La Fédération camerounaise de football a adressé de ce fait, une demande auprès de la CAF.
Comme dit lors d’une de nos publications relative au match Cameroun vs Malawi, notre pays a la possibilité de solliciter la présence des spectateurs au stade Olembé. Selon le confrère Radio Balafon, la Fédération camerounaise de football (Fecafoot) vient effectivement de faire valoir ce droit, en introduisant auprès de la Confédération Africaine de Football (CAF) une demande pour obtenir l’autorisation d’avoir 10 000 spectateurs vendredi prochain au stade Olembe. Il ne reste qu’à attendre la réponse de la CAF.
Mais si on s’en tient aux éléments qui peuvent être pris en compte pour faire une exception, on peut dire que le Cameroun peut s’attendre à une réponse positive de la part de la CAF. Il faut préciser que ces critères concernent le plan médical, la conformité du stade, de sa sécurité et la sûreté. Il y a un travail d’analyse et d’évaluation qui doit être fait et sur la base duquel, les experts vont se prononcer.
Pour le match Cameroun vs Malawi comptant pour les Eliminatoires de la Coupe du Monde Qatar 2022, la FIFA et la CAF ont décidé de suivre leurs protocoles arrêtés depuis la survenue de la pandémie du Coronavirus en 2020. Ces protocoles des matchs stipulent clairement que tous les matchs soient joués à huis clos. Et c’est la raison pour laquelle, avait décidé de n’admettre au stade Olembe vendredi prochain que les invités spéciaux, les officiels du match et les journalistes accrédités, qui doivent au total être au nombre de 200 personnes.
Liliane N.
Pour le député Cabral Libii, ce qui se passe actuellement dans les régions anglophones, démontre qu’une industrie du crime s’y est installée.
Via son compte Twitter, Cabral Libii député de la nation et président national du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale (PCRN) a réagi sur le récent enlèvement d’un prélat survenu à Mamfé dans la région du Sud-Ouest. Pour l’homme politique, il paraît de plus en plus clair. Ce qui se passe au Nord-Ouest et au Sud-Ouest ne relève plus de la crise anglophone mais de la criminalité.
«J'apprends de RFI qu'il y a kidnapping des prélats à Mamfe. Que les ravisseurs qui ont désormais installé une industrie du crime, demandent une rançon de 20 millions. Je l'avais dit après l'assassinat des élèves. Ça ce n'est plus la cause anglophone. C'est de la criminalité !», a-t-il écrit.
A titre de rappel, par le biais d’un communiqué, le diocèse de Mamfe a confirmé l’enlèvement d’un de leurs prêtres, le dénommé Mgr Julius Agbortoko Agbo. D’après ce communiqué, il a été kidnappé le dimanche 29 août 2021. Et ces kidnappeurs se sont présentés comme des éléments séparatistes. Le diocèse de Mamfe a aussi indiqué que ces derniers demandent une rançon de 20 millions de FCFA pour relâcher le prêtre.
Le diocèse de Mamfe a également profité de l'occasion pour dénoncer les attaques récurrentes contre l'Église en général et celle du prêtre de Mamfe en particulier et a supplié les acteurs de la crise anglophone en cours d'exclure « gentiment » l'Église de leurs affaires « pour l'amour de Dieu ».
Liliane N.
La note de service suspendant M. Lucien Herman Medjo Directeur de l’Ecole publique primaire de Biba-Yevol a été signée par Albert Belinga le Délégué régional de l’Education de base du Sud.
C’est une affaire qui fait couler beaucoup d’encre et de salive dans l’arrondissement de Biwong-Bulu, situé dans le département de la Mvila, région du Sud. A la rentrée scolaire 2021-2022 prévue le 6 septembre prochain, les élèves de l’Ecole publique primaire de Biba-Yevol se retrouveront sans Directeur. La raison étant que celui qui assume cette fonction, est sous le coup d’une suspension décidée par son supérieur hiérarchique M. Albert Belinga le Délégué régional de l’Education de base du Sud. Sa sanction a été causée par les mauvais résultats enregistrés par son école à l’examen du Certificat d’études primaires (CEP).
«Suite au mauvais résultat obtenu au CEP session de juin 2021 Monsieur Medjo Lucien Herman , IEG, Mle 529796-S, Directeur de l’Ecole primaire publique de Biba-Yevol, inspection d’arrondissement de l’Education de Base de Biwong-Bulu, délégation départementale la Mvila, l’intéressé est pour compter de la date de signature de la présente note de service suspendu de ses fonctions », peut-on lire dans l’article 1er de la note de service, du Délégué régional de l’Education de Base du Sud.
Poursuivant l’autorité indique dans la même note de service que « le Sous-Directeur des Affaires générales de la délégation régionale de l’Education de Base du Sud, le Délégué départemental de la Mvila, l’Inspecteur d’arrondissement de Biwong-Bulu sont, chacun en ce qui le concerne, chargés de l’application de la présente note de service qui sera enregistrée et communiquée partout où besoin sera ».
Liliane N.
Seuls les invités spéciaux, les officiels du match et les journalistes accrédités seront admis au stade Olembe le 3 septembre prochain.
La décision rendue publique le 30 août 2021 par le Ministère des Sports et de l’Education physique (Minsep), a été prise par la Fédération internationale de football association (FIFA). Pour le match inaugural du stade Olembe, il n’y aura pas de spectateurs. La partie entre le Cameroun et le Malawi comptant pour les Eliminatoires de la Coupe du Monde Qatar 2022 va se jouer juste en présence de 200 personnes qui feront partie soit des invités spéciaux, soit des officiels du match, soit des journalistes accrédités.
Comme on peut le deviner la décision de ne pas avoir de spectateurs au cours du match inaugural du stade Olembe est une conséquence de la pandémie du Coronavirus qui sévit toujours au Cameroun. Déjà qu’on a observé que depuis la survenue de cette pandémie en 2020, les protocoles des matchs de la Confédération Africaine de Football et de la FIFA Covid-19 stipulent clairement que tous les matchs soient joués à huis clos.
Toutefois, il peut arriver qu’en fonction des analyses et des évaluations faites sur le plan médical, de la conformité du stade, de sa sécurité et de la sûreté, les Fédérations puissent jouir d’exceptions.
Seulement, on s’interroge sur le fait que le Cameroun n’ait pas pu bénéficier d’une exception. Etant donné que le stade Olembe répond aux critères suscités. Le Cameroun a-t-il formulé une demande? A-t-elle été rejetée? Aucune raison officielle n'a été avancée pour l'expliquer.
A titre de rappel, le stade Olembe a été passé au peigne fin par des experts de la FIFA et de la CAF. On se rappelle que Yoann Ropital, le Directeur du projet Magil avait rassuré ces derniers, en s’appuyant sur le fait que toutes les exigences essentielles de la CAF ont été satisfaites. Les experts de la CAF après avoir vérifié la fonctionnalité du Stade en diurne, s’étaient rassurés qu’il puisse déjà abriter un match en nocturne.
Liliane N.
Toutes les personnes qui désirent être candidates à l’élection du nouveau président de la FECAFOOT, doivent avoir impérativement la nationalité camerounaise.
C’est l’une des informations qu’on retiendra sûrement du point de presse de ce lundi 30 août 2021 donné par la Commission électorale de la Fédération camerounaise de football (FECAFOOT). Pour être candidat à l’élection du nouveau président de la FECAFOOT, il ne faut pas jouir d’une double nationalité. Il faut être de nationalité camerounaise. L’information qui se répand depuis ce soir sur la toile, fait déjà des fâchés. Parce qu’avec cette disposition, des candidatures qu’on espérait voir à ce processus électoral, sont d’office écartées.
Il y a comme celle de Samuel Eto’o, très demandée par les jeunes. D’ailleurs sur la toile, certains ne s’empêchent pas de parler d’un complot mené contre l’ancien capitaine des Lions indomptables.
«Quand Eto'o a aidé cette fédération il avait une seule nationalité. FecafootOfficie. Continuons dans cette lancée, vous aurez des résultats concrets comme chaque année», a écrit un follower du compte Twitter CFOOT Cameroun.
Un autre a laissé comme commentaire ce qui suit: «Donc c'est eto'o le Camerounais qui a participé au tirage au sort de la CAN 2022».
Des réactions comme celles sus rapportées sont nombreuses sur la toile. Cependant, il convient de souligner que Samuel Eto’o Fils jusqu’ici n’a pas déclaré qu’il se présentait à l’élection du président de la FECAFOOT. D’ailleurs samedi dernier, alors qu’il prenait part à un match de gala, questionné sur le sujet, il a déclaré «au sujet des élections à la FECAFOOT, chaque chose a son temps. Mais, le moment venu, je vous donnerai ma position de manière officielle».
L’ancien capitaine des Lions indomptables a indiqué toutefois qu’il y a nécessité de réorganiser le football du Cameroun.
« Le plus important aujourd’hui, c’est de se dire que, le football camerounais doit être bien dirigé et de manière transparente. Nous devons savoir que tout ce que le football camerounais produit, appartient à toutes ses grandes familles.Il est inadmissible de voir par exemple des joueurs qui ont des difficultés à prendre du plaisir dans ce qu’ils savent faire. Donc, il faut trouver le moyen de réorganiser tout ça. Je pense que les petites guéguerres des uns et des autres ne nous font pas avancer, ne font pas avancer le football camerounais. Il faut que les gens sachent que le football n’appartient pas à une ou deux personnes. Il faut vraiment que les gens soient mesurés, qu’ils reprennent leurs esprits et qu’ils ne se disent pas qu’ils ont un mandat pour rester là sans projet » a-t-il déclaré.
L’élection du nouveau président de la FECAFOOT aura lieu le 11 décembre 2021.
Liliane N.
Le vol aurait été commis par sa dame de ménage aussi de nationalité camerounaise.
L’histoire défraie en ce moment la chronique au Gabon. Elle a été relayée depuis cet après-midi de 30 août 2021 par des confrères gabonais parmi lesquels gabonmediatime.com. S.E Ngaeto Zam Edith Félicie Noëlle épouse Ondoua Ambassadeur du Cameroun au pays d’Ali Bongo se serait fait voler plus de 600 millions de FCFA dans son domicile. Les soupçons dudit vol pèseraient sur sa femme de ménage, qui est aussi de nationalité camerounaise. Aucune information concernant l’identité de cette dernière n’a été donnée. Tout ce qu’on sait du confrère, c’est qu’elle est activement cherchée par les services diplomatiques camerounais.
«Il ressort que l’argent thésaurisé dans plusieurs sacs dans une chambre de la diplomate camerounaise aurait été dérobé par une femme de ménage. Seul bémol, l’identité de la mise en cause n’a aucunement été révélée. «Seules les sandales de la voleuse ont été retrouvées dans la cour», révèle une source proche du dossier». Mais que faisait cette importante somme d’argent chez un administratif ? », écrit gabonmediatime.Com.
Le confrère rapporte par ailleurs que s’étant rapproché des services diplomatiques pour avoir plus d’informations sur cette affaire, ceux-ci ont affirmé ne disposer d’aucun élément.
«Une manière subtile de poursuivre les recherches à l’abri des regards pointilleux de la presse ? C’est assurément la lecture qu’on pourrait faire de la situation. D’autant plus que la police et la gendarmerie ont été mises sur le coup pour faire toute la lumière», écrit gabonmediatime.com.
Liliane N.
La tragédie s’est produite le samedi 28 août 2021.
Selon des sources au Nord-Ouest du Cameroun, deux militaires ont perdu la vie hier, dans une embuscade des combattants séparatistes. L’embuscade apprend-on, a été tendue au niveau d’un poste de contrôle situé à Lipenja, une localité de l’arrondissement d’Ekondo-Titi du département du Ndian. Selon une source militaire, deux autres éléments de l’armée ont été blessés.
On attend encore la version officielle de l’armée sur cette autre tragédie. Toutefois, il faut souligner que depuis le weekend dernier, la violence semble s’être accrue dans la région du Nord-Ouest. Le 23 août 2021, des combattants séparatistes ont incendié le marché principal, deux bâtiments gouvernementaux et d’autres résidences privées de la localité d’Oku. D’après des témoignages des habitants de ladite localité, cet acte a été posé par les Ambazoniens en guise de représailles pour le non-respect de l’opération ville morte. Avant cet incendie, il y a d’abord eu le 22 août 2021, une fusillade à l’église presbytérienne de Bali, au cours de laquelle une fidèle a été tuée par balle.
Liliane N.
Samuel Eto’o, l’ancien capitaine des Lions indomptables, affirme qu’au moment opportun, il rendra public sa position officielle.
Alors qu’il prenait part à un match de gala le samedi 28 août 2021 à Pouma dans la Sanaga Maritime, Samuel Eto’o Fils approché par la presse, a été convié à s’exprimer sur l’élection du nouveau président de la Fédération camerounaise de football (FECAFOOT).
On sait que quelques mois plus tôt, son nom a été cité parmi ceux d’anciens Lions indomptables désireux de se présenter à cette élection. Sans démentir ni confirmer la rumeur, Eto’o a donné rendez-vous à plus tard pour rendre officielle sa position.
« Au sujet des élections à la FECAFOOT, chaque chose a son temps. Mais, le moment venu, je vous donnerai ma position de manière officielle » a-t-il botté en touche.
Si Samuel Eto’o s’est montré peu bavard sur sa candidature ou pas à l’élection du président de la FECAFOOT, il s’est toutefois étendu un peu plus sur le besoin de réorganisation la gestion du football camerounais.
« Le plus important aujourd’hui, c’est de se dire que, le football camerounais doit être bien dirigé et de manière transparente. Nous devons savoir que tout ce que le football camerounais produit, appartient à toutes ses grandes familles.
Il est inadmissible de voir par exemple des joueurs qui ont des difficultés à prendre du plaisir dans ce qu’ils savent faire. Donc, il faut trouver le moyen de réorganiser tout ça. Je pense que les petites guéguerres des uns et des autres ne nous font pas avancer, ne font pas avancer le football camerounais. Il faut que les gens sachent que le football n’appartient pas à une ou deux personnes.
Il faut vraiment que les gens soient mesurés, qu’ils reprennent leurs esprits et qu’ils ne se disent pas qu’ils ont un mandat pour rester là sans projet » a-t-il déclaré.
Liliane N.
Selon des sources internes à la Fédération camerounaise de football, cette exclusion serait due au fait que, les championnats ne se sont pas joués dans les sept départements de la région du Nord-Ouest.
D’après nos sources, la Commission électorale de la Fédération camerounaise de football (FECAFOOT) a prévu donné un point de presse demain lundi 30 août 2021. Au cours de ce point de presse, l’exclusion des clubs amateurs de la région du Nord-Ouest du processus devant conduire à l’élection du nouveau président de la FECAFOOT, doit être officialisée. Toujours d’après nos sources, ces clubs sont mis à l’écart parce que les championnats ne se sont pas joués dans les 7 départements du Nord-Ouest qui sont Boyo, Bui, Donga-Mantung, Menchum, Mezam, Momo et Ngokétunjia. Pourtant, il convient de noter que cette région anglophone comme celle du Sud-Ouest subit la crise socio politique née en fin 2016 par des revendications corporatistes.
Une source du confrère Cameroon info net qui s’intéresse aussi à cette affaire, évoque comme autre raison de l’exclusion des clubs amateurs du Nord-Ouest du processus électoral à la FECFAFOOT, la désinvolture des 22 clubs à s’enregistrer dans la base des données de la Fédération Internationale de Football Association (FIFA), à travers le système FIFA-Connect.
«Les 22 clubs de ligues départementales répertoriés dans cette région ont adressé une demande de création de compte sur le FIFA-Connect. Parmi eux, 11 clubs ont été acceptés et seulement un seul a été capable d’enregistrer 32 licences. Maintenant à ceux qui disent qu’il y a eu championnat dans ces départements, la question qu’il faut leur poser est de savoir : est-ce qu’on organise un championnat avec un seul club ?», déclare une source à la FECAFOOT approchée par Cameroon Info Net.
Toutefois, on apprend qu’une plainte a déjà été déposée contre cette décision de la Commission électorale. La plainte s’appuie sur les textes de l’instance faîtière du football FECAFOOT n’a pas les pouvoirs inhérents et n’a pas la capacité légale de fixer des clubs pour non-participation car ce pouvoir appartient à l’Assemblée Générale.
A titre de rappel, l'élection du nouveau président de la FECAFOOT est prévu pour octobre 2021.
Liliane N.
Les suspects ont été interpellés avec un butin composé de 13 fusils d’assaut AK 47, 750 munitions, 58 dynamites pour fabrication d’engins explosifs de dernière génération, 158 puces Mtn et d’autres objets dangereux.
L’information a été rendue publique par la police nigériane. 39 personnes suspectées être de mèche avec les séparatistes qui veulent la sécession du Cameroun dans les régions anglophones, ont été arrêtées à Ekom, village situé à la frontière camerouno-nigériane. Elles ont même été présentées à la presse le 26 août dernier. Au moment de leur interpellation, elles possédaient 13 fusils d’assaut AK 47, 750 munitions, 58 dynamites pour fabrication d’engins explosifs de dernière génération, 158 puces Mtn. La police du Nigéria parle aussi d’autres objets jugés dangereux. Et selon celle-ci, des éléments laissent penser que ce matériel devait être remis aux séparatistes des régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest.
Les 39 suspects sont soupçonnés d’effectuer le trafic d’armes, faire dans le kidnapping et la cybercriminalité. Actuellement, ils sont en exploitation par la police nigériane en collaboration avec les services de sécurité camerounais pour déterminer la provenance de ces armes et leurs commanditaires. Il convient de noter que l’arrestation de ces 39 personnes survient au lendemain de la 8e session du comité de sécurité transfrontalière Cameroun-Nigeria, tenue les 24 et 25 août dernier à Abuja, la capitale nigériane. Notre pays et celui de Muhammadu Buhari ont convenu de faire front au terrorisme.
Il convient de rappeler également que la police nigériane a mis la main sur un certain Ntui Lambert, âgé de 36 ans dont le père est nigérian et la mère camerounaise et qui serait l’un des principaux fournisseurs d’armes et d’explosifs aux Ambazoniens.
Liliane N.