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Innocent D.H.

Innocent D.H.

Révélation vient d’être faite par la Direction des impôts du ministère des finances dans une note. En effet, au cours des quatre derniers mois, la taxe sur les organismes à but non lucratif a rapporté des recettes additionnelles d’environ 500 millions de FCFA. 

 

Indiquons que cette taxe a été instituée par la loi de finances de 2022. D’après les termes contenus dans le texte, « Toute entité dotée de la personnalité juridique ou non, publique, privée ou confessionnelle, y compris les fondations, qui n’a pas pour but la recherche de bénéfices aux fins de distribution entre ses membres et dont l’activité n’est pas en concurrence avec celles réalisées par les entités à but lucratif ». Sont également concernés par ce texte, « les associations de toute nature, de droit ou de fait, les mutuelles, les clubs et les cercles privés ».  

Rappelons qu’en décembre 2021, cette disposition de la loi de finances avait fait débat lors de l’adoption du texte au Parlement. Pour la première fois, le Gouvernement allait alors taxer les tontines, dont le but de ces associations est souvent de permettre à chacun des membres de disposer d’un volume de ressources nécessaires à la réalisation d’un projet. La plupart de ces associations n’étaient pas jusque-là soumises à un régime d’imposition.

Innocent D H 

Le classement a été rendu public ce jeudi par l’instance faitière du football mondial. Le Cameroun perd ainsi une place comparativement au classement de mars dernier. Une perte qui intervient à quelques mois de la Coupe du monde prévue au Qatar.

 

Les Lions indomptables perdent une place au récent classement FIFA, pourtant, la qualification de l’effectif désormais entrainé par Rigobert Song Bahanag à la Coupe du Monde 2022, face à l’Algérie à Blida, ainsi que le match contre le Burundi ont contribué à faire gagner au Cameroun 4,47 points, à en croire la numérotation faite par la Fédération internationale de football association (FIFA).

Ces points nouveaux obtenus par le Cameroun n’ont pas été suffisants, mais, portent le score du pays de 1480,48 à 1484,95 points. S’agissant du Sénégal, il est le premier pays africain dans ce classement FIFA en occupant la 18ème place avec 1593,45 points totalisés grâce à 9,29 points de gagnés depuis le mois de mars 2022.

Le constat est clair dans ce classement, le Cameroun arrive derrière tous ses adversaires de la prochaine Coupe du Monde. En effet, le Brésil est premier de ce classement avec 1837,56 points. La Suisse qui dégringole s’adjuge la 16ème place avec 1621,43 points. La Serbie quant à elle est 25ème avec 1549,53 points.

Selon l’entraîneur Alain Owona, « Ce classement ne veut pas dire que le Cameroun n’a pas de chance. Dans les grandes compétitions comme la Coupe du Monde, l’issue des matchs est souvent incertaine. En plus, le Cameroun ne part pas au Qatar en victime résignée bien qu’au Qatar en victime résignée bien qu’il ne soit pas favori. Surtout que ça fait longtemps qu’on n’a pas traversé le premier tour de cette compétition ».

Innocent D H

L’examen les données de cette structure révèle que ses charges globales ont culminé à 66,09 milliards de FCFA en 2021 contre 52,2 milliards de FCFA l’année précédente, soit une augmentation de 13,89 milliards entre les deux périodes. Ce qui a impacté négativement le bénéfice de cet établissement public. 

 

Selon les données publiées le 23 juin dernier par la CSPH, son résultat net s’est chiffré à 4,2 milliards de FCFA en 2021. Ce qui implique une baisse de bénéfice de 72,1% comparativement au résultat de l’année 2020. Durant cet exercice, l’entreprise avait réalisé un résultat net de 15,1 milliards de FCFA. L’on apprend que ce rendement était un record puisque la CSPH avait quasiment triplé son bénéfice.

A en croire un expert, cette hausse des charges est due principalement à la hausse du moins perçue sur les importations de gaz domestique. Contrairement aux autres produits pétroliers à savoir : super, gasoil et pétrole lampant qui sont subventionnés par le budget de l’Etat, c’est la CSPH qui supporte la différence entre le prix réel du gaz et le prix de vente sur le marché local.

Selon la même source, ce moins perçue a augmenté du fait de la hausse du prix de gaz sur le marché international et de la hausse des quantités importées pour satisfaire une demande « sans cesse croissante » et que ne parvient à satisfaire la production locale.

Innocent D H

 

Lancé le 22 juin, il s’agit d’un programme de formation qui permet d’inculquer aux internautes l’utilisation responsable des médias sociaux.

 

 Phil Oduor, le responsable des programmes Meta Policy en Afrique subsaharienne se réjouit du lancement de ce programme au Cameroun : « Nous sommes ravis de lancer My Digital World ici au Cameroun. Ce programme a été conçu pour fournir aux jeunes et au grand public les compétences nécessaires pour naviguer dans les espaces numériques de manière sûre et responsable », exprime-t-il

Il convient de noter que cette initiative lancée au Cameroun par la firme américaine Meta bénéficie du concours de GIDICom, Digital Access et Positive Youths Africa. Articulé autour d’ateliers spécifiques dirigés par un formateur, le programme a pour objectif de former plus de 4 000 jeunes au total qui seront des dignes ambassadeurs de la firme pour une utilisation responsable des médias sociaux dans le pays.

Innocent D H

Le quotidien des personnes atteintes de cette maladie héréditaire est loin d’être un long fleuve tranquille. Entre les douleurs atroces liées aux symptômes chez les patients, la prise en charge cette pathologie coûte excessivement chère, en témoignent plusieurs parents. 

 

Selon l’enquête que nous avons menée auprès des patients à Garoua dans la région du Nord, le quotidien des personnes drépanocytaires n’est pas de tout repos.

Depuis 20 ans que la vie d’une patiente qui a requis l’anonymat se résume en des épisodes de douleurs dus à la drépanocytose. « Depuis ma naissance nous avons parcouru plusieurs hôpitaux sans déterminer la maladie dont je souffre. Ce n’est qu’après deux ans au centre pasteur de Garoua qu’on a détecté que je souffre de la drépanocytose ». « Quand ça commence j’ai très mal aux pieds, au dos, au niveau des côtes, c’est comme ça que ça se manifeste », ajoute timidement cette source.

Et c’est toute la famille qui est aussi touchée comme explique la mère de cette drépanocytaire, « Quand elle commence à faire la crise, elle n’arrive pas à se tenir débout. Dans la nuit, nous sommes obligés de la porter même pour lui permettre de faire ses besoins. On est obligé de lui injecter ses produits pour calmer la douleur ».

La drépanocytose impose aux patients une hygiène de vie dont la délicatesse exige de la famille la maîtrise des premiers gestes de prise en charge. « Les drépanocytaires ont une hygiène de vie spécifique, ils doivent avoir des vaccins. Ils doivent prendre régulièrement l’acide folique, c’est l’un des médicaments importants pour eux, et ils doivent régulièrement faire des visites chez les médecins pour voir la dentition, aller chez les ophtalmologues, éviter des boire des boissons glacées et s’habiller serrés », indique Danra, technicien de laboratoire, conseiller à la plateforme nationale « Convergence Drépano », qui appuie les associations des drépanocytaires.

Chez les drépanocytaires, la crise a un réel impact sur leurs activités, et la prise en charge constitue un véritable gouffre à sous. « La crise vient à tout moment et ça surprend toujours. L’enfant part à l’école, il compose le matin. Au retour le lendemain c’est fini, on se retrouve à l’hôpital », se désole Idrissou Balla, parent d’un drépanocytaire. Charline Bompda, une parente raconte elle aussi : « Quand je totalise les soins de ma fille, si elle est en santé, c’est pratiquement 25 à 45 000 FCFA ». Des dépenses que le technicien de laboratoire confirme : « Ça coûte cher aux parents. Ils peuvent dépenser des centaines de mille parce que l’enfant a été hospitalisé pour deux ou trois jours seulement ».

Pour porter la voix des patients, une association vient de voir le jour dans la capitale régionale du Nord, confie Danra, conseiller à la plateforme Convergence Drépano.

Le quotidien des personnes atteintes de la drépanocytose n’est pas aisé dans le Nord. L’arrivée de l’association des drépanocytaires se présente comme une lieur d’espoir pour de nombreux patients et leurs familles qui ont soif de retrouver le sourire.

Innocent D H 

C’était au cours d’une rencontre organisée le 18 juin dernier au Lawanat du quartier Souari avec l’appui du Projet d’amélioration du système d’état civil au Cameroun pour une citoyenneté active, financé par l’Union européenne. L’opération vise principalement à emmener les populations à faire déclarer les naissances dans les délais. 

 

 Pour que la sensibilisation fasse large écho, l’équipe déployée par l’agence régionale Bureau national de l’état civil (Bunec) sur le terrain a choisi l’approche de diffusion des messages clés en langue locale pour expliquer aux autorités traditionnelles les avantages de déclarer les naissances des enfants dans les délais. « Ils sont venus nous éclaircir la procédure de déclaration de naissance pour que nos enfants aient l’acte de naissance. Nous nous réjouissons parce que avant, il y avait parmi nous ceux qui veulent établir ce document, mais ne savent pas comment faire. A notre tour, nous allons continuer avec la sensibilisation dans les quartiers notamment dans les mosquées et les églises », exprime Sa Majesté Mohamadou Yaya Baka, chef traditionnel de 3ème degré de Souari.

Selon les explications du Chef d’agence régionale du Bunec pour la région du Nord, Nassourou Moussa Moussa, « En touchant aux chefferies traditionnelles, nous sommes convaincus que l’information qui est passée sera diffusée auprès des parents qui seront désormais conscients et pourront emmener à établir les actes à leurs progénitures et eux même pourront faire les actes de mariage ».  

L’opération de sensibilisation rentre dans le cadre de la réforme de l’état civil engagée par le Gouvernement camerounais depuis 2006. « L’Etat a relevé que le système d’état civil fait face à plusieurs problèmes notamment l’ignorance de la population sur l’importance de l’enregistrement des faits d’état civil, la méconnaissance des textes, la négligence même des parents. Plusieurs enfants scolarisés sont sans actes de naissance. Nous voulons emmener un plus grand nombre de personnes à déclarer les actes dans les délais et à maîtriser les procédures de jugement supplétif », fait savoir Sophie Mvoe Kounou, chef de projet d’amélioration du système d’état civil au Cameroun pour une citoyenneté active (PASECA).

Ces autorités traditionnelles du lawanat de Souari également édifiées sur l’importance des actes de mariage et de décès se disent déterminées à porter le message auprès des familles.

Innocent D H

Volonté exprimée au cours de la première session ordinaire du Conseil national décentralisation pour l’année 2022, présidée jeudi dernier à Yaoundé par le Premier ministre, Joseph Dion Ngute.

 

Au cours de cette session, le Ministre de la Décentralisation et du Développement local, Georges Elanga Obam, a rappelé que les conseils municipaux et régionaux comptent respectivement 10 626 et 900 conseillers élus. C’est ce qui ressort du rapport de cette réunion. L’on apprend en plus qu’entre 2019 et 2021, le ministère a compté 18 268 employés communaux et les conseils de région sont composés de 10 secrétaires, 10 receveurs régionaux en plus du personnel d’appoint recrutés directement par les présidents des conseils régionaux.

Pour sa part, le Ministre des Finances (Minfi), Louis Paul Motaze, a révélé que la prise en charge financière de ces personnes des CTD est évaluée à environ 25 milliards FCFA. Ce qui correspond à plus de 2 milliards FCFA de masse salariale par mois. Ainsi, le rapport à l'issue de « Le Minfi a plaidé pour que les administrations concernées mènent au préalable les diligences nécessaires pour bien cerner leur périmètre et les modalités de prise en charge du solde des agents de la fonction publique locale pour la maîtrise des postes de travail et des effectifs. L’enjeu étant d’éloigner le risque d’insoutenabilité budgétaire ».

Le Premier ministre, Chef du gouvernement a instruit le ministère de la Décentralisation et du Développement local de « veiller à la rationalisation des recrutements par les exécutifs municipaux et régionaux à travers une parfaite maîtrise des effectifs et de la masse salariale dans le respect de l’adéquation entre les profils des candidats et les postes sollicités et en tenant compte du seuil de soutenabilité budgétaire de chaque collectivité territoriale décentralisée ».

Innocent D H

C’est la substance d’un communiqué conjoint que viennent de publier le Ministre des Finances et son homologue en charge des Domaines, du Cadastre et des Affaires foncières. Le document informe que, l’opération de recensement va commencer par Douala, la capitale économique.

 

Le communiqué rendu public par les ministres Louis Paul Motaze et Henri Eyebe Ayissi précise : « Pour ce faire, il sera organisé à partir du 1er juillet 2022 dans le département du Wourri, une campagne de recensement et d’évaluation des immobilisations corporelles (terrains, bâtiments et matériel roulant) appartenant à l’Etat ».  

Une opération qui s’appuie sur la loi N° 2018/012 du juillet 2018 prescrivant la comptabilité patrimoniale de l’Etat. L’objectif étant, de constituer le fichier des actifs et passifs en vue de leur intégration dans les comptes publics.

A en croire une étude dont les résultats ont été publiés en 2020 par le cabinet camerounais Intelligence patrimonial +, l’on apprend que la commande du ministère en charge des Domaines, l’Etat du Cameroun est spolié tant dans le domaine public que privé notamment dans les régions du Centre et du Littoral, les zones ayant pour l’instant fait l’objet d’investigation.

S’agissant précisément du domaine public de l’Etat, l’étude révèle en effet, « des vérifications approfondies faites par les équipes d’experts ont fait découvrir des niches de recettes représentant des droits d’occupations temporaires distraits par les entreprises d’exploitation de carrières, pour un montant de 750 millions de FCFA environ, à recouvrer par les receveurs des domaines ».

L’étude indique également avoir mis en lumière des dysfonctionnements sur les nappes du cadastre dans les départements du Wourri (Littoral), du Mfoundi et de la Mefou et Afamba dans la région du centre.

Innocent D H

Ce chiffre a été révélé ce mercredi, 15 juin 2022 par l’Observatoire national de l’emploi et de la formation professionnelle (Onefop). Des emplois générés par l’économie camerounaise, insiste la source dans sa note de conjoncture.

 

Dans la note de conjoncture rendue publique par l’Onefop, « Les régions du Centre, du Littoral, du Nord-Ouest et du Sud sont celles qui créent le plus d’emplois dans le secteur moderne en 2021 et dans une moindre mesure l’Extrême-Nord ».

Selon l’observatoire, les résultats liés à la « répartition spatiale des projets, des programmes et les niveaux de diversification et de valorisation des économies locales sans oublier aussi des contextes sécuritaires », indique l’Onefop.

En 2020, 330 923 emplois modernes ont créés au Cameroun contre 358 247 en 2021, a compté l’organisme placé sous la tutelle du Ministère de l’Emploi et de la Formation professionnelle (Minefop). L’on apprend que les secteurs pourvoyeurs d’emplois sont l’administration publique, les programmes et projets d’insertion, les projets relevant du budget d’investissement public, les collectivités territoriales décentralisées, les coopératives, les ONG et les entreprises.

Au cours de la période sous revue, il faut toutefois reconnaître que des pertes ont été également enregistrées. L’Onefop informe : « En 2021, 17 141 emplois perdus (101 039) ont été comptabilisés au niveau des entreprises du secteur moderne de l’économie ». Il s’agit essentiellement des pertes dues à la pandémie à coronavirus qui avait frappé le Cameroun dès mars 2020.

Innocent D H

 

 

 

Ainsi présage l’Observatoire national sur les changements climatiques dans une récente note rendue publique. En effet, l’Onacc prédit de fortes précipitations au cours du mois en cours, pouvant causer des pertes dans le septentrion et la côte du Cameroun notamment dans le secteur de l’élevage (Bétail et volaille).

 

 A en croire l’Onacc dans sa note d’information, le secteur de l’élevage, notamment le bétail pourrait être victime de la foudre pendant les fortes pluies qui devraient s’accompagner de vents violents dans de nombreuses localités des régions de l’Adamaoua, du Nord et de l’Extrême-Nord. L’institution annonce également, qu’il est prévu des cas de perte de volaille dans les fermes et même durant le transport du fait des fortes chaleurs dans ces régions septentrionales.

L’Onacc prévient que, dans la partie sud du pays, des cas de pertes de volaille dans les fermes, suite aux inondations dans certaines localités de la bande côtière comme Douala, Edéa, Limbé, entre autres. Sont aussi annoncées au cours de cette période, des pertes dans l’élevage porcin suite aux situations de froid dans cette partie du pays.

Pour des observateurs avertis, ces prévisions ne sont pas de nature à rassurer quand on sait que la situation de la sécurité alimentaire est déjà préoccupante au Cameroun. En rappel, la Banque mondiale (BM), a approuvé le 2 mai dernier, un crédit de 100 millions de dollars, soit environ 62,4 milliards de FCFA de l’Association internationale de développement (IDA). A travers ce crédit, il est question pour l’institution financière d’aider le pays à renforcer la sécurité alimentaire et nutritionnelle et à accroître la résilience aux chocs climatiques aux niveaux des ménages et des producteurs inscrits dans le cadre du « Projet d’urgence contre la crise alimentaire », apprend-on.   

Innocent D H

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Sunday, 05 June 2022 11:01