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A quelques heures de la célébration de la fête de la Tabaski, la disponibilité du bétail reste le casse-tête majeur de la communauté musulmane de la ville d’Ebolowa, dans le Sud Cameroun.Bien malin le fidèle musulman de la ville d’Ebolowa qui peut avec autorité vous affirmer que le mouton sera au rendez-vous des agapes à l’occasion de la fête du mouton qui se célèbre demain, 21 août 2018. Si le reste des préparatifs se déroule sans anicroches, le rituel du sacrifice avec le mouton à immoler reste hypothétique. Pour Alassane, un musulman rencontré à Ebolowa, la situation est préoccupante: «cette situation m’a obligé à me référer à un collègue originaire d’un village environnant. Grâce à lui, j’ai pu m’acheter un mouton à 80.000 FCFA». A Ebolowa, la difficulté à s’offrir un mouton conforme aux exigences de l’islam trouve ses origines dans l’absence d’un espace marchand aménagé pour la cause. Selon Ali Hassan, un fidèle musulman, «si nous n’avons pas d’abord à Ebolowa un parc à bœufs, vous pouvez comprendre aisément que le parc à moutons n’est pas une priorité pour les autorités locales.  C’est dommage». Des commerçants rencontrés au quartier Haoussa à Ebolowa expliquent que cette situation est davantage entretenue à cause des difficultés d’acheminement des moutons des grands sites d’élevage vers le Sud du pays, notamment vers Ebolowa. «Vous connaissez bien la situation sécuritaire dans le grand nord», réplique Moussa. Des contraintes qui ont pour corollaires la disponibilité et les prix du bétail sur le marché de la capitale régionale du Sud. Un état des choses décrié les musulmans. «Ici à Ebolowa, quand même vous tombez sur un mouton en vente, le prix n’est pas à la portée de tous. Le plus petit mouton vous est vendu à 50.000 FCFA», se plaint Ibrahima. La fête du sacrifice, fête par excellence du partage dans la religion musulmane, se célèbrera donc à Ebolowa avec ou sans le mouton au menu, la Tabaski faisant partie des cinq piliers de l’islam.
C’est depuis le 15 août 2018 que le président national du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) et candidat à l’élection présidentielle 2018 parcourt les départements de la région de l’Ouest. Hier Maurice Kamto a organisé un grand meeting à la Place des fêtes de Mbouda. https://www.facebook.com/jeanbonheur.tchouafa/videos/2154991617845333/?t=0  
Le président Biya fait partie des leaders qui n’oublieront pas l’ancien secrétaire général de l’Onu, dont l’implication dans la résolution pacifique du conflit de Bakassi a permis d’éviter une guerre entre le Nigeria et le Cameroun. Paul Biya s’en est souvenu lors de l’hommage au diplomate ghanéen, « la disparition de Kofi Annan plonge l’Afrique dans la tristesse. Je garde de lui, le souvenir d’un homme de paix, qui aura apporté sa contribution précieuse, à la volonté commune du Nigeria et du Cameroun, de régler pacifiquement leur différend frontalier », écrit le président camerounais. La reconnaissance de la souveraineté du Cameroun sur la presqu’ile de Bakassi par un arrêt de la Cour international de Justice (CIJ) du 10 octobre 2002, au bout de plusieurs plaidoiries a toujours été perçue du côté de Yaoundé comme une grande victoire diplomatique du président Biya. C’est sous l’égide de Kofi Annan Secrétaire général des Nations Unies, en septembre 2002 à Paris, que les Présidents Obasanjo du Nigéria et Biya du Cameroun, s’engagent à respecter la décision de la Cour Internationale de Justice. Bien que débouté en 2002, c’est en 2006 que le Nigeria accepte la rétrocession de la presqu’il camerounaise. Le 14 Août 2008, le Nigéria rétrocède totalement la presqu’île de Bakassi au Cameroun, après un conflit frontalier de plus de 15 ans.Lettre de condoléances de Paul Biya au Président de la République du Ghana, S.E. Nana Akufo-Addo, suite au décès de M. Kofi Annan, ancien Secrétaire Général de l’ONU et Prix Nobel de la Paix.
Dans leurs quêtes permanentes de performance, les services publics disposent des boîtes à suggestions permettant aux usagers de faire des observations en vue de l’amélioration des services rendus.S’il a des espaces ignorés par une bonne frange des usagers des services publics dans la ville de Ngaoundéré, dans la région de l’Adamaoua, les boîtes à gestions en font partie. Ces dernières, censées permettre aux demandeurs de service de faire des propositions allant dans le sens de l’amélioration de l’offre de prestations, sont malheureusement moins utilisées. Les usagers qui arpentent à longueur de journées les administrations publiques ne semblent pas accorder une importance à ces corbeilles destinées à recueillir leurs doléances et avis pour l’amélioration de la qualité du travail. Selon un fonctionnaire en service à la délégation régionale des Domaines, du Cadastre et des Affaires foncières de l’Adamaoua, ayant requis l’anonymat, «ces boîtes sont placées afin de permettre aux usagers de porter sur des papiers leurs regards sur les services et les manquements des responsables et permettre un changement dans la gestion et le traitement des dossiers. Malheureusement, nous constatons avec regrets que très peu des gens accordent une importance à cet outil de mesure de performance». «Les boîtes à suggestions participent dans la lutte contre le mal camerounais, c’est-à-dire la corruption, si les remarques et suggestions sont effectivement prises en compte par la hiérarchie du service en question», renchérit un membre de la société civile dans ville de Ngaoundéré. Les usagers, pour leur part, estiment que les observations ne sont pas traitées, surtout dans les services où on manipule le nerf de la guerre (l’argent), puisque c’est dans ceux-ci que le sport favori des camerounais a fait son lit. Arabo, citoyen rencontré devant un service administratif, crache sans ambage : «je ne sais même pas à quoi servent les boîtes à suggestions dans les administrations dans notre ville. Regardez vous-même. Elles sont poussiéreuses, toute chose qui porte à croire qu’elles ne sont jamais vidées pour voir le contenu. Et les suggestions qu’on fait, je n’ai pas l’impression qu’elles sont prises en considération». Ces déclarations prouvent à suffisance que les boîtes à suggestions sont juste placées pour le principe. Si les responsables des administrations disent être au courant du contenu des boîtes à suggestions de leurs services, la prise en comptes des doléances des citoyens reste tout de même une équation à plusieurs inconnus. «Lorsque nous vidons nos boîtes à suggestions à la fin de la semaine, nous prenons acte des observations des usagers et ces observations sont débattues lors des réunions de coordination. Ne pouvant pas muter sur le champ les responsables du service incriminé, les usagers ont tendance à penser que leurs points de vue ne sont pas pris au sérieux. Il n’en est rien», tente d’expliquer un responsable d’un service public à Ngaoundéré. Loin de proclamer leur inutilité, les boîtes à suggestions dans les services publics et privés de la ville de Ngaoundéré restent un outil important d’évaluation des services par les usagers. La principale bataille à remporter à tous les prix est celle de la consultation par les responsables des administrations et de la mise en œuvre des résolutions après analyses des contenus de ces boîtes à suggestions.
Agence Cameroun Presse a appris de source sûre que le sous-préfet de Figuil, Abah Abah Jean Christian, qui n’est autre que le neveu de l’ancien ministre Abah Abah Polycarpe écroué dans le cadre de l’opération Epervier, a perdu la vie dans un accident de la circulation ce lundi 20 août 2018.Le drame survenu sur l’axe Ngaoundéré-Meiganga a également emporté l’épouse du sous-préfet et un de leurs enfants. La voiture du sous-préfet aurait percuté l’arrière d’un camion allant dans le même. Les corps sont actuellement à la morgue de l’hôpital régional de Ngaoundéré. Décédés sur place: 1-Abah Abah Jean Christian, sous-préfet 2-Behanda Nathalie épouse sous préfet 3-Oyono Abah Emmanuel 16 ans premier fils sous préfet. Blessés internés hôpital régional de Ngaoundére: 1-Bie Abah Isabelle 14 ans 2- Eyenga Abah Christine 12 ans 3-Mvie Abah Maxime 07 ans 4-Abah Mathieu lulian 01 an dernier né 5-Abega menga Didier chauffeur
Elles sont de plus en plus nombreuses à occuper des postes de responsabilité inaccessibles aux femmes il y a quelques années encore. La région du Sud est l’un des terrains d’expression de cette confiance faite aux femmes dans la gestion des Affaires publiques.Anne Bella Nkoto est la première femme commandant d’une légion de gendarmerie au Cameroun. Rachel Ngazang Akono, deuxième femme préfet du pays, et Sa Majesté Thérèse Eloumba Medjo, unique femme chef de premier degré dans la région du Sud et sénatrice. Ces femmes aux destins exceptionnels sont aujourd’hui la preuve que dans la région du Sud le commandement se conjugue également au féminin. Ces dames qui ne reculent devant rien sont conscientes des défis qui les interpellent. Elles travaillent jour et nuit pour mériter la confiance placée en elles. Selon S.M Thérèse Eloumba Medjo, «c’est la politique de l’heure. C’est l’approche genre. Il faut composer avec les femmes. Et ça encore, le président de la République, même aux sénatoriales, a instruit qu’il y ait au moins deux femmes par liste dans chaque parti politique». Même la préfectorale n’échappe pas à cette déferlante féminine. Le département de la Mvila s’est mis au pas depuis plus d’un an avec Rachel Ngazang Akono à la tête de cette unité administrative dirigée par les hommes depuis sa création. A travers sa nomination, le président de la République portait à deux le nombre de femmes préfets au Cameroun. Ces avancées en matière de promotion de la femme dans la sphère publique démontrent toute sa place dans le processus de développement de notre pays.
A quelques semaines de la rentrée académique 2018-2019, l’institution universitaire en plein chantier redouble d’efforts afin de répondre aux sollicitations toujours croissantes. Les chantiers en cours atteignent progressivement leurs vitesses de croisière.Avec plus de 30.000 étudiants au cours de l’année académique écoulée, l’université de Ngaoundéré doit encore cette année faire face aux sollicitations de plus en plus grandes. Les établissements de l’institution, dont six facultés et 12 grandes écoles, offrent des formations dans plusieurs domaines de la science et des technologies. Elle accueille chaque année des milliers de bacheliers venus de toutes les dix régions du pays. L’institution abrite aussi en son sein une importante colonie d’étudiants des pays de la sous-région Afrique centrale et des autres pays africains. La demande et la diversification des offres de formation mettent la pression sur l’administration universitaire en termes d’infrastructures. Les étudiants des facultés sont très souvent confrontés aux problèmes de disponibilité des salles. Abakar, étudiant à la faculté des Arts, Lettres et Sciences humaines au cours de la précédente année, dit avoir rencontré assez des difficultés au début de l’année. «Il y a des jours où on est obligé de sortir très tôt de chez soi pour avoir une bonne place assise», affirme-t-il. Comme lui, ils sont nombreux ces apprenants qui font face à ce problème de salle. L’administration, dans un souci de mieux former les apprenants, a pris des mesures dans le sens de l’amélioration des conditions d’apprentissage. C’est ainsi que dans certaines facultés, les cours vont jusqu’à 20h, questions de pallier aux problèmes de salles. Aussi, les chantiers engagés depuis peu arrivent progressivement à leurs fins. C’est le cas de l’amphi 500 de la faculté des Arts, Lettres et Sciences Humaines, du laboratoire de la Faculté des Sciences et de l’Ecole des Sciences et de Médecine Vétérinaire. Selon, un responsable en service à la Direction des Infrastructures, de la Planification et du Développement (DIPD) ayant requis l’anonymat, «les travaux sont très avancés. Comme vous pouvez le constatez. Pour l’amphi 500 de la Falsh, c’est de la finition. Il en est de même du laboratoire de la Faculté des Sciences et des locaux de l’Ecole des Sciences et de Médecine Vétérinaire, qui sont aussi en phase terminale». Ces infrastructures, une fois livrées, viendront étoffer les structures d’enseignement et améliorer la qualité de la formation. Avec deux nouveaux établissements de plus sur le campus principal dont la Faculté des Sciences de l’Education et l’Ecole de Génie Chimique et des Industries Minérales, la livraison des chantiers permettra à l’institution de mieux répondre aux sollicitations des jeunes en quête de formation dans divers domaines de la science et de l’ingénierie. La mise en œuvre du plan stratégique de développement de l’institution tel que prescrit par le recteur, Pr Uphie Chinje Melo, permettra de faire de cette université un acteur majeur du développement dans le septentrion en particulier et dans la sous-région Afrique central en général.
Finis les marchés périodiques et place aux magasins régionaux ! La Mission de régulation des approvisionnements des produits de grande consommation (MIRAP) change de strategie pour pérenniser sa lutte contre la vie chère. L’établissement public administratif implémente la construction d’un réseau de 10 magasins dans les dix régions du pays, dédiés à la commercialisation des produits de grande consommation. Selon Cyprien Bamzok Ntol, l’ouverture de ces magasins témoins sera déterminée par la fin de leurs travaux de construction. Le patron de la Mirap révèle par ailleurs que les travaux de construction des premiers magasins sont achevés à Maroua. Du côté de Garoua, le taux d’exécution des travaux est d’environ 90%. C’est le même au chantier du magasin témoins de Bertoua. « Nous allons commencer par ces trois premiers complexes dès le mois de septembre », confère Cyprien Bamzok Ntol.Depuis sa création, la MIRAP réclame 2824 opérations de vente incluant 1200 organisations de producteurs, pour 84 000 tonnes de produits et un chiffre d’affaires généré de 22 milliards de FCFA. Pour une plus grande appropriation de sa nouvelle stratégie par tous les acteurs de la chaine, les différents acteurs de la MIRAP ont pris part le 07 août dernier à Yaoundé, à un atelier d’évaluation semestriel de leurs activités. La rencontre avait pour objectif, selon l’administrateur du MIRAP, de présenter le plan de projection des activités de la structure dans les complexes et magasins témoins de ventes. Question de « sensibiliser les différents intervenants de la chaîne à s’engager davantage, car pour assurer la disponibilité pérenne des produits dans ces magasins témoins, l’approvisionnement doit être régulier ». Créée en 2011 par le chef de l’Etat et placée sous la tutelle du ministère du Commerce, la MIRAP est une structure d’alerte, d’achat, d’importation et de stockage des produits de grande consommation, en vue d’un approvisionnement du marché dans les meilleures conditions.
Les employés de cette institution communale menacent d’arrêter de travailler. La pomme de discorde entre la Communauté urbaine d’Ebolowa et son personnel serait le non-paiement de trois mois de salaires.Les employés de la Communauté urbaine d’Ebolowa se sont réunis le 16 août dernier pour trouver des moyens de faire pression sur le Délégué du gouvernement afin de rentrer dans leurs droits. Cette première démarche a consisté à regrouper tout le personnel de la Communauté urbaine d’Ebolowa dans l’optique d’élaborer de commune mesure une stratégie débrayable. A la salle des fêtes «Pôle Artcam Grand Sud» d’Ebolowa le jeudi 16 août, tous ont quitté leurs postes de travail pour assister à cette concertation. Pour le Délégué du personnel, Edjimbi Message Zenabou, «au sortir de cette rencontre, mes collègues et moi avions décidés à l’unanimité d’une marge à respecter pour pouvoir atteindre nos objectifs». Dans les débats, le personnel a identifié sans ambages que le principal responsable de cette situation n’est autre que Guy Roger Zo’o Olouman, le Délégué du gouvernement auprès de la Communauté urbaine d’Ebolowa. «Nous sommes convaincus que ce blocage vient de notre patron qui ne veut pas intervenir au niveau de la trésorerie d’Ebolowa», déclare le Délégué du personnel. En réalité, cette levée de bouclier est davantage entretenue par la pression de la prochaine rentrée scolaire. «A l’époque, la Communauté urbaine d’Ebolowa organisait des stages de vacances pour nos enfants, ce qui nous permettait de gérer facilement les problèmes de la rentrée scolaire. Mais depuis trois ans, ces stages existent plus. Vous comprenez nos difficultés en tant que parents ?», précise un employé qui a requis l’anonymat. Des démarches ont pourtant été entreprises au niveau de la trésorerie d’Ebolowa par le Délégué du personnel mais en vain. «Nous avons tenté de rencontrer à plusieurs reprises le Trésorier payeur général d’Ebolowa pour savoir la situation exacte de l’argent  de la Communauté urbaine d’Ebolowa. Mais rien», signale Edjimbi Message Zenabou. Approché par des journalistes, François Mbassi, le Trésorier payeur général d’Ebolowa déclare être surpris par cette situation: «la Communauté urbaine d’Ebolowa a pourtant un compte fourni ici. Mais c’est le Délégué du gouvernement qui doit décider du déblocage des fonds et non le personnel». Sur le terrain, la situation reste suffisamment tendue, le fonctionnement de la Communauté urbaine d’Ebolowa reste paralysé au grand détriment des usagers.
Le nouveau sélectionneur du Cameroun, Clarence Seedorf, va dans les prochains jours dévoiler la liste des présélectionnés pour le match des éliminatoires de CAN 2019 contre le Comores.Logés dans le groupe B qui comprend entre autres le Maroc, le Malawi et les Comores, les Lions indomptables livreront deux rencontres successives aux Comores, les 7 et 10 septembre prochains dans un stade qui reste à déterminer par la Confédération africaine de football (Caf). Des retours d’anciens lions sont annoncés, notamment Nicolas Nkoulou que Clarence Seedorf a rencontré cette semaine en Italie. Le Néerlandais Clarence Seedorf a été nommé sélectionneur des Lions Indomptables du Cameroun, accompagné de son compatriote Patrick Kluivert en tant qu’adjoint, le 4 août dernier, pour les quatre prochaines années. Les deux hommes, sans grande expérience sur le banc, auront la lourde tâche de défendre le titre de champion d’Afrique des Lions indomptables, à domicile, lors de la CAN 2019. Seedorf, 42 ans, ancien milieu de l’Ajax Amsterdam, de l’AC Milan ou du Real Madrid, a notamment remporté quatre Ligues des champions en tant que joueur. Retraité depuis 2014, il a entraîné en Italie (AC Milan), en Chine (Shenzhen), en Espagne (Deportivo La Corogne) et va donc découvrir le football africain. Son adjoint, Kluivert, ex-buteur de l’Ajax, du FC Barcelone ou de l’AC Milan, a remporté la C1 en 1995 et a atteint les demi-finales du Mondial 1998 en France avec les Pays-Bas. Il a été l’éphémère sélectionneur de Curaçao avant de devenir directeur du football au Paris Saint-Germain entre 2016 et 2017.
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Sunday, 05 June 2022 11:01