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Thomas Assienne le présumé violeur et meurtrier de la jeune Gloria a été interpellé le 21 septembre 2021, par les éléments de la Division régionale de la police judiciaire du Centre. Ils ont bénéficié du concours du commissariat du 15e de Yaoundé.

C’est dans les locaux de la Division régionale de la police judiciaire du Centre (Drpj), que le dénommé Thomas Assienne présumé violeur et meurtrier de la jeune Gloria âgée de 13 ans, médite sur son sort. Il était recherché pour le viol et le meurtre de sa cousine Gloria. Les éléments du Commissaire divisionnaire Moïse Emane Emane affirme qu’il est l’unique suspect. Actuellement, il est encore sous exploitation à la Drpj.

En fait, le visage de Thomas Assienne a été publié sur la toile avec un texte qui présente qui il est. Il est cité dans une affaire de viol et meurtre qui a suscité l’émotion de plusieurs internautes sur les réseaux sociaux.

«Thomas Assienne est le cousin de la petite Gloria., et avait été recueilli par les parents de la fille. Mais après plusieurs années, et à cause de son mauvais comportement, il fut répudié par son oncle », raconte un proche de la famille éplorée dans l’édition de ce 24 septembre 2021, du confrère Le Messager.

Après avoir promis à son oncle, qu’il a changé, Thomas Assienne a été admis à regagner le domicile. C’est alors qu’il va commettre le pire.

«Dans la nuit, alors que tout le monde était endormi, l’oncle voulait satisfaire un besoin naturel. Pendant qu’il était à la douche, il va suivre des cris étouffés sortant de la chambre de sa fille. En ouvrant la porte de la chambre, l’oncle aperçoit Thomas qui sort à travers la fenêtre et s’en fuit…Thomas venait de violer la petite Gloria avant de lui porter six coups de poignards», conclut le membre de la famille.

La petite Gloria transportée de toute urgence à l’Hôpital général de Yaoundé, y a passé juste quelques jours avant de rendre l’âme. Toutefois, avant de quitter ce monde, elle a révélé que c’est depuis l’âge de 10 ans que son cousin Thomas Assienne la viole.

Liliane N.

 

Par la plume de Marie Mbala Biloa la présidente de leur association, les femmes Bayam selam du Cameroun affirment que Samuel Eto’o Fils a les compétences requises, pour diriger la Fédération camerounaise de football.

Même si leur association est apolitique, les femmes Bayam selam du Cameroun ont décidé de se prononcer sur l’élection du nouveau président de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot). Elles ont déjà fait leur choix et il porte sur l’ancien capitaine des Lions indomptables Samuel Eto’o Fils.

«Nous sommes apolitiques mais nous soutenons ceux qui travaillent bien pour changer les choses, le Cameroun a besoin de changer le système de pensée. Eto’o est notre fils, nous portons son image dans notre pagne depuis 13 ans. Ce n'est donc pas un hasard ou une coïncidence de soutenir sa candidature aujourd’hui. La maman d'Eto'o était Ballam Selam comme nous», peut-on lire dans la correspondance des femmes Bayam selam du Cameroun.

En plus de trouver que Samuel Eto’o Fils est un travailleur, les femmes Bayam selam salue la moralité de ce dernier. Pour elles, c’est quelqu’un de bien introduit dans le monde du football. Elles affirment qu’il a une expérience approfondie des mécanismes du développement du football y compris dans l’exercice, le management, les lobbies et les influenceurs qui peuvent aider non seulement le Cameroun mais l'Afrique toute entière.

«Samuel Eto'o est un citoyen d’une haute moralité, d’une  grande impartialité et d’une  parfaite intégrité. En dehors de ses qualités reconnues sur le terrain, Eto'o Fils remplit les conditions requises pour occuper les plus hautes fonctions comme Président de la FECAFOOT. En choisissant cette icône du football, le Cameroun va connaître une ascension fulgurante et certaine dans les prochaines années», ont-elles écrit.

Liliane N.

 

 

 

 

Selon un message relayé ce 23 septembre 2021 par Eneo, des travaux sur le réseau de transport d’électricité au Cameroun entraîneront des perturbations dans ces deux régions du Cameroun les 25 et 26 septembre de ce mois.

 

Dans le message du concessionnaire du service public de l'électricité, l'on peut découvrir : « Sonatrel (Société national de transport de l’électricité) a annoncé à Eneo l’indisponibilité pour travaux ce samedi 25 et ce dimanche 26 septembre 2021 de plusieurs ouvrages à Yaoundé (la capitale du pays, Ndlr) et dans la Sud. Il s’agit des postes d’Ahala, Nsimalen, Mbalmayo et Ebolowa ».

Les travaux qui se dérouleront de 6h à 17h30 vont entraîner la suspension de la distribution de l’électricité dans plusieurs localités du Centre et du Sud du pays. Cependant, à en croire le distributeur de l'électricité : « Des dispositions sont prises pour permettre la continuité de l’alimentation en électricité de la station Camwater d’Akomnyada », qui est la principale source d’approvisionnement de la capitale en eau potable.

Innocent D H

 

Le pays se dit également déterminé à procéder au durcissement du régime de taxation de l'exploitation illégale des ressources naturelles. Des projections sous formes de prescriptions, contenues dans la circulaire relative à la préparation du budget de l’Etat rendue publique récemment par le président de la République

 

Ces dernières années, dans différentes régions du Cameroun, les personnes et leurs biens sont confrontés à plusieurs risques du fait des changements climatiques. Il s'agit notamment des pluies de grêles, inondations, glissements de terrains, dégradation de la chaussée, destruction des plantations, obstruction de la voie publique.

En réponse à ces problèmes environnementaux, l’Etat a créé, le 10 décembre 2009, l’Observatoire national sur les changements climatiques (Onacc). Objectif, suivre et évaluer les impacts socio-économiques et environnementaux des changements climatiques et proposer des mesures de prévention, d’atténuation, et d’adaptation aux effets néfastes et risques liés à ces phénomènes. Le gouvernement va ainsi adopter un Plan national d’adaptation au changement climatique (Pnacc), un Plan d’investissement forestier (PIF), une Stratégie nationale de développement durable (Sndd), une stratégie nationale de gestion de déchets, etc. Des projets et programmes dont la mise en œuvre nécessite d’importantes ressources financières que l’Etat n’a pas toujours ou qui ne répondent pas forcément aux critères de financement classiques.

Importance de la fiscalité environnementale

La fiscalité environnementale vise à soutenir le développement durable à travers la lutte contre le réchauffement climatique, la réduction des pollutions et l’usage raisonné des ressources et la préservation des milieux naturels et de la biodiversité. En effet, la fiscalité verte, en taxant un mode de production, un produit ou un service détériorant l’environnement, permet de limiter les atteintes à celui-ci. Ainsi, les taxes environnementales n’ont pas seulement l’intérêt de permettre aux pouvoirs publics de financer les dépenses publiques : cette caractéristique les distingue de la plupart des autres outils fiscaux, qui taxent des « biens » (par exemple le travail), et dont la seule vertu est leur capacité à lever des recettes budgétaires. Le secteur privé ne cache pas son intérêt pour la cause environnementale mais souhaite que le gouvernement aménage un cadre incitatif à cet effet. Les pouvoirs publics n’en pensent pas moins. Dans sa stratégie de mobilisation des financements innovants, le pays travaille ainsi à la mise en place d’une « taxe carbone », suivant le principe de précaution et le principe « pollueur-payeur ». Au ministère de l’environnement de la Protection de la Nature et du Développement Durable (Minepded), l’on soutient que « des initiatives dans ce sens sont en cours, à travers le projet de loi sur la fiscalité environnementale, actuellement transmis à la Très haute hiérarchie ».

Soulignons que les organisations de la société civile suggèrent au moins quatre catégories de taxes, selon leur assiette (au sens large) : l’énergie, le transport, les pollutions et les ressources. Les taxes sur les transports pourraient être sur les certificats d’immatriculation (« cartes grises »), l’aviation civile et/ou les véhicules de société. Les taxes sur les pollutions peuvent cibler l’eau, l’air et l’émission de déchets ou de produits difficilement assimilables dans l’environnement (huiles et préparations lubrifiantes ou lessives). L’activité extractive croissante au Cameroun avec les perspectives d’exploitations minières industrielles justifient l’urgence d’une taxation sur les ressources.

Le texte propose aussi « un mécanisme d’incitation fiscale ». Celle-ci est orientée vers les ménages par l’instauration d’une compensation pour la collecte et le tri des déchets, matière première nécessaire pour alimenter une économie circulaire.

Innocent D H

 

De sources officielles, l'on apprend que le Ministère de la Santé publique (Minsanté) a, depuis le 14 septembre 2021, lancé la procédure de sélection d’un cabinet devant mener pendant 3 mois une étude actuariale sur la Couverture santé universelle (CSU).

 

L'étude devra faire l’équilibre financier de la CSU afin d’en connaître les coûts futurs à long terme (projection sur 10 ans) et de définir les conditions de sa viabilité financière. Ainsi, de manière spécifique, l’étude devra identifier les sources de financement en tenant compte de toutes les solutions possibles, dont les prélèvements sur les salaires (privé formel et public), les contributions sociales du secteur informel et par l’impôt (subventions).

L'étude devra en outre, procéder à l’analyse du panier de soins et services de santé en se basant sur la nomenclature médicale en vigueur et sur le plafonnement éventuel des prises en charge des soins et services de santé et des modalités de prise en charge de ces derniers, tout en incluant les objectifs prioritaires de santé publique et la maîtrise des coûts y relatifs.

Le prestataire retenu vérifiera par ailleurs, la cohérence du coût du système de gestion de la CSU traitant notamment des questions de système d’information, de recouvrement des contributions sociales, d’immatriculation des bénéficiaires et du contrôle médical et les recettes projetées.

Innocent D H

De sources officielles, l'on apprend que le Ministère de la Santé publique (Minsanté) a, depuis le 14 septembre 2021, lancé la procédure de sélection d’un cabinet devant mener pendant 3 mois une étude actuariale sur la Couverture santé universelle (CSU).

 

L'étude devra faire l’équilibre financier de la CSU afin d’en connaître les coûts futurs à long terme (projection sur 10 ans) et de définir les conditions de sa viabilité financière. Ainsi, de manière spécifique, l’étude devra identifier les sources de financement en tenant compte de toutes les solutions possibles, dont les prélèvements sur les salaires (privé formel et public), les contributions sociales du secteur informel et par l’impôt (subventions).

L'étude devra en outre, procéder à l’analyse du panier de soins et services de santé en se basant sur la nomenclature médicale en vigueur et sur le plafonnement éventuel des prises en charge des soins et services de santé et des modalités de prise en charge de ces derniers, tout en incluant les objectifs prioritaires de santé publique et la maîtrise des coûts y relatifs.

Le prestataire retenu vérifiera par ailleurs, la cohérence du coût du système de gestion de la CSU traitant notamment des questions de système d’information, de recouvrement des contributions sociales, d’immatriculation des bénéficiaires et du contrôle médical et les recettes projetées.

Innocent D H

De sources officielles, l'on apprend que le Ministère de la Santé publique (Minsanté) a, depuis le 14 septembre 2021, lancé la procédure de sélection d’un cabinet devant mener pendant 3 mois une étude actuariale sur la Couverture santé universelle (CSU).

 

L'étude devra faire l’équilibre financier de la CSU afin d’en connaître les coûts futurs à long terme (projection sur 10 ans) et de définir les conditions de sa viabilité financière. Ainsi, de manière spécifique, l’étude devra identifier les sources de financement en tenant compte de toutes les solutions possibles, dont les prélèvements sur les salaires (privé formel et public), les contributions sociales du secteur informel et par l’impôt (subventions).

L'étude devra en outre, procéder à l’analyse du panier de soins et services de santé en se basant sur la nomenclature médicale en vigueur et sur le plafonnement éventuel des prises en charge des soins et services de santé et des modalités de prise en charge de ces derniers, tout en incluant les objectifs prioritaires de santé publique et la maîtrise des coûts y relatifs.

Le prestataire retenu vérifiera par ailleurs, la cohérence du coût du système de gestion de la CSU traitant notamment des questions de système d’information, de recouvrement des contributions sociales, d’immatriculation des bénéficiaires et du contrôle médical et les recettes projetées.

Innocent D H

De sources officielles, l'on apprend que le Ministère de la Santé publique (Minsanté) a, depuis le 14 septembre 2021, lancé la procédure de sélection d’un cabinet devant mener pendant 3 mois une étude actuariale sur la Couverture santé universelle (CSU).

 

L'étude devra faire l’équilibre financier de la CSU afin d’en connaître les coûts futurs à long terme (projection sur 10 ans) et de définir les conditions de sa viabilité financière. Ainsi, de manière spécifique, l’étude devra identifier les sources de financement en tenant compte de toutes les solutions possibles, dont les prélèvements sur les salaires (privé formel et public), les contributions sociales du secteur informel et par l’impôt (subventions).

L'étude devra en outre, procéder à l’analyse du panier de soins et services de santé en se basant sur la nomenclature médicale en vigueur et sur le plafonnement éventuel des prises en charge des soins et services de santé et des modalités de prise en charge de ces derniers, tout en incluant les objectifs prioritaires de santé publique et la maîtrise des coûts y relatifs.

Le prestataire retenu vérifiera par ailleurs, la cohérence du coût du système de gestion de la CSU traitant notamment des questions de système d’information, de recouvrement des contributions sociales, d’immatriculation des bénéficiaires et du contrôle médical et les recettes projetées.

Innocent D H

Dans une correspondance du 20 septembre 2021, le secrétaire général de la présidence de la République (SGPR) informe le Directeur général (DG) de l’ART que la Commission nationale anti-corruption va mener des enquêtes sur les « allégations de corruption dans le recrutement des personnels au sein de l’ART ».

 

De la correspondance du SGPR, il ressort que, le Chef de l’Etat demande que toute la lumière soit faite « sur l’intégrité et le respect de l’éthique dans les processus conduits par les organes dirigeants de l’Agence de régulation des télécommunications en vue du recrutement des personnels au sein de l’organisme en 2020 ».

Il convient de préciser pour se rappeler que, c'est au cours de l’année 2020 que surgit un conflit ouvert entre le Dg de l'ART, Philémon Zo’o Zame et deux présidents du conseil d’administration successifs (PCA), d’abord Hessena Mahamat, remplacé ensuite par Justine Diffo.

En effet, dès mars 2020, le Dg refuse d’installer 14 responsables nommés par le Conseil d'administration de l'entreprise. Dans la foulée, Zoo Zame indique avoir reçu quitus de la ministre des Postes et Télécommunications, tutelle technique pour le faire et rappelle qu’un nouvel organigramme est en cours de finalisation.

Alors que la Minpostel avait saisi Hessana Mahamat pour qu'il lui répercute la position du DG, le PCA d'en temps expliquera plus tard au directeur du cabinet civil de la présidence de la République, « Cette résolution du conseil d’administration est en cohérence avec le redéploiement du personnel lié à un ensemble de situations ayant fait l’objet de délibérations à l’occasion de sessions antérieures ».

Il y aura rebondissement dans ce qui avait tout l'air d'un bras de fer en juillet entre la nouvelle PCA, Justine Diffo nommée le 30 avril et le Dg autour des nominations au sein de l’ART. La PCA est accusée de marchander les recrutements au sein de l’Agence. Intervention de la ministre des Postes qui demande de surseoir au processus de recrutement.

La Ministre des Postes et Télécommunications avait alors écrit, le 17 juillet 2020, « Selon les informations en notre possession, provenant d’autres sources, ce recrutement est empreint de forts soupçons de corruption, avec des marchandages de postes ».

Selon certaines indiscrétions, en interne, le Dg a lui aussi aurait procédé à des recrutements de magistrats nommés aussitôt à des postes importants. Ce qui aurait provoqué du mécontentement à l’ART. 

Innocent D H

L’économiste Dieudonnée Essomba continue de penser que la solution militaire et l’Etat unitaire ne peuvent pas mettre fin à la crise anglophone.

Après l’annonce de l’armée de procéder à un changement de paradigme dans les opérations en cours dans les régions anglophones, du fait du nouvel armement utilisé par les Ambazoniens, l’économiste Dieudonné Essomba affirme qu’on fait clairement fausse route. L’expert maintient qu’une solution militaire ne peut pas finir cette guerre encore moins la montée en puissance de l’armée.

«Les Ambazoniens ont commencé avec des machettes et des frondes, et personne ne leur donnait 2 semaines.  Aujourd’hui, ils en sont à attaquer des engins lourds en massacrant des militaires d’élite. Le Gouvernement a décidé de réagir en montant en puissance, mais on peut légitimement se demander si la logique de l’escalade est la bonne décision», a-t-il écrit dans sa nouvelle tribune.

L’expert en question d’économie Dieudonné Essomba rappelle qu’il y a de cela une année, où l’armée avait initié l’opération Clean qui consistait à mettre hors d’état de nuire les leaders ambazoniens. Cependant il observe que d’autres leaders ont fait surface et aujourd’hui les séparatistes sortent un armement de pointe.

«Il n’y a pas un an, on nous a parlé des opérations CLEAN qui devaient mettre hors d’état de nuire les Amba Boys : Bamenda Clean, Buea Clean, etc. Cette opération a pu éliminer certains chefs sécessionnistes, mais de nouveaux ont apparu, plus rusés, plus féroces et plus déterminés encore, avec pour conséquence la multiplication d’attentats plus sophistiqués et plus sanglants. Aujourd’hui, nous voyons des chars et certainement nous verrons probablement les avions. Peut-être que cela conduira aux résultats… je dis bien, peut-être, mais se pose une question fondamentale : de quelle garantie disposons-nous pour croire qu’en réaction, la Sécession ne montera pas en force à son tour pour le contrer ? Ni l’Armée Nationale, ni la Sécession ne fabrique des armes. Les deux s’approvisionnent à l’étranger. Les avions et les chars que le Gouvernement va opposer à la Sécession sont fabriqués par les mêmes industriels que les missiles que la Sécession va opposer au Gouvernement ! Qui nous garantit que le résultat sera en faveur du Gouvernement ?», a-t-il écrit.

Pour Dieudonné Essomba, tant que le mot unitaire restera dans la Constitution, la guerre au Nord-Ouest et au Sud-Ouest ne prendra pas fin. Il affirme encore qu’il faut aller au fédéralisme.

Liliane N.

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Sunday, 05 June 2022 11:01