Le véhicule dans lequel se trouvaient ces Forces de défense et de sécurité, est monté sur un Engin explosif improvisé.
Ce weekend, l’armée au front dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest (Noso) a enregistré des pertes en vies humaines. Le samedi 13 novembre 2021, un véhicule de police qui transportait des éléments des Forces de défense et de sécurité est tombé dans une embuscade séparatiste à Matazen, non loin de Santa (Nord-Ouest). Ledit véhicule est monté sur un Engin explosif improvisé. Le bilan officieux fait état d’au moins 5 policiers et gendarmes tués. Il parle aussi de blessés et d’un civil qui a perdu la vie. Il convient de préciser que l’armée n’a toujours pas communiqué sur ce drame. Toutefois, un cordon de sécurité a immédiatement été érigé par l’armée qui multiplie les fouilles pour retrouver les auteurs de cet attentat.
Il convient de souligner que depuis des semaines, le Noso est marqué par des décès de civils, des soldats. L’un de ces décès survenus récemment est celui de l’élève de 8ans qui répondait au nom de Brenda Tataw. Elle a été accidentellement tuée par un policier le 12 novembre dernier. Il se trouve que ce policier au niveau du poste de contrôle institué au niveau de «Dream land snack bar» a interpellé un véhicule particulier au quartier Nkwen. Et le conducteur dudit véhicule qui s’appelle Ngum Goodluck et est le Directeur général de la microfinance Credit union de Bamenda, a refusé d’obtempérer.
«Ce conducteur ayant refusé d’obtempérer, le gardien de la paix Fahga Alain de l’équipe de contrôle s’est lancé à sa poursuite et a procédé à des tirs dans le but d’immobiliser le véhicule en fuite. Une balle a atteint mortellement, par ricochet, la nommée Tataw Brandy, élève qui se trouvait de l’autre côté de la route», indique le communiqué de Martin Mbarga Nguele le Délégué général à la sûreté nationale.
Liliane N.
La fillette appelée Brandy Tataw revenait des classes au moment où elle a reçu accidentellement la balle qui lui a couté la vie.
C’est un nouveau drame qui s’est produit hier vendredi 12 novembre 2021, à Bamenda dans la région du Nord-Ouest. Une élève âgée de 8 ans appelée Brandy Tataw a été mortellement atteint par une balle tirée par un policier au lieudit New Road.
En fait, il se trouve que le policier se trouvant au poste de contrôle institué au niveau de «Dream land snack bar» a interpellé un véhicule particulier au quartier Nkwen. Dans son communiqué informant l’opinion de ce triste événement, Martin Mbarga Nguele le Délégué général à la Sûreté nationale (Dgsn), indique que le conducteur dudit véhicule s’appelle Ngum Goodluck. Il est le Directeur général de la microfinance Credit union de Bamenda.
«Ce conducteur ayant refusé d’obtempérer, le gardien de la paix Fahga Alain de l’équipe de contrôle s’est lancé à sa poursuite et a procédé à des tirs dans le but d’immobiliser le véhicule en fuite. Une balle a atteint mortellement, par ricochet, la nommée Tataw Brandy, élève qui se trouvait de l’autre côté de la route», rapporte le Dgsn.
A cause de cette tragédie, Bamenda s’est retrouvée en ébullition. Les populations ont investi les artères de la ville pour manifester contre cette bavure policière, qui une fois de plus a été fatale pour une élève. On se souvient que le mois dernier, c’est de cette façon qu’une écolière de 5 ans a perdu la vie à Buea dans la région du Sud-Ouest. Contrairement au gendarme Achille Mvogo, le gardien de la paix Fahga Alain n’a pas été lynché par la population parce qu’ayant réussi à prendre la poudre d’escampette. Cependant, le Dgsn Martin Mbarga Nguele indique qu’il a été mis aux arrêts dans le cadre de l’enquête ouverte, par la Division régionale de la police judiciaire du Nord-Ouest.
Liliane N.
Le président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun Maurice Kamto dit dénoncer l’inaction du gouvernement face aux traitements inhumains des compatriotes, en Guinée équatoriale.
Communiquant pour la première fois sur les récentes interpellations des camerounais en Guinée équatoriale, S.E Désiré Jean Claude Owono Menguele a indiqué que l’Ambassade dont il a la charge, a pris des mesures d’assistance consulaire. Il a déclaré dans son communiqué que le mardi 2 novembre 2021, les compatriotes arrêtés ont reçu des denrées alimentaires, des produits hygiéniques et sanitaires de première nécessité. Seulement, du point de vue du président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) Maurice Kamto, le gouvernement semble ne pas se préoccuper de la situation de nos compatriotes. Il observe que c’est le cas en fait pour toute la diaspora.
«Le drame des Camerounais vivant en Guinée Équatoriale, comme malheureusement le sort de la diaspora camerounaise en général, ne semble pas préoccuper outre mesure le Gouvernement de notre pays. Que deviennent les biens et avoirs des Camerounais expulsés dans les conditions décrites ci-dessus ? Comment nos compatriotes contraints de rentrer dans la précipitation au Cameroun sont-ils accueillis et accompagnés pour leur réinsertion dans leur pays?Comme à chaque fois face à la détresse des Camerounais à l'étranger, le Gouvernement en place se mure dans le silence, honteux d'une réalité qui expose l'ampleur de son échec économique et social après près de quarante ans de gestion autocratique. Les Camerounais, qui subissent en permanence des humiliations inacceptables dans ce pays voisin, sont en réalité des compatriotes qui fuient la misère dans leur pays, ce pays qui, jadis, apportait de l'aide au développement à d'autres pays», a-t-il écrit dans sa déclaration publiée le 11 novembre 2021.
Par la plume de son leader Maurice Kamto, le MRC recommande au gouvernement de se montrer intolérant envers la Guinée équatoriale face à ce que les camerounais subissent.
«Le MRC demande au Gouvernement d'exiger d'urgence des explications au Gouvernement équato-guinéen sur cette situation intolérable. Le MRC se tient aux côtés des Camerounais, victimes de ces abus en terre équato-guinéenne, et appelle le pouvoir à leur garantir l'assistance consulaire, et à mettre en place une aide d'urgence à ceux d'entre eux qui reviennent par quelque moyen que ce soit au Cameroun», peut-on lire dans la déclaration de Maurice Kamto.
Liliane N.
L’opération à succès a été faite le 10 novembre 2021, par une équipe de médecins de l’Hôpital général de Yaoundé, conduite par le Pr Thierry Berney, chirurgien de transplantation des Hôpitaux universitaires de Genève en Suisse.
C’est véritable exploit et une grande première non seulement pour le Cameroun, mais pour toute l’Afrique centrale. Le mercredi 10 novembre 2021, le Cameroun a conduit avec succès, la toute première transplantation rénale de la région. Elle a été pratiquée sur homme de 34 ans dans la capitale, Yaoundé. D’après les sources médicales, le dénommé Yves Balogu a accepté qu’un de ses reins lui soit substitué pour être donné à son frère patient Bertrand Balogu. Vincent de Paul Ndjientcheu, le Directeur général de l'Hôpital général de Yaoundé, joint au téléphone par l’agence Xinhua, a indiqué que l'opération a été un succès puisque les reins sont compatibles.
«Les deux patients vont bien. A priori, le rein transplanté devrait bien fonctionner. Nous n’avons pas eu de complications. Quand on fait une transplantation rénale à partir d’un donneur vivant, la première préoccupation concerne le donneur, parce qu’il est primordial qu’on ne lui cause aucun souci de santé. Il est également important de savoir que le fait de vivre avec un seul rein ne cause aucun problème sur le fonctionnement normal d’un être humain», explique le Pr Thierry Berney chirurgien de transplantation des Hôpitaux universitaires de Genève en Suisse.
Vincent de Paul Ndjientcheu, le Directeur général de l'Hôpital général de Yaoundé précise que si l’opération a pu être possible et connaître une réussite, c’est aussi grâce au renforcement de son plateau technique. Sous ce rapport, il estime que « l’hôpital général pourra désormais soigner toutes ces pathologies qui, par le passé, étaient évacuées à l’extérieur ».
D’après les sources médicales, cette opération de transplantation rénale, marque une étape importante dans le secteur de la santé du Cameroun.
Liliane N.
Le président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun Maurice Kamto condamne le traitement infligé aux camerounais qui vivent en Guinée équatoriale.
Si l’ambassadeur Désiré Jean-Claude Owono Menguele a affirmé qu’il n’y a pas de traque des camerounais en Guinée équatoriale, la déclaration du président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) Maurice Kamto dit le contraire. Cette déclaration a été rendue publique hier 11 novembre 2021. Le leader du MRC demande aux autorités équato-guinéennes de respecter les conventions internationales protégeant les droits des hommes et ceux des étrangers.
«Depuis peu, les informations qui nous parviennent sur la situation des Camerounais vivant ou se trouvant en Guinée Équatoriale sont alarmantes. Ces informations font état de rafles violentes, voire de ratonnades, visant les émigrés en général et les Camerounais en particulier. La République de Guinée Équatoriale est un Etat souverain. Aussi est-elle libre de faire respecter les lois dont elle s'est dotée. Cependant, ce pays frère a ratifié plusieurs conventions internationales qui protègent les droits de l'homme, y compris les droits des étrangers, que ces derniers soient des résidents ou des migrants», a écrit Maurice Kamto.
Parlant au nom de son parti politique et sachant que la Guinée équatoriale est tenue de respecter les conventions internationales, Maurice Kamto lui demande de traiter différemment les camerounais qui vivent dans son territoire.
«C'est donc sur la base de ces considérations que le Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC) s'élève contre le traitement qui est fait aux ressortissants camerounais par les autorités équato-guinéennes : arrestations au faciès ou au patronyme, violences gratuites, traitements inhumains, cruels et dégradants, vol de biens, spoliations etc. Même en cas de défaut de titre de séjour, le migrant mérite d'être traité avec humanité. Le MRC note, pour le déplorer, que ces expulsions de ressortissants camerounais, organisées en violation des règles internationales établies en la matière, ne sont malheureusement pas les premières. Aussi invite-t-il les autorités de la République sœur de Guinée Équatoriale à prendre conscience de la perception que ces brutalités renvoient dans l'opinion camerounaise», a écrit l’ancien candidat à l’élection présidentielle de 2018.
Tout en indiquant que les camerounais souhaitent avoir de bonnes relations avec la Guinée équatoriale, Maurice Kamto précise qu’ils ne sont pas prêts de l’entretenir «au prix du sacrifice permanent de la dignité et des intérêts des Camerounais vivant sur le sol équato-guinéen».
Liliane N.
Le président de l’Assemblée nationale Cavaye Yéguié Djibril demande aux camerounais d’être plus patriotes que jamais, pour la réussite de la 33ème édition de la Coupe d’Afrique des Nations.
Lors de son discours d’ouverture de la session de novembre à l’Assemblée nationale, Cavaye Yéguié Djibril s’est attardé sur l’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN). Il convient de rappeler que la CAN va se jouer au Cameroun du 9 janvier au 6 février 2022. L’événement sportif continental étant tant attendu, le président de l‘Assemblée nationale (PAN) a profité de cette cérémonie d’ouverture de session qui a eu lieu ce 11 novembre 2021, pour demander aux camerounais de contribuer pour sa réussite.
«C’est l’occasion pour la Représentation Nationale d’en appeler à la légendaire hospitalité des camerounaises et des camerounais, à leur patriotisme car, il faut donner l’image, la meilleure de notre pays. La CAN TOTAL ENERGIES 2021 s’inscrit bien dans la logique du grand destin dont rêve le Président Paul BIYA pour le Cameroun. Si l’organisation de cette compétition dans notre pays est le fruit de l’engagement personnel du Chef de L’Etat, il faut dire aujourd’hui que l’évènement est la propriété de tous les compatriotes. Son succès dépend de chacun de nous et de tous. Aussi faut-il cesser, toute activité ou action visant à ternir l’image du Cameroun ; arrêter toute velléité de désinformation ; éviter des postures populistes et irresponsables qui ne servent que les intérêts égoïstes de certains», a déclaré le PAN.
Le très honorable Cavaye Yéguié ne s’est pas seulement adressé aux camerounais, il a aussi passé un message à ceux qui sont directement impliqués dans l’organisation de la CAN.
«Par ailleurs, j’exhorte les différentes instances nationales chargées de l’organisation, à faire également preuve de patriotisme, de retenue et de professionnalisme. Je leur recommande tout particulièrement, une saine gestion de la compétition à tous les niveaux et dans tous les domaines. Nous voulons d’une CAN TOTAL ENERGIES 2021 sucrée et non amère. A tous les acteurs, en particulier ceux qui viendront d’ailleurs, je leur dis déjà : Welcome to Cameroon», a-t-il déclaré.
Liliane N.
L’explosion s’est produite dans la soirée du mercredi 10 novembre 2021.
C’est au lieudit «Financial Jonction», qu’une explosion a eu lieu hier dans la ville de Bamenda, chef-lieu de la région du Nord-Ouest. L’engin explosif d’après nos sources, a été posé à l’intérieur d’un kiosque. Les vidéos en circulation sur la toile, montre un véhicule tout en flamme. Des témoins affirment que plusieurs civils dont le propriétaire du kiosque et deux policiers ont été blessés suite à la déflagration.
Juste pour cette semaine en cours, c’est la deuxième explosion qui se produit dans les régions anglophones. Au Sud-Ouest précisément à l’Université de Buea, toujours dans la journée du 10 novembre 2021, un engin explosif a explosé en créant une panique générale. Il y a eu des blessés parmi les étudiants. 11 d’entre eux l’ont été grièvement. Ils ont été conduits dans des formations sanitaires.
Et depuis le début de ce mois de novembre, il y a des explosions dans les deux régions anglophones. Des engins explosifs ont été placés dans deux taxis. Le chauffeur d’un de ces taxis a même perdu la vie.
Liliane N.
L’explosion s’est produite hier 10 novembre 2021 à l’Amphi 600 de l’Université de Buea.
Hier mercredi 10 novembre 2021 en fin d’après-midi, il y a eu explosion à l’Université de Buea, alors que le Haut-Commissaire du Canada au Cameroun s’y trouvait pour une séance de travail avec les autorités académiques. L’engin explosif a explosé précisément à l’Amphi 600. Le bilan fait état de plusieurs étudiants blessés. 11 ont été grièvement blessés. Ils ont été évacués vers différentes formations sanitaires de la ville où ils bénéficient d’une prise en charge. La panique ayant gagné l'ensemble du campus, l’Université s'est rapidement vidée de ses étudiants.
Le Prof. Ngomo Horace Manga vice-chancelier de l'Université de Buea a déclaré que les enquêtes révéleraient les auteurs de l'explosion sur le campus. Interrogé sur les auteurs possibles, il a déclaré qu'il était trop tôt pour faire des déclarations concluantes. Cependant, de nombreuses personnes ont imputé l'explosion aux combattants ambazoniens. La raison étant que les séparatistes ont pris l’habitude de s'attaquer aux lieux protégés par des conventions internationales même en temps de guerre : écoles, hôpitaux, lieux de culte.
Après l’explosion, il y a eu un important déploiement des forces de sécurité sur le campus de Molyko. Il faut noter que c'est au moins la troisième explosion enregistrée dans la ville de Buea en l'espace de trois semaines. Les deux premières se sont produites dans deux taxis. Le chauffeur d’un de ces taxis appelé Baudelaire Feugang a perdu la vie.
Liliane N.
Le président du Front des démocrates camerounais Denis Emilien Atangana veut protester contre le maintien illégal en fonction des Présidents de Conseils d'Administration, Directeurs Généraux et Adjoints.
Le président du Front des démocrates camerounais (FDC) Denis Emilien Atangana n’a pas mis de côté le combat qu’il a engagé contre le maintien illégal en fonction des Présidents de Conseils d'Administration, Directeurs Généraux et Adjoints. Par voie de communiqué, il annonce à l’opinion qu’il organise un sit-in le jeudi 11 novembre 2021 à partir de 10h à l'esplanade du Palais des Congrès de Yaoundé. Le choix de ce lieu n’est pas anodin. Il veut se faire entendre des parlementaires qui y seront dans le cadre de la session ordinaire de novembre.
«Pour le FDC, les Députés et les Sénateurs ne sauraient examiner et voter le budget 2022 alors qu'une bonne partie de ce budget sera géré par 120 personnes hors la loi. C'est pourquoi l'objectif de Sit-in patriotique est de rappeler aux Sénateurs et Députés qu'il est de leur devoir, en qualité de représentant du peuple de ne pas cautionner la violation de l'article 70 alinéa 4 de la loi n°2017/0011 du 12 julliet 2017 portant statut général des établissements publics qui dispose: "Dans tous les cas, les mandats cumulés d'un directeur général ou de son adjoint ne peut excéder 3 ans renouvelables deux fois " d'une part, et d'autre part, qu'il est de leur devoir de saisir le Conseil Constitutionnel afin qu'il statue sur le fond et ordonne la cessation d'activité des PCA, DG et DGA illégaux», peut-on lire dans le communiqué de Denis Emilien Atangana.
Le président du FDC fait savoir qu’une déclaration de manifestation conformément à la loi a déjà été déposée auprès des services du Sous-préfet de l'Arrondissement de Yaoundé 2. Il faut rappeler que le FDC avait été débouté devant le Conseil constitutionnel, après y avoir introduit une plainte, le 7 septembre 2021.
Liliane N.
Eric Choupo Moting a été en contact avec l’un de ses coéquipiers du Bayern Munich testés positif au Coronavirus.
Alors qu’on le disait présent dans la tanière des Lions indomptables depuis lundi soir, Eric Choupo Moting n’est en réalité jamais arrivé à Yaoundé, où se trouvent ses coéquipiers de l’équipe nationale. L’attaquant du Bayern Munich et ancien joueur du Paris Saint Germain ne pourra pas jouer le match contre le Malawi. La raison est qu’il a été en contact avec l’un de ses coéquipiers du Bayern Munich testés positifs au Coronavirus.
Et selon la réglementation allemande, il est tenu d’observer une quarantaine de 7 jours. C’est ce qu’il fait donc depuis le samedi 6 novembre 2021. D’après le team press des Lions indomptables, son club a toutefois pris des mesures pour qu’il poursuive sa préparation physique. Choupo Moting pourra rejoindre les Lions indomptables pour le match contre les Eléphants de Côte d’ivoire. Ce match se jouera le 16 novembre 2021, à Douala. Cela ne sera possible qu’après qu’il ait effectué un test dont le résultat doit être négatif.
Il faut noter qu’il n’y a pas qu’Eric Choupo Moting qui sera forfait. Il y a aussi Kunde Malong, blessé en club ce weekend. Il y a Yvan Neyou et Harold Moukoudi eux aussi indisponibles pour blessures.
Il convient de rappeler que les rencontres contre le Malawi et la Côte d’ivoire comptent respectivement pour les cinquième et sixième journées des éliminatoires de la Coupe du monde de football, Qatar 2022.
Liliane N.