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L’ancien président ivoirien vient de saisir le juge des affaires matrimoniales pour cette fin. En effet, Laurent Gbagbo évoque comme raison dans un communiqué rendu public par son conseil, le refus réitéré depuis des années de Dame Simone de consentir à une séparation amiable.   

 

« Monsieur Laurent Gbagbo annonce qu’en raison du refus réitéré depuis des années de Dame Simone Ehivet de consentir à une séparation amiable, au demeurant voie de règlement appropriée à leurs statuts personnel et politique réciproques, il s’est résolu à saisir ce jour, le juge des affaires matrimoniales du tribunal de Première Instance d’Abidjan, d’une demande de divorce. Cette demande ne sera suivie d’aucun commentaire », informe le communiqué publié par le Conseil Maître Claude Mentenon, Avocat à la cour.

Cette demande de divorce intervient quelques jours seulement après le retour de Laurent Gbagbo dans son pays. En effet, c’est le 17 juin dernier que l’ancien Chef de l’Etat ivoirien est retourné au bercail après 10 ans d’absence et deux mois après avoir été définitivement acquitté par la Cour pénale internationale (CPI) de crimes contre l’humanité. Il a d’ailleurs été accueilli et fêté en héros par les ivoiriens, mais surtout par ses partisans. 

Les prémices d’une relation qui ne serait plus au beau fixe entre les deux personnages se faisaient déjà ressentir depuis des années. En février 2019, sous l’auvent de sa résidence de la Rivera, à Abidjan, Simone Gbagbo s’était présentée devant les membres du secrétariat exécutif du Front populaire ivoirien (FPI) dans des habits de femme blessée. En effet, depuis quelques jours, un article d’un site ivoirien alimentait la rumeur selon laquelle, son mari, l’ancien président Laurent Gbagbo, fraîchement libéré par la Cour pénale internationale, lui aurait officiellement notifié son désir de divorcer. L’ex-première dame avait alors tout de suite, imposé à son cabinet de démentir l’information et avait demandé à la communication du parti du FPI de relayer sa réponse. Elle dénonçait être passablement enervé par ce qu’elle considérait comme attaques, dont elle estimait être la cible.

Innocent D H

 

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L’épouse de l’ancien Chef de l’Etat ivoirien sort de ses gonds à quelques semaines de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire. Simone Gbagbo pose une liste de conditions préalables à la tenue du scrutin. Parmi celles-ci, le retrait de la candidature d’Alassane Ouattara par la Commission électorale indépendante (CEI).

 

Dans sa sortie musclée, l’ancienne première dame martèle. « Nous voulons une CEI nouvelle. Nous voulons un Conseil constitutionnel nouveau, parce que celui-ci s’est complètement discrédité (…). Nous voulons que la candidature de Monsieur Ouattara soit retirée de la liste des candidats. Nous voulons que la liste électorale soit corrigée. Nous voulons qu’il y ait des débats sur le découpage électoral et que le découpage soit un découpage consensuel. Nous voulons que les prisonniers politiques, qui depuis 2011 sont retenus dans les prisons en Côte d’Ivoire ou à l’étranger, soient libérés ».

Simone Gbagbo pense ainsi que l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire ne peut avoir de sens si plusieurs prisonniers militaires et civiles restent captifs ou hors de leur pays d’origine. « Il y a les prisonniers militaires, il y a les prisonniers civils. Que tous ces prisonniers soient libérés. Nous voulons que les Ivoiriens en 2011, qui ont été obligés, pour leur propre survie de fuir le pays et d’aller s’exiler dans les pays voisins, en France, en Europe, aux Etats-Unis et partout. Que les exilés puissent revenir. Que les gens qui ont été déportés à l’étranger comme c’est le cas pour Monsieur Gbagbo et monsieur Blé Goudé, qu’ils puissent également renter dans leurs pays », ajoute l’épouse de l’ancien Chef de l’Etat de Côte d’Ivoire, Laurent Gbagbo.

Outre les conditions excipées par Simone Gbagbo, il faut dire que l’Organisation de prévention des Conflits, International Crisis Group (ICG) préconise le report de l’élection présidentielle, le 31 octobre, pour établir un « large dialogue » et éviter des violences, dans un rapport publié mardi dernier. « Un court report de l'élection offrirait une chance de sortir de la confrontation actuelle à travers un dialogue et d'apurer le contentieux qui rend improbable l'organisation d'une élection apaisée et transparente le 31 octobre », estime ICG. « La probabilité que cette élection accouche, en l'état, d'une crise grave, est élevée », met en garde l'organisation indépendante, dix ans après la crise post-électorale de 2010-2011 qui avait fait 3.000 morts dans ce pays d'Afrique de l'Ouest.

La situation politique est tendue depuis l'annonce par le président Ouattara de sa candidature à un troisième mandat controversé, tandis que plusieurs chefs de file de l'opposition, tels Guillaume Soro et Laurent Gbagbo, ont vu leurs candidatures rejetées par le Conseil constitutionnel.

Innocent D H

 

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01