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Une trentaine des administrateurs de contrôle viennent de séparer à Garoua après avoir acquis des connaissances sur le cadre réglementaire de commercialisation de ces  produits.

        

Développer les aptitudes de son personnel en service dans la région du Nord, dans la maîtrise des contrôles, l’échantillonnage et les analyses nécessaires sur les denrées alimentaires fortifiées, c’est en substance l’objet du séminaire qui s’est achevé ce jour à Garoua  il y a quelques jours. Il rentre dans le cadre de la feuille de route du ministère du commerce engagé depuis quelques années dans le programme de fortification alimentaire du fait de son rôle de régulation entre les entreprises de commercialisation des ces produits et les exportateurs de ces produits parmi les quels l’huile végétale raffinées, l’huile raffinée  de froment. 

« Il est question pour nous de montrer effectivement à ces participants le contenu proprement dit du programme de fortification alimentaire car au delà de la connaissance de ce contenu ils sont appelé à effectuer des contrôles ; et sachant qu’ils sont les fonctionnaires de l’état nous avons voulu les arrimer au cadre réglementaire institutionnel », explique l’un des facilitateurs à ce séminaire. Le constat fait sur le terrain ne s’éloigne pas de la réalité. Ce personnel ne maîtrise pas encore les procédures de contrôle de ces produits avant leur mise à la disposition des populations qui en les consommant avec ignorance sont exposées à certaines maladies.

Il fallait donc un plus pour la réduction de la mortalité et la morbidité maternelles et infantiles ; les femmes et les enfants ; deux couches les plus exposées à cette menace de consommation de ces produits non contrôlés. Et dans la région du Nord, ces produits sont sur les marchés et parfois n’obéissent à aucune norme. les participants au séminaire de Garoua qui est la cinquième étape jugent  enrichissants  les enseignements, eux qui sont au contact permanent de ces réalités « nous sortons de ce séminaire grandit dans notre domaine de compétence, ce séminaire nous a apporté un plus ; nous sommes outillés parce que nous nous rendons compte que les produits comme les huiles végétales n’avaient pas de logos et nos agents n’étaient pas sensibles à ces données  et je crois qu’après cette initiative du min commerce, nous et nos agents de contrôles dans la région du Nord pourrons mieux nous en sortir et feront mieux le travail qui nous incombe », a estimé le  délègue départemental du commerce du Mayo Rey à Tcholliré. 

« Ce programme est un programme qui touche la santé des  populations dont l’état est garant, après avoir donné la base du bon travail à ces participants, nous plaçons en eux des attentes, d’espoir afin que leur rendement sur le terrain nous donne satisfaction mieux que par le passé en vue de l’atteinte des objectifs du programme », a renchérit  le facilitateur du séminaire . Les participants ont effectué des descentes sur le terrain dans le but de confronter la théorie à la pratique. Cette séance a permis aux défenseurs des associations des consommateurs invités au séminaire  de partager les inquiétudes et l’objet de leur lutte quotidienne.

 

Félix Swaboka

Published in Santé

Le ministre du Commerce et les importateurs réunis le 20 mars à Yaoundé, pour s’assurer que ces denrées restent accessibles.

 

Le riz et le poisson étaient au menu des concertations mercredi au ministère du Commerce. « Mais le repas a bien failli ne pas passer, n’eût été l’ajout des ingrédients dialogue et patience. C’est ce qui aura marqué les deux réunions présidées par Luc Magloire Mbarga Atangana, Mincommerce », commente Cameroon Tribune.

D’abord le riz. Il était question, apprend-on, de faire le point sur l’approvisionnement du marché national. Le prétexte étant l’augmentation des prix. Jacquis Kemleu, secrétaire général du groupement des importateurs de riz va dans un premier temps rassurer l’opinion sur la disponibilité des stocks.

Plus de 200 000 tonnes sont actuellement dans les entrepôts, ce qui va couvrir un peu plus de quatre mois de consommation, la demande mensuelle étant de 46 000 tonnes. Par contre, même s’ils ont une visibilité sur les six prochains mois, les importateurs craignent des difficultés quant à la suite de leur activité d’importation au regard des nombreux obstacles qu’ils rencontrent désormais. Il s’agit entre autres de la disponibilité des devises dans les banques, mais également des taxes douanières dont le taux est passé de 1,5% à 3,14%, entre autres.

Mais pour le Mincommerce, tout ce qui précède ne justifie pas la flambée des prix. « Le constat que nous faisons, c’est qu’il existe un stock consistant. Il était essentiel de repréciser les prix en concertation avec les opérateurs et en fonction du type de riz», explique Luc Magloire Mbarga Atangana. Concernant le riz 25% (qui représente 75% de l’approvisionnement sur le marché), le prix applicable est de 330F le kg à Douala et 350 F à Yaoundé. Pour le riz 5%, les prix sont de l’ordre de 400 à 425 F en fonction des villes.

Une fois le riz servi, c’était au tour du prix du poisson d’être consommé. Pour ce produit en effet, en plus de sa faible accessibilité, sa disponibilité est fortement remise en question ces derniers jours. Avant de comprendre les raisons de cette situation, on apprendra que pour 2019, à ce jour, un quota d’importation de 188 000 tonnes a déjà été accordé par le ministère en charge de l’Elevage à neuf structures. Les importateurs disent ignorer les raisons de la disparité des prix.

« Il y a une foultitude d’intervenants plus ou moins connus. Là aussi, nous avons clarifié les rôles. Ce que je peux dire c’est qu’il n’y a pas de maquereau 25%. Mais le prix du maquereau 20+ a été établi. Il est cédé au consommateur final dans une fourchette comprise entre 1000 et 1200 F en fonction de la taille et la grosseur du poisson », va conclure le ministre.

D’autres types de poissons ont aussi vu leurs prix applicables fixés. Des descentes inopinées vont suivre pour s’assurer de l’effectivité de ces mesures.

Otric N.

Published in Economie

Luc Magloire Mbarga Atangana, ministre du Commerce, et Gabriel Dodo Ndoke, ministre des Mines, de l’Industrie et du Développement Technologique, étaient à Douala le 13 mars 2019 pour une visite de travail dans la filière sidérurgie/métallurgie. 

 

La délégation ministérielle était plus précisément dans les unités de production des trois principales aciéries du pays: Prometal, Les Aciéries du Cameroun et Métafrique Steel. Une visite relative aux prescriptions du chef de l’Etat en matière de promotion du Made in Cameroun dans le secteur métallurgie, l’un des piliers de l’industrialisation du triangle national.

Le Mincommerce a ainsi rappelé la volonté du gouvernement de « limiter, voire stopper certains types d’importation », afin de ne plus être « tributaires des convulsions du marché international », rapporte Cameroon Tribune. Et à la suite des plaintes des acteurs du secteur qui disent être en surcapacité, il fallait donc pour le gouvernement s’assurer, que le trio leader de la filière (tubes, fils recuits, tôles d’acier), peut véritablement répondre à la demande en se penchant sur leur technicité, leur logistique, leur respect des normes.

Avant la descente proprement dite sur le terrain, apprend-on, les trois opérateurs ont présenté leurs chiffres globaux et les difficultés rencontrées dans leur activité lors d’une séance de travail. Ainsi, sur le plan local et sur une base annuelle, on peut noter que le taux de couverture de la capacité de production par rapport au besoin estimé est de 321% sur le segment tubes par exemple. Pour les tôles d’acier, on est aux alentours de 171%. Le taux pour le fil recuit s’élève quant à lui à 287%.

Conséquence, le fonctionnement de l’outil de production de façon globale se situe entre 30 et 50% de ses capacités. Un outil de production que les membres du gouvernement ont pu observer par eux-mêmes dans les unités et qui ont fait dire à Luc Magloire Mbarga Atangana: « Ce que nous avons vu aujourd’hui nous a édifiés sur la capacité de notre industrie à approvisionner notre marché. Ce qui se fait est largement suffisant. Les capacités installées sont au-delà des besoins ».

Il a énoncé sur la nécessité d’avoir une vision plus large et sur le long terme: « Il faut produire pour satisfaire la demande locale, Il faut produire pour exporter ». Surtout dans un contexte marqué par l’avènement de la Zone de libre-échange continentale dans quelques mois et son potentiel marché d’1,3 milliard de consommateurs.

 

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Le Cameroun qui est engagé dans le processus de ratification, est visiblement l’un des pays qui saisit le mieux l’importance de l’opérationnalisation de la zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf) pour l’accélération du développement économique du Cameroun.

 

Le sujet était au menu de l’audience entre le ministre du Commerce et le directeur Afrique centrale de la Commission économique pour l’Afrique, lundi 11 mars 2019 à Yaoundé. Selon Cameroon Tribune, c’est une note de satisfaction au terme de l’audience accordée lundi 11 mars par le ministre du Commerce à Antonio M. A. Pedro, directeur du bureau sous régional pour l’Afrique centrale à la Commission économique pour l’Afrique des Nations unies.

Les deux hommes ont fait le point sur le processus d’intégration en présence d’une délégation de la Commission économique des Etats de l’Afrique centrale (Ceeac). 44 pays de l’Union africaine dont le Cameroun avaient en effet signé les instruments juridiques portant création de cette zone en mars 2018.

A ce jour, apprend-on, 19 Etats membres ont ratifié. « Nous avons discuté sur le processus. Nous avons aussi fait le plaidoyer pour que le Cameroun soit un des premiers pays qui vont ratifier cet accord. Nous sommes très contents de savoir que les autorités ont saisi l’importance de la Zlecaf et nous pensons que d’ici le mois de juillet, le Cameroun fera partie des pays qui vont la ratifier. Nous sommes contents de nos échanges avec le Mincommerce. Il continuera à jouer son rôle après la ratification », a indiqué à la fin de l’audience, Antonio M. A. Pedro.

Il faut dire que la Zlecaf est au menu des toutes les rencontres des instances africaines du moment. En effet, lors de la troisième réunion du comité technique spécialisé de l’Union africaine sur les finances, les affaires monétaires, la planification économique et l’intégration, tenue récemment à Yaoundé, le représentant du président de la Commission de l’Union africaine, Victor Harison indiquait qu’il ne serait pas fantaisiste « d’envisager sa mise en œuvre effective dans le courant de l’année 2019 ».

Pour cela, il faudrait que les 22 ratifications nécessaires à l’entrée en vigueur de la Zlecaf soient signées. Et les négociations devraient porter sur l’élaboration du règlement sur les marchandises produites dans le cadre d’arrangements économiques spéciaux, la mise au point d’un mécanisme d’identification, de surveillance et d’élimination des obstacles non tarifaires, etc.

A ce sujet justement, Antonio M. A. Pedro précise : « avec les autorités, nous allons soutenir la stratégie mise en place par le Cameroun, notamment en ce qui concerne la promotion du commerce intra-régional. Nous allons aussi organiser un forum national regroupant les différents acteurs afin de nous assurer qu’ils participent aux défis de mise en place de cette initiative. L’implication du secteur privé est très importante pour cet agenda ».

 

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En prélude à la 34e édition de la Journée mondiale des droits des consommateurs qui se célèbre le 15 mars prochain, le ministre du Commerce (Mincommerce), Luc Magloire Mbarga Atangana a procédé lundi dernier à Yaoundé au lancement des activités.

 

La journée est placée sous le thème : « Communications électroniques : Vaincre la vulnérabilité du consommateur ». Elle est une occasion de plus, selon le Mincommerce, de rendre les marchés numériques plus équitables. Il s’agit également d’accorder davantage d’importance aux questions de télécommunications et la prise en compte du bien-être du consommateur.

Le Conseil national de la consommation (Conaco) assure la coordination de cet événement alors que son opérationnalisation est assurée par les associations de défense des droits des consommateurs. « Pendant cette semaine, vous allez être au-devant de la scène, il est question pour vous d’informer, sensibiliser les consommateurs et d’organiser les campagnes de proximité à Yaoundé et dans les autres villes », leur a instruit Luc Magloire Mbarga Atangana.

L’objectif général de cet événement est la mise en place d’un cadre juridique approprié, prenant en compte la vulnérabilité du consommateur vis-à-vis des communications électroniques. Cette concertation sera également faite avec le concours actif des opérateurs du secteur. « Une dynamique que les pouvoirs publics encouragent », conclut le Mincommerce.

A ce propos, la présidente du Conaco, Jacqueline Koa, explique que l’usage des produits et services des télécommunications s’est généralisé. Cependant, les technologies innovantes ne sont pas bien appréhendées par les consommateurs qui estiment être victimes des abus de toutes sortes dans ce secteur d’activités. La célébration de cette édition s’inscrit par conséquent dans la logique de la sensibilisation de toutes les parties prenantes à la consommation des produits et services de télécommunications.

Rappelons que depuis 1983, l'association internationale des consommateurs "Consumer International" célèbre la journée mondiale des droits des consommateurs le 15 mars. Dans un discours devant le Congrès américain, le 15 mars 1962, le président américain J.F. Kennedy avait énoncé les quatre droits fondamentaux du consommateur : droit à la sécurité, droit à l'information, droit de choisir et droit d'être entendu.

En France, la "défense du consommateur" est relayée par de nombreuses associations et une revue telle que "60 millions de consommateurs", réalisée par des journalistes professionnels travaillant en étroite collaboration avec les experts de l'INC, assure une mission de service public en totale indépendance vis-à-vis des fabricants et des distributeurs.

 

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Engager le Commerce camerounais vers la labellisation, l’une des conditions nécessaires et suffisantes pour repositionner favorablement les produits camerounais sur les marchés national, continental et mondial est en point douter le leitmotiv du patron du commerce.

A cet effet, des concertations avec différents acteurs concernés ou intervenant dans le processus de labellisation sont légions au ministère du Commerce. La dernière en date s’est tenue hier 04 mars 2019 entre le Mincommerce, le Directeur Général adjoint de l'OAPI, Jean-Baptiste WAGO et le président de l'International Trade Mark Association (INTA), David Lossignol.

Les échanges entre ces différents responsables et Luc Magloire Mbarga Atangana ont porté sur la création et la protection du label « Origine Cameroun Certifiée » ; la lutte contre la contrefaçon ; la sensibilisation des opérateurs économiques sur l'importance de la création et de la promotion de leurs marques entre autres. Une série d’autres réunions, techniques celles-là, entre ces trois institutions débutent à Yaoundé dès ce jeudi, 7 mars 2019.

Au mois de février déjà, plus précisément le 20, Luc Magloire Mbarga Atangana s’entretenait avec divers acteurs locaux afin de trouver une stratégie pour la  mise en œuvre de cette volonté politique exprimée par le Chef de l'Etat dans son discours de fin d'année 2018. A cet effet, s’étaient retrouver autour du Mincommerce, des boulangers, des représentants de la société civile ainsi que ceux du Minmidt, du Minepat et de l'Anor… le 28 février s’était au tour de l’industrie cosmétique d’être mobilisée.

L’objectif visé par toutes ces concertations est double. Il s’agit d’une part de permettre un bon positionnement de nos produits dans la future zone de libre-échange continentale en cous d’implémentation et d’autre part de mettre en œuvre la stratégie sectorielle d'amélioration des exportations du Cameroun vers l'Union européenne et les USA.

La plus-value de la labellisation n’est plus à démontrer. Elle permet de mettre sur le marché, des produits de qualité répondants à des normes bien définies. C’est dire qu’il y va de l’intérêt du producteur mais aussi de la sécurité du consommateur. Pour ce qui est de l’intérêt du producteur, par rapport aux concurrents, le label source de différenciation. Pour les consommateurs, il apporte des garanties en matière de qualité ou de provenance par exemple. Le label est donc un gage de crédibilité et de confiance valorisant les produits, les services mais aussi les entreprises.

Pour rappel, un label est un élément d’identification qui garantit certains aspects d’un produit ou d’un service, et qui se matérialise généralement par la présence d’un logo mais pas seulement.

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Sunday, 05 June 2022 11:01