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Le Cameroun est loin du seuil d’alerte et même de la norme communautaire.Même si «comparaison n’est pas raison», des observateurs affirment que le taux d’endettement du Cameroun estimé à 32,3% en 2018 est loin d’être inquiétant. Car par rapport à d’autres pays africains, ledit taux est de loin inférieur. D’après le classement des pays endettés à la fin de l’année 2017, le ratio de la dette publique au Sénégal était de 60,8%, celui de la Côte d’ivoire était de 51,4%. Le Gabon voisin avait un ratio de 59,1%, le Ghana 66,1% et 64,1% pour l’Angola. Le dernier classement qui date de janvier 2018 révèle que le Gabon caracole à 42,8% de dette publique par rapport au Pib, la Côte d’ivoire a 51,4%, le Rwanda 47,2%, le Congo 92,2%, le Ghana 76,8%. Précisons que d’après le directeur général (Dg) de la Caisse autonome d’amortissement Richard Evina Obam la dette d’un pays se juge élevé par rapport à un indicateur. Il serait erroné de justifier un tel raisonnement sur le niveau du stock de la dette. Et même dans le cas où l’analyse doit se baser sur cet élément, Richard Evina Obam explique qu’«il faudrait relativiser ce stock à un agrégat reflétant le niveau de richesse créée par ce pays à une date donnée». En exemple le Dg de la Caisse autonome d’amortissement soutient qu’en décembre dernier, la dette du Cameroun était évaluée à 6203 milliards de Fcfa, soit 30,8% du Produit intérieur brut. Alors qu’en 1997, soit 20 ans auparavant, cet encours était de 6000 milliards, soit environ 106% du Pib. Un ratio qui selon les spécialistes est supérieur à la norme de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale, fixée à 70%. Quelques temps après le pays a été admis au rang des pays pauvres très endetté. Toutefois par des réformes engagées, le pays a atteint le point d’achèvement de cette initiative au point de bénéficier d’importants réaménagements de sa dette.
Apollinaire Ngassa, le président national du Syndicat des libraires et papetiers du Cameroun (Synalipac) déplore le retard dans la publication de la liste homologuée et dans l’édition des livres cette année.Quel est l’objectif de l’assemblée générale que vous avez organisé le jeudi 02 août 2018 à Douala ?
L’objectif de cette réunion c’était de sensibiliser nos adhérents à adopter le livre unique tel que le gouvernement de la République l’a décidé. Beaucoup ne comprenaient pas ce qu’est le livre unique. Beaucoup pensaient que le livre unique était un coup de massue sur la tête des libraires. Pourtant, les libraires ne vont plus courir de gauche à droite, chez différents éditeurs, pour aller chercher les livres. Actuellement, nous allons avoir certains distributeurs agréés qui vont avoir tous ces livres-là sur place. Ça va donner la possibilité aux libraires de ne pas perdre leur temps.Quels sont les problèmes qui sont abordés lors de cette assemblée générale?Le choix du gouvernement est très appréciable. Mais le problème qui se pose est celui de l’indisponibilité du livre. Selon le décret du Premier ministre, la liste doit être homologuée au plus tard cinq mois avant la rentrée scolaire. Cette année, c’est le 13 juin que cette liste a été homologuée. Le temps de faire des nouveaux livres, ce n’est pas facile. Il faut comprendre les éditeurs. Ce n’est pas de leur faute également. Tel que le président du Conseil nous l’a rassuré, d’ici le 31 août, on aura tous les livres sur le marché.La question des 20% de marge des libraires revient toujours sur la table…Pour les 20%, ce n’est pas seulement au Cameroun que les libraires doivent avoir 20%. C’est partout au monde. En France, par exemple, c’est 20 à 25%. En Angleterre et aux Etats-Unis, c’est pareil. Nous luttons également pour que les 20% reviennent aux libraires camerounais. Or certains éditeurs disent que vu qu’on a cassé le prix du livre en deux ou en trois, ça ne leur permet pas de rentrer dans leurs dépenses. Pourtant, le président du Conseil nous a rassuré qu’on a tenu compte des 20% des libraires avant d’homologuer les manuels scolaires.Que fait le syndicat face à la piraterie qui gangrène l’activité ?Nous luttons également pour qu’il n’y ait plus de livres contrefaits au Cameroun. Le syndicat des libraires va se déployer sur le terrain pour démasquer tous ceux qui font dans la contrefaçon. Surtout les libraires, parce que nous ne pouvons partir dans les antichambres. Tout livre contrefait sur le marché sera dénoncé.
Les résultats de l’examen du Probatoire de l’enseignement général sont disponibles depuis le vendredi 3 Août 2018. Selon un classement provisoire, la Région du Sud-Ouest occupe la première place du triangle national au probatoire d’enseignement général avec un taux de réussite de 64,56%, tandis que la région de l’Extrême-Nord, occupe le bas du tableau avec 40,13% comme c’est le cas dans tous les examens officiels organisés au Cameroun depuis quelques années déjà. Cette situation est conséquente à la médiocrité des infrastructures scolaires qui se sont dégradés du faits des attaques de la secte islamique Boko Haram dans la région. Le taux global de réussite au probatoire d’enseignement général session 2018 est de 54,31%, contrairement à la session de 2017 où il était de 37,75%. NB : La lecture des résultats est prévue pour cette nuit 22h30 au poste national de la CRTV, en attendant vous pouvez déjà consulter les résultats par message au 8070.
Au total, 2.500 pèlerins effectueront cette année le déplacement de l’Arabie Saoudite pour y accomplir l’un des cinq piliers de l’islam.

Sur le plan pratique, les déplacements se feront à partir des aéroports internationaux de Douala, Garoua et Yaoundé, où chaque personne devra s’acquitter d’une somme de 2 242 000 FCFA. Cette frais enveloppe englobe le transport, la restauration, l’hébergement, les déplacements ainsi que l’assurance et la santé du pèlerin.

Selon la commission nationale du Hadj, le séjour des pèlerins a été revu à la baisse cette année car au lieu de 45 jours habituels, les pèlerins feront 25 jours en Arabie Saoudite.« Si ce délai est respecté, c’est une grande avancée. C’était la souffrance pour les pèlerins qui étaient abandonnés à l’aéroport et dans les rues », a déclaré un candidat au pèlerinage. Les candidats au Hadj 2018 vont moins dépenser que prévu pour leur voyage. En effet, le ministère de l’Administration territoriale a publié une note pour préciser le coût du déplacement. Celui-ci a été revu à la baisse, sur instructions du chef de l’Etat camerounais. Ainsi, les pèlerins paieront 2.242.000 de francs CFA contre 2.342.000 de francs CFA l’année dernière. D’autres innovations ont été apportées au Hadj cette année. La prime des encadreurs est passée de 55.000 francs CFA à 75.000 francs CFA ; les fidèles musulmans vont désormais passer un maximum de 26 jours sur la terre sainte, contrairement aux séjours extensibles souvent liés à l’indisponibilité des avions. Les départs et les retours devraient être harmonisés avec la compagnie Ethiopan airlines, qui va mettre trois avions à disposition de la délégation camerounaise.
Après avoir accouché pour la plupart par césarienne, ces femmes ont été dans l’incapacité de régler leur facture.Certaines d’entre elles ont été tenues enfermées pendant trois mois dans une chambre, dans cette formation hospitalière. D’aucunes se sont retrouvées contraintes de dormir par terre avec leurs bébés. C’est ce que nous révèlent nos sources. Les femmes indigentes ont eu pour certaines des accouchements par césarienne. Et d’autres ont été opérées parce qu’elles avaient développé des grossesses extra-utérines. Du côté de l’hôpital central de Yaoundé, la direction générale dit ne pas être au parfum de cette affaire et affirme qu’il s’agit d’une histoire montée de toute pièce. D’ailleurs les responsables déclarent que l’hôpital ne dispose pas d’assez de places pour pouvoir retenir prisonnières des patientes. Cependant les patientes en question qui ont été libérées le 2 août dernier affirment tout le contraire.Dix mères ont été séquestrées pendant plusieurs jours à l’hôpital central de Yaoundé, la capitale du Cameroun. Il leur était reproché de n’avoir pas payé les frais d’accouchement par césarienne.L’image des jeunes mères tenant dans leurs bras des nouveaux nés a fait le tour d’internet et suscité l’émoi chez de nombreux camerounais. Selon la blogosphère l’image a été prise dans une chambre tenue secrète de l’hôpital central de Yaoundé, où auraient été séquestrées les jeunes mamans. Sollicitée, la direction générale de l’hôpital central n’a pas donné de suite à Koaci qui a tenté d’en savoir plus. Toutefois, de sources internes et après plusieurs tentatives, nous avons appris vendredi soir que les 10 jeunes dames ont été libérées jeudi en milieu d’après-midi. « Une bienfaitrice a payé la note et elles ont été libérées », a déclaré sous anonymat une infirmière en service à la maternité de l’hôpital central. L’histoire a profondément choqué l’opinion dans un pays où les frais d’accouchement par césarienne restent hors de portée pour la majorité des citoyens.
Le Minpmeesa compte sur les Initiatives à Résultats Rapides (IRR) pour parvenir à cet objectif. Cette déclaration de guerre contre la corruption a été faite à Ebolowa le 1er Août 2018.La stratégie sectorielle de lutte contre la corruption au ministère des Petites et Moyennes entreprises, de l’Economie sociale et de l’Artisanat (Minpmeesa) va s’appuyer, durant les 100 prochains jours, sur les Initiatives à Résultats Rapides  et le PECIS (Prévention, Éducation, Conditions, Incitation et Sanctions), deux méthodes qui viennent d’être inculquées aux participants à l’atelier national de mise en œuvre de la lutte contre la corruption. Il s’agit concrètement de réduire les irrégularités dans le processus de création des entreprises. Un objectif noble car, pour Emilia Fonkem, Inspecteur Général dans ce ministère, il s’agit en réalité «d’un pacte d’intégrité morale que le ministère signe avec ses agents». La mobilisation d’Ebolowa, sous l’égide des services centraux du ministère des Petites et Moyennes entreprises, de l’Economie sociale et de l’Artisanat, vise donc l’encadrement des acteurs sur le terrain. Selon Joseph Ahanda, expert, «il faut que la création des entreprises ne soit plus un vain mot, mais une réalité. Nous avons un code éthique et déontologique. Donc, qu’on ne parle plus de corruption mais de la caisse de paiement des frais illicites». Raison de plus pour Emilia Fonkem, l’inspecteur Général, d’exhorter tous les opérateurs à s’imprégner des bonnes pratiques pour parvenir à une croissance raisonnable et soutenue et à la création d’emplois décents. Cette initiative que les participants ont saluée se veut être désormais tout un programme.
L’institution spécialisée dans la mise en relation des grandes entreprises avec les PME/PMI entend ainsi changer la dynamique qui depuis des années consistaient à aller recruter des soudeurs à l’étranger pour certains travaux de soudure.Plus besoin d’aller recruter des soudeurs homologués pour des travaux de soudage nécessitant des certifications. 27 soudeurs homologués et certifiés aux normes internationales de soudage ont été formés pendant trois mois par la Bourse de sous-traitance et de Partenariat du Cameroun.
« Le choix de former le personnel des PME/PMI à ces normes américaines et pas aux normes françaises se justifie par le fait que celles-ci offrent plus de possibilités d’emploi », fait remarquer François Bafalak, cadre au Cabinet Apave qui a animé les trois mois de formation. A l’en croire, une fois qu’on a maitrisé ces normes, on peut travailler avec toutes les normes. La formation de ces soudeurs a allié la théorie et la pratique, sanctionnée à chaque fois par un certificat d’homologation. Les apprenants ont ainsi été formés à la maitrise de trois normes qui prévoient chacune des variables essentielles à respecter à tout prix, le reste étant laissé à la diligence du soudeur lui-même. Ils sont donc désormais qualifiés et certifiés aux normes AWS, ASME et API.Renouveler son certificat tous les deux ans.« J’espère que l’expertise que vous avez acquise pendant cette formation sera bénéfique pour vous-mêmes, pour les entreprises qui vous emploient et pour la République du Cameroun », a souhaité pendant son discours, Mme Marthe Badjon Ndjepang, Secrétaire Générale du Ministère des Petites et Moyennes Entreprises, de l’Economie Sociale et de l’Artisanat et Présidente du Comité d’orientation de la BSTP. Elle a profité de la circonstance pour rappeler aux soudeurs formés que le soudeur ayant obtenu une homologation est tenu de la faire valider tous les six mois par son employeur qui doit attester par cet acte qu’il est toujours en activité. « Bien plus, le certificat que vous venez d’obtenir doit être renouvelé tous les deux ans sur étude du dossier ou après le passage de tests théoriques et pratiques », a-t-elle martelé en guise de conseils. « Aujourd’hui, en tant que soudeurs homologués, vous n’êtes plus n’importe qui, comme on dit au quartier. Vous êtes des grandes dames et de grands Messieurs de la soudure.Sachez que sur le marché international, un soudeur homologué est payé à au moins 30.000 F de l’heure », a conclu la présidente du Comité d’Orientation avant la remise proprement dite des certificats aux apprenants.
L’entreprise vient de décrocher un nouveau contrat avec la Communauté urbaine de Yaoundé.Le ministre des Marchés publics Abba Sadou a rendu public un communiqué dans lequel, il est clairement précisé le cahier des charges attribué à la société d’Hygiène et de salubrité du Cameroun (Hysacam). Pour la période allant de 2018 à 2023, Hysacam doit faire la pré-collecte, la collecte, le transport et le traitement des ordures ménagères. Sans oublier le balayage, le nettoyage des rues, des places publiques et des marchés de Yaoundé. Le nouveau contrat d’Hysacam estimé à 40 843 215 556 FCFA va être supporté de façon conjointe par le budget de la Communauté urbaine de Yaoundé (Cuy) et celui de l’Etat. La société attendait donc la notification de l’autorité contractante pour être confortée dans sa posture. L’une de nos sources bien introduites, nous révèle que l’entreprise entend mettre à profit sa flotte qui sera composée de 211 camions et engins, pour mieux remplir sa tâche. Sur le plan contractuel, Hysacam doit procéder par jour au ramassage de 1470 tonnes d’ordures à Yaoundé. Rappelons qu’un appel d’offres avait été lancé par le gouvernement pour le ramassage des ordures dans la capitale. Trois sociétés avaient présenté leurs dossiers de candidature: Btd Urbaser d’Espagne, Changyi Kanejie Assainissement Engineering Co de Chine et Urbandna du Portugal. Mais c’est Hysacam qui a réussi à obtenir ce marché, en renouvelant ainsi son contrat avec la Cuy.
L’information a été donnée vendredi dernier, 27 juillet 2018, par le Délégué du gouvernement auprès de la Communauté urbaine de Douala (CUD), le Dr Fritz Ntonè Ntonè, lors de la session consacrée à l’évaluation à mi-parcours de l’exercice budgétaire 2018 de la CUD.
Le délégué du gouvernement a ainsi fait le bilan de l’opération d’appel public à épargne lancée le 23 mars dernier et achevée le 5 juillet pour la constitution du capital de la Société métropolitaine d’Investissement de Douala (Smid) à hauteur de 10 milliards de FCFA. «Une opération de trois mois validée par la Commission des marchés financiers (Cmf) jeudi dernier et qui a permis de collecter au final environ 5,5 milliards de FCFA», rapporte Cameroon Tribune du mardi 31 juillet 2018. D’ailleurs, une date est déjà prévue pour l’assemblée générale constitutive, le 17 août 2018, de ce qui sera la Société métropolitaine d’Investissement de Douala (Smid). Et pour en revenir au point principal de la session ordinaire du conseil de communauté, l’évaluation budgétaire au premier semestre de cette année, le journal informe que «le budget de l’exercice 2018 a été revu à la hausse de 16%, passant de 52,620 milliards de FCFA à un peu plus de 61 milliards de FCFA». Une augmentation due à «l’ajout de plusieurs subventions, notamment l’appui des pouvoirs publics au ramassage et au traitement des ordures dans la ville de Douala à hauteur de 6,6 milliards de FCFA». L’autre information importante de cette évaluation, c’est le faible taux d’exécution du budget, qui tourne autour de 30%. Une situation que Fritz Ntonè Ntonè explique par plusieurs faits, entre autres: «Le recouvrement est un peu faible. Nous attendons pratiquement 14 milliards de F du Trésor public. Ça aurait amélioré nos recettes. Un autre fait majeur, le premier semestre est celui de lancement du budget et il y a généralement très peu de consommation parce que les marchés que nous avons lancés, c’est peut-être au mois de mai-juin que les ordres de service ont été donnés». Les grands conseillers, face à ce faible recouvrement, ont recommandé la mise en place d’une commission qui va réfléchir aux mécanismes à mettre en place pour augmenter les recettes. «Il s’agira donc notamment, pour le 2e semestre 2018, de renforcer le dispositif de recouvrement. Et le conseil attend une hausse des recettes propres de la Cud d’1,5 milliard FCFA d’ici la fin de l’année», apprend-on.
L’entreprise chargée de la gestion des infrastructures de télécommunications en Guinée équatoriale (GITGE) a paraphé un accord de 18 milliards de francs CFA avec la Cameroon telecommunications (CAMTEL) pour la connexion de la fibre optique à partir du Cameroun, a appris jeudi APA de source interne à cette entreprise publique.A travers cet accord, GITGE pourra se connecter à la « Kribi cable landing », la station camerounaise d’atterrissement du câble sous-marin de «South Atlantic Inter Link». Longue de 6000 km cette fibre optique est gérée par CAMTEL l’opérateur historique des télécommunications du pays. D’après des sources proches du dossier, la Guinée équatoriale et le Cameroun sont reliés par les villes de Malabo, Bata et Kribi à travers un câble sous-marin baptisé « Ceiba-2 », d’une longueur de 400 km et d’une capacité technique de 40 Gbps extensible à 100 Gbps. En dehors de la Guinée équatoriale, d’autres pays de la sous-région à l’instar de la Centrafrique, du Congo, du Gabon et du Tchad sont intéressés par la fibre optique camerounaise, au même titre que le Nigeria qui devra également accueillir le câble de liaison Kribi-Lagos.






Sunday, 05 June 2022 11:01