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La horde de hors la loi agissant sous la bannière de boko haram a cru avoir plus de chance cette fois, en tentant une entrée en force à Fotokol, commune du Cameroun située dans le Logone-et-Chari, région de l'Extrême-Nord. Une initiative qui, une fois encore leur a coûté cher.

 

Dans un communiqué publié ce jeudi, le ministère de la Défense fait savoir que : « La localité nigériane de Wulgo, non loin de l’Arrondissement Camerounaise de Fotokol, tenue par les éléments des Forces de Défense Camerounaises, dans le cadre des opérations de lutte contre la secte terroriste boko haram conduites par le secteur n°1 de la Force Multinationale Mixte de la Commission du Bassin du Lac Tchad, a fait l’objet d’une attaque de la secte islamiste boko haram dans la soirée du Lundi 26 avril 2021, attaque menée par une horde d’individus lourdement armés et à bord de plusieurs véhicules tactiques légers…

Après de violents affrontements, les insurgés ont été mis en déroute et plusieurs de leurs armes et équipements récupérés ».     

Bilan très lourd côté ennemi

Si au sein de l’armée camerounaise, on ne déplore ni perte en vie humaine, ni matériel détruit, ce n’est pas le cas chez les agresseurs. Face au professionnalisme des éléments des Forces de Défense et de Sécurité, ces bandits de grands chemins en ont bavé ;

Dans le document signé par Atonfack Guemo Cyrille Serge, responsable de la Communication au ministère de la Défense, on peut lire que « Plusieurs assaillants ont été neutralisés dont deux (02) corps abandonnés et les autres emportés pendant le repli des terroristes - Six (06) véhicules tactiques immobilisés - Un important arsenal de guerre, notamment des mitrailleuses lourdes et des fusils d’assaut récupérés ». 

Cette autre attaque a t-elle un lien avec le décès du Président Idriss Deby Itno ?  

D’aucuns s’aventurent à établir un lien entre les deux évènements, arguant que le chef de l’Etat Tchadien a joué un important rôle dans la lutte contre les terroristes de boko haram, grâce à son armée. Une sorte de rempart entre les agresseurs et le Cameroun car, « Il n’hésitait pas à mener ses troupes vers les derniers retranchements de ces hors la loi, détruisant tout sur son passage et causant des pertes énormes à ses ennemis… ».

Sauf que le Cameroun, qui partage une longue frontière avec le Nigeria fait face, depuis des années à une multitude d’attaque venant des terroristes islamistes de boko haram. A Fotokol, qui semble être leur lieu de prédilection, les habitants ont eu droit aux attaques kamikazes, aux kidnappings et le nombre d’incursions est incomptable. 

L’armée camerounaise est fort heureusement resté ce rempart entre les le Cameroun et ceux qui se donnent un mal fou à le déstabiliser. Bien qu’on a quelquefois eu à déplorer le décès des soldats tombés sur le champ de bataille, boko haram et ses commanditaires ont toujours été repoussés et, plus important, le Cameroun n’a pas perdu le moindre centimètre de son territoire.  

 

Nicole Ricci Minyem    

  

Published in Défense

Ayant constaté que ses services ploient sous le poids des recommandations et autres actes d’influence visant à faire admettre des Camerounais n’ayant aucun mérite dans les rangs des Forces de Défense et de Sécurité, Ministre Délégué à la Présidence chargé de la Défense indique dans un communiqué rendu public ce lundi que de tels comportements sont inacceptables, inconcevables, inadmissibles…

 

Le communiqué du Mindef

« Le Ministre Délégué à la Présidence chargé de la Défense a l’honneur de communiquer ce qui suit : Depuis la publication des avis de lancement des concours d’entrée à l’Emia et à la Gendarmerie Nationale ainsi que ceux des recrutements dans les Armées, ses services croulent sous des demandes et des recommandations, assorties de récépissés de dépôts de dossiers pour tenter d’obtenir l’admission de certains candidats au mépris du principe du mérite.

Le Ministre Délégué à la Présidence chargé de la Défense demande aux candidats, à leurs parents et relations d’arrêter ces tentatives pernicieuses qui n’ont du reste aucune chance d’être prises en compte.

Tous les responsables du ministère de la Défense, membres de la chaîne de conduite de ces opérations, ont été invités à la stricte vigilance, la probité morale et la fermeté face à ces pratiques répréhensibles ». 

Une pratique courante

Et utilisée par de nombreux responsables en charge des concours au Cameroun qui, font un « marketing » permanent, n’hésitant pas à se rendre au sein des familles, afin de leur promettre l’admission de leur progéniture dans les grandes écoles.

Ils surfent en outre sur la conviction que certains entretiennent : « C’est uniquement grâce aux réseaux qu’on peut accéder à certaines écoles, aux hautes  fonctions et bien d’autres milieux considéré comme élitistes ».

Au-delà de l’oncle, du parrain, du tuteur, de l’ami, de l’amant, très bien placé et disposé à faire tout ce qu’il faut pour voir son protégé admis, l’on a pu se rendre compte au fil des ans que c’est pendant ces périodes que de grosses enveloppes contenant de fortes sommes d’argent circulent. Les scandales qui en découlent sont légions et chaque année, il y en a eu un bon nombre à l’issue de la publication de la liste de ceux qui sont définitivement retenus.

Cependant, il existe encore des parents qui refusent de s’adonner à ces actes de corruption malsains, convaincus que seul le mérite compte. Ce sont ceux-à qui poussent leurs enfants à fournir des efforts permanents s’ils veulent atteindre les objectifs voulus.

Ils ne peuvent que se réjouir de la position de Joseph Beti Assomo, ministre de la Défense et, formuler le vœu de voir d’autres s’inscrire dans cette dynamique. Cela va permettre d’avoir les personnes qu’il faut, à la place qu’il faut.

 

Nicole Ricci Minyem

 

 

 

Published in Défense

Contrairement à l’impression que le calme apparent peut donner, les attaques des islamistes de Boko Haram a toujours cours dans le septentrion camerounais. Et dans la nuit de samedi à dimanche, l’armée camerounaise en faction dans l’extrême-nord a été une fois de plus fortement sollicitée.

 

Les affrontements entre Boko Haram et l’armée régulière se sont déroulées dans la localité de DABANGA. Une localité située sur la nationale Nro 1, plus précisément sur le tronçon WAZA-KOUSSERI, Département du Logone et Chari. On a assisté à une attaque de la secte islamiste Boko Haram dans la nuit du samedi 27 au dimanche 28 Mars 2021. Une attaque menée par plusieurs centaines d’hommes lourdement armés et évoluant à bord de véhicules tactiques légers et de motocyclettes. Une fois de plus, ils ont traversé la frontière pour attaquer les positions de l’armée à l’intérieur du territoire camerounais. « Au terme de plusieurs heures de combat acharné, les assaillants seront mis en déroute, et plusieurs de leurs équipements et armements récupérés. » Nous a fait savoir le Capitaine de Vaisseau Atonfack Guemo Cyrille Serge, le chef de la division de la communication des forces armées du Cameroun.

De la communication de l’armée camerounaise, il ressort que « le bilan provisoire à date de cette macabre expédition est le suivant :

Coté ami :

  • 03 morts dont 01 militaire et 02 civils ;
  • 02 militaires blessés dont un évacué à l’hôpital de la Renaissance de Ndjamena au Tchad pour une prise en charge neurochirurgicale d’urgence ;
  • 01 véhicule blindé partiellement endommagé ;
  • 10 boutiques et 01 camion de transport de marchandises incendiés.

Coté ennemi :

  • Plusieurs assaillants neutralisés dont 03 corps abandonnés et les autres emportés pendant le repli des terroristes ;
  • 06 véhicules tactiques immobilisés ;
  • Plusieurs armes et accessoires d’armement récupérés. »

  Extrême-Nord: 6 présumés éléments de Boko Haram tués à Dabanga

Les forces de défense sont sur le qui-vive. Les troupes restent en alerte maximale dans toute la Région de l’Extrême-Nord pour continuer à faire efficacement face aux assauts de l’hydre Boko Haram dont les manifestations sont récurrentes. Toutefois, l’accalmie observée depuis un certain temps dans la région permet déjà aux populations de reprendre progressivement une activité régulière dans leurs villages. Certains ont rejoints leurs villages détruits par les islamistes de Boko Haram. Avec le soutien de l’armée du Cameroun, ils procèdent à la reconstruction.

 

Stéphane NZESSEU

Published in Institutionnel

Des informations puisées à bonne source, l’armée a récemment lancé un raid sur Balangui, localité située sur la route reliant la ville de Kumba à Buea, chef-lieu de la région anglophone du Sud-Ouest. Une opération qui a permis de neutraliser le 08 février dernier, des miliciens séparatistes opérant dans cette partie du pays en crise. Parmi ceux-ci, le chef de guerre sécessionniste Ambe Augustin alias « General Above the Law », le commandant de la milice séparatiste dénommée « Fako-Meme Black Tar Council ».  

 

Ce groupe neutralisé par l’armée camerounaise est à l’origine de plusieurs forfaits et attaques meurtrières commis dans le département de la Meme, qu’il considérait comme sa zone d’influence, indiquent des sources sécuritaires. En effet, le capitaine de vaisseau Serge Atonfack Guemo, chef de la division communication au ministère de la Défense (Mindef) explique, « Il importe de préciser que « Above the Law » (parfois appelé Mirror) est le chef de la horde de barbares qui a également perpétré le 24 octobre 2020 au quartier Fiango, arrondissement de Kumba II, l’attaque du complexe scolaire privé « Mother Francisca International Bilingual Academy », et ouvert froidement le feu sur des élèves en salles de classe, faisant sept (07) morts et une quinzaine de blessés graves ».  

Ce mardi, 09 février à travers un communiqué rendu public, l’armée a fait point sur cette opération. L’on apprend que les forces de défense ont neutralisé en tout 5 combattants séparatistes dont le nommé Wache Celestine alias « T Boy », lui aussi chef d’une milice séparatiste. Par ailleurs, l’armée a récupéré plusieurs armes de guerre utilisées par les miliciens.

Indiquons tout de même que cette opération militaire est intervenue quatre jours après une attaque menée le 04 février dernier par la milice Black Tar Council contre des forces de défense dans cette localité. Et c’est d’ailleurs au cours de cette attaque filmée que ce groupe séparatiste avait coupé la circulation et blessé deux soldats de l’armée Républicaine.

Innocent D H

 

Published in Défense

Une bonne nouvelle en provenance de Bamenda, la cité capitale de la région du Nord-Ouest Cameroun. Des bons points à mettre une fois de plus à mettre à l’actif des forces de défense camerounaise qui ont mené samedi dernier, un assaut dans cette région en proie à une crise séparatiste.

 

Selon des informations bien vérifiées, l’armée camerounaise a libéré samedi 06 février 2021 des personnes kidnappées par des séparatistes. Ces personnes n’étaient pas très loin de leur lieu d’enlèvement et étaient cachées dans une maison à Ntankah, un quartier de la commune de Bamenda 2ème.   

L’on apprend que cette autre belle prouesse des forces de défense a été rendue possible au bout d’une opération de récherche qu’elle découvre le pot aux roses. Après cette opération militaire, ce sont 04 combattants séparatistes ambazoniens qui ont été neutralisés, et 04 otages libérés.  Il s’agit notamment de deux élèves du lycée bilingue de Bayelle-Nkwen, l’autre otage est un homme âgé qui aurait été grièvement blessé pendant l’assaut. Il se trouverait actuellement sous soins intensifs à l’hôpital militaire de la Région militaire numéro 5 à Bamenda.

Sur le coup l’armée camerounaise a également procédé à la récupération des armes, de munitions, d’engins explosifs. Et dans la foulée, elle a également procédé à l’interpellation de plusieurs individus suspects.

Relevons que la crise dans le Nord-Ouest et le Sud-Ouest du Cameroun dure déjà depuis 04 années. C’est une réalité, les prises d’otages sont un phénomène courant dans cette crise socio-politique. A en croire les informations fournies par l’Organisation Non Gouvernementale (ONG) Human Rights Watch : « Depuis 2017, les séparatistes armés opérant dans les régions anglophones du Nord-Ouest et du Sud-Ouest Cameroun ont enlevé des centaines de personnes, dont des étudiants et des membres du clergé, dans un contexte où se multiplient les appels à la sécession des régions anglophones », explique le directeur Afrique centrale de cette ONG, Lewis Mudge.

Innocent D H

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13 soldats du Bataillon d’intervention rapide ayant suivi la formation en agriculture et l’aquaculture, ont reçu leurs parchemins.

L’armée offre en quelque sorte une seconde vie a ceux des siens qui ont été blesses au front. Le Bataillon d’intervention rapide (Bir) a organisé pour eux, une formation en agriculture et aquaculture. Elle a duré 35 jours. Et elle s’est déroulée au Complexe agricole et aquacole de Missole II, situé dans la Sanaga Maritime dans la région du Littoral. 13 soldats blessés en fin de formation ont reçu des mains de Samuel Dieudonné Ivaha Diboua le Gouverneur de la région du Littoral.

«J’ai été victime d’une mine au cours d’une patrouille à Wambachi, dans l’Extrême-Nord, pendant la guerre contre Boko Haram. Aujourd’hui je me déplace avec une prothèse. Je suis venu me former pour un emploi sédentaire dans le BIR. Nous avons été formés en aquaculture et en agriculture. Aujourd’hui nous sommes capables de transformer nos productions en produits finis directement consommables par nos camarades d’armes engagés dans les champs de bataille», raconte le lieutenant Ibrahima Djekaibe, commandant de la compagnie de dépôt de Limbe dans la région du Sud-Ouest dans les colonnes de Cameroon tribune édition parue en kiosque ce 11 novembre 2020.

«Les militaires que vous voyez aujourd’hui maitrisaient les risques dès le départ. Ils ont consenti ce sacrifice, ils ont été blessés. Et animés par la joie de continuer à servir, ils ont décidé de ne pas rester dans les bases à se tourner les pouces. Ils veulent continuer à contribuer au bien-être des Camerounais parce que nous sommes des sentinelles et nous combattrons désormais en envoyant de la nourriture sur le terrain pour nos camarades militaires», explique Onambele Mendouga, le contrôleur, inspecteur général adjoint du BIR.

Liliane N.

 

 

 

Published in Défense

C’est le bilan d’une vaste opération menée récemment dans cette ville de la région du Nord-Ouest par l’armée camerounaise. L’information a été rendue publique ce lundi, 31 août 2020 par le ministère de la Défense.   

 

L’efficacité de l’armée camerounaise dans la crise anglophone ne faiblit pas. Son déploiement à Boyo dans la région du Nord-Ouest fait tomber 17 ambazoniens et 07 séparatistes mis aux arrêts, à en croire des sources proches de l’armée.

L’armée fait aussi savoir que cette opération dénommée Boyo 1 s’est déroulée dimanche dernier, 30 août 2020. C’était à Fundong, une autre localité de la région du Nord-Ouest du Cameroun. Une opération conduite par le commandant de la 5ème région militaire, le général Valère Nka

Occasion pour le haut gradé de l’armée camerounaise de rappeler l’importance de la collaboration qui gagnerait à être encouragée. « Nous avons besoin de la collaboration de la population dans la conduite de nos missions sur le terrain », souhaite le général Valère Nka. Il convient de préciser ici que, cette opération de l’armée intervient dans un contexte où les crimes et les assassinats perpétrés par les séparatistes ambazoniens sont récurrents nomment envers les travailleurs humanitaires.

En juin dernier, l’armée camerounaise avait également eu à mener plusieurs opérations dans la région du Nord-Ouest. C’était dans les localités de Batibo, Bali Widikum qui abritent des bases séparatistes opérant dans cette région. « 13 séparatistes ont été neutralisés lors de la première opération », avait déclaré Valère Nka sur les ondes de la Crtv. La seconde opération menée à Mbokam, un village de la localité de Jakiri, les forces armées ont arrêté « 11 séparatistes et récupéré une dizaine d’armes », avait pousuivi l’officier supérieur de l’armée camerounais. Ces opérations militaires avaient alors permis de démanteler de nombreux camps de sécessionnistes et de récupérer d’importants stocks d’armes après les combats qui ont duré plus de 72 heures, avait-on appris.

Innocent D H

 

Published in Défense

Dans une récente tribune qu’il a rendue publique, Jean De Dieu Momo le Ministre délégué auprès du Ministre de la Justice affirme que l’armée camerounaise est redoutée à l’extérieur, parce qu’elle jouit d’une excellence formation physique et intellectuelle.

Sa nouvelle tribune, Jean De Dieu Momo le Ministre délégué auprès du Ministre de la Justice, la consacre à la défense de l’armée et précisément du Bataillon d’intervention rapide (Bir). Car on note qu’à chacune des exactions commises en régions anglophones par les séparatistes, les machinations sont faites pour que l’armée porte le chapeau. Le Mindel dans sa tribune précise que l’armée camerounaise en général et le Bir en particulier sont réputés être les meilleurs en Afrique subsaharienne. Du constat du Ministre Jean De Dieu Momo, ce qui fait la force de cette armée, c’est son excellente formation physique et intellectuelle, qui la rend redoutable à l’extérieur. L’ancien opposant au régime fait savoir que la création du Bir a d’ailleurs valu à Paul Biya le Président de la République des inimitiés de la part de certains amis internationaux.     

Ci-dessous la tribune intégrale du Ministre Jean De Dieu Momo

CE QUE LES GENS NE SAVENT PAS:

J’entends les gens éructer que le BIR est une milice tribale au service du président Paul Biya. Rien n’est plus faux. Le BIR (Bataillon d’Intervention Rapide) est l’un des Bataillons parmi d’autres de l’armée camerounaise (les redoutables BTAP, BBR, RASS, le GPIGN, le BAFUMAR, les Forces Spéciales etc.). L’armée camerounaise dans son ensemble est la seule qui soit digne de ce nom dans toute l’Afrique subsaharienne et qui est redoutée par les prédateurs internationaux à cause de l’excellence de sa formation physique et intellectuelle.

Dans certains pays d’Afrique on a les vigiles en guise d’armée. Voilà la vérité et c’est pourquoi ce qui arrive ailleurs ne peut pas arriver au Cameroun pour la simple raison que notre armée est professionnelle et consciente des enjeux géopolitiques internationaux.

Le BIR est un Bataillon formé comme les autres corps d’intellectuels et comme chacun sait un soldat qui n’est pas intellectuellement bien formé est un assassin en puissance. Ce qui n’est pas le cas pour notre armée formée de patriotes qui ont fait l’école et dont le commandement est assuré par des intellectuels de haut vol.

Ailleurs on a des colonels qui n’ont pas le CEPE et qui ne savent faire autre chose que de tirer sur tout ce qui bouge. Le président Paul Biya a été très inspiré de créer le BIR et les autres forces de défense pour la protection de notre pays.

D’ailleurs la création du BIR est récente et aurait valu au président Biya quelques inimitiés de la part de certains amis internationaux, mais en bon patriote il protège son pays comme chacun d’entre nous construit la barrière autour de sa maison pour se protéger et protéger sa famille des bandits. UN GRAND BRAVO À TOUTES NOS BRAVES FORCES DE DÉFENSE CONFONDUES.

Liliane N.

Published in Tribune Libre

Ces bons points sont une fois de plus à mettre à l’actif des Forces de défense et de sécurité camerounaises (FDS). Selon des sources concordantes, il s’agit d’un bilan partiel d’une opération menée dans cette zone et qui a permis à l’armée de saisir des bagages et une importante quantité d’armes appartenant à ces terroristes. 



Selon l’information que nous avons reçues dont la crédibilité ne fait l’ombre d’aucun doute, les forces de défense et de sécurité camerounaises en date du 28 avril 2020 ont mené une opération à Nwa dans le Donga Mantung, région du Nord-ouest Cameroun. Le bilan partiel de cette action de l’armée à en croire nos sources, « plusieurs terroristes séparatistes neutralisés » dont « 5 capturés avec des armes et bagages », apprend-on.  

La bravoure de l’armée

Un résultat apprécié à sa juste valeur par de nombreux camerounais qui voient en cette opération, l’expression de la bravoure de l’armée camerounaise sur le théâtre des opérations avec pour missions principales, préserver l’intégrité territoriale du Cameroun tout en assurant la sécurité des personnes et de leurs biens. Une tâche noble mais délicate surtout en cette période marquée par la propagation du Covid-19.

Ajoutée à cette crise sanitaire, les attaques incessantes des groupes armés séparatistes dans les deux régions anglophones du pays. Malgré la crise sanitaire et l’appel de l’ONU à un cessez-le-feu, les milices des séparatistes amazoniens continuent de perpétrer des exactions au sein des populations. 

Rappelons à titre d’exemple, le cas récent de l’incendie organisé par ces milices des séparatistes à Ngarbuh.  En effet, ils auraient sans discernement brûlé les habitations des éleveurs « Mbororos » dans cette localité située du Nord-ouest. Ils ont profité de ce mois de ramadan pendant que ce peuple observe le jeûne pour causer un maximum de dégâts.

Tout ceci se passe manifestement sous le regard silencieux et complice des ONG de protection des Droits de l’Homme qui ne trouvent à réagir pour jeter de l’huile au feu en jetant l’opprobre sur l’armée camerounaise qui reste malgré cela professionnel. 

 

Innocent D H

 

Published in Défense
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Sunday, 05 June 2022 11:01