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Liliane N.

Liliane N.

Selon l’Agence de presse panafricaine, les combattants ambazoniens qui seront remis aux autorités, s’adonnaient à des activités rédhibitoires sur le territoire nigérian.

Dans le cadre de la coopération Abuja-Yaoundé et la mutualisation des efforts militaires pour combattre la secte Boko Haram, le Nigéria va livrer au Cameroun une vingtaine de combattants séparatistes. L’Agence de presse panafricaine qui relaie cette information, rapporte que les combattants qui seront livrés, ont d’abord été interpellés par la police nigériane. Il se trouve que ces derniers s’adonnaient à des activités rédhibitoires sur le territoire nigérian.  

La question de l’extradition des combattants sus mentionnés intervient quelques jours après que les forces ambazoniennes aint été accusées de raid contre un village nigérian de l’Etat de Taraba. Il a été dit que les séparatistes auraient tué une vingtaine de personnes dont un chef local. Des accusations démenties par le vice-président de l’Etat virtuel d’Ambazonie. Dans une déclaration, Dabney Yerimah a dénoncé des mensonges et accusé les forces gouvernementales.

« Les combattants d’Ambazonie n’ont aucun motif ou intérêt d’envahir un autre pays ami pour causer des ravages en tant que tels. Ces rapports sont tous des mensonges et si de telles actions ont eu lieu, il s’agit d’une mécanisation directe des plans du gouvernement camerounais et nigérian pour cibler notre peuple au Nigeria. Les forces d’Ambazonie ont des ressources limitées et ne gaspilleront pas ces ressources en ouvrant une autre frontière de guerre dont elles savent qu’elle est importante pour elles à bien des égards. Nous dénonçons par la présente cette campagne de diffamation médiatique contre nos forces. La communauté internationale doit enquêter», a déclaré Dabney Yerimah.

Il convient de préciser que jusqu’ici, aucune communication officielle n’a été faite au sujet de l’extradition des combattants séparatistes.

Liliane N.

 

 

 

 

 

Selon le ministre des Enseignements secondaires Pauline Nalova Lyonga, sur 3 891 établissements scolaires publics inspectés, 198 ne disposent pas de toilettes et pour ce qui du secteur privé, sur 1226 visités 96 écoles n’en ont pas.

Le ministre des Enseignements secondaires Pauline Nalova Lyonga n’a pas caché sa préoccupation, par rapport à l’absence criarde des toilettes dans les établissements scolaires du Cameroun. Lors de la journée mondiale des toilettes célébrée le 20 novembre 2021, alors qu’elle prenait part à une visio conférence, elle a rendu public les chiffres qui donnent une idée de l’ampleur de la situation. Il en est donc que sur 3 891 établissements scolaires publics inspectés, 198 ne disposent pas de toilettes. Et dans le secteur privé, sur 1226 écoles visitées, 96 n’ont pas de toilettes. La conséquence de cet état de choses est que, les élèves sont abandonnés à leur sort, et c’est à qui mieux mieux lorsqu’arrive le moment de faire ses besoins. Pour le membre du gouvernement, la situation est réellement préoccupante.

«Quand vous recevez les étrangers chez-vous, s’ils ne vont pas dans le salon, ils vont aller aux toilettes. Ce sont des lieux qui renseignent sur qui vous êtes, sur comment vous vivez », a-t-elle déclaré.

Le ministre des Enseignements secondaires, appelle la communauté éducative à un meilleur entretien de ces espaces de soulagement, de sorte à les maintenir toujours dans un cadre salubre. Toutefois, on note qu’elle n’a annoncé aucune action envisageable pour contraindre les chefs d’établissements à doter leurs infrastructures de toilettes.

Liliane N.

 

En visite sur le chantier du stade Olembe, le ministre des Sports et de l’Education physique Narcisse Mouelle Kombi et les responsables de Magil se sont montrés rassurés sur la date de livraison de l’infrastructure qui doit abriter le match d’ouverture de la Coupe d’Afrique des Nations 2021.

Le stade Olembe sera livré le 30 novembre prochain. Les responsables de l’entreprise Magil l’ont réitéré ce weekend, lors du passage du ministre des Sports et de l’Education (Minsep) Narcisse Mouelle Kombi qui est par ailleurs le président du Comité d’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations (Cocan). Le Minsep y a fait deux descentes. La première des deux descentes a eu lieu dans la nuit du vendredi 19 novembre au samedi. Il était question pour le ministre, de s’assurer que les équipes de Magil travaillent de jour comme de nuit. Et la deuxième visite avait comme objectif d’évaluer dans l‘ensemble le niveau d’avancement des travaux.

«Nous sommes satisfaits de ce que nous constatons par rapport à l’évolution des travaux de l’intérieur tout comme à l’extérieur…Nous avons été heureux de constater que les équipes étaient à l’œuvre pour mettre en forme ce qui pouvait donner l’impression que les accès ne sont pas tout à fait prêts mais qui rentre dans le planning qui doit nous amener à la livraison de l’infrastructure à la fin du mois de novembre…La perfection n’étant pas de ce monde, nous allons assurer et garantir l’essentiel pour le 30 novembre », a déclaré le président du Cocan Narcisse Mouelle Kombi.

Sauf qu’il convient de souligner que le président de la Confédération africaine de football (CAF) Patrice Motsepe a promis de revenir au mois de novembre au Cameroun. Il reste donc 8 jours à Magil pour boucler avec les travaux d’Olembe. Les responsables affirment avoir mis sur pied un plan d’action.

«Ce planning a démarré le 19 novembre. Nous avons comme objectif le 28 novembre, de façon à avoir deux jours de nettoyage, pour que le 30, nous soyons totalement opérationnel», a déclaré Stéphane Daux le Directeur technique de Magil.

Liliane N.

 

                                                                                           

 

Les syndicats d’enseignants du sous-système éducatif anglophone demandent aux séparatistes d’annuler cette mesure.

Le 17 novembre 2021, les cinq plus grands syndicats des enseignants du sous-système éducatif anglophone, se sont réunis à Bamenda, dans la région du Nord-Ouest. Ils sont préoccupés par les «appels gratuits de fermeture» des écoles lancés par les séparatistes dans leur région. Ils dénoncent cette autre mesure et « constatent avec consternation, mécontentement et angoisse, la profanation et la destruction gratuites de vies humaines, notamment d’élèves, d’étudiants et d’enseignants simplement désireux de respecter l’objectif de développement durable “éducation pour tous” de l’ONU ».

Dans le communiqué qu’ils ont rendu public à la suite de leur assise, les cinq plus grands syndicats des enseignants du sous-système éducatif anglophone s’offusquent de voir que des engins explosifs improvisés sont dorénavant utilisés dans les établissements scolaires, les universités. Ils notent que l’usage de ces engins est parfois gratuit et entraînent chez les victimes, des conséquences psychologiques, physiques et tragiques.

Citant les décès de l’écolière de Bamenda et celui de l’élève de Buea, les enseignants dénoncent «également avec force l’utilisation effrénée des armes à feu dans nos villes et villages, tant par les agents de sécurité du gouvernement que par les groupes armés».

De ce fait, ils lancent « un appel fort et urgent » aux parties en conflit. Ils affirment que « les élèves, les étudiants, les enseignants et les parents ne doivent pas être persécutés et soumis à la douleur, la peur, l’incertitude et même la mort dans leur quête d’acquérir et de fournir une éducation ».  

« Nous implorons le pouvoir en place de s’assurer que l’éducation reste toujours une priorité absolue, surtout dans les circonstances actuelles », ajoutent-ils.

Liliane N.

 

 

Le journaliste Ernest Obama affirme que l’ancien capitaine des Lions indomptables Samuel Eto’o a toutes les compétences et capacités requises pour diriger la Fédération camerounaise de football.  

C’est en sa qualité de porte-parole de Samuel Eto’o Fils, que le journaliste Ernest Obama Directeur de la chaîne de télévision Bnews 1, qu’il a intervenu hier 21 novembre 2021, au programme dominical «L’arène» de Canal 2. La thématique de cette édition étant «la candidature de Samuel Eto’o sous toutes ses coutures», l’objectif d’Obama a tout naturellement été de vanter les prouesses de celui qu’il a présenté comme son frère. Il est donc convaincu que l’ancien capitaine des Lions indomptables a la capacité de gérer la Fédération camerounaise de football. Aussi, il s’est offusqué du fait que le présentateur de l’émission Rodrigue Tongue ait demandé ce que ferait Eto’o Fils s’il ne gagne pas cette élection.

«Eto’o est le sauveur de la Fédération camerounaise de football», a-t-il déclaré haut et fort.

Regardant les trois années de gestion de Seidou Mbombo Njoya candidat sortant et prétendant à sa propre élection, Ernest obama qui trouve qu’on est revenu à 25 ans en arrière, affirme qu’avec Samuel Eto’o, il sera question d’innover.

Comme on pouvait bien s’y attendre, la question sur le problème de double nationalité de Samuel Eto’o Fils a été évoquée. Ernest Obama a indiqué que le commission électorale de la Fecafoot n’est pas compétente pour contester la nationalité d’une personne.

«Pour être candidat à la Fecafoot, il faut être citoyen camerounais. Comment on prouve qu’on est citoyen camerounais, on le prouve parce qu’on a une carte nationale d’identité, parce qu’on a un certificat de nationalité. Ces deux documents sont bel et bien dans le dossier qui a été déposé à la Fédération camerounaise de football…La commission électorale de la Fédération camerounaise de football n’est pas compétente pour contester la nationalité de quelqu’un. Quel que soit le document que vous présentez. La Commission travaille sur pièces. On a demandé 2 pièces, M.Eto’o les a fourni», a-t-il déclaré.

Liliane N.

 

 

 

 

 

 

Les 3 policiers sont en service au Commissariat de police du 9e arrondissement de Douala. Ils sont en exploitation par les services de sécurité.

Il y a du nouveau dans l’affaire de Bertin Nzimo, le civil de 37 ans qui est décédé après avoir été torturé au Commissariat de police du 9ème arrondissement de la ville de Douala. L’enquête qui a été ouverte suite à sa mort, a conduit à l’interpellation de 3 policiers.

Retour sur les circonstances de la mort du civil

Les faits remontent au 16 novembre 2021. Bertin Nzimo était un commerçant de pièces détaché qui vivait à Bonabèri. Il était le père de 14 enfants et l’époux de 3 femmes. Il se trouve qu’il a voulu construire un magasin pour stocker ses marchandises dans une mini-cité au quartier Bépanda, précisément au lieudit Carrefour Pasteur. L’idée n’a pas été du goût d’une Inspectrice de deuxième grade (Ip2) en service à l’aéroport de Douala, qui vit dans la mini-cité susmentionnée.

Bertin Nzimo malgré le refus de l’Ip2, a fait appel à un technicien pour la construction du magasin. L’inspectrice décidée a empêché la construction du local, a giflé l’ouvrier engagé par le défunt, qui est venu le secourir. Le lendemain de cette altercation c’est-à-dire le 17 novembre 2021, Bertin Nzimo a reçu une une convocation adressée à son ouvrier. Il a indiqué qu’il ne connaissait pas l’adresse exacte du technicien pour la lui remettre. Plus tard en soirée, aux environs de 17 h, alors qu’il se trouvait dans sa boutique avec l’une de ses épouses, l’Inspectrice accompagnée de ses collègues ont débarqué. Il a été interpellé et conduit au commissariat de sécurité publique du 9ème arrondissement.  

«Avant qu’il n’arrive au commissariat, il a été tabassé par les policiers au point où il a eu une blessure à côté d’un œil. Il saignait abondamment», témoigne l’un de ses frères.

 C’est aux environs de 22 h que Bertin a été relâché. Il est retourné nuitamment chez lui à Bonabéri. Son état de santé s’est dégradé pendant la nuit. À 4 h du matin jeudi, il a été transporté à l’hôpital de district de Bonassama, où il a rendu l’âme.

Liliane N.

 

 

Cette décision qui est de S.E André Magnus Ekoumou l’ambassadeur du Cameroun en France, entrera en vigueur à partir du 1er décembre 2021.

En raison de la pandémie du Coronavirus, S.E André Magnus Ekoumou a décidé de conditionner l’accès à l’ambassade du Cameroun en France. Dans un communiqué qu’il a signé le 17 novembre 2021, il porte à la connaissance des usagers, des visiteurs et même du personnel de l’ambassade, que l’accès dans les locaux de la représentation diplomatique camerounaise sera désormais possible qu’après la présentation d’un pass sanitaire Covid-19.

Le pass sanitaire qui sera désormais demandé dès le 1er décembre 2021, sera obligatoire pour toute personne ayant plus de 12 ans. En détail, il sera question de montrer une attestation de vaccination, la preuve d’un test de dépistage négatif (test RT-PCR) de moins de 72 heures, le résultat d’un test RT-PCR ou antigénique positif attestant du rétablissement de la covid-19, datant d’au moins 11 jours et de moins de 6 mois.

L’ambassadeur précise que cette mesure qui n’exclut pas le port obligatoire du masque, ne sera pas appliquée aux personnes justifiant d’un certificat médical de contre-indication à la vaccination.

Liliane N.

Cette suspension va s’étendre du 10 décembre 2021 au 15 février 2022.

En date du 17 novembre 2021, Paul Atanga Nji le ministre de l’Administration territoriale (Minat) a saisi par voie de correspondance, les gouverneurs des dix régions. Le Minat demande à ses collaborateurs de suspendre les permissions d’absence et les autorisations de congés pour les autorités administratives. Elles pourront en bénéficier sauf dérogation spéciale et expresse de sa part. Cette suspension est prévue aller du 10 décembre 2021 au 15 février 2022. Le ministre Atanga Nji exhorte ses collaborateurs à veiller chacun à l’application stricte de cette instruction.

On note que le message-fax du patron de l’administration territoriale ne donne pas des explications sur l’instruction. Cependant, on pourrait être porté à croire qu’elle a un rapport avec la 33ème édition de la coupe d’Afrique des  Nations (Can), que le pays va abriter l’année prochaine. Il faut rappeler que la Can va se dérouler du 9 janvier au 6 février 2022.

Liliane N.

Le Tribunal militaire de Bafoussam a rendu ce verdict le 15 novembre 2021.

20 militants du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) sur les 33 poursuivis par le Tribunal militaire de Bafoussam à l’Ouest ont été acquittés. La décision rendue publique par cette juridiction le 15 novembre 2021, est présentée par certaines sources, comme la suite logique de l’audience du 1er novembre. L’on rapporte qu’à ladite audience, le Commissaire du gouvernement avait alors requis l’acquittement de ces militants du MRC qui ont été arrêtés dans le cadre des marches organisées par leur parti politique le 22 septembre 2020. Tous n’ayant pas bénéficié de l’acquittement, il y a une dizaine qui sont condamnés à une peine d'un an avec sursis.

Dans le détail, 27 militants comparaissaient libres et 6 autres étaient en prison. Parmi ces derniers, 2 recouvriront la liberté après paiement d'une amende de 300.000 FCFA chacun. La situation des 4 autres militants en taule, arrêtés à Baham et Bafang, sera examinée le 9 décembre prochain lors d'une prochaine audience.

Il convient de rappeler que le Collectif d’avocats qui assurait la défense des militants du MRC avait décidé de déposer la robe.

«Le Collectif d’avocats Sylvain Souop, informe l’opinion, qu’en raison d’une part, de l’impossible accès à une justice équitable rendue par un Tribunal impartial et indépendant, pour les 124 prisonniers des manifestations pacifiques du 22 septembre 2020, incarcérés à Bafoussam, à Douala, à Mfou et à Yaoundé et pour ceux dont les recours sont en attente d’examen, y compris pour ceux qui ont exercé des recours, devant les juridictions administratives, et d’autre part, en raison de l’absence d’indépendance et d’équité des juges civils, administratifs ou militaires en charge desdites affaires et du constat de la négation par ces juges de leur serment de magistrat, notamment le refus systématique et manifeste d’appliquer la loi, toute chose contraire à la déontologie judiciaire et aux principes d’une justice conforme aux droits de l’homme, ne pouvant continuer à fournir les prestations professionnelles dans ces conditions qui vont à l’encontre de notre serment d’avocat, le Collectif déclare ne pouvoir s’associer à l’arbitraire et à l’illégalité, et prend la lourde et délicate décision de son retrait des procédures en cours», avait expliqué le Collectif via un communiqué de Me Hyppolite Meli.

Pour l’audience qui a permis l’acquittement des 20 militants, une avocate a été commise d'office par le Tribunal militaire de Bafoussam. Me Hyppolite Meli, porte-parole du collectif des avocats du MRC, trouve que ces acquittements n'obéissent à aucune logique. Etant donné que les 123 militants du MRC qui ont été arrêtés dans les mêmes conditions et avec les mêmes chefs d'accusation sont encore en prison.

Liliane N.

 

L’ancien capitaine des Lions indomptables Samuel Eto’o Fils met en garde contre toute forme de représailles sur ceux qui vont choisir de le voter comme président de la Fédération camerounaise de football.

Samuel Eto’o Fils a bel et bien déposé sa candidature pour l’élection du président de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot) hier 17 novembre 2021. Après l’avoir fait, étant face à la presse, il a mis en garde l’actuel président par intérim de la Fecafoot Seidou Mbombo Njoya et compagnie.  

«Pendant la dernière réunion qu’ils ont tenu à Douala tout à l’heure, ils ont dit qu’ils allaient guillotiner tous ceux qui ont eu le courage de me donner leur parrainage, ils ont crié partout qu’ils avaient des voix, mais de quoi ont-ils peur ? Mais qu’ils sachent, si l’un des camerounais qui a bien voulu me donner son parrainage est éliminé je viendrai à ce siège avec toute cette foule qui me suit et même celle des autres régions pour les déloger. Et s’il faille que j’amène notre gouvernement à le faire je le ferai », a-t-il déclaré.

L’ancien capitaine des Lions indomptables qui entrevoit des techniques de fraude venant d’en face, a quelque peu révélé l’objet de la réunion du 15 novembre dernier à Kinshasa au cours de laquelle, il lui a été demandé de renoncer à sa candidature. 

« Comme je l’ai dit à Kinshasa, quand on échoue, on ne demande pas au professeur de tricher sur les notes. On redouble. Ça veut dire qu’on n’a pas été bon. Il n’y a pas de débat, Il n’y a pas de proposition de premier vice-président. Je serai le prochain président de la Fédération camerounaise de football », déclare-t-il.

Liliane N.

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01