvernement de la République prend à témoin la communauté internationale et s’étonne du mutisme observé par les ONG internationales et les organismes de défense des Droits de l’Homme si prompt à stigmatiser les autorités camerounaises ainsi que les forces de défense et de sécurité dans le combat qu’elles mènent pour le retour à la normale dans les régions du Nord-ouest et du Sud- ouest », a écrit Issa Tchiroma. Le week-end dernier a été une fois de plus agité à Bamenda, capitale régionale du Nord-Ouest. Des séparatistes ont pris position à Akum à l’entrée de la ville et ont barré la route. Ils ont incendiés plusieurs bus de transport interurbain. L’armée a dû réagir avec énergie, pour restaurer l’ordre. Cette situation a provoqué un nouveau couvre-feu imposé par le gouverneur de la région, Adolphe Lele Lafrique. Hier lundi, les gouverneurs de région se sont retrouvés à Yaoundé, autour du ministre de l’Administration Territoriale (MINAT) dans le cadre de leur traditionnelle conférence semestrielle. La question sécuritaire sera au cœur des débats. Sur les antennes de la CRTV, le média d’Etat, Paul Atanga Nji le MINAT, a lui aussi dénoncé le silence des ONG.« Rien ne peut justifier des atrocités qui se passent. Des scènes horribles et notre regret, est que les ONG internationales ne disent aucun mot sur ces atrocités alors que ces ONG sont tout le temps entrain de critiquer le gouvernement », a déclaré le MINAT.
Atteinte à la dignité et la déontologie. Tels sont les motifs de la suspension de trois mois du chef de division des affaires académiques et de la recherche à la faculté des lettres et sciences humaines de l’Université de Douala.Le Dr Charles Ngadjifna, sociologue, a été interdit d’exercer ses fonctions au sein de l’institution pour «comportements portant atteinte à la dignité humaine et à la déontologie universitaire». Tels sont les motifs reprochés au concerné par le Pr.François Xavier Etoa, Recteur de l’Université de Douala. En effet, depuis octobre 2017, les plaintes déposées par les étudiants en cycle de masters professionnels en gestion des ressources humaines et des étudiants de la filière communication événementielle et publicitaire contre le sociologue n’auraient cessées de croître. Les plaintes déposées faisaient état de versements non-conformes des frais de scolarité des étudiants dans les mains propres du docteur incriminé, au détriment du compte bancaire prévu pour recevoir les 500.000 FCFA annuels des apprenants. Une attitude louche parvenue aux oreilles du Recteur de l’Université de Douala et qui l’a fait figurer dans le registre des acteurs de malversations financières. A ces chefs d’accusation contre le Dr Charles Ngadjifna figureraient également ceux de «harcèlements sexuels». L’enseignant qui s’était jusqu’ici démarqué sur les plateaux de télévision de manière positive avec des analyses pertinentes, notamment comme consultant sur la chaîne de télévision Equinoxe avec l’émission «Regard Social», dénonce une grande cabale contre sa personne. Au niveau du rectorat de l’Université de Douala, la sanction a pris effet depuis le 30 août 2018 et si les enquêtes révèlent d’autres faits, on pourrait s’acheminer vers des peines plus lourdes. C’est une affaire à suivre.
« Notre parcours en vue de la prochaine Coupe d’Afrique des Nations a définitivement démarré après cette première semaine passée ensemble avec joueurs et staff. J’ai déjà hâte à notre premier match à domicile le mois prochain contre le Malawi devant nos supporters. Ils nous ont fait nous sentir comme si nous étions à la maison dès le premier jour et j’ai hâte à ce retour vers mes racines et de le vivre le plus intensément possible ! »
Une rafle a été effectuée dans la nuit de samedi à dimanche dernier dans toutes les boites de nuit et snack-bars de la ville. Selon une source sécuritaire, la menace d’une attaque pèserait sur le chef-lieu du département de l’Océan.
Les services de renseignements de la ville de Kribi, et même ceux de Yaoundé auraient reçu l’information selon laquelle des personnes encore non identifiées et présentées comme des membres de la République d’Ambazonie seraient entrées dans la ville avec un important stock d’armes de guerre et de munitions. Ces personnes s’apprêteraient ainsi à semer le chaos et la désolation au sein de la population, et à frapper certains points névralgiques de la ville. Ces donc pour traquer ces présumés fauteurs de trouble qu’une battue a été organisée dans la nuit de samedi à dimanche dernier par les forces de maintien de l’ordre de la ville, conduites par le commissaire central, le commissaire principal de police Raymond Maan. Selon Le Messager du lundi 10 Septembre 2018, l’opération a commencé aux environs de deux heures du matin avec des centaines de policiers et gendarmes qui ont pris en étau toutes les boites de nuit et les snack-bars de la ville, sans exception. Près de mille personnes ont ainsi été conduites au commissariat central de Kribi. Plusieurs ont été relâchés après identification, tandis que d’autres sont encore gardés à vue. Il s’agit de ceux qui n’ont pas pu présenter une carte d’identité, ou des individus suspects ne possédant pas de documents ou ne justifiant pas d’un repère, apprend-on. Le Messager fait savoir qu’à Kribi, la psychose est d’autant plus grande que le Chef de l’Etat est annoncé dans la ville dans le cadre de sa campagne présidentielle. Paul Biya viendra inaugurer le port de Kribi. Pour certains, cette rafle servirait à donner plus de sécurité au Chef de l’Etat comme c’est le cas à chaque fois qu’il est va se rendre officiellement dans une ville.
D’une valeur hors douane de 60 millions de FCFA, l’engin obtenu auprès de la Fondation Véolia (France) avec l’appui de l’association «Les Enfants du Ndé», va permettre la vidange des fosses septiques, dans un premier temps sur la Commune de Bangangté, puis sur l’ensemble du Département du Ndé voir à terme la Région de l’ouest.
En effet, rapporte le journal La Météo du lundi 10 Septembre 2018, l’engin high-tech en matière d’assainissement et de voirie, fruit de la coopération internationale décentralisée, permet dorénavant de vidanger les fosses dépotées pour la première fois au Cameroun dans un centre approprié. Sa mise en service apportera à coup sûr des réponses appropriées sur les questions portant sur l’environnement et la préservation de celui-ci. L’acquisition de ce nouvel équipement vient donc renforcer les capacités du Service Public de l’Assainissement qui est progressivement mis en place par Célestine Ketcha Courtès depuis son arrivée en 2007. Et les experts de préciser que ce véhicule est un mastodonte qui pèse 26 tonnes, mesure 9,50 m de long et 2,50 m de haut. C’est un Camion de marque Renault Magnum 385 TI Blanc qui présente les caractéristiques suivantes: une cuve de 12m3, un équipement HUWER avec potence télescopique, une pompe à boue d’une puissance de 2000m3/heure, un tuyau escamotable de 100 m, une puissance de 170 bars. Premier de ce genre à l’Ouest du Cameroun. Au demeurant, apprend-on, c’est un véhicule qui fait la fierté du projet de Station de traitement de boue de vidange lancé en 2014 par Mme Ketcha Courtès qui, selon les populations locales, «fait grandir chaque jour la Commune de Bangangté par son dynamisme et son sens de la promotion de  l’intérêt général». Le Maire a expliqué aux populations le bien-fondé de ce projet, ce qui va changer dans les habitudes. Jadis reconnu dans la ville et le département que les camions de vidange n’appartenaient qu’à une clique de personnes, Madame le Maire a fait savoir que les prix seront à la portée de tous.
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Sunday, 05 June 2022 11:01