Il s’agit ainsi de l’enveloppe budgétaire de la nouvelle structure chargée de l’exploitation minière au Cameroun pour l’exercice 2021. C’est ce qui ressort de la toute première session ordinaire du conseil d’administration de la Société nationale des mines (Sonamines), tenue le 22 juin dernier.
Cette toute première session du Conseil d’administration, « consacre la mise en place structurelle et le démarrage effectif de la Sonamines à travers l’adoption des textes et des premiers outils de pilotage et opérationnels », informe le communiqué ayant sanctionné les travaux.
La session qui, intervient deux mois après la nomination des organes dirigeants de la structure, a permis au Conseil, d’adopter le budget le budget de la Sonamines au titre de l’exercice 2021 à la somme 3,774 milliards de FCFA. En outre, le Conseil a adopté le plan d’actions prioritaires, « afin de mener à bien la canalisation de l’or, la promotion de l’information géologique et minière ainsi que le suivi des activités d’exploration et d’exploitation minière ».
Piqûre de rappel, la Sonamines a été créée le 14 décembre 2020 par décret du Président de la République, Paul Biya. Elle est en notamment chargée de réaliser l’inventaire des indices miniers en liaison avec les autres administrations et organismes compétents, de mener les activités d’exploitation des substances minérales et d’assurer la mise en œuvre des mesures relatives à la restauration, la réhabilitation et à la fermeture des sites d’exploitation minière. Ainsi, la structure a vocation à rentabiliser cette exploitation dans le pays en conformité avec le Cadre d’appui à l’artisanat minier(Capam).
Innocent D H
Dans la foulée, cette perturbation a pour conséquence directe, le report de certains vols de cet aéroport et le déroutement d’autres vols qui devaient y atterrir, informe le Ministre camerounais des Transports, Jean Ernest Ngalle Bibehe. Cette situation entraîne un important manque à gagner aussi bien pour les compagnies aériennes que pour les partenaires actifs sur la plateforme aéroportuaire de Douala, ce qui est préjudiciable à l’économie camerounaise, car cet aéroport est la principale porte d’entrée du pays.
Dans un communiqué rendu officiel ce 24 juin 2021, le Ministre des Transports (Mintransports) fait savoir que le trafic aérien est perturbé à l’aéroport international de Douala depuis « quelques jours, en raison de dysfonctionnement de son balisage lumineux de piste et des aides à la navigation aérienne ». Jean Ernest Ngalle Bibéhé explique en outre : « cette situation a eu pour conséquence directe le report de certains vols au départ de cet aéroport, et le déroutement d’autres vols qui devaient y atterrir, entraînant ainsi des perturbations dans les programmes d’exploitation des compagnies aériennes desservant cette plateforme ».
C’est ainsi, une grosse perte pour l’économie camerounaise. Dans un rapport officiel, l’autorité aéronautique indique : « De l’analyse des performances des différents sites aéroportuaires, il ressort entre autres que l’aéroport de Douala est le plus sollicité pour les vols internationaux et le transport du fret et du courrier. Celui de Yaoundé-Nsimalen est le plus prolifique en termes de vols nationaux et présente le taux de remplissage le plus élevé ».
Toutefois, le Mintransports rassure que, l’origine de la panne entraînant le disfonctionnement a été dores déjà identifiée et des mesures ont été immédiatement prises de concert avec l’Agence pour la Sécurité de la Navigation aérienne en Afrique et Madagascar(Asecna), pour « un retour rapide aux conditions d’exploitation normales » de la plateforme portuaire, informe Jean Ernest Ngalle Bibéhé.
Innocent D H
C’est une déclaration faite par le Ministre des Transports (Mintransports), Jean Ernest Massena Ngalle Bibehe qui présidait le 22 juin 2021, la session extraordinaire du Comité interministériel des infrastructures ferroviaires (Comifer) et du Comité de transport des voyageurs (CTV).
Dans sa déclaration, le Mintransports indique : « Cette rencontre se tient au lendemain de la haute autorisation du Chef de l’Etat pour le lancement du train express Douala-Yaoundé ». C’est sans doute dans cet ordre d’idée que l’entreprise Camrail fait savoir que la session avait pour toile de fond, « l’examen des modalités de la mise en service du Train express Douala-Yaoundé dans les tous prochains jours ». La date du lancement officiel proprement dit reste attendue, apprend-on.
Le Ministre Jean Ernest Massena Ngalle Bibehe a effectué le 29 avril 2021 dans les locaux de la société Camrail à Douala, une visite des 11 voitures voyageurs réhabilitées. Et selon l’entreprise, cette réhabilitation a couté 11 milliards de nos francs. Après cette visite, le Mintransports a également conduit un voyage d’essai de l’Intercity entre Douala et Yaoundé dans ce train permettant de rallier les deux villes en 4 heures 45 minutes contre 3 heures 30 minutes par le passé, avec l’instauration de quatre arrêts sur le trajet notamment à Edéa, Eseka, Makak et Ngoumou. Cette augmentation de la durée de voyage est également due à la qualité de la voie ferrée, informe Camrail.
Rappelons que le train express reprend du service après une interruption le 21 octobre 2016 à la suite de la catastrophe ferroviaire d’Eseka, qui avait causé la mort de 79 personnes et 600 blessés, selon un bilan officiel.
Innocent D H
C’est ce que révèle le vice-président du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC) sur son compte Facebook ce mercredi 23 juin 2021. Mamadou Mota rappelle que le village concerné est à 50 kilomètres du chef-lieu de l’arrondissement de Touboro, région du Nord et à 18 kilomètres du lycée le plus proche.
« Un collège complet en salle de classe au village dit phacochère dans la commune de Touboro, construit entièrement par la communauté, demande juste un acte de création de la part du ministère de l’éducation secondaire depuis plus de 4 ans, rien n’est fait », écrit Mamadou Mota.
Indiquant que le village concerné est situé à 50 kilomètres du chef-lieu de l’arrondissement de Touboro et à 18 kilomètres du lycée le plus proche, le cadre du MRC saisit la tribune pour s’exclamer. « Que faut-il pour que l’accès à l’éducation ne soit pas entravé par une élite qui choisit délibérément de maintenir le plus grand nombre dans l’ignorance et la sous-scolarisation ! », s’inquiète-t-il.
Mamadou Mota note que, cette population vaillante a pour sa part, montré sa bonne volonté en construisant 4 blocs de deux salles de classe et un bureau du directeur, à côté aussi d’un centre de santé construit par leur soin. Ce drenier, « n’attend également que l’acte de création de la part du Ministère de la Santé ».
« Le développement participatif est bien celui-là, il se trouve handicapé par les fonctionnaires. Réveil ! », conclut l’homme politique.
Innocent D H
C'est la substance d'un arrêté pris par le maire de la ville de Douala, Roger Mbassa Ndine. Il en ressort que dès ce mardi 22 juin 2021, les stationnements et l’occupation anarchique des trottoirs sont passibles du paiement d’une amende pouvant aller jusqu’à 250 000 FCFA.
Dans son arrêté, Roger Mbassa Ndine informe par exemple que le stationnement irrégulier d’une moto ou du « dépôt de tout autre objet » est passible du paiement d’une amende de 10 000 FCFA. 25 000 FCFA pour un véhicule d’un établissement de commerce, d’une laverie, d’un salon de coiffure, d’une limonadière ou de toutes autres « activités analogues » et 50 000 francs pour un véhicule pick-up.
S'agissant du stationnement irrégulier d’un véhicule gros porteur ou d’un container, le contrevenant s’expose au paiement d’une amende de 200 000 FCFA. Pour ceux qui rendront coupable du dépôt d’un matériel de chantier sur le trottoir, l’amende s’élèvera à 250 000 FCFA.
Ces mesures s’inscrivent dans le cadre du programme « restituer le trottoir aux piétons » qui vise « la libération des trottoirs et autres emprises du domaine public occupés de manières anarchique et illégale par diverses activités informelles », précise le maire de la ville de Douala. Les paiements de ces amendes se font à la recette municipale, sur présentation du procès-verbal de l’agent verbalisateur, apprend-on.
Piqûre de rappel, début juin 2021, le maire Mbassa Nadine avait déjà demandé à tous les motos-taxis de la cité capitale du Littoral occupant de façon anarchique les abords du rond-point Deido à regagner un espace spécial aménagé pour eux par la Communauté urbaine.
Innocent D H
La ministre des Postes et des Télécoms, Minette Libom Li Likeng, Ministre des Postes et Télécommunications (Minpostel), de passage à Buea dans la région du Sud-Ouest pour une visite de travail était porteuse d'une nouvelle enchante. Elle a annoncé aux start-uppers de la Silicon Mountain, le 17 juin 2021, que le gouvernement leur offre un an de connexion internet gratuite de haut débit pour faciliter le développement de leurs projets.
Les start-upers de la Silicon Mountain, pendant de la Silicon Valley aux Etats-Unis, pourront désormais surfer en toute sérénité et réaliser en toute tranquillité leurs projets. Une connexion numérique de haute facture grâce à une offre gratuite pendant un an à l'initiative du Gouvernement camerounais.
La Silicon Mountain est un incubateur d’entreprises du numérique, basé dans la ville de Buéa, la capitale de la région du Sud-Ouest. L’offre gratuite d’internet à cet incubateur, permettra de réduire les charges de fonctionnement des start-up de la Silicon Mountain, dans la mesure où le haut débit apparaît comme l’une de leurs matières premières principales.
Rappelons qu'avant cette sollicitude du ministère des Postes et Télécommunications au profit des innovateurs de la Silicon Mountain, le ministre de l’Economie, Alamine Ousmane Mey, avait déjà invité la firme coréenne Samsung à s’intéresser à cet incubateur local d’entreprises du numérique, afin de l’accompagner dans son développement.
Le 8 mai 2021 à Yaoundé à l’ouverture de la 10ème édition du forum économique et énergétique Cameroun-Corée, le ministre Ousmane Mey avait indiqué, « La Silicon Mountain à Buea est une référence qui pourrait être dopée grâce au soutien de la Corée. Nous pensons qu’avec Samsung ici présent, nous parlerons de toutes ces opportunités ».
Innocent D H
L’ancien président ivoirien vient de saisir le juge des affaires matrimoniales pour cette fin. En effet, Laurent Gbagbo évoque comme raison dans un communiqué rendu public par son conseil, le refus réitéré depuis des années de Dame Simone de consentir à une séparation amiable.
« Monsieur Laurent Gbagbo annonce qu’en raison du refus réitéré depuis des années de Dame Simone Ehivet de consentir à une séparation amiable, au demeurant voie de règlement appropriée à leurs statuts personnel et politique réciproques, il s’est résolu à saisir ce jour, le juge des affaires matrimoniales du tribunal de Première Instance d’Abidjan, d’une demande de divorce. Cette demande ne sera suivie d’aucun commentaire », informe le communiqué publié par le Conseil Maître Claude Mentenon, Avocat à la cour.
Cette demande de divorce intervient quelques jours seulement après le retour de Laurent Gbagbo dans son pays. En effet, c’est le 17 juin dernier que l’ancien Chef de l’Etat ivoirien est retourné au bercail après 10 ans d’absence et deux mois après avoir été définitivement acquitté par la Cour pénale internationale (CPI) de crimes contre l’humanité. Il a d’ailleurs été accueilli et fêté en héros par les ivoiriens, mais surtout par ses partisans.
Les prémices d’une relation qui ne serait plus au beau fixe entre les deux personnages se faisaient déjà ressentir depuis des années. En février 2019, sous l’auvent de sa résidence de la Rivera, à Abidjan, Simone Gbagbo s’était présentée devant les membres du secrétariat exécutif du Front populaire ivoirien (FPI) dans des habits de femme blessée. En effet, depuis quelques jours, un article d’un site ivoirien alimentait la rumeur selon laquelle, son mari, l’ancien président Laurent Gbagbo, fraîchement libéré par la Cour pénale internationale, lui aurait officiellement notifié son désir de divorcer. L’ex-première dame avait alors tout de suite, imposé à son cabinet de démentir l’information et avait demandé à la communication du parti du FPI de relayer sa réponse. Elle dénonçait être passablement enervé par ce qu’elle considérait comme attaques, dont elle estimait être la cible.
Innocent D H
La session ordinaire de la Commission de surveillance du marché financier d’Afrique centrale(Cosumaf) s'est tenue le 10 juin dernier par visioconférence. Présidée par l’Ambassadeur Nagoum Yamassoum, cette rencontre a permis de passer en revue l’évolution du marché au cours des six premiers mois de l’exercice 2021.
La Cosumaf a donné son quitus à sept nouveaux intermédiaires de marché dont 4 conseillers en investissements financiers, une société de bourse, un dépositaire d’organisme de placement collectif et un commissaire aux comptes. Leurs activités couvrent l’ensemble des pays de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac). Il s’agit de Horus Investment Capital SA, Okalla Ahanda & Associés, LCB BANK, David Clay Azambou Dongmo, Patrick Fomethe Momo, Issongo La-Ngatsesse Kiba et Sondia Gwet épouse Nkembe.
Spécialisée dans le conseil, l’intermédiation, l’ingénierie et l’innovation financière, Horus Investment Capital SA du camerounais Cyrille Onana a été agréée comme société de bourse sur le marché financier sous régional. Quant au cabinet Okalla Ahanda & Associés, fondé par Jean Pierre Okalla Ahanda, le cabinet officiera en qualité de commissaires aux comptes auprès d’une entité émettrice faisant appel public à l’épargne. Relevons également que LCB Bank fait également son entrée sur le marché financier sous régional. La filiale du groupe bancaire congolais BMCE Bank Of Africa, interviendra sur en qualité Dépositaire d’organisme de placement collectif agréé.
Conseillers en investissements financiers
S'agissant de la catégorie des conseillers en investissements financiers, ce sont 4 agréments qui ont été délivrés par la Cosumaf à des personnes physiques que sont David Clay Azambou Dongmo, Patrick Fomethe Momo, Issongo La-Ngatsesse Kiba et Sondia Gwet épouse Nkembe. Leurs rôles, fournir des conseils à un investisseur dans le cadre d’opérations d’investissement portant sur des valeurs mobilières ou autres produits de placement émis dans le cadre d’un appel public à l’épargne ou d’un placement privé. Ils mettent aussi en œuvre les moyens permettant la prise par leurs clients, d’une décision d’investissement en connaissance de cause, sans se substituer à eux quant à leurs décisions finales. Sauf s’ils peuvent justifier d’un agrément à ce titre, les Conseillers en Investissement Financier ne sont pas habilités à collecter et à transmettre des ordres de bourse aux Sociétés de Bourse pour le compte des clients qu’ils conseillent.
Globalement, à l'issue de cette session ordinaire, le régulateur s’est dit satisfait de la mise en œuvre des résolutions et décisions prises lors des précédentes sessions ainsi que du bon déroulement des émissions obligataires de l’Etat du Congo, du Gabon et des opérations de vente d’actions de la banque équato-guinéenne Bange Bank.
Innocent D H
Des concerts sont organisés dans plusieurs villes pour rendre hommage à feu Manu Dibango, icône de la musique emportée par le coronavirus en mars 2020. En effet, plusieurs artistes rendent hommage à l’icône en reprenant ses titres phares.
L'Institut français du Cameroun (IFC) à travers des concerts organisés dans les villes de Yaoundé, Douala, Garoua et Dschang, célèbre la mémoire de Manu Dibango. Selon le programme, le groupe Macase a presté ce lundi 21 juin à 19 heures à l’IFC antenne de Yaoundé à l’occasion de la fête de la musique.
Notons que cette célébration intervient au moment où l’ambassade du Cameroun en France a également organisé un hommage pareil à la mémoire de l’illustre disparu. L’étape de Paris, présidée par l’ambassadeur du Cameroun en France, André Magnus Ekoumou a connu la présence effective de Michel Dibango, le fils du défunt saxophoniste et des personnalités comme Samuel Eto’o Fils et Yannick Noah.
En rappel, Manu Dibango, artiste populaire est décédé le 24 mars 2020 des suites de Covid-19 à l’âge de 86 ans en France. Il est ainsi question pour la France d'observer un temps d'arrêt pour rendre un vibrant hommage au créateur du soul makossa qui, avait une affection particulière pour l'hexagone.
Innocent D H
C'est ce qui ressort des hautes instructions du Chef de l'Etat Paul Biya que le secrétaire général de la présidence de la République (SGPR), Ferdinand Ngoh Ngoh vient de répercuter au ministre des Transports, Jean Ernest Ngallé Bibéhé dans une correspondance datée du 14 juin dernier. En effet, le SGPR indique que le Président « autorise », en liaison avec le ministre des Mines, la signature d’un mémorandum d’entente pour la construction de la voie ferrée reliant Mbalam au port en eau profonde de Kribi (510 km).
Le SGPR souligne que ce mémorandum s’inscrit dans le cadre de la « relance du projet de fer de Mbalam, en coopération avec le Congo ». La recherche des partenaires pour le financement des infrastructures à mettre en place dans le cadre de l’exploitation du gisement de fer de Mbalam-Nabeba (mine, chemin de fer de 510 km entre Mbalam et Kribi, terminal minéralier du port en eau profonde de Kribi), écartelé entre le Cameroun est le Congo, est depuis plusieurs années le principal point de blocage pour le démarrage effectif de ce projet minier.
La correspondance susmentionnée laisse penser que le gouvernement camerounais qui, après les multiples tentatives infructueuses de l’Australien Sundance (le premier développeur du projet), avait repris la main sur la recherche des partenaires financiers au projet, notamment sur le volet infrastructures connexes, a fini par aguicher une ou plusieurs entreprises.
Partenaires
Certes que la lettre de Ferdinand Ngoh Ngoh au Mintranports garde le mystère sur l’identité de l’entreprise ou du groupement d’entreprises concerné par le mémorandum d’entente sur le chemin de fer Mbalam-Kribi, il y a cependant fort à parier qu’il s’agisse d’opérateurs chinois, présument plusieurs observateurs. S’exprimant devant la commission des finances de l’Assemblée nationale début décembre 2020, dans le cadre de la défense de l’enveloppe budgétaire allouée à son département ministériel, Gabriel Dodo Ndocké, le ministre camerounais des Mines, de l'Industrie et Développement technologique avait annoncé « la finalisation, en 2021, du dossier relatif à la sélection des partenaires technico-financiers pour l’exploitation de la mine, la construction du chemin de fer, la construction du terminal minéralier et les acheteurs du minerai de fer issu de la mine de Mbalam, au Cameroun, et de Nabeba, au Congo ».
Le ministre Dodo Ndocké avait précisé que le gouvernement travaillera désormais sur ce projet avec un « consortium formé de cinq sociétés d’État chinoises ». Toute chose qui avait aussitôt valu au gouvernement camerounais une mise en garde de Sundance Resources, le premier développeur de ce projet, qui n’entendait pas être écarté au profit des entreprises de l’Empire du Milieu. Après une tentative de conciliation avec la partie camerounaise, Sundance a fini par porter le litige devant une juridiction arbitrale à l’international, et entend désormais être dédommagé par l’État du Cameroun pour son éviction annoncée du projet.
Innocent D H