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Dans un communiqué signé par Jean Nkuete le Secrétaire général du Comité central du parti au pouvoir, précise que ces partis politiques font preuve de mauvaise foi.

 

Le discours de sortie de prison de Maurice Kamto le président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc) pose des problèmes au Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc). Le parti au pouvoir le fait savoir à l’opinion nationale, par la voix de Jean Nkuete le Secrétaire général (Sg) du Comité central du Rdpc.  Dans un communiqué rendu public, il dénonce l’appel à la poursuite de la résistance lancé par Maurice Kamto. Pour le parti au pouvoir, c’est un discours qui ne passe pas. La raison étant que le pays est dans l’attente de la mise en pratique des résolutions du grand dialogue national.

« Il en est ainsi des partis politiques qui entreprennent délibérément de relativiser l’importance du Grand Dialogue en tant que moment historique de fraternisation nationale, tout en minimisant, pour certains, la portée des gestes de magnanimité librement consentis autour de la rencontre par le Président de la République, Chef de l’Etat, en particulier la libération, de la centaine et plus de leurs responsables et militants, traduits devant les tribunaux compétents pour des infractions commises sur le territoire national et dans certaines représentations diplomatiques du Cameroun à l’étranger. En outre, par des déclarations à répétition et irresponsables de leurs cadres, les mêmes partis politiques appellent leurs partisans à se préparer à « reprendre la résistance », c’est -à-dire les violences et le désordre », peut-on lire dans le communiqué.

Lancer un appel à la résistance à l’heure actuelle, après les arrêts des poursuites ordonnés par le Chef de l’Etat, pour le Rdpc démontre la mauvaise foi de certains hommes politiques. Ne voulant pas rester indifférent, le parti invite ses militants, sympathisants et alliés à rester prudents et concentrés. Il recommande la patience pour la mise en application des résolutions du grand dialogue national.

« Le Secrétaire général du Comité Central recommande aux membres de la grande famille du RDPC et de ses alliés, ainsi qu’à tous nos compatriotes de bonne volonté, de ne pas se laisser distraire par tous ceux qui ne veulent pas le bien de notre pays. Nos militants doivent plutôt se mobiliser massivement pour préparer efficacement les prochaines échéances électorales », a écrit Jean Nkuete.

 

Liliane N.

 

Published in Parti politiques

 

Grâce à sa large victoire 2-5 en match d’ouverture de la saison 2019-2020, contre Colombe Fc du Sud, Bamboutos de Mbouda occupe la première place avec 3 points  à l’issue de la première journée du championnat national de Ligue 1.

 

Six clubs ont pu tirer leur épingle du jeu à l’issue de la première journée du championnat professionnel du Cameroun Ligue 1, qui s’est déroulée les 19 et 20 octobre 2019.  Bamboutos de Mbouda, Canon de Yaoundé, Dragon Fc de Yaoundé, Yong sports Academy (Yosa), Fovu et Panthère du Ndé, se sont offerts leurs trois premiers  points de la saison, en dominant leurs adversaires de la journée. Des six clubs, c’est la formation de Mbouda dans la région de l’Ouest qui occupe la première place, grâce à sa large victoire, 5-2 ; au  stade Omnisports de Yaoundé contre Colombe du Sud. Les clubs de Yaoundé, Canon et Dragon sont ses poursuivants directs.

L’entame a été plutôt difficile pour le champion du Cameroun en titre, Ums de Loum et son dauphin, Coton sport de Garoua. Après sa défaite à la à finale des champions, le club de Loum a été tenue en échec à domicile par Eding Sport de la Lékié, sur le score 1-1. Le même résultat a sanctionné la confrontation entre Coton Sport de Garoua sur ses installations, et Feutcheu Fc. C’est avec une cagnotte d’un point que les deux meilleures formations de la saison écoulée affronteront leurs rivaux dans le cadre de la deuxième journée, prévue le mercredi 23 octobre prochain.

Le club de Garoua sera aux prises à domicile, au stade Coton Sport de Garoua de Galbidje, contre Yong Sport de Bamenda qui totalise déjà trois points. Ums de Loum de son côté, se déplacera pour Yaoundé, pour essayer de conquérir sa première victoire de la saison contre Dragon de Yaoundé au Stade de la Caf à Mbankomo. Sur le même site, Union de Douala qui est tombée face à Dragon de Yaoundé lors de la première journée (1-2) essayera de se relever contre la formation locale, Tonnerre Fc.

 

Programmation deuxième journée ligue 1

Mercredi 23 octobre 2019 

Coton vs Yosa

Dragon Fc vs Ums de Loum

Avion Fc vs Colombe du Sud

Bamboutos Fcvs As Fortuna de Mfou

Tonnerre vs Union de Douala

Stade Renard vs Canon de Yaoundé

Feutcheu Fc vs Apejes de Mfou

Eding de la Lékié vs Fovu

 

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Désormais gravé dans les annales de la presse numérique au Cameroun, l'histoire retiendra aussi que c’est le samedi-là, 19 octobre 2019 que des jeunes, soucieux de l’avenir du journalisme sur la toile dans leur pays, se sont réunis autour d’une même table pour mettre sur pied un mouvement patronal dédié exclusivement aux acteurs du digital.

 

Les membres fondateurs du Groupement des Editeurs de Presse en Ligne et de Services (GPELS) ont élu leur premier Bureau Exécutif National le samedi 19 octobre 2019 dernier à Douala au cours d’une Assemblée générale constitutive. 

Dénommé Groupement des Editeurs de Presse en ligne et de services (GPELS), la mission de l’association est de rassembler les intelligences autour d’une même cause, fédérer les énergies et impulser le développement durable de ce secteur mouvant. Au regard des dérives à répétition sur la toile au Cameroun, les membres fondateurs prônent un changement de paradigme, afin d’insuffler un sens d’éveil. Le GPELS regroupe à son sein, des directeurs de publications (sites web, blogs, web TV, Web Radio,…) des entrepreneurs et ingénieurs développeurs.

L'association est également ouverte aux régies publicitaires, aux sites de vente en ligne et des annonces, aux entreprises de production et de communication digitale ; téléphonie digitale et numérique en ligne, sécurité digitale et numérique en ligne, etc.

En plus de la défense des intérêts de ses membres, le groupement milite pour une pratique responsable et rigoureuse du journalisme et la gestion des contenus dans les nouveaux médias au Cameroun.

C’est dans cet état d'esprit constructif que Ernest Seidou Moluh, l’un des co-fondateurs du GPELS a été porté à la tête du groupement ce samedi 19 octobre 2019 à l’issue d’une Assemblée générale constitutive, pour un mandat de trois ans renouvelables.

Le tout premier président du patronat et les membres de son bureau comptent immédiatement entreprendre des démarches auprès des autorités administratives pour la légalisation du GPELS et la prise en compte des médias en ligne par la législation camerounaise.

 

Membres du Bureau Exécutif National du GPELS

- Président : Seidou Ernest Moluh Mougnol

- 1er Vice-président : Aboubakar Sidick Mounchili

- 2e Vice président : Valgadine Tonga

- Secrétaire Général : Armand Rodolphe Djaleu

- Secrétaire Général Adjoint : Houzerou Ngoupayou

- Chargé de la communication : Didier Ndengue

- Trésorier : Georges Mitterand Ndam

- Commissaire aux comptes : Bell Nyobe Jean Bosco

- Commissaire aux comptes adjoint : Mérimé Wilson Ngoudjou

 

Un article du Service de la Communication du GPELS

 

Marcel Ndi 

 

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La frontalière entre les deux pays est devenue une base arrière des forces rebelles repoussées par la Minusca à Zoukombo, une localité de la République Centrafricaine(RCA) située à 17 kilomètres de Garoua-Boulaï dans l’Est du Cameroun. 

 

La montée de l’insécurité au niveau de la zone frontalière entre le Cameroun et la RCA est devenue au fil du temps, un fait très perceptible. Une alerte est d’ailleurs lancée par les sources sécuritaires présentes de part et d’autre de la zone limitrophe entre les deux pays voisins. Ainsi, différentes factions des groupes rebelles seraient en train de se reconstituer dans cette zone. A en croire l’une des sources, « l’alliance de ces groupes rebelles avec d’autres mécontents de l’accord de paix inquiète Bangui qui redoute de nouvelles violences qui pourront avoir des répercussions au Cameroun, avec par exemple le flux massif des réfugiés ». 

Flux des réfugiés

L’on a enregistré depuis 2005, des milliers de Centrafricains, majoritairement des bororos qui ont fui la RCA. Ils se sont réfugiés dans la zone frontalière des régions de l’Est et de l’Adamaoua. Depuis le mois de mars 2013, ce flux massif des réfugiés a atteint son seuil avec le coup d’Etat conduit par la Seleka. Selon le Haut-commissariat pour les réfugiés(Hcr), ce sont plus de 180.000 qui se sont établis à l’Est du Cameroun. En l’état des choses, si le projet de reconquête du pouvoir des rebelles venait à être réalisé, un nouveau flux de réfugiés pourrait se déclencher sur le territoire camerounais, pouvant entraîner de nombreuses conséquences sur les plans sécuritaires et humanitaires. Une hypothèse qui n’est pas totalement à exclure. 

L’urgence est  signalée pour que les Gouvernements camerounais et centrafricains pensent faire mutualiser leurs forces afin de prévenir et de contrecarrer à l’avance toute intention des groupes rebelles visant à se reconstituer à leurs frontières pour mettre en mal la paix dans la sous-région Afrique centrale. 

La source évoquée un peu haut rapporte : « mais depuis quelques temps, le Fdpc a rejoint le groupe des « trois R » dirigé par Sidiki Abbas dans leur base de Bambari et d’autres groupes armés ». « Depuis un certain temps, on enregistre dans la région de l’Est, l’entrée de jeunes centrafricains détenteurs des cartes laisser-passer. Ces jeunes seraient les membres armés qui viennent pour le ravitaillement », rapporte cette même source. 

 

Innocent D H

 

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L’initiative d’épuration des dépenses du personnel du secteur public au Cameroun s’est déroulée au début de cette année avec la suspension de paiement de plusieurs fonctionnaires jugés fictifs. Malgré ce gros effort, la situation reste un véritable casse-tête qu’il faut résoudre dans les prochaines années. 

 

A analyser de près le train de vie de l’Etat, l’on constate que dès 2016 l’ensemble des dépenses du personnel représentait déjà 41,3% des recettes fiscales. En confrontant cet indicateur de soutenabilité de la masse salariale à celle de la norme communautaire (35,0%), il est largement au-dessus de celle-ci. Un tel décalage, se trouve son origine dans une croissance de la masse salariale qui est évidemment au-dessus de la croissance des recettes fiscales, au cours de la première décennie. Entre les années 2016 et 2017, l’estimation des chiffres officiels ont fait état de ce que dans la fonction publique camerounaise, la masse salariale a connu une augmentation annuelle de l’ordre de 7, 8% en ce qui concerne les recettes fiscales. 

Depuis 2016 marqué par un pic, l’indicateur de soutenabilité de la masse salariale du personnel du secteur public ne cesse de s’améliorer. En 2017 et 2018, il a été respectivement de 39,7 et 35,6%. Il faut remarquer que l’objectif du Gouvernement est de pouvoir stabiliser l’accroissement de la masse salariale de ses agents jusqu’en 2021. Cependant, il est aussi évident que des recrutements supplémentaires sont d’une nécessité indéniable. Selon des études menées en 2017 sur la soutenabilité de la masse salariale au Cameroun, il ressort une difficulté liée à l’équilibre entre les effectifs des personnels recrutés dans la fonction publique ou plus encore par profil des recrutements. C’est le cas par exemple avec les effectifs des enseignants qui se sont multipliés, pendant que ceux des secteurs de la santé et de la production (production rurale, minière etc.) ont connu une baisse. 

Dans un tel contexte, le recrutement de nouveaux personnels, devra se soumettre à des arbitrages, et doit être soumis à la capacité de l’Etat à mobiliser des ressources fiscales additionnelles. L’augmentation des charges salariales en lien direct avec l’évolution des carrières, doit aussi être pris en compte. 

 

Innocent D H

 

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Afin d’apporter une ébauche de réponse, un atelier s’ouvre ce mardi Yaoundé, à l’intention des Hommes de média. Il sera question, pendant cinq jours, de réfléchir au renforcement de la liberté d'expression au Cameroun, tout en consolidant le rôle de la presse en tant que force pour le bien social au sein de la société.

 

Le Réseau pour la solidarité, l'épanouissement et la transformation pour tous (NewSETA), en partenariat avec le National Endowment for Democracy (NED, États-Unis) et l'Open Society Initiative for West Africa, entendent:

- Approfondir les connaissances des professionnels de l’information, par rapport au cadre juridique gouvernant des médias et des élections au Cameroun. Une exigence  dans un climat où les attentes de performance des journalistes sont plus élevées que jamais.

- Renforcer les capacités des journalistes dans le développement des rapports équilibré et constructif dans un climat de crise sociale et les élections

- Renforcer le rôle des médias en tant que partenaires essentiels dans la promotion de la paix au Cameroun…

Axes de réflexion

Afin de parvenir aux résultants escomptés, plusieurs thèmes sont proposés, notamment: Le cadre juridique gouvernant les élections et la liberté d'expression au Cameroun - Journalisme constructif - le rôle du « le journaliste de la paix »  dans la construction de sociétés stables -Enjeux et défis de la couverture des élections- Nouvelles voix et énergie - Les espaces en ligne comme instrument de journalisme constructif - La fusion de la théorie à la pratique, les principes cardinaux pour un journaliste (Assurer l'équité journalistique, la justice sociale, de dire la vérité, le respect de la vie privée et la concordance des sources)- La liberté d'expression gage du progrès démocratique en Afrique - La corruption dans l’espace médiatique…

Contexte  

À l'heure où le public s’interroge sur des notions d'équilibre et d'objectivité de la presse, il a paru important d’établir le distinguo entre les différentes pratiques qui caractérisent le domaine journalistique. Il s’agit d’équité entre les « diffuseurs », qui favorisent l’impartialité et l'objectivité, et ceux qui préfèrent une approche «interprétative», prônant la participation et le plaidoyer (on constate un déséquilibre entre l'objectivité et la défense).

Une approche qui marque la différence entre les «antagonistes», qui font preuve d'une attitude plus combative envers le gouvernement et entreprises, et les mobilisateurs « populistes », qui reflètent un mouvement vers le journalisme civique, qui vise en premier lieu à permettre aux citoyens de s'exprimer.

Dans un contexte de conflit social et des élections partisanes, ces enjeux devraient amener le journaliste à un constant ré-étalonnage de son message - comment être témoigne, tout en utilisant le journalisme comme un atout pour le bien.

Au-delà des préoccupations méthodologiques mentionnées ci-dessus, la presse est modelée par le contexte et structures dans lequel elle s’opère. Des facteurs tels que le soutien pour la diversité d'opinion, l'indépendance des médias, la censure, le cadre législatif, la transparence et la qualité de l'infrastructure qui soutient la production de nouvelles et d'information, sont des facteurs déterminants de la qualité et de la perception de la presse partout dans le monde. Par conséquent, il est essentiel de comprendre et de répondre à ce milieu.

Outre la manière dont un journaliste peut choisir de procéder dans le contexte et structures données, il est également important de réfléchir toujours en se basant sur la théorie et la pratique, d'explorer de nouveaux domaines de la technologie face à un ensemble de compétence et, de développer de nouvelles compétences qui s’avèrent nécessaires dans un environnement médiatique en constante évolution.

Il est aussi attend que les journalistes, au lendemain de cet atelier, soient capables  de construire une perspective plus large et intellectuelle pour guider leurs pratiques journalistiques et la prise de décisions. Cela inclut la possibilité d'appliquer un raisonnement critique à l'évaluation des sources d'information, l'information et les intentions des gens…

 

Nicole Ricci Minyem

 

Published in Société

Etienne Eto'o, fils du légendaire Samuel Eto'o, ne participera pas à la Coupe du Monde U17 de la FIFA au Brésil. Il a été exclu de la liste définitive des 21 joueurs retenus de l'équipe du Cameroun, publiée par l'entraîneur Thomas Libiih. Ainsi, sur son compte Instagram, le fils de Samuel Eto’o se livre. 

 

« Le mois dernier devais être l’un des meilleurs de ma vie grâce à l’opportunité unique qui m’avait été donnée de disputer une Coupe du monde. Ce rêve, avec lequel presque tous les enfants grandissent, est venu plus tôt que prévu. Beaucoup d’entre vous pensent que venir ici a été facile et on a tort parce que c’est compliqué : nombreux tests médicaux rapides et rapides, voyages express pour obtenir mon passeport camerounais, le ROGAR, le presque SUPLICAT de l’autorisation de renouveler mon passeport espagnol et Cela me permettrait d'entrer au Brésil, l'entraînement spécifique à 100%, la peur d'être blessé et cela m'empêchant de voyager et de jouer, beaucoup de nerfs et de stress psychologique pour enfin être prêt et pouvoir jouer cette coupe du monde(...) », a-t-il écrit.

Convaincu que cette opportunité allait lui ouvrir de grandes portes, le fils de l'un des meilleurs footballeurs au monde se dit déçu de son exclusion de l’équipe des U17.  « Nous sommes arrivés à notre destination, nous avons commencé à nous entraîner et, peu après, nous avons disputé le premier match amical au cours duquel j'ai eu l'occasion de marquer un but dès que je suis entré dans la compétition. J’étais convaincu que cette opportunité pourrait s’avérer très importante dans ma vie après 13 ans de football. Mais ce que nous ne savions pas, mes 5 coéquipiers européens et moi-même, c’est qu’à cause d’un décret présidentiel (que je respecte mais que je préfère ne pas commenter), nous ne disputerions pas la Coupe du monde. Je vais vous avouer que cela a été très dur mais grâce au soutien que nous nous sommes donné mutuellement, nous avons réussi à commencer à tourner la page. »

Lire aussi : Mondial U17 : Etienne Eto’o n’est finalement pas retenu

Pour conclure, le Lion Indomptable a remercié sa grande famille pour le soutien à lui apporté ainsi que la Fédération pour cette opportunité qui l’a fait rêver grand. « Je tiens à remercier principalement ma mère pour tout ce qu’elle a fait pour moi et pour tout le soutien qu’elle m’a apporté, à ma famille en général, à mes amis et à toutes les personnes qui ont pris quelques minutes pour m’envoyer des messages de soutien. C’est un honneur pour moi d’avoir représenté le Cameroun tout au long de ces deux semaines. Je tiens à dire un grand merci à la Fédération de m’avoir convoqué et au staff technique ».

Nous lui remercions aussi pour la sagesse dont il fait montre mais surtout pour son talent.

 

Danielle Ngono Efondo

 

Published in Sport

Stormark Kare le Directeur général adjoint du Ministère des Affaires étrangères du Royaume de Norvège a sollicité une audience au Ministère des Relations extérieures.

 

Stormark Kare a été reçu en fin de semaine dernière par Lejeune Mbella Mbella le Ministre des Relations extérieures (Minrex). Leurs échanges ont tourné au tour de ce qu’il y a lieu de faire pour renforcer, solidifier les relations existantes entre le Cameroun et la Norvège. De façon plus précise, Le Jeune Mbella Mbella et Stormark Kare se sont appesantis entre autres sur les voies et moyens pour densifier la coopération économique, le travail d’ensemble au sein des institutions multinationales.

Le Directeur général adjoint du Ministère des Affaires étrangères de la Norvège et le Minrex ont aussi parlé des questions d’intérêt général. Parmi lesdites questions, on peut citer les problématiques de l’égalité des sexes. Stormark Kare a indiqué le rôle important que la femme joue dans le processus de développement soutenable. A la suite de son hôte, Lejeune Mbella Mbella a tenu à souligner qu’au Cameroun, les femmes sont considérées. Et les pouvoirs publics camerounais implémentent des politiques publiques qui promeuvent l’égalité des genres. Celles-ci permettent à la femme d’avoir les mêmes chances que les hommes.

L’autre question d’intérêt général qui a meublé les échanges entre les deux personnalités est la lutte contre les dérèglements climatiques causés par la destruction de la couche d’ozone. En ce qui concerne le changement climatique, Stormark Kare a relevé les effets pervers du réchauffement de la planète dans la partie du globe qui abrite son pays. « Dans le Nord, on sent très fortement les effets du changement climatique », a-t-il déclaré. Pour minimiser ces dégâts, il faut préserver l’environnement et sauver les écosystèmes qui peuvent encore l’être. Aussi, Stormark Kare a confié que son pays souhaite contribuer à sauver les forêts tropicales dans le bassin du Congo.

 

Liliane N.

 

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‪Les 16 nations qualifiées pour le Championnat d’Afrique des Nations 2020 sont désormais connues. Les derniers matchs de qualification, qui se sont disputés hier dimanche 20 octobre 2019, ont livré leur verdict.‬ 

 

Le Cameroun pays hôte du CHAN 2020 sait désormais quelles nations tenteront de succéder au Maroc lors de cette édition.

 

Résultats complets du dernier tour des éliminatoires du CHAN 2020 :‬

‪Dimanche 20 octobre

‪Lesotho 0 –0 Zimbabwe (1-3) (Zone Sud)‬

‪Côte d’Ivoire 1 – 0 Niger (0-2) (Zone Ouest B)‬

‪RD Congo 4 – 1 Centrafrique (2-0) (Zone Centrale)‬

‪Congo 1 – 0 Guinée équatoriale (2-2) (Zone Centrale)‬

‪Libye 1 – 2 Tunisie (0-1) (Zone Nord)‬

‪Mali 2 – 0 Mauritanie (0-0) (Zone Ouest A)‬

‪Guinée 1 – 0 Sénégal (0-1) (3-1 tab) (Zone Ouest A)‬

‪Burkina Faso 0 – 0 Ghana (1-0) (Zone Ouest B)‬

‪Samedi 19 octobre‬

‪Zambie 2–2 Eswatini (1-0) (Zone Sud)‬

‪Ouganda 3–0 Burundi (3-0) (Zone Centrale-Est)‬

‪Rwanda 1–1 Éthiopie (1-0) (Zone Centrale-Est)‬

‪Namibie 2–0 Madagascar (0-1) (Zone Sud)‬

‪Nigeria 2–0 Togo (1-4) (Zone Ouest B)‬

‪Maroc 3 – 0 Algérie (0-0) (Zone Nord)‬

‪Vendredi 18 octobre‬

‪Soudan 1–2 Tanzanie (1-0) (Zone Centrale-Est)‬

 

Ci-dessous la liste des pays qualifiés pour le CHAN 2020 :

Cameroun (Hôte)

Tanzanie

Ouganda 

Zambie 

Rwanda 

Namibie

Togo

Maroc 

Zimbabwe 

RD Congo 

Congo 

Tunisie 

Burkina Faso 

Guinée 

Niger 

Mali 

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Dans un communiqué publié le 18 Octobre dernier, Me Charles Patie Tchakounte, rappelle quelques notions et idéologies qui fondent le métier d’avocat au Cameroun. 

 

« Les Avocats ne peuvent revêtir leur robe qu’à des occasions consacrées par les usagers et traditions séculaires. Les domiciles privés ne sont d’aucune façon les lieux où la robe d’Avocat peut être portée, sauf situations très particulières sur autorisation expresse et préalable du Bâtonnier ».

Pour le président de l’Ordre, « la photo en cause désacralise la robe-attribut et symbole essentiels de la profession d’Avocat, ce que je reprouve avec une extrême fermeté… ».

Un rappel à l’ordre qui a fait le tour de la toile il y a quelques jours. Dans la cour du domicile privé du président du Mouvement de la Renaissance du Cameroun, l’on a vu une vingtaine d’avocats qui l’entouraient et, certains ont tôt fait d’affirmer que cette formation politique veut créer une division du barreau du Cameroun et s’aligner derrière le candidat malheureux de la présidentielle du 07 octobre 2018.

Certains journaux, plus virulents, n’ont pas manqué de faire le lien entre le début de la crise sécuritaire dans les régions du Nord et du Sud-Ouest, avec les conséquences qu’on connait aujourd’hui et le rôle joué par les Hommes aux robes noires « Vous direz que c’est un peu tiré par les cheveux, mais, les avocats, depuis un certain temps, joue le rôle de pyromane dans ce pays, affirme Timothée Mendogo, rédacteur en chef d’un journal qui paraît à Yaoundé.

Il ajoute que « lors de la libération du leader du Mrc et de ses acolytes au tribunal militaire de Yaoundé, nous avons vu le collectif d’avocats de ce parti politique entonné un hymne antirépublicain. On ne refuse pas qu’ils soutiennent un homme politique mais, dans un prétoire, ils sont des hommes de loi et par conséquent, ils devraient s’abstenir d’afficher certains comportements… ».

 

Une polémique qui n’a pas besoin d’être

C’est du moins ce que pense Justin Noah, cadre du Mrc : « Ils ont décidé de porter les robes pour une photo de groupe avec leur client. Est-ce un crime ou un délit? Quand il s’agit du Mrc, tout change… ».

Par ailleurs, dans les réseaux sociaux, les personnes proches de cette formation politique ont fait circuler un document dont la rédaction et la signature sont attribuées au professeur Kamto. Dans ce  dernier, le leader du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun salue le travail abattu par les avocats qui les ont défendus depuis leur interpellation. Cependant, peut – on lire : « il y’a encore des militants, sympathisants et autres camerounais qui se sont trouvés au mauvais endroit, au mauvais moment, qui croupissent encore dans les geôles. Tout doit être mis en œuvre afin d’obtenir dans les délais, leur libération… ».

 

Un document, qui s’il est authentique, aurait peut être dû parvenir à Me Charles Patie Tchakounte. Toutefois, ceux qui sont sur la photo avec Maurice Kamto doivent – ils être considérés comme des « hors la loi ? », des avocats « tribalisés et politisés ? ». La démarche du bâtonnier est – elle exagérée ?

Autant de questions et bien d’autres qui se posent et qui viennent mettre en exergue, les sentiments que Maurice Kamto et ceux qui le soutiennent engendrent au sein des différentes strates de la vie publique au Cameroun.

Supposées ou réelles, les relations entre le Mrc et ceux qui travaillent au quotidien à détruire de plus en plus ce pays ont suscité la méfiance et les positions comme celles adoptées par le bâtonnier pourraient y trouver leur raison d’être.

 

Nicole Ricci Minyem

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01