Après trois semaines de cavale, les 5 suspects ont été rattrapés par les éléments de la légion de gendarmerie de l’Ouest.
Cinq personnes suspectées d’être les auteurs du piratage du numéro de téléphone d’Awa Fonka Augustine le gouverneur de la région de l'Ouest, sont actuellement en garde à vue, dans la cellule du bureau spécial de recherches et enquêtes criminelles de Bafoussam. Elles attendent la suite de la procédure qui devra les conduire à s’expliquer sur les charges qui seront retenues contre elles.
On apprend de nos sources, que trois ont été appréhendés à Bertoua dans la région de l’Est, un à Yaoundé dans la région du Centre et l’autre à Garoua Boulaï dans la région de l’Est. Le 15 juin dernier, ces suspects ont même été présentés à la presse.
Selon la légion de gendarmerie de l’Ouest, les suspects ayant piratés le numéro de téléphone du gouverneur Awa Fonka Augustine sont entrés en contact avec des agents commerciaux qui ont procédé à la duplication de l’identité de l’autorité et ont entrepris des arnaques.
« Nous avons entrepris des investigations avec la grande collaboration de la légion de gendarmerie de l’Est, l’appui de la police et de la Direction générale de la recherche extérieure (DGRE) », explique le Lieutenant Bassirou Mama à la Crtv. Le chef du bureau spécial des recherches et enquêtes criminelles de Bafoussam indique que parmi les suspects, il y a une femme.
A titre de rappel, c’est par le biais d’un communiqué relayé sur Agence Cameroun Presse, que le gouverneur de la région de l’Ouest, informait l’opinion du piratage de son numéro de téléphone. Le communiqué avait été rendu public le 27 mai 2021.
Le gouverneur avait mis en garde ses proches et toute autre personne pour ne pas se faire prendre au piège de ceux qui avaient piraté son numéro de téléphone.
« Le gouverneur de la région de l'Ouest a l'honneur d'informer le public, que son numéro mobile Orange a été piraté hier mercredi 26 mai 2021, vers 10h par des cybercriminels qui, l'utilisent pour perpétrer des actes d'arnaque de toutes sortes, notamment des sollicitations financières et la proposition de certains services. Il prie par conséquent toute personne qui recevrait des appels et des messages par ce numéro ou tout autre, et en son nom, de les ignorer purement et simplement et de le signaler au besoin dans les services de gendarmerie ou de police les plus proches », pouvait-on lire dans le communiqué.
Liliane N.
Awa Fonka Augustine le gouverneur de la région de l’Ouest indique que son numéro de téléphonie mobile Orange a été piraté le 27 mai 2021, aux environs de 10 heures.
L’alerte d’Awa Fonka Augustine le gouverneur de la région de l’Ouest est en ce moment relayée sur toutes les plateformes locales. Dans un communiqué qui date du 27 mai 2021, le patron de l‘Ouest affirme qu’il est victime d’un piratage depuis 10 heures de cette journée-là. Des cybercriminels ont réussi à pirater son numéro orange. L’autorité a trouvé bon de mettre en garde ses proches ou tout autre camerounais au plus vite.
«Le gouverneur de la région de l'Ouest a l'honneur d'informer le public, que son numéro mobile Orange a été piraté hier mercredi 26 mai 2021, vers 10h par des cybercriminels qui, l'utilisent pour perpétrer des actes d'arnaque de toutes sortes, notamment des sollicitations financières et la proposition de certains services. Il prie par conséquent toute personne qui recevrait des appels et des messages par ce numéro ou tout autre, et en son nom, de les ignorer purement et simplement et de le signaler au besoin dans les services de gendarmerie ou de police les plus proches», peut-on lire dans le communiqué.
Le gouverneur Awa Fonka Augustine recommande à ses compatriotes d’être vigilants avec ce phénomène de piratage de numéro de téléphone, qui devient de plus en plus récurrent. Il convient de noter que la cybercriminalité est un mal qui prend de plus en plus des proportions inquiétantes. Plusieurs Camerounais perdent chaque jour le contrôle de leurs numéros de téléphone piratés par des cybercriminels. Ces derniers se font généralement passer pour les véritables propriétaires des numéros et demandent de l’argent aux contacts qu’ils trouvent dans les répertoires.
Des sites web gouvernementaux piratés
Fraude, escroquerie, extorsion, vandalisme, harcèlement. Environ 7 sites web d’administrations publiques ont subi une attaque de type web d’effacement, 34 sites gouvernementaux sont attaqués par des programmes malveillants, des opérations d’usurpation d’identité de plusieurs membres du gouvernement, environ 4 milliards de pertes liées au cyber-arnaque.
Liliane N.
Le journaliste Martin Camus Mimb suggère qu’on encadre les funérailles comme on pourrait le faire pour les levées de corps et les messes du dimanche.
Martin Camus Mimb n’est pas d’accord avec la décision d’Awa Fonka Augustine le gouverneur de la région de l’Ouest, qui vient d’interdire dans sa zone de commandement la tenue des funérailles. L’interdiction vaut pour une période de deux mois qui peut bien être renouvelée, a-t-il précisé dans sa note. Et la mesure est prise du fait de la résurgence de la pandémie du Coronavirus à l’Ouest. Pour le journaliste commentateur sportif, au lieu d’interdire, le patron de l’Ouest aurait plutôt pensé à encadrer ce type d’évènement.
«J'ai bien compris qu'il fait la différence entre obsèques et funérailles. C'est-à-dire qu'on peut enterrer, mais on ne peut pas célébrer ceux qu'on a enterré. Mais les funérailles ne sont pas simplement une messe de requiem où on prie pour l'âme de ceux qui sont partis. C'est très souvent un rituel de succession et de transmission. C'est-à-dire à dire qu'on ne peut pas s'en passer. Ou alors lorsqu'on s'en passe, il y a des mécanismes de régulation des communautés qui sont gelés. Si je pense comme lui que ces regroupements sont des véhicules de transmission facile du #Covid19, je pense qu'aux mêmes titres que les messes du dimanche, les levées de corps tous les jours dans les morgues, il faut juste encadrer et non interdire», écrit Martin Camus Mimb.
Pour Martin Camus Mimb, la décision du gouverneur de l’Ouest ressemble à un abus d’autorité. C’est une suspension d’un événement qui pour lui, ne constitue que la suite de l’industrie funéraire. Le mieux aurait donc été de décider une fois de la fermeture des morgues, pense-t-il.
«Mais cela trahit quelque chose devenu très banal, qui illustre la déchirure de notre société. La brimade permanente de l'autorité sur les traditions et la culture. Je pense que la première décision et plus simple à prendre, est la fermeture des morgues dans le sens de la sortie des corps. Sinon, j'ai du mal à comprendre la logique de stopper une industrie sur les circuits de distribution et non sur la production de base. Les funérailles sont la continuité de l'industrie funéraire. Il faudrait fermer la production pour stopper la distribution des produits. Sinon, quand on enterre, on a le droit de pleurer ou de chanter», écrit Martin Camus Mimb.
Liliane N.
Awa Fonka Augustine rappelle aussi que tout événement populaire doit se faire avec un quota de 50 personnes.
Jusqu’à nouvel avis d’Awa Fonka Augustine, les funérailles sont interdites dans toute la région de l’Ouest. Dans l’arrêté qu’il a rendu public à cet effet, le gouverneur précise que l’interdiction tient pour deux mois. Cependant cette période peut être renouvelée. Cette décision est prise du fait de la résurgence de la pandémie du Coronavirus. Et c’est donc en fonction de l’évolution de la pandémie, que le patron de la région de l’Ouest saura s’il faut maintenir ou non la décision qu’il vient de prendre.
Dans son arrêté, le gouverneur Awa Fonka Augustine rappelle par ailleurs que l’organisation de tout événement populaire comme les mariages, les obsèques, les concerts et autres doit absolument respecter la mesure du quota de 50 personnes. Il faut rappeler qu’il s’agit d’une mesure prescrite par le gouvernement l’année dernière dans le cadre de la riposte contre la pandémie du Coronavirus. Le patron de la région de l’Ouest appelle donc les autorités administratives, municipales, traditionnelles, les Forces de Défense et de Sécurité à veiller au strict respect du contenu de l’arrêté qu’il a signé.
L’arrêté du gouverneur est compréhensible, étant donné que le ministère de la Santé a fait état de ce qu’il y a eu résurgence de la pandémie du Coronavirus. Même si le département ministériel a toujours précisé que la situation épidémiologique n’est pas alarmante, il reste qu’il n’a de cesse de rappeler aux camerounais que le strict respect des mesures barrières édictées est ce qui va nous sauver la vie.
L'Ordre national des médecins du Cameroun ne s’est pas montré défavorable à l’idée d’un re confinement. D’ailleurs, il a interpelé en indiquant que cela favoriserait la limitation de la propagation du virus, face à l'indifférence et l’insouciance des populations.
En une semaine, le pays a enregistré 4112 nouveaux cas positifs. Ce qui porte le nombre de cas à 57.337 dont 51769 guéris et 851 morts.
Liliane N.
En effet, les grandes pluies qui s’abattent sur certaines villes camerounaises et qui provoquent des inondations ont entraîné l’affaissement d’une buse sur cet axe routier. Informé de la situation, le Gouverneur de la région de l’Ouest, Awa Fonka Augustine a pris des mesures pour éviter le déclenchement d’une catastrophe.
« Aux usagers et transporteurs, d’éviter l’axe carrefour Bamougoum-Dschang-Santchou-Melong qui jusqu’à nouvel ordre est interdit aux gros porteurs ; d’emprunter uniquement l’axe carrefour Bamougoum-Bafoussam-Batie-Bafang-Melong », découvre-t-on dans une note du patron de la région de l’Ouest, Awa Fonka Augustine après l’affaissement de la buse sur la route Santchou-Dschang.
A la suite des pluies diluviennes devenues récurrentes ces derniers temps dans villes du Cameroun, l’autorité administrative a également demandé aux populations de l’arrondissement de Santchou, notamment celles situées non loin de la rivière Elienti, de prendre toutes les mesures pour se mettre à l’abri des flancs d’eaux afin de parer à la déferlante des précipitations en provenance du département du Lebialem.
Depuis la fin de la semaine qui s’est écoulée, les populations de certaines villes camerounaises ont les pieds dans l’eau à cause des grandes pluies qui ont provoqué des inondations.
Dans la région du Littoral, notamment à Douala vendredi dernier, la situation était aussi grave au point où le Gouverneur de la région, Samuel Dieudonné Ivaha Diboua a demandé aux populations de quitter les zones à haut risque. Le numéro 1 du Littoral a par ailleurs appelé à la solidarité envers celles sinistrées par les eaux en furie.
Notons que ces inondations dans la capitale économique du Cameroun ont perturbée la circulation entre les villes de Yaoundé et Douala. A en croire les déclarations d’un habitant de Douala à l’AFP, « ça fait presque vingt ans, on n’a jamais vu cela. Honnêtement nous sommes dépassés, nous sommes débordés, comme on dit ». Un autre habitant faisait état, « d’enfants dans l’eau » et « gros serpents ».
Innocent D H
Selon les dernières données, le Noun compte 51 cas confirmés sur les 165 que la région de l’Ouest totalise dans son ensemble.
Dans la région de l’Ouest, l’état du Coronavirus dans le département du Noun préoccupe plus les autorités. La raison étant que ce département enregistre à lui tout seul, presque la moitié des cas déclarés positifs dans ladite région. Statistiquement, on parle de 51 cas sur les 165 comptabilisés dans 13 des 20 districts de santé de la zone. Pour mieux comprendre la préoccupation des autorités, il faut observer les chiffres.
La répartition géographique est la suivante : 02 cas à Njimom, 02 cas à Bangourain, 02 à Koutaba, 17 à Foumbot et 28 à Foumban. Seuls les arrondissements de Magba, Malantouen, Massangam et Kouoptamo sont pour l’heure épargnés. Et pas pour longtemps, si l’on tient compte du flux des populations et de certaines pratiques qui ont cours dans ce département.
Fort de cette situation, Awa Fonka Augustine le gouverneur de la région de l’Ouest a sorti un communiqué. Dans ledit communiqué, il a interdit aux populations de continuer à mener certaines activités culturelles, durant le risque de contamination est élevée. « Le gouverneur de la région de l’Ouest à l’honneur d’attirer l’attention des populations du département du Noun sur la nécessité d’adopter les comportements responsables face à la pandémie du Covid-19 », a-t-il écrit.
De façon générale, les autorités notamment celles du Ministère de la Santé appelle les populations à ne pas relâcher dans l’observance des mesures barrières édictées par l’Organisation mondiale de la Santé et le gouvernement. A la date du 18 mai 2020, le pays a enregistré 27 nouveaux cas positifs, 14 décès et 56 guérisons.
Liliane N.
Le premier ministre chef du gouvernement Joseph Dion Nguté représentant du chef de l'état préside ce samedi 09 novembre 2019 à la place des fêtes de Bafoussam, la cérémonie d'hommages aux décédées de la catastrophe naturelle de Gouache 4.
L'information est contenu dans un communiqué signé et rendu publique à cet effet par Awa fonka Augustine, gouverneur de la région de l'ouest qui invite par ailleurs,les autorités administratives,les parlementaires,les responsables des services publics, parapublics et privés,les magistrats municipaux, l'élite intérieur et extérieur,forces vives,les opérateurs économiques ainsi que l'ensemble des populations à prendre massivement part à cette cérémonie pour compatir chacun a son niveau a la douleur des familles éprouvées.
Selon une communication du délégué du gouvernement auprès de la communauté urbaine de Bafoussam, Emmanuel NZETE, le programme de la cérémonie prévoit :
- Samedi 09 novembre dès 10 heures précises, dépôt de la gerbe de fleurs sur le lieu du sinistre par le délégué du gouvernement accompagné des grands conseillers accueillis sur place par les chefs de quartiers, et le curée de la paroisse de Gouache où son représentant ;
- Prière œcuménique concélébrée par l'IMAN de la grande mosquée, le pasteur de l'église protestante et le curée;
- Tour de Deuil traditionnelle
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Le sultan roi des Bamoun S.M IBRAHIM MBOMBO NJOYA était sur le terrain au quartier Gouache 4 questions de toucher du doigt les réalités du sinistre.
Le sultan roi des Bamoun à son arrivée sur le site jeudi dernier 31 octobre 2019 sera accueilli par le chef de la communauté et sa suite. Direction chefferie traditionnelle Bamougoum, à la rencontre de son homologue éprouvé, sa majesté Moumbe Mitterrand. La délégation mettra ensuite le cap sur le site du drame. L’émotion est à son comble. Le sultan et sa délégation sont sans voix devant cette catastrophe naturelle qui a eu raison de plus de 40 personnes.
Rendu à l’hôpital régional de Bafoussam après cette étape, sa majesté le sultan roi des Bamoun qu’accompagnait le gouverneur Awa Fonka Augustine, a communié avec les blessés de cet incident internés dans cette formation sanitaire. Il offrira un million de francs CFA en guise de soutien aux sinistrés. Il va tenir à féliciter l’ensemble de la communauté Bamoun de la Mifi pour la mobilisation. Signalons tout compte fait, que cette rencontre prévue se tenir en matinée a connu quelques chamboulements dans le programme, compte tenu des occupations du gouverneur qui était pris dans une réunion de coordination.
Pour rappel, en date du 28 octobre 2019, un éboulement de terrain est survenu, aux environs de 22 h, au quartier Gouache, dans l’arrondissement de Bafoussam 3e, faisant officiellement 43 morts. Le président Paul Biya a annoncé une aide d’urgence de 200 millions de FCFA pour les rescapés du drame.
Marcel Ndi
Awa Fonka Augustine indique qu’il y a de fortes chances que, la zone de Gouache connaisse d'autres éboulements.
Le gouverneur de la région de l’Ouest pense qu’il est impératif que les gens qui vivent dans la zone à haut risque, partent de là, le plus tôt possible. Il l’a dit dans l’interview qu’il a accordée au quotidien gouvernemental Cameroon tribune. « Tous ceux qui habitent dans cette zone doivent la quitter immédiatement parce qu'il y a de forts risques qu'il y ait d'autres éboulements dans cette zone », a-t-il déclaré.
Le patron de la région de l’Ouest précise toutefois que des mesures de sécurité vont être prises pour qu’un autre drame ne survienne plus à cet endroit. « D'autre part, dans le cadre de la protection civile, le préfet est en train de travailler sur l'identification des autres zones à risque. Nous sommes en train de faire aussi ce travail au niveau régional. Il consistera à identifier les zones à risque et faire évacuer les gens, tout en les sensibilisant sur la nécessité de ne plus construire dans de telles zones. C'est un travail que nous faisons d'ailleurs depuis longtemps », a-t-il ajouté.
Lire aussi : Éboulement de terrain à Bafoussam : Le Chef de l’État débloque 200 millions pour les victimes
Awa Fonka Augustine indique que l’opération suscitée, qui est conduite actuellement par le Préfet nécessite non pas seulement des moyens financiers, mais aussi des moyens techniques et la sensibilisation. Pour le patron de l’Ouest, il est impératif que les uns et les autres comprennent le risque de construire dans des zones à risque.
« On commence d'abord par-là, avant de voir ce qu'il y a lieu de faire, par rapport aux dispositions-matérielles qui peuvent être prises dans ces zones. Nous présentons nos condoléances à toutes ces familles. Nous sommes touchés par rapport à ce qui s'est passé et nous espérons qu'à partir de ce drame, tout le monde comprendra qu'il y a des zones à risque que nous devons éviter. Il faut pour cela que chacun fasse son travail à son niveau : les maires, les autorités administratives, les forces de maintien de l'ordre et les populations elles-mêmes qui doivent à tout prix éviter les zones à risque », a-t-il déclaré.
Liliane N.
Via le gouverneur de la région de l’Ouest, Awa Fonka Augustine, le président Paul Biya et son épouse, Madame Chantal Biya adressent dans un télégramme officiel, leurs condoléances les plus attristées.
En effet Paul Biya à publié le mardi 29 octobre 2019 en fin de soirée sur Facebook et Twitter un message de compassion envers les victimes du terrible éboulement de terrain survenu à Bafoussam la veille.
Le président de la République :
"J'ai appris avec émoi, le décès de plusieurs compatriotes, suite à un éboulement de terrain survenu au quartier Gouachié 4 dans la commune de Bafoussam. Je tiens en cette dramatique circonstance, à adresser aux familles des victimes, mes sincères condoléances", a écrit son Excellence Paul Biya.
Suite à l'éboulement de terrain dans la nuit du 28 au 29 octobre 2019 au quartier Gouatchié situé dans l'arrondissement de Bafoussam 3e. 42 corps sans vie soit 15 filles, 11 garçons et 10 femmes donc 4 étaient enceintes ont été retirés.
Ce chiffre à été révélé par le ministre de l'administration territoriale Paul Atanga Nji lors d'une réunion de crise qu'il a tenu personnellement dans les services du gouverneur de la région de l'Ouest à Bafoussam. Il avait a s'est côtés, la ministre de l'Habitat et du développement urbain Célestine Ketcha Courtes.
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"Ce grave sinistre qui est survenu aux environs de 22 h, à causé de nombreuses pertes en vies humaines. Le bilan provisoire qu'on peut faire pour l'instant est de 42 personnes décédées donc 6 hommes adultes, 10 femmes adultes dont 4 enceintes, 11 enfants garçons et 15 enfants filles. Sur les 42 corps seuls 36 ont été identifiés", a déclaré à la presse, le super chef terre.
Pour rappel, le drame s’est produit dans la nuit du lundi 28 octobre. Un pan d’une colline sur laquelle étaient bâties des habitations a été emporté à la suite de deux journées consécutives de pluies intenses et incessantes. Suite à cette catastrophe naturelle, le Ministre de la Décentralisation et du Développement Local a effectué une visite sur les lieux. Il a ordonné le déblocage de 25.000.000 de francs comme appui a la Commune sinistrée.
Marcel Ndi