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Pour ce qui concerne la mise en œuvre effective d’un système de supervision de la sûreté de l’aviation par la Cameroon Civil Aviation Authority (Ccaa), le pays enregistre 68,85% contre 51,15% en 2015.Il s’agit en fait des résultats de la mission d’audit de sûreté conduite par les experts de l’Organisation de l’aviation civile internationale (Oaci). Lesdits résultats ont été présentés vendredi dernier par le ministre des Transports (Mintransport) Jean Ernest Ngalle Bibehe Massena. Dans sa posture de président statutaire du Comité national de la sûreté, le Mintransport a présenté l’état des lieux des aéroports du Cameroun. Jean Ernest Ngalle Bibehe Massena a indiqué que les résultats ci-haut présentés démontrent que le Cameroun a pris des mesures conduisant à l’amélioration de la mise en œuvre des normes de sûreté, en particulier à l’aéroport international de Nsimalen. Dans ce sillage on peut citer par exemple dans le domaine de l’aviation civile où il y a eu de nombreux changements majeurs dans l’organisation du dispositif de sûreté. Ceci grâce au décret du 8 janvier du président de la République approuvant et rendant exécutoire le Programme national de la sûreté de l’aviation civile au Cameroun. L’on note que plus de 200 agents opérationnels de sûreté ont été recrutés et formés à la Ccaa pour le renforcement des mesures de sûreté dans les aéroports. Ces derniers ont notamment été déployés dans les aéroports internationaux de Yaoundé et de Douala. Dans la même lancée de nombreux moyens matériels et financiers ont été mis à la disposition des unités spéciales. Ce qui a permis de normaliser l’accès aux zones réservées dans les aéroports. Des infrastructures (routes de patrouille, clôtures, miradors, etc.) ont été remises à neuf. Des dispositifs et équipements de filtrage (guérites d’accès, scanners, caméras, tunnel d’inspection par rayon X) ont également été installés ainsi que ceux de télécommunications. «Toutes ces réformes et mesures prises visent à protéger les passagers, les équipages au sol, les aéronefs, les installations et les services des aéroports, des actes d’interventions illicites et concourent au renforcement de la sûreté de l’aviation au Cameroun», a ajouté Jean Ernest Ngalle Bibehe.
Cette assurance a été faite par André Mama Fouda qui a effectué une visite de travail sur le site du chantier le 31 juillet 2018.«Le Centre hospitalier régional de Bertoua prend bien corps, puisque nous sommes déjà au second niveau et nous pensons qu’à la fin du mois d’octobre 2018, nous poserons la toiture, sachant qu’en début d’année 2019 cet hôpital sera réceptionné. C’est un chantier qui a connu certaines petites difficultés raison pour laquelle on a observé un léger retard,mais, je me réjouis du rythme d’avancement des travaux, parce que ce chantier a beaucoup évolué.J’ai pu noter qu’il avait au départ environ 200 ouvriers, mais avec le démarrage du second niveau des travaux, l’entreprise qui réalise les travaux, a renforcé le nombre d’ouvriers à 350 et c’est le minimum pour qu’on puisse tenir le rythme. J’ai prescrit que la qualité des travaux que j’ai trouvé continue de l’être, car il ne sert à rien de courir, mais de réaliser un travail de qualité», a déclaré le ministre de la Santé publique (Minsanté), André Mama Fouda. Le directeur général d’Alliance construction Cameroon, El Anbri Saoudi, l’entreprise qui réalise les travaux a rassuré le Minsanté qu’au «plus tard en mi-mars 2019, ce chantier sera livré selon les délais du contrat. Au démarrage nous avions une réelle difficulté liée au sol qui était argileux. Le problème a été résolu, aujourd’hui, nous avons attent la vitesse de croisière». Sur le site, les travaux évoluent véritablement à un rythme satisfaisant. Les ouvriers s’activent sereinement. Plusieurs blocs sont sortis de terre en quelques mois. Les grèves à répétition souvent observées ont été circonscrites. Les ouvriers travaillent désormais en toute quiétude. Le paiement des salaires étant désormais assuré à temps. « Les ouvriers non qualifiés et auteurs des troubles ont été remerciés », souffle une source au chantier. Occasion pour André Mama Fouda d’encourager ceux trouvés à l’œuvre de « redoubler d’ardeur au travail ». Lors de cette mission d’inspection qui lui a permis de faire le point des différents aspects du chantier, le Ministre de la Santé publique était accompagné du gouverneur de la région, Grégoire Mvongo qui suit de près l’évolution des travaux. Il s’agit en fait, d’un chantier inscrit dans le cadre du Plan triennal d’urgence prescrit par le président Paul Biya en faveur des populations de l’Est. C’est un Centre hospitalier régional de référence qui entre dans la deuxième catégorie de la nomenclature des structures de santé au Cameroun. D’ici mi mars 2019, ce sera une infrastructure ultra moderne qui sera dressée au quartier Gbego, près du camp Sic. Avec une capacité de 106 lits et construit sur une emprise qui s’étend sur une superficie de 13000 m2, le Centre hospitalier régional de Bertoua (Chrb), va couter près de neuf milliards de Ffa à l’Etat du Cameroun. Même si toutes les pathologies seront traitées dans cette formation hospitalière, l’accent sera mis sur les maladies endocriniennes et les problèmes d’oto-rhino-laryngologie (Orl). C’est-à-dire le diagnostic et le traitement des maladies du nez, de la gorge, des oreilles et des structures annexes de la tête et du cou. Au rythme d’évolution des travaux de ce Centre hospitalier, toutes les garanties sont données aux populations de cette région que le chantier ira à son terme quelle que soit l’actualité qui prévaut.
L’ex-Première dame de Côte d’Ivoire Simone Gbagbo devrait être libérée de prison dès mercredi, selon son avocat, après l’annonce de son amnistie par le président Alassane Ouattara, saluée comme un geste fort en faveur de la réconciliation nationale à deux ans de la prochaine élection présidentielle.Mme Gbagbo, 69 ans, “sera remise en liberté demain, après que les formalités judiciaires aient été faites”, a affirmé mardi à l’AFP Me Rodrigue Dadjé. Elle a été “ravie d’apprendre la nouvelle de sa libération que je suis allée moi-même lui porter”, a expliqué l’avocat. “Sa priorité actuelle est de retrouver sa famille et ses proches et de passer avec eux des moments d’intimité et de retrouvailles”. Epouse influente de Laurent Gbagbo, président de 2000 à 2010, la “Dame de fer” ivoirienne aura passé sept ans derrière les barreaux. Elle avait été arrêtée le 11 avril 2011 au côté de son mari, vaincu par les forces d’Alassane Ouattara et de la communauté internationale, au terme de plusieurs mois de crise après l’élection présidentielle aux résultats contestés d’octobre 2010. D’abord détenue sans jugement, elle avait été condamnée en 2015 à 20 ans de prison pour “atteinte à la sûreté de l’Etat”. En 2017, elle avait été acquittée à la surprise générale à son procès aux assises à Abidjan pour crimes contre l’humanité pendant la crise post-électorale, qui avait fait quelque 3.000 morts. Mais ce jugement venait d’être cassé, le 26 juillet dernier, par la Cour suprême, qui avait demandé son renvoi devant une nouvelle cour d’assises. Mme Gbagbo est également poursuivie par la Cour pénale internationale (CPI) qui a délivré contre elle un mandat d’arrêt en février 2012. Mais le président Ouattara a affirmé en 2016 qu’il “n’enverrait plus d’Ivoiriens” à la CPI, estimant que son pays avait désormais une “justice opérationnelle”. Comme Laurent Gbagbo – incarcéré depuis 2011 à la CPI et jugé pour crimes contre l’humanité pendant la crise post-électorale – Simone est restée très populaire auprès de ses fidèles du Front populaire ivoirien (FPI), parti qu’ils avaient cofondé dans les années 1980, aujourd’hui divisé en deux factions. – “Un grand pas” – L’amnistie annoncée par le président Ouattara de 800 “concitoyens poursuivis ou condamnés pour des infractions en lien avec la crise post-électorale” ou “des infractions contre la sûreté de l’Etat” commises par la suite, va dans le sens d’une réconciliation nationale longuement attendue par les Ivoiriens. L’opposition accusait le régime Ouattara de pratiquer une “justice des vainqueurs”, en ne poursuivant que le camp Gbagbo. A deux ans de la fin de son deuxième mandat (et dernier selon la Constitution), le geste de clémence du président devrait permettre d’apaiser les inquiétudes d’une possible résurgence de la violence lors de l’élection présidentielle de 2020. “C’est un grand pas vers la réconciliation”, a réagi Georges Armand Ouégnin, président de “Ensemble pour la démocratie et la souveraineté” (EDS), coalition qui regroupe des partis politiques, des associations de la société civile et la frange pro-Gbagbo du FPI. “Mais il faudrait aller plus loin avec la libération des militaires” (exclus de l’amnistie) et celle de Laurent Gbagbo, qui reste l’élément crucial pour la réconciliation”, a-t-il précisé. “M. Ouattara a posé un acte important, historique pour la paix, la stabilité et l’unité nationale”, a déclaré Pascal Affi Nguessan, qui dirige l’autre faction du FPI, avec “cette décision” “attendue depuis plusieurs années par les Ivoiriens”. Henri Konan Bédié, président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), un des deux grands partis de la coalition au pouvoir, a salué de son côté une mesure qui “contribuera à une décrispation de la vie politique”. Tout en saluant une décision “allant dans le sens de l’apaisement du climat socio-politique”, le Groupe de plaidoyer et d’actions pour une transparence électorale (GPATE), un réseau d’organisations de la société civile ivoirienne, s’est cependant dit “déçu que la justice se laisse encore une fois voler la vedette par la politique et n’ait pas pris ses responsabilités”, au risque de favoriser “l’impunité” des auteurs de crimes, quand de nombreux Ivoiriens ont “subi des atrocités”, selon son président Denis Yaurobat. La deuxième grande mesure annoncée par le président Alassane Ouattara, la réforme de la commission électorale, dont l’équité est contestée par l’opposition et la société civile, a également été largement saluée. “Il faut une commission électorale crédible pour des élections crédibles” et “des élections crédibles sont le gage d’une véritable réconciliation nationale”, a estimé Georges Armand Ouégnin pour EDS. Les prochaines élections, municipales et régionales couplées, sont prévues le 13 octobre, et la présidentielle en 2020.

Le ministre des Sports a reçu lundi la délégation de la CAF qui est chargée de mener la troisième mission d’inspection des infrastructures qui devraient abriter la prochaine Coupe d’Afrique des Nations en Juin 2019. Bidoung Mkpwatt a tenu à rassurer le groupe sur la volonté, et la préoccupation du pays à tout mettre en oeuvre pour que cette compétition soit une réussite totale.

https://www.facebook.com/CRTVweb/videos/2120201961552129/?t=0 Le Chef de la troisième mission de la CAF, l’ex international Ghanéen Anthony Baffoe, au Ministre des sports ce matin en réponse à l’accueil du Cameroun : « ... Le Cameroun est un grand pays de football. L’accueil chaleureux nous permet de faire une bonne visite d’inspection. Et nous ferons notre travail. La décision finale appartient aux grands chefs de la CAF ». https://www.facebook.com/CRTVweb/videos/2120193161553009/?t=1
Pour être plus précis il s’agit d’un établissement scolaire public d’enseignement secondaire technique et professionnel agricole. Retrouvez ci-dessous dans son intégralité le décret N° 2018/6548/CAB/PM du 01 août 2018.Le Premier ministre, chef du gouvernement, décrète: Article 1er : Est créé, à compter de la date de signature du présent décret le lycée d’enseignement technique et professionnel agricole ci-après : Région du Sud-Ouest Département du Fako Government technical and vocational high school of agriculture-Buea (Buea Sub-Division) Article 2 : L’ouverture effective du lycée susvisé se fera par décision du ministre des Enseignement secondaires. Article 3 : Le présent décret sera enregistré, publié suivant la procédure d’urgence, puis inséré au journal officiel en français et en anglais.   Yaoundé, le 01 août 2018 Le Premier ministre, Chef du gouvernement
Les différents opérateurs disent le chantier achevé alors que dans les ménages, le précieux liquide recommence à se faire rare.«Nous sommes satisfaits du fait que les travaux d’extension du réseau pour l’approvisionnement en eau potable soient terminés. Malheureusement, depuis que les tuyaux ont été posés, nous n’avons toujours pas accès à ce liquide vital pour la vie. Nous continuons à nous débrouiller comme avant», expose un habitant du quartier Simbock. «C’est bien, de nouveaux tuyaux d’eau ont été installés pratiquement partout dans la ville. Mais, ces travaux ont détérioré certains tronçons de route qui n’ont pas été arrangés. Maintenant, l’eau qui coule de nos robinets, n’est pas de bonne qualité. De fois, nous passons des jours et des jours sans eau. Ce qui nous pousse à faire des dépenses imprévues dans nos budgets», éclaire Natacha Aguébong du quartier Elig-Essono. Ces deux réactions prouvent que, contrairement à l’amélioration l’offre en eau potable attendue ou escomptée, la situation reste pénible dans plusieurs quartiers où il faut sortir tôt le matin pour aller chercher de l’eau ailleurs. Les populations sont obligées de trouver des solutions alternatives pour s’approvisionner. Et la Cameroon water utilities corporation (Camwater) n’a toujours pas relevé son défi. Celui de sortir définitivement la ville de Yaoundé et ses environs du manque d’eau voire des coupures intempestives décriées depuis des années. «C’est pour cela qu’un certain nombre de projets ont été mis en œuvre pour renforcer la production d’eau potable pour la ville Yaoundé. Il y a l’usine de la Mefou qui a été reconstruite sur financement de l’Agence française de développement (Afd) et qui apporte 50 à 60 000m3 d’eau par jour. Il y a la capacité de traitement de l’usine d’Akomnyada qui a été renforcée sur financement de la Banque mondiale, et qui apporte 35 000m3 d’eau supplémentaire par jour», expose un cadre technique de Camwater. Faisant savoir que, jusque-là, «le déficit de production est d’au moins 200 000 m3 d’eau par jour». A l’en croire, c’est pour cette raison que les pouvoirs publics, pour trouver une solution à cet épineux problème, ont mis sur pied le Projet d’alimentation en eau potable de la ville de Yaoundé et ses environs à partir du fleuve Sanaga (Paepys) dont la première phase produira 300 000m3 d’eau par jour, extensible à 400 000m3 par jour. «C’est pour cela que la ville de Yaoundé a été creusée un peu partout, de janvier 2017 jusqu’à une date récente, sur une distance de plus de 80 kilomètres. A la demande de la Camwater, il était question de renouveler les anciennes canalisations en fonte grise, vieilles de 60 ans, pour les remplacer par des tuyaux en matière plastique, afin de garantir une meilleure qualité de l’eau, dépourvue de dépôts et de rouille», rappelle-t-il. Soutenant que les nouvelles canalisations n’attendent plus que l’eau potable qui sortira de la station de traitement de Batchenga, après la prise d’eau du fleuve Sanaga à Natchigal. Pour le moins, la Camwater devrait s’atteler à réduire les délais d’intervention et les pertes de produit sur le réseau, à poursuivre les campagnes d’extension des réseaux d’eau potable, ainsi que celle des branchements sociaux. Actuellement, c’est la station de reprise de Nkomotou II qui est en construction. Sinon, les travaux du Paepys sont bien avancés. Même si la libération de l’emprise dédiée à la conduite d’eau entre Nachtigal et Yaoundé n’est toujours pas effective. Ceci à cause du non-paiement des indemnisations aux populations riveraines. Selon le directeur du projet, Dieudonné Omballa, le Paepys dont les travaux sont réalisés à près de 80%, a été conçu pour remédier au déficit de production d’eau potable à Yaoundé. Les villes et localités telles que Batchenga, Obala, Nkomotou, Soa et Ntui bénéficieront également de l’infrastructure.
Elle a été reçue le 6 août 2018 par le gouverneur de cette région Grégoire Mvongo.
Les membres de l’administration du Congrès américain en séjour dans la région du soleil levant ont au préalable eu des échanges avec les réfugiés centrafricains. La délégation conduite par Joan O’Donnell Condon, le chef de mission était pour être précis au camp de réfugiés de Gado Badzere, dans l’arrondissement de Garoua-Boulaï. Rappelons que ce camp a été ouvert le 1er mars 2014. Il accueille environ 25 000 réfugiés. Il faut noter que ce camp rencontre de nombreuses difficultés notamment sur le plan de l’éducation, avec la faible capacité d’accueil des établissements scolaires existants, l’insuffisance des enseignants; au plan sanitaire on note l’accès insuffisant aux soins de santé de qualité pour les réfugiés et les populations d’accueil. Après cette descente sur le terrain, la mission américaine a été reçue en audience par le patron de l’Est, les discussions entre les deux parties ont porté sur les secteurs de l’éducation, de la santé, de l’économie et de la gestion des réfugiés. Et sur le dernier point suscité, les parties prenantes ont évoqué la collaboration du Hcr avec le gouvernement camerounais, le travail des autres ONG sur le terrain, mais aussi la problématique sécuritaire. Par ailleurs rappelons que pour ce qui est de la gestion des réfugiés, le Hcr dénonce depuis un certain temps le refoulement des personnes demandant l’asile par le Cameroun.
La découverte du corps sans vie de l’homme âgé de 42 ans remonte au 1er août 2018.C’est une dépouille sans tête qui a été déposée à la morgue de l’Hôpital régional de Bertoua. La découverte du cadavre a été faite par les éléments de sapeurs-pompiers. Avant le 1er août 2018, les proches du défunt ont constaté sa disparition le 31 juillet dernier. Ils racontent que celui-ci s’est rendu un jour plus tôt en forêt pour mener ses activités de scierie comme d’habitude. Et il serait parti avec son apprenti, qui avait l’habitude de l’épauler dans cette tâche. En se basant sur la violence que l’homme a subie, il est dit que l’acte a été prémédité. Il aurait été tué le jour où il s’est rendu à la forêt. Des villageois racontent que son assistant a été vu dans le village voisin, Boulembe. Mis au courant de cette affaire le sous-préfet de Mandjou, Samuel Menobo a aussitôt organisé des recherches avec tout son état-major et les sapeurs-pompiers, dans cette vaste forêt. L’assistant du défunt a été interpellé, ensuite, il a été remis à la disposition de la police judiciaire, où une enquête a été ouverte.
Le candidat du MRC est déjà sur le terrain pour conquérir son électorat.Investi par le Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC), Maurice Kamto ne cache pas son optimisme et utilise une métaphore footballistique pour exprimer son impatience d’aller à la conquête du pouvoir. « L’histoire nous offre un penalty porté par ma candidature mon pied ne tremblera pas », a-t-il déclaré après sa reconduction à la tête de son parti, à l’issue de la convention du MRC, le 14 avril 2018. Ces dernières semaines, il a tenu une série de meetings dans les régions du Nord et de l’Extrême-nord du Cameroun. Là-bas, il s’est approché de ses camarades et militants pour les écouter. Dans la même foulée, il a poursuivi sa tournée à l’international où il s’est rendu en Italie et au Maroc en début du mois de juillet dernier. Né en 1964 à Bafoussam, l’ancien ministre délégué de la Justice,  professeur d’université et avocat, avait démissionné du gouvernement en 2011. Par la suite, il a créé le Mouvement de la Renaissance du Cameroun. Sept ans plus tard, le MRC compte un député à l’Assemblée nationale, et des conseillers municipaux dans les localités des régions de l’Ouest et du Littoral.
La candidature du challenger du parti Univers a été retenue pour le scrutin du 7 octobre prochain.Cabral Libii est l’un des candidats à la présidentielle 2018 retenus pour le scrutin du 07 octobre prochain. Il devra challenger les hommes politiques expérimentés du Cameroun comme Paul Biya (RDPC), Garga Haman (ADD), entre autres. A 38 ans, Cabral Libii est le plus jeune candidat à la succession de Paul Biya, président de la République du Cameroun depuis 36 ans. Une première pour le pays. Critiqué pour sa faible expérience en politique, Cabral Libii ne semble effrayé. Cabral Libii s’est fait connaître au Cameroun par ses analyses politiques dans les médias nationaux. Mais aussi, par sa participation, en 2011, à une manifestation contre l’élite Bassa qu’il accuse, entre autres, de ne pas porter les préoccupations de ce peuple devant les plus hautes instances décisionnelles du pays. Depuis, cette époque, Cabral Libii ne cesse d’asseoir sa notoriété, renforcée dans l’opinion publique par son initiative « onze millions d’inscrits ».






Sunday, 05 June 2022 11:01