About four days after some 15 soldiers were brutally sent to the land of no return in an attack claimed by two groups of separatist fighters led by dreaded Amba General No Pity in Ndop, Ngoketunjia Division of the restive North West region, no communication has been made by the army spokesperson.
In what has been qualified by observers as a disturbing silence, the Cameroonian army is yet to react to the killing of 15 of its members last Thursday September 16 in an attack described as one of the most gruesome on the army since the crisis went violent.
The soldiers from the Rapid Intervention Battalion were on board two armoured vehicles when they were ambushed by two dreadful groups of Ambazonia fighters – the Jaguars of Bamessing, commanded by General Sagard, and the Marines of Bambalang, led by General No Pity along the Bamessing-Sabga stretch of road in the Ngoketunjia Division, North West region.
After torturing and finally killing those that were still alive, the fighters took videos of their victims naked, soaked in their own blood, some with body parts off and others burning and posted them on social media, shocking the entire nation.
It was a complete outrage on social media with many condemning the barbaric act on soldiers on duty and calling on the Government of Cameroon to respond appropriately to the five-year long crisis that is taking a “bitter twist.”
Surprising enough is the silence of the army since the act was perpetrated. Cameroonians in general and families of the victims in particular are still expecting the army’s spokesperson to give clear details on what happened to the soldiers.
For some time now, Ambazonia fighters have been successfully launching deadly attacks on soldiers. Five days before the Ndop incident, seven soldiers of the same Rapid Intervention Battalion, BIR perished after their vehicle exploded upon stepping on an improvised explosive device in Kumbo in the Bui Division, one of the most hard-hit areas by the Anglophone crisis.
Ariane Foguem
Le père du défunt soldat Tetang Amédée n’a pas pu supporter l’annonce du décès de son fils.
C’est une information relayée par le confrère Le bled parle. Un papa des 7 soldats camerounais qui ont été tués le 13 septembre 2021, à Kumbo dans la région du Nord-Ouest par les Ambazoniens a rendu l’âme, quatre jours après avoir appris le décès de son enfant dénommé Tetang Amédée. On apprend que le soldat lui-même a laissé une veuve et un nourrisson de trois jours. Aujourd’hui la famille de ce militaire pleure deux personnes.
A titre de rappel, les 7 soldats parmi lesquels se trouvaient Tetang Amédée sont tombés dans une embuscade de séparatistes comme l’ont été quelques jours plus tard 10 autres à Bamessing dans le département du Ngoketunjia, région du Nord-Ouest. La scène du crime de ces derniers a été filmée par les Ambazoniens qui ont posté sur la toile, la vidéo montrait des corps nus de soldats au sol et deux véhicules blindés qui avaient été incendiés.
L’on note depuis des mois, que les Ambazoniens reviennent en force dans les régions anglophones. Entre incendie d’écoles publiques, assassinats de civils et meurtre des soldats engagés au front, ils ne cessent de multiplier leurs exactions. Pour l’économiste Dieudonné Essomba, il faut oublier l’idée selon laquelle, l’Etat arrivera à bout des Ambazoniens par une solution militaire. Pour lui, il faut impérativement aller vers le fédéralisme.
Liliane N.
Cameroon’s volleyball lionesses have made history for themselves by emerging winners of the 2021 Africa Women’s Volleyball Championship for the third consecutive time against the same opponent. They beat their Kenyan counterparts 3 sets to 1 during the final of the competition yesterday Sunday September 19 in Kigali, Rwanda.
Cameroon’s volleyball lionesses have successfully sailed through the just ended 2021 African Women's Volleyball championship in Kigali, Rwanda, winning all their matches, including the final against their long-time rival, Kenya to make a replica of the competition in 2017 and 2019.
Despite losing one of the sets to Kenya, the very first since the start of the competition, the volleyball lionesses thanks to their 25-21, 25-23 and 25-23 wins for the first two and last sets imposed themselves thereby winning the match on a three sets to one advantage.
The girls thus set record thanks to this third consecutive victory against same rival, Kenya. At the end of the competition, Leticia Moma was crowned best setter and captain Christelle Nana best player.
They team leaves Kigali this Monday morning to arrive Yaounde Tuesday September 21 ahead of preparations for the 2022 World Championship.
It is worth mentionning that with this win, Cameroon confirms its supremacy on the African continent as far as volleyball is concerned. Last week, volleyball lions emerged second after losing the final to 11 times defending champions Tunisia. They nonetheless grabbed their qualification ticket for the World championship.
Ariane Foguem
Du 9 janvier au 6 février prochain, le Cameroun va accueillir la 33ème édition de la Can Total 2021, cinquante ans après l’organisation de la 8ème édition qui s’était déroulée du 25 février au 05 mars 1972. Entre les deux époques, c’est un demi siècle d’anecdotes, de remises en question, de défaites mais aussi de victoires et, c’est ce que propose Georges Franky Ndjia à travers son ouvrage intitulé : “Entre deux Can à la maison”.
Une œuvre littéraire préfacée par Junior Binyam, qui revient entre autres sur les transformations considérables qui se sont opérées au cours des années avec un tournoi final qui est passé de huit (8) à vingt quatre (24) participants, avec une diffusion planétaire et des audiences cumulées au - delà de dix milliards de téléspectateurs.
L’ancien directeur de la communication à la Fédération Camerounaise de Football relève que dans cet intervalle, le Cameroun est devenu une référence du football africain et mondial.
D’abord avec la présence remarquée et remarquable de ses clubs, à l’instar du Canon de Yaoundé, l’Union de Douala, le Tonnerre de Yaoundé dans le palmarès des compétitions interclubs de la Confédération Africaine de Football, dès le milieu des années 70; Mais aussi les exploits et trophées de sa sélection nationale à partir de la Coupe du Monde de 1982 en Espagne...
“Entre deux Can au Cameroun” c’est également l’histoire d’une sélection qui avait été à l’origine d’un drame national le jeudi 2 mars 1972, en perdant à domicile face au Congo, la demi - finale d’une Can qui lui semblait pourtant promise…
Une défaite qui a causé un traumatisme collectif, que les Camerounais ont pourtant décidé de laisser derrière eux. Et pour atteindre cet objectif, ils ont pensé qu’il leur fallait au préalable avoir un nom de baptême et le choix s’est finalement porté sur “ Les Lions Indomptables du Cameroun”.
“Un nom prétentieux”, selon le préfacier de cet ouvrage qui soutient en outre que “Durant les années qui ont suivi, même la qualification pour une phase finale de Can s’apparentait à un mirage”.
En parcourant “Entre deux Can au Cameroun”, le lecteur plonge dans les méandres de la reconstruction d’une équipe nationale de football; D’abord d’un point de vue sportif, avec le réarmement moral qui a été le moteur de chaque acteur au cours du demi siècle écoulé, au point de faire du “Lions fighting spirit” un référent. Une identité du sportif Camerounais en particulier et du Camerounais en général qu’on lui envie désormais.
“A cœur vaillant, rien n’est impossible; Cette transcendance qui semble habiter les Lions Indomptables subjugués, une fois revêtus des couleurs nationales…”, écrit Junior Binyam.
En plus des anecdotes, des explications ou clarifications et quelques inédits pour un legs à la postérité, “Entre deux Can au Cameroun” c’est aussi la découverte des joueurs qui ont pris part à chacune des Can avec le Cameroun. Si certains sont inconnus du grand public, d’autres par contre sont tombés dans l’oubli, alors que chacun d’eux fait partie intégrante d’une épopée glorieuse et victorieuse en Coupe d’Afrique des Nations.
A titre d’illustration, Junior Binyam cite par exemple Ruben Felix Mamilo, Nicolas Makon, Jean Denis Mandengue, Bertin Olle, Richard Tchakoumang, Jean Dika Dika, Daniel Bekono, Pensée Michel Billong, Innocent Hamga, Michel Mahouve…
En annexe de l’ouvrage, on trouve aussi les couleurs et modèles des maillots arborés par les Lions Indomptables tout au long de ces cinquante dernières années.
Sommaire
L’ouvrage de Georges Franky Ndjia que propose les “ Éditions de Midi”, c’est 235 pages, douze (12) chapitres aux titres révélateurs à l’instar de: 1970 - 1972 : Entrée en scène puis première Can; 1978 -1982: Des Lions Indomptables mais pas dompteurs; 1984 - 1990: Le roi Lion sur le trône de l’Afrique...2010 - 2015: Tumultueuse reconstruction; 2017: Raillés mais victorieux; 2018 - 2021: Glissement de date”.
Informations sur l’auteur
Georges Franky Ndjia est un ancien footballeur amateur Camerounais, devenu entraîneur de football. Il est diplômé en Sciences et techniques des activités physiques et sportives. Il occupe les fonctions de cadre d’E.P.S dans une structure déconcentrée du ministère de l’Education de Base et il exerce par ailleurs dans la communication.
Minyem Nicole Ricci
Il a été inauguré ce vendredi par Célestine Ketcha Courtès - ministre l'Habitat et du Développement Urbain en présence d’un grand parterres de personnalités
Le Monument de l'Unité est situé au rond point du Palais de l'Unité, au lieu-dit rond point Mont Fébé. Il s’agit d’un gigantesque ouvrage réalisé par la Communauté urbaine de Yaoundé (CUY) avec le concours d’une entreprise turque. Bâti sur une superficie de 12 mètres de diamètre, l’ouvrage est en forme circulaire et symbolise les dix régions du Cameroun.
Il est matérialisé par 10 piliers en béton armé de 10 mètres chacun, surplombés par 10 lions en mouvement et une étoile dorée en suspension. La base de ce monument est constituée d'espaces verts, des allées en marbre, d'une piscine décorative avec des jets d'eau, le tout dans une barrière de sécurité.
Au cours de la cérémonie protocolaire et au-delà des différents discours, la représentante personnelle du Chef de l’Etat à la cérémonie d’inauguration de ce 17 septembre, a procédé à la coupure du ruban symbolique ainsi qu’à la découverte de la plaque commémorative.
Lors de la visite guidée, tous ceux qui étaient présents se sont accordés sur le fait que cet ouvrage vient embellir la ville aux sept collines mais également enrichir les sites touristiques de la cité capitale politique Camerounaise, après le Monument de la Réunification construit dans les années 1970.
Et assurément, cette infrastructure va susciter la curiosité de nombreux touristes ce sera désormais le lieu de prédilection des mariés, pour leurs photos souvenirs.
Cependant, l’on se pose la question de savoir si, après l’attrait de la nouveauté, le Monument de l'Unité ne va pas tomber en décrépitude, abandonné aux intempéries… ?
Il faut préciser que ce n’est pas la seule infrastructure qui a été inaugurée ce vendredi; Célestine Ketcha Courtès a, dans la foulée, inauguré l’axe Rond point Palais de l'Unité - Rond point Bastos, baptisé “Avenue de l'Unité”.
Personnalités présentes
Bien qu’inscrits dans la logique du respect des mesures barrières, nombreux sont ceux qui ont été conviés à la cérémonie de ce 17 septembre 2021 nnotamment, le gouverneur de la Région du Centre, Naseri Paul Béa, le Maire de la ville de Yaoundé, Atangana Messi, les membres du gouvernement, parmi lesquels, Grégoire Owona, Georges Elanga Obam, Pr Laurent Serge Etoundi Ngoa, Luc Magloire Mbarga Atangana, Joseph Lé, Ibrahim Talba Mala, Marie Rose Dibong, pour ne citer que ceux-là.
A côté des gardiens de la tradition Beti be nanga, l’on a aperçu les Hommes de Dieu, à l'instar de l'archevêque métropolitain de Yaoundé, Monseigneur Jean Mbarga, l'évêque du diocèse de Sangmelima, Monseigneur Christophe Zoa, et le Nonce apostolique du Cameroun…
Nicole Ricci Minyem
Il s’agit de l’une des fortes résolutions prises à l’issue de la concertation organisée en fin de semaine à Douala et à laquelle prenait part, le Pr Nalova Lyonga - ministre des Enseignements Secondaires.
Un point inscrit à l’ordre du jour de ces assises organisées dans la salle des conférences des services du Gouverneur de la Région du Littoral, au regard des cris de détresse envoyés par les parents d’élèves qui se sentent étranglés car, c’est chaque chef d’établissement qui arrête le taux lié aux frais d’Apee ;
Au delà “des frais considérés comme indûment perçus par les chefs d'établissement pour l'accès en form 1 et Lower 6 et le recrutement des déplacés de la crise anglophone”, les participants à cette rencontre ont longuement discuté à propos du “montant jugé excessif des frais d'APEE dans les établissements secondaires, objet de la polémique qui enfle depuis des semaines au Cameroun”, renseigne le responsable de la cellule de communication au ministère des Enseignements Supérieurs.
Résolutions
Dans le communiqué rendu public par Henri Bomba - De la communication spéciale du Pr Nalova Lyonga, on peut entre autres lire que:
Au cours des échanges qui suivent, il est clairement démontré que les frais perçus par les établissements à la suite des résultats du common entrance et du Lower 6 n'ont aucun fondement légal et leur perception doit être stoppée en conséquence.
Sur la question des élèves déplacés, tous les chefs d'établissement du Littoral sont des modèles d'humanisme, doublés de patriotisme en ce qu'ils admettent lesdits élèves sans condition et sans frais.
Relativement aux frais d'APEE jugés trop élevés, parce que oscillant, seulement dans la ville de Douala, entre 20000 et 40000 FCFA, les raisons évoquées n'ont malheureusement pas pu convaincre le ministre Nalova Lyonga et sa suite.
Ainsi, à, compter de l'année scolaire en cours (2021-2022), les frais d'APEE dans les établissements scolaires secondaires du Cameroun sont plafonnés à 25000.
Cependant, rien n’a été dit à propos du “trop perçu” que certains chefs d’établissement ont “ arraché” aux parents d’élève et, le communiqué du membre du gouvernement ne donne aucun éclairage sur cette exigence qui a été instaurée par eux; celle de déposer les frais d’APEE avant même l’inscription des enfants, même si on n’est pas membre de ladite association.
La somme de 25 000 frs résoud t-elle le problème de ces parents qui inscrivent leurs enfants dans les établissements publics, étant donné que ces lycées sont censés être à la portée du Camerounais lamda? Peut être cela fera t -il l’objet d’une autre concertation mais en attendant, ce sont ceux qui n’ont pas inscrit leurs enfants qui pourront “ bénéficier” de cette mesure prise par le ministre des Enseignements Secondaires.
Lors de la concertation de ce vendredi, le membre du Gouvernement avait à ses côtés les responsables des services déconcentrés du département ministériel dont elle a la charge et qui sont en service dans la Région du Littoral à l’instar de Guillaume Edjang - Délégué régional des Enseignements Secondaires; Du Délégué départemental ainsi que des chefs d'établissement.
Dans la salle, l’on a également noté la présence de Boniface Bayaola - Secrétaire d'État auprès du MINESEC ; Pierre Fabien Nkot - Secrétaire général dans le même département ministériel, leurs plus proches collaborateurs et Samuel Dieudonné Ivaha Diboua - Gouverneur de la Région du Littoral.
Nicole Ricci Minyem
Tel est l’appel lancé ce samedi par le président du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale car, de son point de vue, il ne faut pas retomber dans les pièges du passé alors que la prochaine élection présidentielle pointe à l’horizon
L’honorable Cabral Libii insiste toutefois auprès de ses militants et sympathisants afin qu’ils ne baissent point la garde, au regard de toutes les attaques dont ils sont victimes sur les réseaux sociaux, les attaques personnelles dont il n’est pas facile de se défaire surtout lorsqu’elles sont infondées et permanentes.
L’élu du Peuple ajoute cependant qu’au regard de l’importance des réseaux sociaux aujourd’hui, il est plus que jamais nécessaire de “ Choisir les combats et les adversaires qui en valent la peine; De toiletter sans ménagement les plate-formes; De Sortir sans attendre des plate-formes putrides….”.
Et à contrario
Cabral Libii invite ses camarades à: “ Investir désormais l'essentiel de leur intelligence et de leur énergie pour convaincre leurs frères et sœurs qui eux, sont de plus en plus nombreux à exprimer la soif de les voir habiter l'ambition qu’ils ont à rassembler et mobiliser”.
Son message
“A l'approche de l'élection présidentielle, et après, ma personne et notre dynamique, avons été pris de cours et avons essuyé venant de Toutes Parts,toutes sortes d'insanités et de boniments. On a eu tort au début de négliger cela. Et on a payé cher. Car, beaucoup de citoyens s'en abreuvaient de bonne foi.
Puis, vous avez courageusement appris à y faire face. Votre revanche a été à la hauteur des attaques. Vous êtes devenus à certains égards redoutables.
Je vous en félicite.
Restez vigilants. Contrairement aux interpellations de quelques-uns, je vous enjoins de rester parés. Demeurez des guerriers alertes et impitoyables.
Nous sommes sur le terrain et devons y consacrer notre énergie certes, mais nous devons aussi gagner la bataille des réseaux sociaux. Ce qui s'y fait et s'y dit "arrose" le terrain. Le combat n'en est qu'à son entame. Les réseaux sociaux comptent dans le façonnement de l'opinion.
En même temps, beaucoup ont compris. Les internautes savent de plus en plus faire la part des choses. De même, beaucoup de vos camarades sont fortement incommodés par ces "bagarres" incessantes. Même si eux ne comprennent pas toujours, vous, surpassez-vous pour les comprendre.
Soyez donc plus lucides. Choisissez les combats et les adversaires qui en valent la peine. Toilettez sans ménagement vos plate-formes. Sortez sans attendre des plate-formes putrides.
Détournez-vous avec dédain de certains personnages et de certains débats de diversion. Certains adversaires et certains sujets, méritent de moins en moins votre attention.
Investissez désormais l'essentiel de votre intelligence et de votre énergie pour convaincre vos frères et sœurs qui eux, sont de plus en plus nombreux à exprimer la soif de vous voir habiter l'ambition qui vous a rassemblée et mobilisée.
Rentrez à la base.
Ne tournez pas le dos, ayez juste "quatre" yeux!
Vous aurez toujours mon inébranlable soutien”.
N.R.M
Ces institutions ont réussi à convaincre leurs pairs lors des assises de la 43e session des Comités consultatifs interafricains (CCI) du Conseil africain et malgache pour l’Enseignement supérieur (CAMES).
Elles sont au total six (06) qui y ont pris part à la rencontre. D’abord la “ mère des Universités Camerounaise Yaoundé I”, mais aussi les Universités de Dschang, de Douala, Maroua, Ngaoundéré et Yaoundé II.
A l’Université de Douala, l’on compte treize (13) promus dont huit (08) au grade de Maître-assistant, un (01) au grade de Maître de conférences et quatre (04) au grade de Professeurs titulaires.
L’Université Maroua en ce qui la concerne enregistre un (01) nouveau Maître assistant.
L’Université de Dschang quant à elle, s’enrichit de quatre (04) Maîtres assistants.
L’Université de Yaoundé I, elle, performe avec quatre (04) promus, en l’occurrence trois (03) Professeurs titulaires et un (01) Maître assistant.
L’Université de Yaoundé II, enfin, enregistre treize (13) promotions ainsi réparties : quatre (04) Professeurs titulaires et neuf (09) Maîtres assistants.
Il faut rappeler que:
Quarante (40) enseignants-chercheurs des universités camerounaises ont ainsi été inscrits aux grades supérieurs : vingt et un (21) Maîtres assistants, deux (02) Maîtres de conférences, douze (12) Professeurs titulaires.
Si l’on peut observer que les Maîtres assistants sont ceux qui envisagent de se présenter au concours d’agrégation dans les disciplines où il existe, l’on remarque le choix de plus en plus affirmé des Maîtres de conférences de passer Professeur titulaire au Conseil africain et malgache pour l’Enseignement supérieur (CAMES).
Ce qui est surtout perceptible dans ces résultats, c’est que, par le passé, la promotion au grade de Maître de conférences par la voie des Comités consultatifs interafricains (CCI) était quasi-nulle, là on a deux lauréats, en l’occurrence en Science politique (Université de Dschang) en Sciences économiques et de gestion (Université de Douala).
L’on comprend donc que l’on peut conduire sa carrière parallèlement aux CCI du CAMES et au Comité consultatif des Institutions universitaires (CCIU) du Cameroun.
Seulement, les candidatures des spécialités de Lettres et Sciences Humaines, ainsi que des Sciences fondamentales et appliquées demeurent ostensiblement absentes, à l’exception notable d’Alexandre T. Djimeli en Sciences de l’information et de la communication en 2020. Pourtant, les CCI du CAMES les concernent tout autant que les autres.
La très honorable performance du Cameroun au CCI 2021 valide la solidité du système d’évaluation et de promotion national. Lorsque les Professeurs titulaires du CCIU, agrégés du CAMES, avaient commencé à manifester massivement leur intérêt pour la promotion au grade terminal au CAMES en 2016, il y a eu des échecs inquiétants, dus notamment au déficit d’application dans la constitution du dossier et aux manquements de forme qui aboutissaient à la irrecevabilité des candidatures ou à l’ajournement.
Aujourd’hui, la préparation, d’abord au sein des universités, est devenue très assidue. C’est entre autres ce qui explique cette vague de succès arrachés de haute lutte.
N.R.M
“Abedi Pelé, 80 ans, a été transféré brièvement vendredi matin dans une unité de soins intensifs après des difficultés respiratoires”, a annoncé en soirée l’hôpital Albert Einstein de Sao Paulo où la légende brésilienne du football a été opérée début septembre.
« Après des difficultés respiratoires », Pelé a été « transféré à titre préventif en unité de soins intensifs et, une fois son état stabilisé, le patient a été placé en soins semi-intensifs », a précisé l’hôpital dans un bulletin d’informations.
L’icône du football brésilienne avait été opéré le 4 septembre dans cet établissement d’une tumeur « suspecte » au côlon découverte lors d’examens de routine. Il était resté en soins intensifs jusqu’au 14 septembre, avant d’être transféré dans une chambre normale.
“La situation de Pelé est stable d’un point de vue cardiovasculaire et respiratoire », a poursuivi l’hôpital, il « continue de récupérer de sa chirurgie abdominale ».
il a personnellement corroboré ces propos, en envoyant des condoléances à Roberto Carlos - artiste brésilien qui a perdu l’un de ses enfants, victime d’un cancer: “ Je récupère bien” avait écrit Abedi Pelé sur les réseaux sociaux.
Auparavant, l’une de ses filles avait assuré sur Instagram que Pelé “se remet (tait) bien”, tentant de rassurer ses nombreux fans après que les chaînes de télévision TV Record et ESPN Brasil ont indiqué que l’ex-star du football était retournée en soins intensifs.
« C’est le scénario normal de convalescence pour un homme de son âge. Après une opération comme celle-là, parfois, on fait deux pas en avant, un pas en arrière. Hier, il était fatigué et il a fait un pas en arrière. Aujourd’hui, il a fait deux pas en avant », a écrit Kely Nascimento, sans démentir toutefois que son père ait pu retourner en unité de soins intensifs.
« Il se remet bien, dans des conditions normales, c’est promis ! », a-t-elle insisté dans ce message illustré d’une photo d’elle à côté de Pelé tout sourire, vêtu d’une doudoune noire sans manches, sur son lit de l’hôpital Albert Einstein où il a été admis le 31 août.
« Cette photo a été prise à l’instant. Il porte une doudoune parce qu’il est de Santos (cité balnéaire près de Sao Paulo) et le froid de Sao Paulo le dérange », a plaisanté la fille du « Roi » du football. « Il y a beaucoup d’angoisse dans le monde de nos jours et nous ne voulons pas en rajouter », a-t-elle écrit.
N.R.M
L’ancien président Algérien Abdelaziz Bouteflika, chassé du pouvoir en 2019 après des manifestations massives contre sa volonté de briguer un nouveau mandat, s’est éteint ce vendredi à l’âge de 84 ans.
L’information a été rendue publique quelques heures plus tard, par la télévision publique de son pays à travers un bandeau déroulant: Ce dernier reprenait en substance, le communiqué de la présidence de la République d’Algérie : « Décès de l’ancien président Abdelaziz Bouteflika...».
L’information a été reprise par la chaîne privée El Hayet TV: “Abdelaziz Bouteflika est décédé à 22h00 à son lieu de résidence... ».
Depuis sa chute spectaculaire en avril 2919, sous la pression de l’armée et de la rue, Abdelaziz Bouteflika était resté retranché dans la solitude, à l’intérieur de sa résidence médicalisée de Zeralda, à l’ouest d’Alger. Une chute inéluctable, après des semaines de manifestations massives contre sa volonté de briguer un cinquième quinquennat, après 20 ans au pouvoir, malgré sa maladie.
Omniprésent dans la vie politique algérienne durant des décennies, mais devenu quasi-invisible depuis un accident vasculaire cérébral (AVC) en 2013, Abdelaziz Bouteflika n’avait donné aucun signe de vie depuis que le mouvement de contestation populaire du « Hirak » et l’armée l’ont contraint à la démission.
Ce jour-là, il était apparu pour la dernière fois à la télévision pour annoncer qu’il jetait l’éponge. Il avait officiellement fait parler de lui pour la dernière fois lorsque son frère Nacer avait voté par procuration en son nom, dans le cadre de l’élection présidentielle du 12 décembre 2019; Une élection qui a permis à son successeur, le président Abdelamadjid Tebboune de trôner à la tête de l’Algérie.
Qui était Abdelaziz Bouteflika ?
Le défunt président algérien est né le 2 mars 1937 à Oujda dans une modeste famille algérienne. En 1956, alors âgé de 19 ans, il répond à l’appel du Front de libération nationale (FLN) et rejoint sa branche armée, l'Armée de libération nationale (ALN). De son passage dans les maquis, il gardera le surnom de "Marocain". Il y fait la connaissance de Houari Boumediene – futur président de l’Algérie indépendante, dont il sera bientôt considéré comme le bras droit.
En 1962, année de l’indépendance de son pays, il est nommé ministre de la Jeunesse, des Sports et du Tourisme, puis ministre des Affaires étrangères. Il a alors 26 ans.
Sa carrière
A la mort du président Boumediene, en 1979, une guerre de succession fait rage. Fort du soutien de l’armée, Chadli Bendjedid devient président et Bouteflika se contente du poste de ministre d'État.
Cependant, il est peu à peu écarté de la scène politique par l’armée. Traduit devant le conseil de discipline du FLN après avoir été poursuivi par la Cour des comptes pour sa gestion aux Affaires étrangères, il choisit l'exil aux Émirats arabes unis, en Suisse et en France.
Après une traversée du désert de six ans, il rentre en Algérie en 1987, où il devient, deux ans plus tard, membre du Comité central du FLN. En 1999, Bouteflika est élu pour la première fois à la présidence, avec cette fois le soutien de l'armée, un mandat qui deviendra finalement le plus long de l’histoire algérienne.
L’Algérie est alors endeuillée par près d’une décennie de guerre civile. Bouteflika promet de mettre fin, par le biais d’un état d’urgence, à l'insurrection islamiste déclenchée en 1991 et se fait l’artisan de la réconciliation nationale.
La loi sur la Concorde civile, qui offre l’amnistie à quelque 6 000 combattants de l’Armée islamique du salut (AIS), entre en vigueur début 2000. Elle devient la "Charte pour la paix et la réconciliation nationale" après un référendum en 2005.
Cependant, le processus de réconciliation ne se fait pas sans heurt : “certains dénoncent un trop grand laxisme envers les islamistes, d’autres n’y voient qu’une stratégie politique de Bouteflika pour se maintenir au pouvoir. Je ne renoncerai pas à la réconciliation nationale, quel que soit le prix à payer", persiste-t-il à déclarer en 2007.
Au début des années 2000, l’armée réprime de violentes émeutes en Kabylie. Malgré cela, il est réélu dès le premier tour en 2004, avec près de 84 % des voix.
Trois des cinq autres candidats dénoncent une fraude "à tous les niveaux". Dès le début de son deuxième mandat, Bouteflika ordonne l’arrestation du directeur du quotidien Le Matin pour la publication de "Bouteflika, histoire d'une imposture".
Mohamed Benchicou y dresse le portrait d'un président "défaillant et sans envergure, intrigant, coupé de son époque, inapte à l'écoute, dépassé par ses charges".
En octobre 2008, le Parlement adopte à une écrasante majorité une réforme constitutionnelle qui supprime la limitation à deux du nombre de mandats présidentiels. Ce vote ouvre la voie à un troisième mandat de Bouteflika, réélu avec plus de 90 % des voix le 10 avril 2009.
Durant les mandats de Bouteflika, les inégalités et la pauvreté atteignent des niveaux record. Une situation à l’origine du vent de révolte qui souffle dans le pays, en 2011, dans le sillage des Printemps arabes.
Aux prises avec l’insatisfaction collective, Bouteflika décide alors de lâcher du lest en procédant à une série de réformes. Il lève notamment l’état d’urgence, en vigueur depuis 19 ans, qui élargissait les pouvoirs des militaires au détriment des libertés politiques et individuelles.
Victime d’un AVC en 2013, le président algérien décide pourtant de briguer un nouveau mandat. Il est réélu triomphalement le 17 avril 2014, à 77 ans, avec 81,53 % des voix.
Son quatrième mandat est marqué, à l’automne 2015, par un coup de balai au sein du pouvoir algérien avec le limogeage du général Mohamed Médiène, alias Toufik, chef du département du Renseignement et de la sécurité (DRS), ou encore du procureur général de la Cour d'Alger Belkacem Zeghmati.
Quelques semaines plus tard et pour la première fois, des proches du président Abdelaziz Bouteflika remettent publiquement en cause les capacités du président à diriger le pays. Dans une lettre rendue publique en novembre 2015, 19 personnalités demandent ainsi à rencontrer le chef de l’État.
N.R.M
The President of the Confederation of African Football, CAF Patrice Motsepe has expressed satisfaction with the level of works at the Olembe Stadium in Cameoon, expected to host the opening and closing matches of the 2021 Africa Cup of Nations, AFCON come January 2022.
Dr Patrice Motsepe was speaking Friday September 17 after a visit at the football infrastructure that is at the centre of a heated debate in the country due to the dragging of construction works supposed to have been completed by now.
“I’m a proud African, proud of what I saw at Olembe. Cameron is building here at Olembe one of the most beautiful stadium in the world which will be the pride of Africa…” The CAF boss said as he went round the infrastructure accompanied by his Secretary General, Veron Mosengo Omba, Sports and Physical Education Minister Narcisse Mouelle Kombi and Fecafoot’s interim boss, Seidou Mbombo Njoya.
Before his guided tour at the Olembe stadium, The CAF boss and his Secretary General accompanied by Fecafoot President were received by the Prime Minister Head of Government, Chief Dr Joseph Dion Ngute at the Star building instead of the Head of State like it was stated in a CAF letter addressed to Minister Narcisse Mouelle Kombi. Nothing official filtered as to why the change of agenda.
That notwithstanding, Patrice Motsepe exchanged with the Prime Minister and described the partnership between Cameroon and CAF as fruitful, indicating he is confident the AFCON will be a moment of pride for Cameroon and the World.
“We had wonderful discussions with the Prime Minister, the Minister of Sports and the management of soccer in Cameroon. We are making good progress because our ambitions and expectations are very high. These ongoing discussions are important to monitor progress.” He said in a CAF communique published at the end of his visit Friday.
He revealed that a CAF team led by the Secretary General, Veron Mosengo Omba based in Cameroon works hand in hand with the local organizing committee, the government and Fecafoot to ensure all is set for the continental jamboree come January 2022.
“I’m convinced we are making good progress and I’m impressed with what I have seen. I would like to thank the Prime Minister for his commitment to ensuring that we achieve our goals.”
Dr Patrice Motsepe is expected in Cameroon in the month of November, when “works at the Olembe stadium must have been completed” for evaluation.
Ariane Foguem
Après la visite du stade Olembe ce vendredi, le Dr Patrice Motsepe qui était accompagné du secrétaire général de la Confédération Africaine de Football, du premier ministre - chef du h=gouvernement, du ministre des Sports et de l’Education Physique et du président de la Fédération Camerounaise de Football a tenu des propos qui sont en total contradiction avec ce que certains se plaisent à affirmer ces dernières semaines
“ Je suis fier d’être africain, de ce que j’ai vu ici à Ilembe. Le Cameroun construit ici à Olembe, l’un des plus beaux stades du monde, qui fera la fierté de l’Afrique...Je reviendrai en Novembre quand les travaux de cette magnifique infrastructure seront achevés”.
Le président de la Confédération Africaine de Football est allé dans le même ordre d’idées, au sortir de l’entretien que lui a accordé Chief Joseph Dion Ngute - premier ministre et chef du Gouvernement Camerounais:
“ Nous avons eu de merveilleuses discussions avec le Premier ministre, le ministre des Sports et la direction du football au Cameroun. Nous progressons bien car nos ambitions et nos attentes sont très élevées…
Ces discussions en cours sont importantes pour suivre les progrès. Il y’a une équipe de la CAF dirigée par le Secrétaire Général Véron ( Mosengo - Omba) basée au Cameroun qui travaille en étroite collaboration avec le Comité d’organisation local, le Gouvernement et la Fecafoot.
Je suis convaincu que nous progresserons bien et je suis impressionné par ce que j'ai vu. Je tiens à remercier le Premier ministre pour son engagement à s’assurer que nous atteindrons nos objectifs”.
Cependant,
Ce discours laudateur laisse quelque peu sceptique, car, l’on se souvient des propos tenus il y’a quelques mois par Ahmad Ahmad alors qu’il venait d’être reçu en audience par le Président de la République à qui certains ont fait mentir, en le rassurant sur l’organisation quasi certaine de la Coupe d’Afrique des Nations en terre Camerounaise; Le résultat fut catastrophique avec un “ glissement de date”.
Par ailleurs,
En plus du stade Paul Biya ou stade Olembe, ce qui avait été annoncé en grandes pompes est un complexe sportif avec tout ce que cela comporte. Il est donc tout à fait logique de s’interroger sur un certain nombres d’éléments; Quelques personnes n’hésitent par conséquent pas à dire que:
“ Nous connaissons ce discours; nous l’avons entendu à de nombreuses reprises mais, il ne faudrait pas qu’on vienne nous dire par la suite qu’il y’a des informations qui avaient été tenues secrètes.
C’est lorsqu’il sera de retour dans son pays, en écoutant les dernières décisions qu’il prendra que nous saurons si le Dr Patrice Motsepe a eu un langage de sincérité ou alors il a fait dans la langue de bois, ne voulant pas heurter ses hôtes.
Et même s’il faisait uniquement à ce qui lui a été montré au niveau du stade d’Olembe avec la pelouse, les gradins et la salle des conférences, qu’en est - il de toutes les autres infrastructures comprises dans le complexe qui a été annoncé?
Ce projet a déjà avalé combien de milliards de Fcfa? Après la Can, qu’est ce qui prouve qu’il sera mené à terme, sans qu’aucun autre franc ne soit exigé”?
Nicole Ricci Minyem
A Unity Monument depicting Cameroon’s national togetherness, standing tall at the roundabout of the entrance to the Unity Palace in Yaounde, Christened the Unity Boulevard has been unveiled to the public.
The masterpiece placed on a star with five branches whose interior points are linked together by a circle, forming a dog of 66 metre in circumference, from which emerge ten pillars, six metres high each, consolidated on the summit by a circular dog, on whose base parades ten lions painted in gold and at the centre of the dog a star in motion was inaugurated this Friday September 17 by Housing and Urban Development Minister, Celestine Ketcha Courtes on behalf of the Head of State in a ceremony highly attended by the population of Yaounde.
Strategically positioned at the entrance of the Unity palace and powered by a system animated by a waterfall with synchronised lighting, the Monument is visible from multiple angles
According to officials of the Yaounde City Council, brain behind the project, the ten lions standing on pillars are a symbol of Cameroon’s ten regions and the lone star standing tall at the middle of the Monument, a heritage of the national flag.
“This lone star is a heritage of Cameroonian national flag. The ten pillars represent the Cameroonian ten regions. You have the impression that you see ten lions, but the symbolic is that it is the same lion walking at any time in every region.” Daniel Anicet Noah, Chief of Communication at the Yaounde City Council told reporters.
The Unity Monument
The fascinating architectural masterpiece was constructed within ten months with the technical expertise of a Turkish construction firm, which affirm the Monument was built with quality material, resistant to all weather conditions.
“It was constructed with hydrocarbon fibreglass which was the only material on the market that can resist all weather conditions. It will outlive us. 100 years after, this monument will still stand up.” One of the technicians of the Turkish construction firm said.
Speaking at the inauguration ceremony today, Minister Celestine Ketcha Courtes said the Monument is a celebration of the country’s national unity and called on Cameroonians to rally behind the Head of State for the construction of a one and indivisible country whose unity is currently threatened by the close to five years Anglophone crisis.
Minister Celestine Ketcha Courtes inaugurates the Unity Monument
on behalf of the Head of State
“The city of Yaounde through this Unity Monument and the naming of the Unity Boulevard celebrates national unity, one of the founding values of our Republic. Dear Mayor, I once again congratulate you for this gift to the population of the capital city, it is a work of art that will contribute to the embellishment of this strategic place located at the entrance to the Unity Palace...It is a call to togetherness. The national community, of our sons and daughters in the Diaspora, let’s all rally behind President Paul Biya, the lion man, the man of courage…” Celestine Ketcha Courtes said.
Also present at the inauguration ceremony was the Minister of Secondary Education, Laurent Serge Etoundi Ngoa who lauded the initiative and encouraged the Yaounde City Council to do more.
“We call it Unity Monument and all the symbols are there to dignify this Unity. The Mayor and his team did a great job. They came up with a historical, political and social masterpiece. We want him to go on and build more monuments for our capital city to be one of the best in Africa.”
The presence of the monument at the Unity Boulevard is expected to be a centre of attention and attraction that will stimulate tourism in the area.
That notwithstanding, It is worth mentioning that the erection of the Unity Monument has drawn mixed feelings. Some Cameroonians are of the opinion that it is a waste of resources at a time when the country is badly in need of it to tackle the crisis in the North West and South West regions threatening the peace of the nation.
Others said it is a beautiful representation of the country’s Republican values and its national unity that will certainly be restored.
It is the latest Monument that comes to add to the Reunification Monument in Yaounde and 50th Anniversary Monument in Buea.
Ariane Foguem