Le Député Nourane Foster du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale refuse que les camerounais qui vivent en Guinée équatoriale, y soient traités comme des sous-hommes.
Le Député Nourane Foster du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale (PCRN) s’est montrée peinée par la situation de ses compatriotes qui vivent en Guinée équatoriale. On sait que depuis le lundi 1er novembre 2021, des camerounais sont arrêtés à Malabo et retenus au Complexe multisport de Malabo (Banapa). L’information qui a circulé sur la toile, a été confirmée le 3 novembre 2021 par l’Ambassade du Cameroun auprès de la République de Guinée équatoriale.
«J’ai appris avec douleur et désolation, le traitement inhumain réservé à certains de nos valeureux compatriotes à Malabo, en Libye et plus récemment à Dubai. J’avais en son temps joint au téléphone Monsieur le Vice-Consul du Cameroun à Dubai pour m’enquérir de la situation. Nous avions donc échangé sur la question pendant une demi-heure. Nous sommes une Nation fière, En ma qualité de Député, je n’accepterai jamais que nos compatriotes soient traités comme des sous-hommes. J’exhorte ainsi les autorités de ces pays d’accueil au respect de la dignité de nos compatriotes», a-t-elle écrit sur sa page Facebook.
Il faut rappeler que selon le communiqué de l’Ambassade du Cameroun auprès de la Guinée équatoriale qui dit avoir saisi les autorités de la Guinée équatoriale, pour savoir ce qui en est de ces arrestations, aucun éclairci n’avait été donné. On sait qu’il n’y a pas que les camerounais qui ont été interpellés. Il y a aussi d’autres étrangers qui résident dans la capitale. Toutefois, pour ce qui est de nos compatriotes, l’Ambassade a affirmé leur avoir apporté une assistance. Ils ont reçu des denrées alimentaires, des produits hygiéniques et sanitaires de première nécessité, le 2 novembre 2021.
Liliane N.
Le communiqué de Samuel Eto’o Fils laisse comprendre que le choix porté sur le journaliste Jean Bruno Tagne a été motivé entre autres par son expérience riche et diversifiée, et sa qualité d’expert en question de football.
Jean Bruno Tagne vient d’être nommé au poste de Directeur de campagne de Samuel Eto’o Fils. Il faut rappeler que l’ancien capitaine des Lions indomptables a déposé sa candidature pour la présidence de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot). Et depuis le dépôt de cette candidature, il multiplie les actions montrant qu’il travaille bel et bien pour que l’issue de cette échéance soit heureuse.
Jean Bruno Tagne fait donc désormais partie de l’équipe qui va travailler pour que Samuel Eto’o Fils gagne les élections à la Fecafoot. Le communiqué annonçant sa nomination, le présente comme un expert, un expérimenté, bref, quelqu’un disposant d’un profil adapté au poste qu’il occupe dorénavant.
Pour ce qui de Samuel Eto’o, il ambitionne de redonner au football camerounais ses lettres de noblesses.
Retrouvez ci-dessous le communiqué sur la nomination de Jean Bruno Tagne
Depuis le 5 novembre 2021, des vidéos et photos de Gaëlle Enganamouit en posture inconfortable circulent sur la toile.
Alors qu’elle venait d’annoncer à l’opinion sa démission de son poste de team manager de la sélection Senior dames, Gaëlle Enganamouit depuis le 5 novembre fait face à une histoire de mœurs. Des vidéos sextape et images de l’ancienne Lionne indomptable en position inconfortable circule sur la toile et dans des foras. Chacun y va de son commentaire et de son analyse. Il y en a qui se rangent derrière la footballeuse en retraite en interrogeant le fait que ces vidéos n’aient été diffusées au moment où elle démissionne. Il y en a comme Maximilienne Ngo Mbe du Redhac qui trouve qu’on n’a pas à se mêler de son orientation sexuelle. Il y en a aussi qui se disent déçus et affirment que le seul moyen qu’elle a de reconquérir les cœurs des camerounais, c’est de leur demander pardon.
Alors qu’on n’a pas fini de commenter ces images et vidéos, Gaëlle Enganamouit semble avoir jeté l’huile sur le feu. Elle a porté plainte contre une certaine Ahanda Nomo Brenda Charlie, pour rétention sans droit de la chose d’autrui.
Le directeur de l’IHU de Marseille, qui faisait face ce vendredi à la justice de ses pairs, saura le 3 décembre dernier s’il sera éventuellement radié de l’Ordre des médecins
Durant près de trois heures, la chambre disciplinaire, présidée par un magistrat administratif assisté de huit médecins, a examiné deux plaintes déposées fin 2020 par l’Ordre des médecins des Bouches-du-Rhône et le conseil national de l’Ordre des médecins (Cnom), sur la base de plusieurs signalements initialement effectués par la société de pathologie infectieuse de langue française (Spilf), par des praticiens hospitaliers et des particuliers contre Didier Raoult.
L’avenir de Didier Raoult se jouera en partie le 3 décembre prochain.
C’est à cette date que le directeur de l’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée Infection (IHU) de Marseille saura les éventuelles sanctions à son encontre, après avoir fait face ce vendredi à la justice de ses pairs qui l'accusaient devant une chambre disciplinaire à Bordeaux d’avoir enfreint plusieurs articles du Code de déontologie médicale en promouvant l’hydroxychloroquine contre le covid - 19.
« On fait le procès de la réussite », s’est défendu l’infectiologue marseillais de 69 ans, debout, pull vert et chemise à carreaux, devant la chambre disciplinaire de l’Ordre des médecins de Nouvelle-Aquitaine, qui a examiné deux plaintes lors d’une audience dépaysée loin de Marseille.
En arrivant, Didier Raoult avait salué en silence, d’un signe de tête, la trentaine de manifestants venus le soutenir et l’applaudir. « Raoult, notre phare dans la nuit », « Touche pas à mon Raoult » : des banderoles témoignaient de la popularité du médecin auprès des « anti-système ».
N.R.M
D’aucuns parlent de “Scène d'horreur”, d’autres n’arrivent même pas à raconter cette histoire tellement elle est ignoble, abject, répugnante...Surtout lorsqu’on donne l’âge des enfants: 7 et 9 ans.
Selon nos confrères de la “ Voix du Moungo”, l’individu qui médite désormais sur son sort dans les geôles de la gendarmerie de Melong est âgé de 39 ans; Il se fait appeler Ehowe Jules et après le départ de sa “ femme”, il n’a pas voulu se mettre en couple avec une autre, estimant certainement que Noloh Aïcha - 7 ans et Akoum Aurèle - 9 ans, élèves à l'école publique de new melong pourront assouvir ses envies bestiales. Le 28 octobre dernier, il est passé à l’acte.
Les faits tels que relatés par nos confrères
“L'histoire qui défraie la chronique en ce moment dans la ville de Melong, serait partie de l'absence de ces deux enfants pendant une longue période de leurs salles de classes respectives; Lorsqu’elles sont revenues, les enseignants leur ont demandé de se justifier.
C'est à ce moment que les deux petites filles leur ont révélé le calvaire qu’elles vivent; Elles ont dit avec leurs mots d’enfants, les atouchements et autres actes sexuels auxquels se livre leur “ géniteur” sur leur petit corps.
C'est ainsi que choqué, abasourdi, ébranlé, le personnel de l'école va convoquer les parents des enfants violés. Au regard de la gravité de la situation, le directeur de l'école de new melong va saisir l'inspecteur d'arrondissement de l'éducation de base;
Ce dernier à son tour va saisir le sous-préfet qui va à son tour donner les ordres au commandant de Brigade pour qu’il fasse la lumière dans cette affaire…”.
Sur le post facebook, on peut encore lire que:
Alanga Raphaël Bienvenu - Commandant de brigade de Melong, va remonter l'information auprès de son commandant de compagnie, Mebouinz Daniel Fritz et ce dernier, dans le cadre de ses investigations va, dans un premier temps mettre la main sur le présumé violeur car ayant eu vent que ses pratiques occultes sont connues, a pris la fuite;
L’enquêteur a aussi amené les enfants faire une visite médicale et pour cette opération, il s’est fait accompagner par Flore Kadjeu - assistante sociale de l'Ong Cipcre.
Les résultats de la visite médicale vont confirmer que les deux petites filles ont effectivement été violées. Plus grave encore l'aînée âgée de 9 ans ne pourra plus jamais avoir d’enfants et celle de 7 ans a été dépistée d'un chlamydia.
La cabale du présumé violeur n’a pas fait long feu; il a été interpellé et conduit sous bonne escorte ce jeudi 4 novembre, devant le procureur de la république de première instance de Nkongsamba, où il répondra de ses actes.
Les filles partageaient le même toit que leur “papa” et leur grand-mère, la maman ayant quitté le foyer depuis longtemps. Elles vont bénéficier des soins dans un centre hospitalier approprié.
Nicole Ricci Minyem
Ces présumés braqueurs avaient cambriolé la cathédrale de Mamfe le 06 juin 2021.
Les éléments de la Compagnie de gendarmerie Moungo Nord ont arrêté un gang de présumés braqueurs. Il s’agit en fait des présumés braqueurs de la cathédrale de Mamfe. Ils ont donc été arrêtés au cours d'une opération coup de poings menée dans l'arrondissement de Melong. Au moment de leur arrestation, les présumés braqueurs dont les âges sont compris entre 26, 29 et 30 ans, avaient en leur possession des objets de valeur, cambriolés dans une église catholique. Leur valeur a été estimée à environ 4 millions de FCFA.
A titre de rappel, les individus qui méditent actuellement sur leur sort avaient braqué la cathédrale de Mamfe le 6 juin 2021. Aux environs de 20h30, ils avaient alors fait irruption dans la salle des fêtes de la cathédrale de Mamfé. Ils avaient dépouillé leurs victimes de plusieurs objets de valeur. Ils ont aussi ôté la vie à deux de leurs victimes.
Les présumés braqueurs après ce forfait, ont trouvé refuge dans l'Arrondissement de Melong, plus précisément au village Mouangue l. Ils allaient dans la localité de Melong pour écouler ces objets de valeur pour la somme de 2 millions de FCFA. C’est alors qu’ils sont tombés dans les filets des fins limiers de la Compagnie de Gendarmerie du Moungo Nord. Ces présumés assassins et cambrioleurs ont été présentés à la presse le jeudi 4 novembre 2021. Ils ont été déférés devant le Tribunal Militaire de Douala où ils devront répondre de leurs actes.
Liliane N.
Selon des sources, le délégué départemental de la communication du Ngoketunja a été libéré après le paiement d’une rançon d’1 million de FCFA.
C’est le 2 novembre 2021, que Manfred Likine Mbua le délégué départemental de la communication du Ngoketunja a été remis en liberté. D’après des sources, sa famille a déboursé la somme d’1 million de FCFA demandée comme rançon. Il y a d’abord 700.000 FCFA qui ont été versés, ensuite 300.000 FCFA. Les proches de ce fonctionnaire sont soulagés depuis sa remise en liberté.
Il faut rappeler que Manfred Likine Mbua a été enlevé le 28 octobre 2021 au quartier Nkwen dans la ville de Bamenda, région du Nord-Ouest. Son enlèvement s’est passé devant sa femme et ses enfants. Et c’est devant eux, qu’il a été conduit vers une destination inconnue. L’identité des hommes qui l’ont kidnappé n’a pas été révélée pour des raisons liées à sa sécurité.
Si l’issue est heureuse pour Manfred Likine Mbua, ce n’est pas le cas pour les cinq autres délégués départementaux enlevés. On est sans nouvelles d’eux depuis le 15 juin dernier dans le département du Ndian (Sud-Ouest).
Leurs ravisseurs avaient exécuté trois jours plus tard Mabia Johnson Mudika, délégué départemental du ministère de l’Economie, de la planification et de l’aménagement du territoire (Minepat) dudit département. Les ravisseurs exigeaient 60 millions de FCFA pour libérer ces fonctionnaires détenus dans deux camps.
Liliane N.
Dans une lettre adressée à Seydou Mbombo Njoya, la footballeuse qui occupait ce poste au sein de la Sélection Nationale Séniors Dames du Cameroun justifie son acte en relevant des faits qui de son point de vue, ne lui permettent plus de servir le Cameroun auprès du président par intérim de la Fédération Camerounaise de Football
Après les formules de politesse d’usage, la footballeuse qui évolue au club suédois FC Rosengârd au poste d'attaquant revient sur certains faits
“ En date du 17 octobre 2021 à Douala à l’hôtel Sawa pendant l”heure du déjeuner, vous m’avez interpellée, en présence de madame Eko Céline, pour me dire qu’il vous a été rapporté que je m’inmmisçais dans les aspects techniques de la gestion de l’équipe.
Je vous ai répondu qu’on vous avait mal informé car ce n’est pas vrai et j’ai souhaité une confrontation avec toute personne pouvant le prouver.
Vous n’avez pas fini votre propos sans me demander de bien “ faire attention avec qui je marche”; Je me suis demandée si en dehors de mes aînés avec lesquels j’étais pendant la visite vous me connaissez ailleurs, mais j’ai laissé tomber.
Le 23 octobre 2021 à Garoua, en fin d’après - midi lors de la visite au stade Roumdé - Adjia, vous m’avez à nouveau menacé tout d’abord en me demandant ce que je faisais à Garoua alors qu’il y’avait un match le lendemain et que nous avions raté la réunion techtine.
Puis vous n’avez pas pas également manqué de me rappeler que ma place n’était pas là, le tout en me criant dessus et en me menaçant des sanctions disciplinaires qui suivraient, sans me donner l’occasion de m’expliquer, vous êtes parti.
Mes aînés qui ont suivi la scène se sont rapprochés de moi pour me demander ce qui se passait tellement ça avait retenu leur attention. Je ne m’en suis pas plaint non plus.
Le 29 octobre 2021, vous m’avez fait servir une demande d’explication à laquelle j’ai répondu le 02 novembre 2021. Et enfin aujourd’hui, vous avez organisé une réunion du staff technique de l’équipe pour une fois de plus me mettre en garde de ce que vous servirez dans les prochains jours.
Monsieur le président, si je comprends bien au vu de ce qui précède, vous me demandez , non seulement de ne pas honorer à une invitation du secrétariat Général de la Présidence de la République du Cameroun, mais aussi de ne pas m’afficher avec mes aînés footballeurs qui m’ont inspiré, soutenu et grâce à qui j’ai pu devenir la joueuse professionnelle;
Pour honorer une position de bénévole au sein de l’équipe nationale où d’ailleurs vous m’accusez d’ingérence sur des aspects techniques sans preuves?
Monsieur le président, j’ai servi mon pays avec dignité sur les terrains et je le servirai partout où besoin se fera, mais ce ne sera sûrement plus avec vous…”.
Une décision qui amène de nombreux internautes à s’interroger sur le “ rôle trouble de Seydou Mbombo Njoya” dans la gestion du football Camerounais. Les élections qui se rapprochent de plus en plus sont-elles la cause de ce “ harcèlement” sur la joueuse professionnelle car elle n’est qu’un faible maillon dans une chaîne et par conséquent facilement influençable?
Pourquoi semer un climat aussi délétère alors que le Cameroun se prépare à accueillir la fête du football Africain?
Nicole Ricci Minyem
Si certains hommes politiques considèrent le fédéralisme communautaire comme l’expression suprême du tribalisme, d’autres affirment qu’il est l’accélérateur de l’intégration nationale.
Jusqu’ici, on avait eu à faire au fédéralisme proposé par certains analystes comme Dieudonné Essomba pour la résolution de la crise anglophone. L’idée du fédéralisme communautaire voit le jour avec le député du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale (PCRN) Cabral Libii. D’ailleurs, il y a de cela quelques jours, où il annonçait la sortie d’un ouvrage dans lequel, il a consigné sa réflexion sur le sujet.
Sur sa page Facebook, l’élu de la nation a déclaré «il ne s'agit que d'une offre politique parmi tant d'autres. Nous écoutons humblement et nous nous efforcerons d'être plus convaincants encore. Le Fédéralisme Communautaire est l'offre qui instaure la paix, reconnait notre identité et libère notre potentiel. Il y a que du plaisir au débat d'idées. Le Cameroun ne se rebâtira pas autrement».
Sauf que pour des hommes politiques comme Abel Elimbi Lobe, Pr Bahebeck, Luther André Meka pour ne citer qu’eux, le fédéralisme communautaire n’est pas à recommander. C’est l’expression suprême du tribalisme.
«L'honorable Cabral Libii est de bonne foi. Il emballe une mission communautaire dans un projet national. En fait, le découpage colonial a dispatché le peuple Bassa dans trois régions à savoir le littoral, le centre, le Sud. L'honorable Cabral Libii se donne pour mission de rassembler les bassa dans une seule région comme les duala à Douala, les ewondo à Yaoundé, les bulu au Sud. Il appelle cela le fédéralisme communautaire. La suite de sa théorie n'est que de l'habillage. Nous soutenons le régionalisme avec la présence de l'Etat, gendarme de la conformité républicaine et protecteur de l'intérêt général», a écrit dans une de ses tribunes Luther André Meka du RDPC.
Pour la député Rolande Ngo Issi, le fédéralisme communautaire n’est pas une attribution identitaire.
«L’on peut avoir des grands-parents Ekang (c’est mon cas) tout en étant soi-même membre de la communauté Bassa Mpôo Bati parceque l’on a fait le choix d’épouser cette identité cette culture et la langue qui la porte. Le FC (fédéralisme communautaire NDLR) est l’accélérateur d’intégration nationale et non le contraire, en plus c’est pas nouveau le libéralisme communautaire avait déjà posé la problématique de la nécessité de promouvoir nos communautés et certains le vivent déjà depuis près de 70 ans la communauté bamileke et cela n’a aucun caractère péjoratif. Alors si nous voulons aller loin et se hisser à des sphères considérables osons et debarassons nous de l’héritage colonial qui est l’une des sources de nos conflits. Aucun Etat n’a trouvé sa voie en utilisant les clivages des autres. Le Cameroun est un et indivisible dans sa diversité et dans ses communautés», a-t-elle expliqué dans une de ses sorties sur sa page Facebook.
Parmi les points saillants des activités inscrites dans l’agenda de Michel Palu durant son séjour au Cameroun, figure en bonne place, l’inauguration de la Compagnie fermière camerounaise (CFC), dernière-née du Groupe SABC, apprend-on de sources crédibles.
Durant son séjour, le président du Conseil d'administration des Brasseries participera à l’inauguration ce 5 novembre 2021 à Mbankomo dans la région du Centre, de la Compagnie fermière camerounaise(CFC), dernière-née du Groupe Société anonyme des brasseries du Cameroun (SABC). La cérémonie d’inauguration sera présidée à l’occurrence par le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, Joseph Dion Ngute.
Précisons selon plusieurs observateurs, il s'agit d’un événement hautement important qui vient renforcer la vision agro-industrielle du brasseur qui est celle « d’être le leader agro-industriel régional de référence dans la production et la commercialisation de boissons alimentaires au sein d’une organisation performante, rentable, moderne et citoyenne ».
La CFC a été créée le 4 juillet 2017 avec un capital social de 2,5 milliards de francs CFA, réparti entre la Société anonyme des Brasseries du Cameroun (80%) et Somdiaa (20%). Les travaux de construction des installations industrielles de la compagnie ont nécessité un investissement de 20 milliards de francs CFA. La CFC sera ainsi un acteur-clé pour les secteurs de l’agriculture et de l’élevage étant entendu que sa mission est axée sur la transformation du maïs en gritz à destination des brasseries et la production de farine à base de maïs pour la consommation humaine et animale.
Elle ambitionne, entre autres, de booster le secteur de l’élevage où elle entend apporter son expertise pour l’amélioration de l’offre en nutrition animale. L’entité produira 6 millions d’œufs à couver, 4 millions de poussins d’un jour et 5.000 tonnes d’aliment pour animaux.
Innocent D H
En effet, le Ministère des Forêts et de la Faune (Minfof) lance jusqu’au 2 décembre 2021, un avis d’appel à manifestation d’intérêt pour le recrutement d’un cabinet d’études chargé de la mise à jour de sa politique forestière nationale.
A en croire le Minfof, le cabinet qui sera recruté aura plusieurs missions. Il va se charger d’évaluer le niveau de mise en œuvre de la politique forestière, de faire l’état des lieux du secteur au cours des dernières décennies et d’analyser la problématique et les enjeux forestiers aux niveaux local, national, sous régional (bassin du Congo) et international ayant influencé la mise en œuvre de la politique forestière au Cameroun.
La structure devra également faire une analyse prospective de l’évolution des enjeux environnementaux, sociaux et économiques du sous-secteur forêt/faune en lien avec « les thématiques émergentes ». Le cabinet proposera par ailleurs au gouvernement une « vision » du sous-secteur forêt/faune à l’adoption des parties prenantes et devra en déduire des axes stratégiques d’intervention en vue de la réalisation de cette vision. Enfin, le consultant proposera un document de nouvelle politique forestière nationale en formulant notamment les thématiques phares devant sous-tendre cette nouvelle vision.
A en croire le Ministre des Forêts et de la Faune (Minfof), Jules Doret Ndongo dans un communiqué publié dans l'édition de Cameroon tribune de ce jeudi 4 novembre 2021, la mission sera financée par le budget du Fonds commun du Programme sectoriel forêts et environnement (PSFE). La politique forestière du Cameroun est une des composantes de la Stratégie nationale de promotion des activités économiques en milieu rural. Elle vient en appui à la politique agricole, apprend-on.
Innocent D H
Créée le 3 novembre 1961 par le Président John F. Kennedy, cet organisme intervient depuis lors dans de nombreux domaines au Cameroun dont les infrastructures, l’éducation, la santé, l’environnement, etc. L'Agence des États Unis pour le développement international (Usaid) célèbre ainsi ses 60 ans d'activités.
Dès l'année de sa création, la première agence de développement international commence ses activités au Cameroun avec un budget de de 7,9 milliards de FCFA (14 millions de dollars). Et selon les informations fournies par un communiqué de l'ambassade des Etats Unis au Cameroun, six décennies plus tard, le bilan de cet organisme parle de lui-même : « l’Agence est fière d’avoir contribué à hauteur de 776,9 milliards de francs CFA (1,38 milliard de dollars) à l’aide au développement et à l’assistance humanitaire au peuple camerounais ».
L'Usaid a dû arrêté ses activités au Cameroun comme dans d’autres pays (23 autres bureaux dans le monde), au milieu des années 99. C'est en 2020 qu'elle a rouvert son bureau de Yaoundé avec une dotation de 64, 2 milliards de FCFA (114 millions de dollars). Depuis cette reprise, l’organisme américain met l’accent sur l’assistance humanitaire et la gouvernance alors que par le passé, son champ d'intervention était par le passé concentré sur l'aide au développement.
L'un de ses domaines d'intervention qui retient le plus l'attention à sa reprise d'activité, c'est celui de la lutte contre le paludisme. Dans ce volet, l'agence américaine s’est illustré dans l’administration du traitement préventif mensuel dans les régions du Nord et de l’Extrême-Nord, touchant 1,9 million d’enfants de moins de 5 ans pendant la saison de transmission maximale. 1,4 million de réfugiés, déplacés internes et membres des communautés d’accueil ont été assistés. Elle a également alloué 9,5 milliards de FCFA (16,8 millions de dollars) au pays pour renforcer la réponse nationale à la pandémie du Covid-19.
Pour ce qui est de la gouvernance, l’organisme estime à près de 2,5 millions de personnes, les auditeurs de la région de l’Extrême-Nord qui ont été sensibilisés à travers 16 radios partenaires sur la promotion de la paix, la tolérance, la bonne gouvernance et les droits de l’homme au Cameroun.
Innocent D H
Selon les sources douanières, ces terminaux en provenance du Nigeria étaient dissimulés dans des camions. Cette saisie intervient dans le cadre de l’opération de protection de l’espace commercial du Cameroun, baptisée « Halte au commerce illicite » (Halcomi).
Ces produits de la contrebande interceptés grâce à la vigilance des éléments de la douane ont été présentés au public le 1er novembre dernier dans la ville de Ngaoundéré. Ce qui remet ainsi au goût du jour, la question du dédouanement des terminaux mobiles au Cameroun. Dans la dynamique de la lutte contre la contrebande autour de ces équipements, le gouvernement avait annoncé l’entrée en vigueur, à compter du 15 octobre 2020, d’un système de collecte numérique des droits de douane sur les téléphones portables et les tablettes. En effet, le système imposait aux opérateurs de mobile de se connecter à une plateforme numérique conçue par la société Arintech, afin de permettre le prélèvement des droits de douane sur les terminaux, en le défalquant sur le crédit de communication du propriétaire.
Cependant des réserves ont été émises par les opérateurs de mobile (caractéristiques techniques limitées de la plateforme, gestion des données personnelles, légalité du moyen de paiement, perte projetée du chiffre d’affaires du fait de la déconnexion automatique des clients rechignant à payer les droits de douane pour leur terminal…), outre la grogne populaire née de du projet visant pratiquement à transférer le paiement des droits de douane sur les terminaux aux utilisateur. Face à cette situation plutôt controversée, le gouvernement a dû surseoir à sa réforme.
Notons que la contrebande fait perdre à l'économie camerounaise de fortes sommes. Pour le cas précis des téléphones, près de 4 millions de terminaux mobiles sont importés au Cameroun chaque année. Ce qui, apprend-on, représente un potentiel de 13 milliards de FCFA de recettes par an, dont la majeure partie (12 milliards de FCFA) échappe encore au Trésor public du fait de cette contrebande.
Innocent D H
Dans un communiqué rendu public ce mardi, il revient sur les dispositions qui ont été prises au niveau du Consulat en attendant de connaître les raisons pour lesquelles les autorités équato - guinéennes font à nouveau montre de ce rejet au moment où l’on parle d’intégration sous régionale.
La quintessence du Communiqué de Presse de Désiré Jean - Claude Owono Menguele
“ L’ambassadeur de la République du Cameroun auprès de la République de la Guinée Equatoriale, informe la Communauté Camerounaise en Guinée Equatoriale que depuis le lundi 1er novembre 2021, des compatriotes ont été interpellés et retenus au complexe multisport de Malabo ( Banapa) aux côtés de nombreux autres ressortissants étrangers, vivant dans la capitale équato - guinéenne.
Selon les informations reçues du consulat de Bata, une opération similaire se déroule sur la partie continentale depuis le samedi 30 Octobre 2021 et les étrangers retenus seraient gardés au stade omnisports de Nkoantoma et dans divers postes de police de la ville de Bata.
L’Ambassade, une fois informée, a immédiatement saisi les autorités du pays d'accueil, à l’effet de solliciter des informations relativement à cette vaste opération d’interpellation d’étrangers.
En attendant les informations officielles sollicitées, l’Ambassadeur a procédé aux premières mesures urgentes d’assistance consulaire aux compatriotes détenus à Malabo, en leur fournissant le mardi 2 novembre 2021, notamment des denrées alimentaires, des produits hygiéniques et sanitaires de première nécessité.
Aussi, en attendant la finalisation des démarches consulaires entreprises par l’Ambassade à ce sujet, les compatriotes sont invités à garder leur calme, en s’abstenant d’alimenter les campagnes de désinformation ayant court dans les réseaux sociaux, comme celles annonçant des rapatriements à bord d’aéronefs militaires équato - guinéen, des mauvais traitements dans les lieux de détention et l’inertie de l’Ambassade face à la situation”.
N.R.M