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Innocent D.H.

Innocent D.H.

Le verdict du contentieux qui oppose depuis août 2021, la filiale au Cameroun du groupe Banque Atlantique à la Commission bancaire de l’Afrique centrale (Cobac), a été prononcé le 12 mai dernier à la Cour de justice de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac).

La Cour de justice communautaire des Etats de l’Afrique centrale vient d’annuler purement et simplement toutes les quatre décisions prises par la Cobac contre la Banque Atlantique Cameroun (BACM) et ses dirigeants pour « vice de forme, de procédure et défaut de base légale ». Il s’agit ainsi d’une décision qui fait suite aux recours (recours en sursis à exécution et recours en annulation) introduits par la banque auprès de la cour le 16 novembre 2021.

Concrètement, les décisions annulées concernent : la démission d’office des membres du Conseil d’administration de cette institution bancaire, ainsi que les blâmes infligés au directeur général, à son adjoint, et à la banque et ses dirigeants sociaux (PCA, DG et DGA).

A en croire la version donnée par la Cobac, ces décisions prises le 27 août 2021, révélées le 5 octobre 2021, l’avait été principalement au motif de « manquements graves aux règlements relatifs à la lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme, ainsi qu’à la réglementation des changes ». Cependant, le collège des juges a estimé que : « la violation de la règlementation relative au blanchiment des capitaux et financement du terrorisme, reprochée à la Banque Atlantique Cameroun et ses dirigeants, n’est pas établie ».    

 Ces décisions ont été toujours contestées par les dirigeants de la BACM. A chaque étape, les émissaires de l’institution bancaire avaient présenté, « toutes les informations de nature à lever d’éventuels doutes sur la conformité de certaines opérations », apprend-on.

Innocent D H

L'information est du Ministre du Travail et de la Sécurité sociale, Grégoire Owona dans une récente déclaration à la presse. En effet, le membre du gouvernement a révélé que des discussions sont en cours pour augmenter le Smig actuellement fixé à 36 270 FCFA.

Dans sa déclaration, le Ministre Grégoire Owona indique : « On est en négociation à l’heure où je vous parle pour qu’on augmente le Smig. Mais il faut que les entreprises puissent payer. Quand une entreprise vous présente ses bilans, tous les documents qu’elle peut vous faire juger et vous dit moi je ne peux pas payer plus que ça. Qu’est-ce que vous faites ? Maintenant que nous avons fait nos enquêtes et qu’on voit que les entreprises paient un peu plus, nous sommes en négociation pour relever le Smig ».

Il faut préciser que cette augmentation du Salaire minimum interprofessionnel garanti (Smig) dans le futur est annoncée dans un contexte caractérisé par l’inflation des produits et services au Cameroun, selon l’Institut national de la statique. En revanche, il est clair que le revenu des travailleurs, lui, demeure statique. Une situation qui pousse les syndicats de différents corps sociaux à souhaiter une hausse de salaire afin de préserver leur pouvoir d’achat.

A titre de rappel, le 17 juillet 2014, les représentants des employeurs et les syndicats des travailleurs s'étaient accordés pour faire passer le Smig de 28 000 à 36 270 FCFA, soit une augmentation de 8 000 FCFA. Ce relèvement était largement en dessous des 150 000 FCFA proposés par une coalition de 12 centrales syndicales, ou encore des 62 000 FCFA finalement proposés par les représentants des travailleurs aux négociations.

Innocent D H

Révélation vient d'être faite par le Programme de sécurisation des recettes routières (PSRR), structure spécialisée du Ministère des Finances.  La dynamique enclenchée au premier trimestre 2022 devrait, en fin d’exercice budgétaire, porter ces recettes à plus des 7 milliards de FCFA collectés dans l’ensemble des postes de péage du Cameroun au cours de l’année 2021.

 

Malgré cette embellie observée durant le premier trimestre de l'exercice en cours, il est cependant pressenti qu’au cours de l’année 2022, le Cameroun sera une nouvelle fois privé de recettes supplémentaires sur le péage routier. Une situation qui sera due au blocage du projet d’automatisation des 14 premiers postes de péage, qui procure actuellement 75% des recettes à l’État, nous renseigne-t-on.

En mars 2022, le Ministre des Travaux publics (Mintp), Emmanuel Nganou Djoumessi expliquait à propos des péages routiers automatiques : « Les péages routiers automatiques de la première phase se font dans le cadre d’un partenariat public-privé conclu avec l’entreprise Toulcam (société de projet mise en place par le consortium Razel BEC-Egis Projects, NDLR). Le contrat de partenariat a déjà été signé. Sa mise en vigueur doit intervenir après que les financements aient été mobilisés. L’entreprise Toulcam a entrepris de travailler avec une banque dont les financements devaient être garantis par une structure. Leurs discussions n’ont pas prospéré. Il y a une autre structure qui a accepté d’accorder cette garantie. Les discussions ont suffisamment avancé et l’entreprise Toulcam nous a proposé un chronogramme qui indique que le financement sera mis en place en avril prochain, pour que les travaux commencent effectivement ».

Rappelons que, c'est le 10 décembre 2020, que le Mintp a présidé dans la localité de Mbankomo (région du Centre) la cérémonie de pose de la première pierre du projet de construction des 14 premiers postes de péage automatiques du Cameroun.

L’automatisation de ces infrastructures a pour principal atout, de limiter des fraudes (faux tickets, recyclage des tickets, etc.) et autres tripatouillages émaillent actuellement la gestion de ces ouvrages.

De bonnes sources, les 14 premiers postes de péage automatiques du Cameroun, réalisés sur le modèle du partenariat public-privé, coûteront officiellement 28,9 milliards de FCFA. Ils seront exploités par le constructeur jusqu’en 2039. À cette date, les recettes à verser à l’État culmineront à 48,9 milliards de FCFA par an, soit plus de cinq fois les recettes actuelles.

Innocent D H

 

 

 

L'indication est du Ministre camerounais des Finances (Minfi), Louis Paul Motaze, le 16 mai 2022 à Libreville, la capitale gabonaise, à l’occasion du lancement du road-show de l’emprunt obligataire de l’État du Cameroun, qui vise à lever 200 milliards de FCFA sur le marché financier sous-régional.

 

Au cours de cette rencontre, Minfi a été plus que clair. « Nous sommes demandeurs de beaucoup d’argent ». Louis Paul Motaze répondait ainsi à la question de savoir si le gouvernement camerounais est disposé à demander une surallocation des ressources auprès du régulateur, au cas où les souscriptions de l’emprunt obligataire en cours dépasseraient les 200 milliards de FCFA sollicités.

Louis Paul Motaze déclarait en effet, « Si je suis devant vous, c’est parce que j’en veux un peu plus. Les besoins sont énormes (…) Nous préparons en ce moment une loi de finances rectificative, à cause de l’impact considérable de la crise ukrainienne (…). Au Cameroun, avec la hausse des prix du pétrole, nous enregistrons un manque-à-gagner de plus de 600 milliards de FCFA parce que nous continuons de subventionner la consommation des produits pétroliers à la pompe, pour éviter une augmentation des prix. Si nous obtenons 600 milliards de FCFA, cela nous permet déjà de payer ces manque-à-gagner ».

De sources crédibles, le chiffre de 300 milliards de FCFA a circulé dans les coulisses du road-show, comme seuil à franchir par le consortium d’arrangeurs pour prétendre avoir accompli sa mission. Il convient de rappeler que, dans le cadre de cette opération, les arrangeurs ont déjà garanti à l’État du Cameroun une prise ferme de 180,5 milliards de FCFA. Leur ambition est désormais d’aller bien au-delà des 19,5 milliards de FCFA restants, en boostant les souscriptions, apprend-on.

L’appel de fonds lancé le 16 mai 2022 à Libreville par le ministre camerounais des Finances permet ainsi d'avoir quelques pistes sur le contenu de la loi de finances rectificative en cours de finalisation. Au regard des nombreux besoins de financements évoqués par le Minfi, le collectif budgétaire en cours de finalisation devrait logiquement connaître une hausse du seuil d’endettement autorisé. Le volume de titres publics à émettre en 2022 devrait désormais dépasser les 350 milliards de FCFA initialement prévus.

Par voie de conséquence, l’enveloppe budgétaire initiale (5 599,7 milliards de FCFA) devrait davantage s’épaissir. Ceci, compte tenu non seulement de la hausse envisagée du seuil d’endettement, mais surtout de l’augmentation imprévue des dépenses des personnels de l’État au titre de l’année 2022.

Innocent D H

 

La clarification est contenue dans une note verbale datée du 13 mai 2022 dans laquelle, l’ambassadeur du Cameroun en République centrafricaine (RCA) dément les informations véhiculées par certains médias centrafricains annonçant la décision du gouvernement camerounais d’interdire les exportations vers ce pays de la Cemac, à l’instigation de certaines puissances étrangères.

 

Précisons d'entrée de jeu, cette clarification, fait suite à une mauvaise interprétation de la lettre du 22 avril 2022, dans laquelle le ministre camerounais du Commerce, Luc Magloire Mbarga Atangana, demande au gouverneur de la région de l’Est, frontalière à la RCA, de renforcer les mesures de contrôle à l’exportation des produits de grande consommation, face au constat des « pénuries aggravées que l’on observe sur le marché national ».

Pour sa part, l’ambassadeur du Cameroun à Bangui est sans équivoque, il indique que, cette mesure « ne concerne que certains produits de grande consommation (ciment, huiles raffinées, farine de blé et le riz) et ne s’applique qu’aux denrées produites localement, et certains autres produits subventionnés à l’import (…) et destinés à la consommation domestique ».

« Cette mesure vise également certains opérateurs économiques véreux qui, après avoir multiplié des stratagèmes pour créer l’inflation, et priver les consommateurs locaux de l’accès à ces biens, ont entrepris de les exporter à l’étranger (…) y compris en RCA », fait savoir en outre le diplomate.

De sources officielles, l'on apprend que concrètement, la mesure transitoire prise par les autorités camerounaises pour s’assurer de l’approvisionnement du marché local en ciment, huiles raffinées, farine de blé et riz, ne s’applique pas aux échanges commerciaux classiques entre les deux pays, encore moins aux 55 milliards de FCFA de marchandises centrafricaines, qui transitent chaque année par le Cameroun, à travers le corridor Douala-Bangui.

Innocent D H

Dans une note rendue publique le 12 mai dernier, le Bureau de coordination des affaires humanitaires de l’ONU (OCHA en anglais) indique avoir enregistré une centaine de personnes nouvellement déplacées du fait de l’insécurité dans la région de l’Extrême-Nord.

 

Dans sa note, OCHA rapporte : « Le 1er mai, les attaques répétées de groupes armés non étatiques et le conflit intercommunautaire ont contraint 108 personnes à se déplacer de Zamalda à Mokolo, dans le département du Mayo-Tsanaga ».

Le Bureau de coordination des affaires humanitaires de l'ONU précise que le département du Mayo-Tsanaga, frontalier avec le Nigeria voisin, subit régulièrement des incursions d’hommes armés affiliés à la secte terroriste Boko Haram.

L'organisme spécialisé de l'ONU souligne dans sa note : « Les personnes déplacées à Mokolo vivent dans des conditions de surpopulation et sont exposées à la pluie. Leur déplacement ayant été brutal, elles ont un besoin urgent de nourriture, d’articles ménagers et d’abris ».

La région de l’Extrême-Nord abrite environ 297 000 personnes déplacées internes du fait essentiellement des attaques répétées de Boko Haram. 18 % de cette population se retrouve dans le Mayo-Tsanaga. Quelque 43 % d’entre elles ont trouvé refuge dans le département du Logone-Et-Chari et 30 % dans le Mayo-Sava, rapporte OCHA.

Innocent D H

Ce vendredi 13 mai 2022, l’ancien vainqueur du tournoi de Roland-Garros a officialisé à Yaoundé, la capitale du Cameroun, son engagement dans la lutte contre le paludisme.

 

« C’est un projet qui me tient à cœur, car il y a trop de femmes et d’enfants qui meurent. Il est temps que cela cesse », explique l’ancien Tenisman Yannick Noah.  

Selon Yannick Noah, le but de cette initiative, c’est « d’aider les enfants, essayer de faire en sorte que les enfants et les femmes camerounaises puissent avoir accès à des soins et à la prévention de ce fléau qu’est le paludisme qui nous touche tous », confie-t-il à l’association Impact santé Africa qui lutte contre le paludisme, dont il est devenu le porte-parole.

« Il y a des gens qui ont la chance d’avoir accès aux soins, dont je fais partie, mais je sais aussi qu’il y en a d’autres pour lesquels, c’est beaucoup difficile. C’est une injustice et il faut qu’on aille au-delà de cela », ajoute l’ancien vainqueur du tournoi de Roland-Garros.

A en croire Solange Ngou, directrice exécutive de l’association sus-évoquée, Yannick Noah va enregistrer des messages pour sensibiliser les populations et les dirigeants sur la lutte contre le paludisme. Cette responsable fait savoir, « Il a accepté de sensibiliser les leaders en France et ailleurs pour que plus de moyens soient apportés dans la lutte contre le paludisme ».  

Innocent D H

Dans un communiqué daté du 26 avril 2022, le Ministère camerounais des Transports (Mintransports) porte à la connaissance de l'opinion publique que les agents affectés aux opérations de prévention et sécurité routière relevant de son département ministériel seront désormais identifiables par une tenue vestimentaire.

 Selon le communiqué signé de Jean Ernest Massena Ngalle Bibehe, ce changement de tenue vestimentaire des agents de prévention et de sécurité routière, fait partie d'un ensemble de mesures internes prises dans le but de rationaliser, limiter et rendre plus professionnelles leurs interventions.

"Cette nouvelle tenue est un ensemble chemise-pantalon de travail couleur orange claire frappé de bandes rétro-réfléchissantes avec à l'avant de la chemise l'inscription PREVENTION ROUTIERE, les logos de prévention routière sur le côté gauche et de la Décennie 2021-2030 sur le côté droit, à l'arrière, la mention Road Safety et le logo du ministère des Transports", peut-on lire dans le document.

Le Ministre des Transports rappelle qu'il est interdit aux agents de la prévention et de la sécurité routière de : percevoir les amendes forfaitaires, utiliser les herses métalliques ou artisanales, interpeller les véhicules en transit sur le corridor conventionnel.

Le Mintransports informe enfin le public de l'existence de numéros de téléphones ci-dessous pour toute dénonciation, accessibles par Whatsapp. Il s'agit des contacts suivants : 620224529, 620224520 et le 620212741.

Innocent D H

L'information est du Ministère de l’Eau et de l’Énergie (Minee) qui indique que le Cameroun avait commandé 247 000 m3 de carburants pour le seul mois d’avril afin de satisfaire la consommation locale.

 

De manière analytique, le dépôt de la Société camerounaise de dépôt pétrolier (SCDP) a reçu 54 000 m3 de gasoil et 13 000 m3 de super. Le dépôt de la Société nationale de raffinage (Sonara) a reçu, quant à lui, 46 000 m3 de super et 72 000 m3 de gasoil. Cela fait en tout 120 000 m3 de gasoil et 69 000 m3 de super importés. Avec des besoins journaliers estimés à 5000 m3 de carburants (3000 m3 de gasoil et 2000 m3 de super), le pays dispose ainsi 37,8 jours de carburant en toute autonomie.

A en croire le Ministre de l'Eau et de l'Energie, pour renforcer ces quantités, l’arrivée d’un navire transportant 58 000 m3 de carburants d’ici le 30 avril 2022 est annoncée. Ce qui portera au total l’importation des carburants pour le mois d’avril à 247 000 m3 d’hydrocarbures, soit environ 50 jours d’autonomie, relève le membre du Gouvernement. Les commandes des carburants annoncées devraient résorber la pénurie ambiante, apprend-on.

A titre de précision, l'annonce de ces commandes intervient dans un contexte où ces dernières semaines, les consommateurs sont contraints de parcourir plusieurs stations-service dans le pays pour se procurer le précieux carburant.

Rappelons qu'en mi-mars, l’énergéticien Eneo pointait du doigt, « l’insuffisance de combustible au niveau de la SCDP ». Ce qui avait d'ailleurs obliger la Société sucrière du Cameroun (Sosucam), à suspendre sa production dans son unité de production de Mbandjock avant de la reprendre le 26 avril, après un approvisionnement en gasoil.

Innocent D H

C'est la raison de la signature le 26 avril dernier à Yaoundé, d'un accord entre la société Hévéa Cameroun SA (Hévécam) et le Ministère des Transports (Mintransports).

A travers cet accord, Hévécam sollicite un accompagnement météorologique pour booster sa performance. Selon les explications du directeur de la météorologie nationale au ministère des Transports, Simplice Tchinda Tazo : « Il sera question de former le personnel d’Hévécam qui s’occupe de la collecte des données à l’exploitation des prévisions, à évaluer l’impact des phénomènes météorologiques sur l’hévéaculture et proposer des solutions qui pourront être adoptées pour se mettre à l’abri des effets néfastes des phénomènes météorologiques extrêmes ».

Pour le Directeur général d'Hévécam, Benoît Snoeck, l' accord dont la validité est de 5 ans, est un « partage qui va permettre l’évolution de nos services au niveau de la prévention, de la définition de la météorologie dans le pays ». D’après ce responsable, Hévécam produit 27 000 tonnes de caoutchouc par an, mais vise une production de 33 000 tonnes cette année, faisait-il savoir sur la chaîne de télévision Africa 24 il y a quelques semaines.

L'on se rappelle à son arrivée à la tête de Hévécam en mai 2021, le DG Benoît Snoeck s'était fixé pour objectif principal : « Rendre cette société rentable le plus vite possible. C’est-à-dire pouvoir gérer les coûts de fonctionnement de la société en espérant que les cours du caoutchouc remontent rapidement ».

Innocent D H

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Sunday, 05 June 2022 11:01