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Avec cette nouvelle décision de Jean Ernest Ngalle Bibehe Massena, l’agence de voyage Binam pourra reprendre le service le samedi 14 décembre 2019.

 

C’est par une correspondance que Jean Ernest Ngalle Bibehe Massena le Ministre des Transports (Mintransport) a informé le Directeur de l’agence de voyage Binam, de la nouvelle décision qu’il vient de prendre. Dans ladite lettre qui date du 10 décembre 2019, le Mintransport fait savoir à l’agence susmentionnée que sa suspension a été ramenée de 3 mois à 45 jours. La suspension ayant été prononcée le 29 octobre 2019, petit calcul fait, cela revient à dire que Binam pourra reprendre le service samedi prochain. Cette lettre n’informe pas seulement de la réduction de la sanction, elle fait aussi comprendre que les actions judiciaires lancées contre la première décision, n’ont plus lieu d’être.

Il convient de préciser que cette décision du Ministre survient du fait de « la récente organisation des séminaires de formation et de recyclage des chauffeurs de cette compagnie ». Cela est indiqué dans le communiqué de Jean Ernest Ngalle Bibehe Massena. Le membre du gouvernement note que cela démontre « la détermination et la volonté de Binam, à améliorer la sécurité des passagers transportés par ses soins et à observer scrupuleusement le cahier de charges des compagnies de transports interurbains de personnes ». Aussi, le membre du gouvernement n’a pas manqué d’attirer l’attention de Binam voyage face à d’éventuel dérapage. « Nous allons réprimer, de manière plus rigoureuse, tout autre manquement relatif à la réglementation dans le secteur », écrit-il.

A titre de rappel, le Ministre des Transports avait pris la décision de suspendre l’agence de voyage Binam après un cas d’agression qui s’est produit à bord d’un de ses bus. Les faits remontent au 25 octobre 2019. Des gens ramassés en chemin sur la demande d’un homme à bord du bus immatriculé LT 411 de Binam, avaient dépouillé les passagers. Les agresseurs rattrapés dans leur course, ont été présentés à la presse le 07 novembre dernier. Le Mintransport avait également décidé de punir le chauffeur de ce bus, le dénommé Foko Jean Robert, pour une période de de trois mois, éventuellement renouvelable.

Lire aussi : Transport interurbain : L'agence Binam Voyages suspendue après un braquage à main armée d’un de ses bus

 

Liliane N.

 

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Le Maire de Douala 1er est monté au créneau pour dénoncer ouvertement les actes répréhensibles du ministre des transports dans le cadre des constitutions des listes RDPC en vue des élections municipales à venir.

 

Le brillant magistrat municipal du premier arrondissement de Douala est en colère. Il vient de signifier l’objet de son mécontentement au patron du Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais (RDPC), le président Paul BIYA. Jean Jacques LENGUE MALAPA accuse Jean Ernest NGALLE MASSENA BIBEHE. D'après le courrier du Maire au Président du parti, NGALLE BIBEHE est en train de mettre du désordre dans les rangs des militants du RDPC dans le département du Wouri. Le président de la Commission Régionale de supervision, de contrôle et de présélection des candidats du RDPC pour les élections du 09 février prochain est l’auteur de pratiques non orthodoxes.

 

Pour l’essentiel, il s’agit de ce que le président de la commission régionale joue de subterfuge et essaye de peser de son poids pour altérer les choix des militants de la base. Ces derniers qui ont participé activement et naïvement au processus de sélection des candidats de leurs circonscriptions sur les listes devant compétir pour les municipales de février prochain. Une situation qui ne va pas pour ramener la sérénité au sein du parti qui a connu une belle déculotté lors de la dernière présidentielle. Puisqu’on se souvient que le candidat Maurice Kamto avait battu Paul BIYA dans la région du littoral de manière général et singulièrement dans le Wouri. Pour cette raison, les actes comme ceux reprochés au Ministre Jean Ernest NGALLE MASSENA BIBEHE sont de nature à entraîner une démobilisation qui serait bénéfique à l’opposition dans les circonscriptions de Douala.

 

Ngalle Bibehe a retiré des listes issues des dialogues et des accords entre les parties à la base pour y insérer les noms des personnes qui lui sont proches. Mais comment faire, si celui-ci a réussi à introduire ces listes auprès d’Elecam ? Il n’y a plus dès ce moment d’autres voies de recours, sinon l’annulation pure et simple du scrutin, pour permettre au patron du RDPC de réexaminer les listes proposées à la lumière des récriminations des lettres d’accusations et de dénonciations qui lui parviennent. Ce qui n’est pas une mince à faire. Ce d’autant plus que tout ceci pourrait d’une certaine manière profiter aux partis d’opposition en course dans cette élection.

 

Stéphane NZESSEU

 

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Le ministre des transports Jean Ernest Ngalle Bibehe à tenu une réunion lundi dernier 04 novembre 2019 avec les responsables des compagnies inter urbain.

 

Cette réunion, qui avait pour cadre la salle de conférence du ministère des transports à Yaoundé, portait sur le respect des consignes de sécurité et les règles de circulation routière.

Pour mémoire, dans la nuit du 25 au 26 octobre dernier, un bus transportant des passagers à destination de l’Ouest, à été victime d’un braquage sur la route d’Obala. Cet incident, qui aurait pu se transformer en un drame, est dû à une imprudence du chauffeur de ce bus, qui, s’est porté garant, de faire du racolage de passager en dehors du terminal de l’agence de voyage interurbain. Conséquence, l’agence de voyage écope de trois mois de suspension d’inactivité. Pendant que le conducteur voit son permis de conduire lui retiré pour une durée de 03 ans.

Comme cette agence de voyage de transport inter urbain, beaucoup se retrouvent dans ce cas malgré les injonctions de la tutelle. A titre de rappel, pour des imprudences sur les axes routiers, on note un bilan faisant état, de 117 morts au mois d’août 2017, de 21, 04 et 32 morts respectivement aux mois de janvier, de mars et de juillet 2018, de 04, 21 et 07 morts respectivement aux mois d’avril, de juin et de juillet 2019.

En effet, ayant désormais pris conscience, ces promoteurs de compagnies de transport inter urbain sont plus que déterminés à appliquer les consignes de la tutelle. Parmi lesquelles :

- Mettre en place un planning de rotation des chauffeurs pour permettre leur repos systématique après un temps de conduite raisonnable ;

- Aménager les espaces salubres et paisibles pour le repos des chauffeurs ;

- Affilier tous le personnels à la Caisse Nationale de Prévoyance Sociale (CNPS) ;

- Procéder au recyclage systématique de tous les chauffeurs ;

- Procéder au passage systématique des véhicules au contrôle technique périodique ;

- Soumettre le personnel navigant aux tests médicaux périodiques : acuité visuelle et auditive, et réflexes ;

- Prescrire le respect scrupuleux des règles de circulation routière aux chauffeurs à travers une clause contractuelle en bonne et due forme ;

- Procéder à l’enregistrement des passagers uniquement dans les terminaux des compagnies de transport et sur présentation d’une pièce d’identification valide ;

- Procéder au contrôle systématique de tous les voyageurs ainsi que de leurs bagages avant l’embarquement.

 

Marcel Ndi

 
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Au regard de l'engouement par lequel le top management de la Camair Co a été reçu cette semaine à Montréal au Canada, et de la visite effectuée à l'usine d'emballage des aéronefs Airbus, tout porte à croire que la Compagnie aérienne nationale lorgne Airbus. 

 

Deux personnalités camerounaises ont été reçues le 25 septembre dernier à l'usine d'emballage des aéronefs Airbus A220 de Montréal au Canada. Ce sont le Ministre des Transports, Jean Ernest Ngalle Bibehe Massena, également PCA de la compagnie aérienne nationale Camair Co, ainsi que du Directeur général Louis Georges Njipendi Kouotou. 

Des sources bien informées, ces maillons forts du top management de Camair Co s'inscrivent dans la logique d'assurer la poursuite des discussions avec les responsables d'Airbus. La visite de l'usine d'emballage de Montréal, une fois faite, les deux personnalités camerounaises devraient aboutir à la signature d'un contrat en bonne et due forme pour la location ou l'achat d'aéronefs auprès du constructeur européen. 

Il faut préciser que jusqu'ici, le principal fournisseur de la compagnie aérienne est l'américain Boeing. Avec les allures que prennent les choses actuellement, Camair Co pourrait probablement se tourner vers Airbus. Ce qui rendrait sa flotte comme étant la plus diversifiée du continent avec non seulement des avions chez Boeing, mais également chez Airbus, Bombardier, Avic International (MA 60) et plus récemment encore Embraer qui est un constructeur d'aéronefs appartenant au Brésil. 

 

Innocent D H

 

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Les résultats de l’enquête ouverte, devront conduire à la sanction des personnes reconnues coupables dans cet accident.

 

Le Ministre des Transports (Mintransports) Jean Ernest Ngalle Bibehe Massena n’a pas seulement adressé ses condoléances aux familles des personnes décédées, dans l’accident de circulation survenu sur l’axe Douala–Yaoundé, précisément au lieu-dit Gwei II. Le Ministre a instruit l’ouverture d’une enquête. Il est question qu’au travers de ladite enquête, qu’on dégage  les responsabilités, qu’on détermine les responsables de cet accident. Une fois que ceux-ci seront connus, le Mintransports rassure sur le fait qu’ils seront sanctionnés «sévèrement». Les sanctions seront prises sur la base de la réglementation en vigueur.

A titre de rappel, c’est dans la nuit du mercredi 18 au jeudi 19 septembre 2019, que l’accident suscité a eu lieu. Le bilan annoncé provisoire, a fait état de «09 morts et seize blessés ». Les blessés ont été pris en charge dans les hôpitaux de district et catholique de Pouma. Le Ministre Ernest Ngalle Bibehe Massena a invité les familles des victimes, à se rendre à la morgue annexe de l’hôpital régional d’Edea pour rentrer en possession des corps. L’accident a été causé par la collision d’un camion semi-remorque immatriculé LT TR329 AE et un bus VIP de l’agence de voyage Garanti Express immatriculé CE076IG qui venait d’Edea.

Il convient de souligner que depuis son arrivée à la tête du Ministère en charge des Transports, Ernest Ngalle Bibehe Massena s’est montré assez actif dans la lutte contre les accidents de la route, et le transport clandestin. Pour ce qui est de la lutte contre les accidents de circulation, le Mintransport s’est souvent trouvé dans l’obligation de suspendre des agences de voyage. Au mois de février dernier, plus de 100 autos écoles ont été fermées suspendues. Et en mars 2019, des bus de 85 opérateurs de transport sanctionnés avaient été immobilisés.

 

Liliane N. 

 

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Jean Ernest Ngalle Bibehe Massena  vient de rendre public un communiqué relatif à cette décision.

 

Dans le communiqué qui date du 27 août 2019, le Ministre des Transports fait savoir que ces agences de voyage sont sanctionnées parce qu’elles exercent dans l’illégalité. Elles fonctionnent en dehors des points de chargement autorisés. Jean Ernest Ngalle Bibehe Massena  demande de ce fait aux autorités de veiller à la stricte application de la décision de suspension dans leurs territoires de commandement.

Cette suspension ne surprend guère les acteurs du secteur du transport. Parce qu’il y a moins d’une semaine où le Ministère des Transports a fait l’annonce du début de la phase de répression. Divine Mbamome Nkendong, le directeur des Transports routiers dans ledit département ministériel  faisait savoir à l’opinion nationale que pour cette phase de répression, des correspondances ont même été adressées au Secrétaire d'Etat à la défense (SED), chargé de la gendarmerie et au Délégué général à la Sûreté nationale (DGSN).

Dans les correspondances, il était dit que lors des contrôles, les agences auront à présenter un certain nombre de pièces. « Ceux qui ne les auront pas seront sanctionnés selon la réglementation en vigueur. Cette fois, le Ministre est déterminé à appliquer des sanctions sévères à l'endroit de tous les contrevenants », déclarait Divine Mbamome Nkendong.

En parlant des acteurs qui seront impliqués dans cette opération de répression, celui-ci avait ajouté que «c'est la première fois que les responsables aéroportuaires, les patrons des hôtels, des agences de voyage et autres sont interpellés. Pour la première fois, on voit environ 100 agences de transport clandestines, interpellées pour régulariser leur situation. Par ailleurs, on vient de renouveler les effectifs des personnels sur l'ensemble du territoire national, et des directives claires ont été données à l'ensemble des nouveaux responsables, pour se rassurer que tout le monde agisse afin de mettre fin à ce phénomène. Maintenant, on attend les résultats. Et le Ministère des Transports est déjà à l'œuvre ».

 

Liliane N.

 

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Le ministre Jean Ernest Ngalle Bibehe s'est dit préoccupé par l'augmentation des taux d'accidents de la route au Cameroun, malgré les mesures importantes prises par le ministère des Transports pour sensibiliser et réduire les risques. Il s'adressait à la presse mardi à Yaoundé, où il a révélé que plus d'une trentaine de personnes ont trouvé la mort dans des accidents récents depuis avril 2019 au Cameroun.

 

Avec d'autres parties prenantes, ils ont l'intention de continuer à sensibiliser et à appliquer des sanctions à l'encontre de ceux qui enfreignent les règles et règlements en vigueur, afin d'éviter de futurs accidents. Les parties prenantes ciblent cette période de vacances (juillet à septembre), à la reprise des écoles, de manière à protéger des milliers d'enfants, voyageant dans différentes villes.

 

Soulignant quelques accidents actuels, l'accident de Boumnyebel le long de l'axe Yaoundé-Douala le 01er juillet, qui a fait sept morts. C'était à la suite d'une collision violente entre un bus de l'agence "General Express Voyages" et un autre de 15 places. Il a cité le triste incident du dimanche 23 juin, où une voiture immatriculée NW 284 AF est entrée en contact avec un camion immatriculé OR 629 AO, qui a causé la mort de 21 personnes.

 

Selon des sources au ministère des Transports, plus de 31 agences de transport ont été signalés pour avoir roulé à grande vitesse le long de l'axe Douala-Yaoundé. Ces derniers auraient reçu des avertissements sévères. Cependant, certains membres de la société civile ont demandé au gouvernement d'assumer également la responsabilité dans les nombreux accidents de la route, blâmant le gouvernement de se concentrer davantage sur la sanction des conducteurs et des entreprises, alors qu'ils font peu ou pas grand-chose pour les mauvaises routes au Cameroun.

 

Selon le ministère des Transports, le Cameroun a enregistré 8669 morts dans 22 314 accidents de la route au cours des huit dernières années, soit une moyenne d'environ 1000 morts par an.

 

Les causes de la recrudescence de ce bilan macabre, selon le gouvernement camerounais sont de trois ordres. D’abord, les causes humaines. « On note la responsabilité des conducteurs due à l’excès de vitesse, à de mauvais dépassements, aux surcharges des passagers et/ou des marchandises, à la conduite en état d’ébriété, aux mauvais stationnements… », affirme  le ministre des Transports, Ngale Bibehe.

 

Ensuite, le membre du Gouvernement a évoqué des causes matérielles. « Elles sont directement liées à l’état technique des véhicules majoritairement caractérisés par l’usure des pneus, la défaillance des systèmes de freinage, la complaisance coupable des agents chargés d’assurer la visite technique des véhicules ».

 

Enfin, il a cité les causes liées à l'infrastructure. « Elles concernent d’une manière générale le mauvais état des routes avec la fréquence de nids de poules, les défaillances dues à l’envahissement des accotements par la broussaille et, donc, le défaut de cartonnage des abords de chaussée… »

 

Otric N. 

 

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Cette opération sera conduite par des équipes mixtes des délégations régionales et départementales des transports, des Forces de maintien de l’ordre. Ces équipes seront assistées des représentants désignés des organisations socio-professionnelles du secteur des transports routiers.

 

Le Ministère des Transports actuellement dirigé par Jean Ernest Ngalle Bibehe Massena, est résolu à mettre fin au transport urbain clandestin, qui a cours au Cameroun et est parfois à l’origine de certains cas d’accidents de circulation. Le ministre Jean Ernest Ngalle Bibehe Massena a récemment rendu public un communiqué allant dans ce sens et spécifiquement adressé aux opérateurs de transport routier urbain et péri-urbain. Dans ledit communiqué, Ngalle Bibehe Massena annonce la tenue prochaine d’une opération de sensibilisation dans le cadre de la lutte contre le transport urbain clandestin. Ladite opération sera menée par les auteurs suscités.

Le Ministère des Transports a une idée bien précise des endroits où la sensibilisation doit débuter. Par exemple dans la seule ville de Yaoundé, 20 sites de chargement clandestins ont été identifiés. Dans la ville de Douala, il y en a 14 de répertoriées. Pour le département ministériel en charge des transports, il s’agit dans un premier temps, avec une approche pédagogique, de sensibiliser et éducquer les personnes concernées ce phénomène de transport urbain clandestin. Après cette phase, la répression prendra place.  

A titre de rappel, au mois de mars dernier, Jean Ernest Ngalle Bibehe Massena a décidé de suspendre près de 88 compagnies de transport qui exerçaient dans l’illégalité. Un audit réalisé avait révélé que certaines parmi elles, fonctionnaient sans documents administratifs valables. « Un audit a été réalisé par les services techniques du ministère des Transports sur l’étendue du territoire national et, il s’est trouvé que certaines agences évoluaient en marge de la réglementation en vigueur, dans la mesure où elles exerçaient leurs activités soit sans aucun agrément, soit avec des agréments expirés. Il est important de mentionner que l’exercice de l’activité de transporteur routier interurbain de personnes est régi par des actes législatifs et réglementaires », a expliqué Nkendong Mbamone Divine, le Directeur des Transports routiers du Ministère au cours d’une interview accordée au quotidien Cameroon tribune.

Rendu donc au début du mois d’avril, au cours d’une conférence de presse, le Ministre a indiqué que 40 des 88 agences sanctionnées avaient entamé la procédure de régularisation de leur situation. 50% de celles qui sont dans le viseur du Ministère, étaient encore à la traîne.

 

Liliane N.

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Sunday, 05 June 2022 11:01