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C’est dans la salle de l’hôtel Sawa le mardi 24 juillet dernier que Cimencam et ses employés ont remis solennellement leur contribution d’un montant de 45 millions de FCFA au plan humanitaire d’aide aux populations du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, en présence des autorités de la ville de Douala, chefs traditionnels, partenaires et clients.Il s’est agi d’une double cérémonie de présentation du nouveau Directeur Général de Cimencam, Benoit Galichet en début du mois de Juillet 2018 ; et de remise de l’aide humanitaire par les responsables de Cimencam et du groupe Lafargeholcim. Ce chèque intervient en réponse à l’appel lancé par le Président de la République, pour venir en aide aux populations du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, touchées par des affrontements depuis plus d’un an déjà. C’est un énième acte de responsabilité sociale de Cimencam, qui s’engage dans des causes sociales, dans un contexte de changement de management où il sera davantage question d’améliorer la compétitivité en créant un « nouveau Cimencam », a déclaré M. Benoit GALICHET. Au Cameroun, en dehors de Figuil, Cimencam, producteur déjà de 1,5 million de tonnes de ciment sur son site de Douala, est actuellement sur un projet de construction d’une nouvelle usine (500 000 tonnes) dans une banlieue de la capitale du pays, Yaoundé. Elle pourrait être achevée en 2019 et portera la capacité de production annuelle de l’entreprise à 2 millions de tonnes de ciment. Le coût de construction de cette unité de broyage à Yaoundé est estimé à 23 milliards FCFA. Source : ActuCameroun
Cette zone joue un rôle important dans la circulation à Douala, tout comme il est le lieu par excellence où se manifeste le désordre urbain de la ville.De par sa position géographique, Ndokoti se révèle être un point non négligeable dans la capitale économique. Situé au cœur de l’arrondissement de Douala 3e, (qui compte 200 quartiers en moyenne, donc l’arrondissement le plus vaste de la ville), ce coin compte un échangeur, ainsi deux grands carrefours distants d’en moyenne de cent mètres. Point de rencontre donc de plusieurs quartiers, Ndokoti tient presque la palme d’or du désordre urbain. Grâce à l’avènement de la Smid, les perspectives pour ce point hyper saturé de la capitale économique sont bonnes. «L’aménagement du secteur de Ndokoti. En centre secondaire de services pour un montant – puisque les études de faisabilité sont bouclées – pour un montant de 80 milliards de Fcfa. Donc 52 milliards de francs pour les seuls équipements commerciaux, puis que la Smid s’occupe essentiellement des projets générateurs de revenus », annonce le délégué du gouvernement auprès de la Cud. D’autres projets sont dans le pipe pour Douala 3e. « Le plan du secteur Yassa aussi est déjà connu, en centre moderne également, pour un montant de 58 milliards de Fcfa. » Le fondateur de la Smid communique l’aménagement d’un centre d’affaires sur le plateau Joss, répondant aux normes internationales, connecté au projet Sawa Beach (Newlook), en partenariat avec le port autonome de Douala. Les études de faisabilité sont aussi disponibles. Le fondateur de la Smid informe de la construction d’un immeuble R+11 qui aura des bureaux haut standing et des services sur le site actuel de l’hôtel de ville, pour un montant de huit milliards de Fcfa et la construction d’un centre international de conférences intégré pour un montant de 15 milliards de Fcfa. On signale aussi la construction d’un centre international des expositions, « désormais indispensable pour une ville qui ambitionne de camper parmi les métropoles économiques africaines, afin que les opérateurs économiques ne soient plus obligés de s’exiler dans d’autres villes non économiques pour faire étalage de leurs talents.
Le Gabon a suspendu pour un an la diffusion de la chaine publique française France 2, accusée d’avoir rediffusé un documentaire critique sur le président Ali Bongo Ondimba, et pour un mois un journal d’opposition.
“S’interrogeant sur l’opportunité” pour France 2 “de rediffuser la veille du 17 août (fête de l’indépendance) un documentaire subversif sur le Gabon”, la Haute autorité gabonaise de la communication (HAC), a décidé de suspendre pour 12 mois les programmes de la chaîne publique française, selon un communiqué lu mercredi à la télévision nationale. Lors de sa première diffusion en juillet 2017, le documentaire “Le clan Bongo, une histoire française” avait créé la polémique dans ce pays d’Afrique centrale de moins de 2 millions d’habitants en proie à de graves difficultés économiques. Il dressait un portrait peu flatteur de l’actuel président Ali Bongo, fils d’Omar Bongo, chef de l’Etat gabonais de 1967 à sa mort en 2009, et ancien pilier de la Françafrique. Le reportage donnait en particulier la parole à l’ancien PDG de la compagnie pétrolière française Elf Aquitaine, Loïk Le Floch-Prigent, qui affirmait qu’un accord secret réservait 18% des actions d’Elf Gabon à Omar Bongo, en plus des bonus. La HAC a jugé que la rediffusion du reportage était “répréhensible” et qu’elle portait “atteinte aux institutions de la République, à la dignité d’autrui (…) de nature à troubler l’ordre publique”. La HAC a en outre suspendu pour un mois le journal Echos du Nord, l’un des principaux médias d’opposition du Gabon, à quelques semaines d’élections législatives prévues le 6 octobre après plusieurs reports. Le régulateur des médias avait été saisi par le vice-président gabonais, Pierre Claver Maganga Moussavou, pour “atteinte à sa personne et défaut de preuves” après la publication dans ce journal d’articles révélant des achats de véhicules de luxe par M. Moussavou. La HAC a également suspendu pour trois mois la société de diffusion de chaînes câblées SatCon, accusée de pirater beIN Sports.
Dans un rapport sur les télécoms qu’il vient de publier, le ministère en charge des Postes et Télécommunications (Minpostel) note une évolution importante du taux de pénétration de la téléphonie mobile au Cameroun.Il est passé d’environ 12% en 2005 à près de 83% en 2016. Les statistiques disponibles sur les abonnements à la téléphonie mobile laissent transparaître qu’en 2016, plus de 20 millions d’abonnements ont été enregistrés, les plus grands bénéficiaires étant les opérateurs Mtn et Orange. Comme dans la plupart des pays africains, le réseau de téléphonie filaire est en déclin au Cameroun du fait du manque d’investissements, d’extension et d’entretien ainsi que du vandalisme, caractérisé par le vol des câbles, sur ledit réseau. Depuis 2007, le nombre de lignes téléphoniques fixes analogiques est resté en deçà de la valeur de 2006 (112 715 lignes) et reste concentré dans les régions du Centre et du Littoral (plus de 7 lignes sur 10). Quoique le taux de pénétration de la téléphonie fixe sans fil soit en constante augmentation depuis 2005, en raison principalement de la forte propension à l’abonnement au Cdma, le Minpostel note la très faible pénétration du réseau filaire qui reste pratiquement en déclin sur la période (100 331 abonnés au téléphone filaire en 2005 contre 67 678 en 2016).
[:en]Hier dans la nuit de mercredi à jeudi, 4 camions de Sogea Satom ont été incendiés par des terroristes sécessionnistes.  C'est sur la route de Babadjou et Bamenda que ces camions ont été retrouvé. Ces camions font partie de la réhabilitation de la route qui connecte la ville de Babadjou à la ville de Bamenda. Cet acte, commis par les combattants terroristes ambazoniens, retarderont les travaux de plusieurs mois.   Hier dans la nuit de mercredi à jeudi, 4 camions de Sogea Satom ont été incendiés par des terroristes sécessionnistes.  C'est sur la route de Babadjou et Bamenda que ces camions ont été retrouvé. Ces camions font partie de la réhabilitation de la route qui connecte la ville de Babadjou à la ville de Bamenda. Cet acte, commis par les combattants terroristes ambazoniens, retarderont les travaux de plusieurs mois.  
Dès ce mardi 14 août 2018, des opérateurs économiques camerounais effectueront une mission de prospection des opportunités d’affaires à Casablanca.C’est  à l’issue de la réunion préparatoire organisée le 17 juillet 2018 dernier à Yaoundé, entre les acteurs de ce secteur, que ledit déplacement a été décidé. En effet, organisé pour la cinquième fois par le Centre national de promotion des échanges (CNPE), ce voyage d’affaires, comme l’ont indiqué les organisateurs, bénéficie de la collaboration de l’Agence marocaine de développement des investissements et des exportations. Ainsi, pendant quatre jours des conférences, des rencontres B to B et des visites d’entreprises, vont meubler l’agenda de ce voyage de prospection au cours duquel, les opérateurs économiques camerounais pourront vendre leur savoir-faire à leurs confrères marocains. L’objectif étant de gagner de nouveaux partenariats et de nouvelles affaires. Rappelons que cette visite économique s’achève le 18 août prochain.
Ce montant des droits compromis et ou éludés à la date du 7 août 2018 est en baisse comparativement aux 469,54 millions récoltés l’année dernière.La commission d’approbation des dossiers contentieux en Douane a tenu sa 112è session à Yaoundé le 07 août 2018. Le Secrétariat technique mis en place pour cette session a enregistré 668 dossiers contentieux. Par rapport à la précédente session, les commissaires ont relevé une légère augmentation du nombre d’affaires qui passe de 611 à 668, soit 57 dossiers en plus correspondant à un taux de 9,3%. Cependant, il a été noté une baisse du montant des droits compromis et ou éludés de 382,10 millions de fcfa contre 469,54 millions de Fcfa. Sans oublier une baisse significative du montant des amendes de 556,01 millions contre 668,73 millions précédemment. Durant l’intersession, les services centraux de la Direction Générale des Douanes et 08 secteurs des Douanes ont produit du contentieux. Le Secteur des Douanes du Littoral I demeure en tête du classement des unités productrices de contentieux avec 493 dossiers contre 389 à la précédente session. D’une manière globale, le défaut de Rvc (184 cas), la fausse déclaration de valeur (131 cas) et l’inexécution des engagements souscrits dans les acquit-à-caution et soumissions (130 cas) sont les infractions les plus réprimées par le service. En marge de la présentation des travaux, le Directeur Général des Douaness, Fongod Edwin Nuvaga, a prescrit aux commissaires : une mutualisation des ressources et des données, l’utilisation optimale des applications informatiques, le croisement des données du commerce extérieur, le développement du contentieux douanier, l’accentuation de la lutte contre le commerce illicite, notamment dans les Régions de l’Adamaoua, du Nord et de l’Extrême-Nord, avec le lancement de l’opération spéciale « Halcomi III ». Lors de la 99ème commission d’approbation des dossiers contentieux de la Douane, pendant la période allant du 04 mai au 13 juin 2017, il a été enregistré 520 affaires, lesquelles ont généré des droits compromis ou éludés d’un montant de 343,6 millions de Fcfa et des amendes de 527,6 millions de Fcfa. Les commissaires ont observé une diminution du nombre de dossiers transmis par le secteur des Douanes du Littoral I, de 407 à 218 pour cette session. Soit une différence de 189 dossiers et un taux baissier de 46,43%. Par contre, l’on avait noté une augmentation du nombre de dossiers acheminés par le secteur des Douanes du Littoral II qui passe de 73 à 150 pour la présente session, soit 77 dossiers en plus pour un taux de 105,47%.
Pour Martin Mbarga Nguele, celles-ci ont un lien étroit avec l’actuel contexte sécuritaire dans le pays, notamment dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest.Martin Mbarga Nguele, le délégué général à la Sûreté nationale, s’est exprimé le 18 août dernier à Mbalmayo, dans le Nyong et So’o, son département d’origine. Le chef de la police prenait part à une réunion organisée à l’attention des fils et filles dudit département, qui comptent apporter leur soutien à Paul Biya, candidat à la présidentielle du 7 octobre prochain. Le patron de la police camerounaise n’y est pas allé du dos de la cuillère pour situer le contexte sécuritaire dans lequel le pays prépare le prochain scrutin présidentiel. « Je voudrais dire en quelques mots dans quel contexte nous sommes aujourd’hui, dans quel contexte nous allons faire la campagne du 7 octobre 2018. Les grandes puissances ne veulent pas nous laisser tranquilles. Ils veulent rester des donneurs d’ordre. Nous avons passé 26 ans à l’extérieur et je peux vous dire que le Cameroun est un grand pays», a déclaré Martin Mbarga Nguele, cité par le quotidien Le Jour de ce mercredi 22 août 2018. L’ancien ambassadeur du Cameroun en Espagne n’a pas non plus mâché ses mots en évoquant la crise anglophone. «Nous avons des ennemis à l’intérieur et à l’extérieur. Vous avez suivi les déclarations d’un certain ambassadeur. De quoi se mêle-t-il peut-on se demander mais comme je l’ai dit, ce sont des gens qui veulent continuer à nous dominer. Nous devons donc faire attention. Nous devons faire attention parce que ces gens-là sont très malins. S’ils ne réussissent pas sur le plan militaire, ils veulent réussir d’une autre manière. On veut créer des problèmes entre les francophones et les anglophones; c’est là où le département du Nyong et So’o doit faire attention», a-t-il précisé.
Le magistrat Tahle Mukete a été enlevé hier soir non loin de Bamenda, alors qu’il se trouvait à bord d’un bus de transport.Les autorités continuent d’être la cible de présumés sécessionnistes qui recourent à des prises d’otages pour faire pression sur le gouvernement. Le magistrat Tahle Mukete, qui cumule les fonctions de président du Tribunal de grande instance et de première instance de Wum (département de la Menchum, région du Nord-Ouest) en aurait fait les frais mardi. Selon des témoins, le juge Tahle Mukete se trouvait à bord d’un véhicule de transport en commun lorsqu’il a été enlevé. Ses ravisseurs l’auraient sorti du bus au kilomètre 37et, depuis, plus aucune trace de lui. Les autorités camerounaises ne se sont pas encore prononcées sur l’enlèvement de ce magistrat. Sa famille non plus n’a pas encore été entendue sur le sujet. Cette prise d’otage rentre dans une série d’évènements de ce type enregistrés ces dernières heures dans les régions frondeuses du Nord-Ouest et du Sud-Ouest. A Bali (dans la Mezam, région du Nord-Ouest), un intendant de prison a été enlevé par des individus non identifiés. Lyonga Melvin rejoignait son poste, de retour de Bamenda, lorsqu’il a été capturé. Il reste introuvable.
Les jeux de hasard dans la ville de Ngaoundéré occupent de plus en plus les jeunes. Entre les paris sur les courses de chevaux, de chiens, et autres rencontres de football, tout y passe au point d’en faire des inconditionnels.Les jeunes dans la ville de Ngaoundéré, comme leurs pairs de la plupart de nos grandes villes, font face au problème de manque d’emploi. N’ayant aucune activité génératrice de revenus, certains n’ont pas trouvé mieux que de se rabattre sur ces jeux qui, loin de constituer une probable voie de sortie de leur état de désœuvrement, les rendent plutôt dépendants. Selon Boubakary, jeune rencontré à l’entrée d’une salle de jeu à Ngaoundéré, «nous n’avons pas de boulot, c’est pour cela que je divise l’argent du petit déjeuner que maman me donne en deux parties pour parier espérant décrocher le gros lot un jour». Ce genre d’explication n’est pas le seul apanage de Boubakary. Ils sont nombreux ces jeunes dans la ville de Ngaoundéré qui comptent sur les jeux de hasard pour voir leur vie changer. A côté de ceux qui voient en ces loteries une manière de chercher à «gagner» leur vie, il existe des jeunes qui sont très loin de cette réalité. Pour ceux-là, la vie ne peut se gagner avec les réalités qui se passent à des milliers de kilomètres du Cameroun. «Même en cas de pluie, je ne peux m’abriter dans une salle de jeux. C’est généralement les brigands qui se retrouvent là-dedans», lâche un jeune visiblement «ennemis de ces lieux». D’autres pensent plus à l’avenir lorsque la question des jeux de hasard est abordée. Ils estiment que «la jeunesse doit prendre ses responsabilités» en cherchant les opportunités auprès du Fond National de l’Emploi et les délégations de la jeunesse, de l’agriculture, de l’élevage, qui offrent la possibilité aux jeunes de devenir leurs propres patrons, au lieu de compter sur les jeux de hasard. «Dans les différents centres multifonctionnels de promotion des jeunes (CMPJ), des facilités de formation qualifiante existent mais peu de jeunes viennent se renseigner sur les possibilités pour en bénéficier», s’étonne Teiki, Cadre au CMPJ de Ngaoundéré 3è. Interrogés sur l’âge requis pour l’accès dans les salles de jeux, les gérants avancent l’âge de 18 ans. Pourtant parmi les parieurs, il existe bel et bien des jeunes de moins de 15 ans. Toute chose qui amène à s’interroger sur les dispositions réglementaires en matière d’ouverture et de fonctionnement de ces structures. Au vu de leurs emplacements –très souvent dans des quartiers enclavés–, le doute plane sur leur enregistrement au fichier de l’Etat. Les conséquences qui découlent de ces jeux de hasard sont nombreuses, notamment la délinquance, les actes de banditisme. Certains élèves et étudiants accrocs de ces lieux utilisent parfois les frais de scolarité dans les paris, avec pour corolaire la non-participation aux évaluations. Ceux-ci finissent parfois par abandonner les études. En attendant de trouver les moyens de lutte contre les jeux de hasard et la réglementation de l’accès de ceux-ci aux mineurs tels que le recommande l’article 249-7 du code pénal, les adeptes et les propriétaires des salles de jeux continuent de détourner pas mal de jeunes en manquent de repère dans la région de l’Adamaoua.
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Sunday, 05 June 2022 11:01