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Le gardien international camerounais, Fabrice Ondoa, va être un homme très heureux après avoir livré et gagné son premier match avec sa nouvelle formation, le club belge du KV Oostende. Le club avait besoin d’un électrochoc pour se sortir de la mauvaise passe de deux défaites consécutives subies en ce debut de championnat. Par rapport au match de ce mercredi, son entraîneur va faire deux chamgement dans la formation de départ en titularisant Ondoa et Rajsel à la place de Dutoit et Zivkovic respectivement. Il a vu juste.
Le KV Oostende a rapidement pris l’avance dans la partie par l’intermédiaire de G. Milovic à la 10e minute, offrant un modeste coussin à l’international camerounais. Ondoa s’est véritablement mis au travail à la 22e minute quand il a dévié une balle dangereuse de la tête de Mboyo. L’égalisation surviendra à la 81e minute lorsqu’une balle déviée se faufile dans les buts de KV Oostende. Mais seulement une minute plus tard, Bjelica va marquer le but de la victoire, avant que Fabrice Ondoa ne se surpasse pour sécuriser la victoire des siens.

La première assemblée générale constitutive qui se tient ce 17 août 2018 à Douala marque la naissance de cette entreprise dont le capital social est de 5,4 milliards FCFA.

Après la phase de la constitution de son capital en trois mois (5 avril-5 juillet 2018), la SMID tient sa toute première assemblée générale constitutive ce 17 août à Douala. Plus de 2000 actionnaires venus des dix régions du pays et de la diaspora sont attendus pour l’adoption des statuts et la mise sur pied du bureau du Conseil d’administration de la nouvelle entreprise. Initialement fixé à 10 milliards FCFA, la capitalisation de la SMID avait finalement été validée à 5,414 milliards FCFA par la Commission des marchés financiers du Cameroun (CMF) le 26 juillet 2018, après un prolongement d’un mois et demi du délai de souscriptions préalablement fixé. Un prolongement justifié selon la Communauté urbaine de Douala (CUD), porteuse de ce projet, par le manque de sensibilisation de plusieurs souscripteurs, les sollicitations émises par des entreprises et les Camerounais de la diaspora. Au final, 54% du capital attendu aura été collecté. Suffisant selon Fritz Ntone Ntone, délégué du gouvernement auprès de la CUD, pour le démarrage de cette première societé d’économie mixte locale de gestion patrimoniale de Douala et du pays. En attendant la poursuite de la capitalisation de la SMID, trois projets (la construction du marché Bonamoussadi, de New-Deido et de la forêt urbaine à Besseke) constituent la première phase de réalisation de cette entreprise. L’’objectif de la SMID étant de réaliser les ambitions de développement de cette cité de plus de 3 millions d’âmes à l’horizon 2025, pour des besoins totaux estimés à 1400 milliards FCFA. Il s’agit de doter Douala d’un centre international de conférences, d’une gare routière multimodale, d’un parc des expositions, etc.
Selon la Direction générale des douanes (DGD), ce montant est en hausse de 4,3 milliards FCFA par rapport à la même période en 2017.
419 milliards FCFA mobilisés en fin juillet 2018. Au premier trimestre 2018, les recettes douanières se chiffraient à 148,6 milliards FCFA contre 144,3 milliards à fin mars 2017. Soit une hausse de 4,3 milliards (+3%) en glissement annuel. En publiant recemment ses résultats, la DGD s’est satisfaite de cette performance « record » justifiée par la hausse des importations de plusieurs produits, notamment les carburants et lubrifiants, les véhicules de tourisme, les grumes, le clinker, les appareils électriques pour la téléphonie mobile, les niveleuses et les carreaux. Le nombre de conteneurs ayant fait l’objet d’une déclaration est passé de 5.618 conteneurs déclarés pour le compte des marchés publics contre 3.991 au 1er semestre 2017, soit une hausse de 1626 conteneurs, a expliqué la DGD. Cette augmentation résulte des projets d’infrastructures lancés dans le pays, aux importations des entreprises du secteur métallurgique qui ont connu une hausse de 38 %, bénéficiant des facilités reprises dans les cahiers de charge. La hausse des importations est notamment liée aux projets de construction des infrastructures de la Coupe d’Afrique des nations (CAN TOTAL 2019) et au pétrole brut dont les importations n’avaient pas été effectuées en début 2017 du fait de l’arrêt momentané de la production de la Société nationale de raffinage (SONARA). La DGD note toutefois l’importation frauduleuse des véhicules et engins par les secteurs des douanes du Nord, Extrême-Nord, Est-Adamaoua et Sud 1 et en compte élaborer une strategie de lutte. Au secteur des Douanes du Nord-Ouest, la DGD recommande la poursuite de la collaboration avec les forces de sécurité et de maintien de l’ordre en vue d’assurer la sécurité des personnels et infrastructures douaniers de la région tout en élaborant des stratégies de mobilisation des recettes de nature à combler le gap constaté dans les réalisations. Rappelons que800 milliards FCFA sont attendus de la douane pour le budget de l’Etat en 2018.
Le Conseil constitutionnel a rejeté hier, tous les recours introduits par les candidats recalés à la présidentielle du 7 octobre 2018.Au total, 12 requêtes avaient été introduites par 9 des 19 candidats recalés à la présidentielle du 7 octobre prochain. Les requêtes portaient sur la contestation du rejet de leurs dossiers à l’invalidation de la candidature du président Biya par des candidats déclarés. Pour ce dernier cas, Bertin Kisob, candidat déclaré à la présidentielle contestait la validité de la candidature du président Biya pour « intelligence avec les puissances étrangères et absence de rigueur dans l’examen de son dossier par le conseil électoral » d’Elections Cameroon (Elecam). Les 11 sages du conseil constitutionnel, ont jugé « fantaisistes » certains recours. Le 7 août dernier, le conseil électoral d’Elecam a rendu publique la liste des candidats retenus pour l’élection présidentielle du 7 octobre 2018. 9 dossiers de candidatures avaient été retenus sur les 28 déposés. Parmi les candidatures retenues figurent celles de Paul Biya (Rdpc), Joshua Osih (SDF), Akere Muna (FPD), Garga Haman (ADD), Kamto Maurice (MRC), Libii Cabral (Univers), Matomba Serge Espoir (Purs), Ndam Njoya (UDC) et Ndifor A Franklin (MCNC). Le 7 octobre prochain, les camerounais auront donc à choisir parmi les 9 candidats retenus par le conseil électoral.
Ils voteront le 7 octobre 2018 dans 56 bureaux de vote repartis dans 31 pays.
Dans un communiqué publié le 16 août 2018, Election’s Cameroon (Elecam) annonce 13076 Camerounais de l’étranger inscrits sur les listes électorales. Ils sont issus de quatre continents (Afrique, Amérique, Asie et Europe). Avec 10 123 inscrits dont 6676 femmes et 3447 hommes, l’Afrique regroupe les 3/4 de l’électorat de la diaspora. Le Gabon est le pays qui regroupe le plus grand nombre avec 3530 inscrits. Ces électeurs voteront dans 56 bureaux de vote repartis dans 31 pays. Il est à noter l’absence des pays comme les Etats-Unis où la diaspora camerounaise est pourtant l’une des plus importantes. A la lecture de ces chiffres, il est à relever une baisse presque de moitié (11296) des 24 372 Camerounais de la diaspora inscrits pour la présidentielle de 2011. Cette faible inscription se justifierait selon des observateurs, par la   double nationalité dont jouissent plusieurs de nos compatriotes pour des raisons évidentes de confort social. Une double nationalité non reconnue au Cameroun. Les politiques et la société civile continuent de réclamer en vain l’adoption de la double nationalité pour permettre à la diaspora de s’impliquer davantage à la politique. Selon  le ministère des Relations extérieures (MINREX), environ 4 millions de Camerounais vivent à l’étranger. Si la double nationalité est adoptée, estiment des observateurs, la diaspora peut par sa participation, faire bouger les lignes dans un processus électoral transparent. Au plan national, plus de 6 millions d’inscrits prendront part à la présidentielle du 7 octobre 2018 pour les besoins de laquelle plus de 23 000 bureaux de vote seront ouverts dans les dix régions du pays. Neuf candidats y prendront finalement part sur les vingt-huit déclarés, après le rejet le 17 août 2018 par le Conseil constitutionnel, des douze requêtes formulées par des candidats recalés.
Le diplomate de nationalité ghanéenne est mort dans un hôpital suisse à l’âge de 80 ans.
L’annonce a été faite ce samedi à Genève par la fondation du diplomate dans un communiqué. «C’est avec une immense tristesse que la famille Annan et la Fondation Kofi Annan annoncent que Kofi Annan, ancien secrétaire général des Nations unies et lauréat du Nobel de la paix, est décédé paisiblement samedi 18 août après une courte maladie» a indiqué la fondation. Kofi Annan est mort dans un hôpital de Berne en Suisse à l’âge de 80 ans. Les dirigeants du monde ont immédiatement réagi à cet appel. Antonio Guterres, l’actuel secrétaire général des Nations Unies a par exemple salué la mémoire d’«une force qui guidait vers le bien ». Pour lui, « De bien manières, Kofi Annan était les Nations Unies ». Kofi Annan est né le 8 avril 1938 à Kumasi au Ghana. Secrétaire général de l’ONU de 1997 à 2006, le ghanéen avait reçu le prix Nobel de la paix en 2001. Pourtant ce diplômé du très réputé Massachusetts Institute of Technology trouvait à redire sur sa carrière onusienne démarrée en 1962. Le successeur de l’égyptien Boutros Boutros-Ghali au secrétariat général des Nations Unies, reconnait volontiers avoir échoué à empêcher le génocide rwandais ; ce alors qu’il dirigeait les forces de maintien de la paix. Mais beaucoup ont gardé de lui, l’image d’un homme de paix. A ce sujet, le français Emmanuel Macron a déclaré que « La France lui rend hommage. Nous n’oublierons jamais son regard calme et résolu, ni la force de ses combats».
Les concernés ont trouvé la mort mardi dans des affrontements entre forces de défense et combattants sécessionnistes.Quatre militaires camerounais ont été tués mardi à Baboungo (département du Ngoketunjia, région du Nord-Ouest), lors d’un échange de coups de feu entre l’armée et de présumés séparatistes. Les deux groupes se sont affrontés mardi après l’attaque du convoi du député du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC), Njingum Musa Mbuto. Le parlementaire n’a pas été blessé mais quatre soldats ont perdu la vie lors de la fusillade et plusieurs autres ont été blessés dans le convoi autour de Baba I. Un civil aurait également perdu la vie lors desdits évènements.
C’est ce qui ressort du 1er forum international sur les hépatites qui se tient du 16 au 17 août 2018 à Douala.

L’association SOS Hépatites Cameroun en collaboration avec la Société camerounaise de gastroentérologie organisent un forum international sous le thème « Vaincre les hépatites d’ici 2030 ». Pendant deux jours, les experts venus d’Afrique, d’Europe et d’Amérique vont partager leurs expériences dans l’optique de réduire le taux de prévalence de cette maladie. Selon les statistiques de l’Association SOS Hépatites Cameroun, environ 10.000 décès de l’hépatite sont enregistrés chaque année.

Ce forum international qui se tient dans la capitale économique arrive à point nommé avec l’objectif de faire régresser la maladie au taux de prévalence inquiétant. Pour le Dr Hubert Leundji, secrétaire général de SOS Hépatites, le taux de prévalence de l’hépatite B se situe au alentour de 10% alors que celui de l’hépatite C est variable en fonction des tranches d’âge et la prévalence globale dans la population oscille autour de 13%.

Les experts médicaux camerounais, européens et américains vont élaborer des voies et moyens pour comme combattre ces pathologies de façon méthodique. Pour le Dr Leundji, il faut commencer à éviter de nouvelles contaminations grâce à la vulgarisation des messages de  sensibilisation. Au programme des échanges, les défis de la prise en charge des hépatites  en milieu carcéral, la place des associations dans la lutte contre les hépatites, la prévention de la transmission de la mère à l’enfant.

Au cours de ce forum, l’action des pouvoirs publics qui ont baissé considérablement le coût des médicaments pour faciliter l’accès au traitement a été salué par les intervenants. Pour les organisateurs de ce premier forum, les travaux de Douala sont appelés à marquer un tournant dans la lutte contre les hépatites.

Le don a été remis le 16 août 2018 à Douala au gouverneur de la région du Littoral, Dieudonné Ivaha Diboua.
100 sacs de riz, 10 cartons de savon, 20 cartons de sardines et 1 million FCFA. Ce sont les dons offerts par la communauté nigériane du Littoral  aux sinistrés de la crise dans les deux régions anglophones du Sud-Ouest et Nord-Ouest du pays. Ils ont été remis à Samuel Dieudonné Ivaha Diboua, gouverneur de la région du Littoral pour acheminement après des victimes. Par ce geste de solidarité, la vingtaine de membres de la communauté nigériane du Littoral, venus dans les services du gouverneur remettre ces dons ont témoigné leur compassion. « C’est très important que nous marquions notre solidarité à nos frères camerounais en difficulté. Avec la grâce de Dieu, tout va se normaliser et nous reprendrons la vie normalement», a souhaité Vick Okujakou, président de la communauté nigériane du Littoral.Ce sont les déplacés de ces deux régions en séjour dans le Littoral qui vont bénéficier de ce geste de cœur. De son côté, Samuel Dieudonné Ivaha Diboua a remercié le geste des donateurs en témoignant que « cette communauté est très dynamique ici et surtout solidaire de la paix ». Le gouverneur de la région du Littoral a rassuré qu’il mettra immédiatement à la disposition des sous-préfets concernés cet appui pour que ces populations puissent rapidement rentrer en possession de ce don.
Le don du Chef de l’Etat censé aider les étudiants dans leurs travaux académiques prend plutôt une autre destination, celle du marché noir.Les cop’s de l’Université de Ngaoundéré attendaient, comme leurs autres camarades du triangle national, cet outil moderne destiné à l’amélioration de l’acquisition du savoir dans les campus. Seulement, l’attente a été très longue à l’université de Ngaoundéré au point où certains apprenants ne comptaient plus recevoir cet appareil. «On a longtemps attendu. Le ministre de l’enseignement supérieur ne considère pas trop les étudiants des universités situées dans la partie septentrionale de notre pays», regrette un étudiant très remonté, rencontré sur le campus de Dang. Dans cette université, la distribution s’est déroulée en plusieurs phases. D’abord les athlètes qui ont pris part aux jeux universitaires ont reçu les leurs lors d’une cérémonie protocolaire présidée par le ministre lui-même. La suite de la distribution a eu lieu sur place au campus de Dang. Seul bémol dans cette affaire de machine qui a défrayé la chronique, la capacité de stockage l’outil, qui pour certains apprenants n’est pas à la hauteur des étudiants. Pour Akono, «32 giga c’est tellement insignifiant pour dire qu’on a fait un don à quelqu’un». Comme Akono, ils sont des centaines qui voient en cet outil une moquerie de la jeunesse estudiantine du Cameroun. La conséquence logique de cette situation est la vente sur un marché noir qui s’est créée. Les prix varient en fonction des étudiants et de la façon avec laquelle il convainc l’acquéreur. Entre 25.000 et 45.000 FCFA, les ordinateurs PB Hev sont écoulés sur ce marché de couloir. Les acheteurs se recrutent aussi bien parmi les étudiants que des simples usagers. Les plus avisés préfèrent conserver ces machines bien que n’ayant pas des licences d’exploitation pour l’utilisation de microsoft. Leur argument se fonde sur l’autonomie. Bien chargée, le PB Hev peut facilement dépasser les quatre heures d’autonomie. Dans une région où les coupures de l’énergie électrique sont quasi quotidiennes, ces ordinateurs servent parfois des sources d’énergie pour recharger les smartphones. Dans cette atmosphère, certaines machines sont défectueuses. Certaines d’entre elles ne se mettent pas en marche, d’autres refusent et ne reconnaissent pas les chargeurs. Ce qui poussent les étudiants à considérer ces machines comme un cadeau « empoisonné ». L’administration universitaire n’ayant pas pris de mesure visant à remplacer les machines défectueuses, les étudiants sont abandonnés à eux. Du coup, des « réparateurs » des PB Hev ont vu le jour dans le village universitaire de Dang. Ce qui permet à ceux-ci de se faire un peu de sous, même si la réparation est partielle. Au Centre de Développement des Technologies de l’Information et de la Communication de l’Université de Ngaoundéré, on tente de convaincre les étudiants de ne pas vendre ces machines, car les «conditions sont réunies pour l’interconnexion des universités camerounaises. Et avec la fibre optique en cours d’installation sur le campus, ils pourront aisément tirer profit de ces machines», explique Emmanuel Gbetnkom, informaticien en service à l’université de Ngaoundéré. En attendant de doter l’université des moyens techniques permettant une bonne utilisation de ces machines, les cop’s qui les ont gardées continuent de profiter de ce « cadeau présidentiel ».
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Sunday, 05 June 2022 11:01