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Dans un communiqué de presse publié ce mardi, 16 mars 2021, la compagnie nationale de transport aérien a le plaisir d’annoncer la reprise de ses vols réguliers sur la ligne Bafoussam, Chef-lieu de la région de l’Ouest du Cameroun.

 

Selon le communiqué de presse de la Camair-Co, le programme d’exploitation prévoit trois (03) vols par semaine en provenance et à destination de Bafoussam qui seront opérés tous les mercredis, les vendredis et les dimanches au départ de Douala et Yaoundé à compter du 17 mars 2021.

« Les billets d’avion sur cette ligne sont déjà ouverts à la vente, et vendus à partir de 31 140 FCFA TTC, pour un séjour maximum d’un mois. Ils sont disponibles dans toutes les agences Camair-Co, et les agences de voyage habituelles », informe l’entreprise.

Cette reprise de vols réguliers sur la ligne de Bafoussam, porte à 6 le nombre de chefs-lieux de régions desservis par la compagnie aérienne nationale depuis la reprise progressive de ses opérations à l’intérieur du Cameroun à savoir : Douala, Yaoundé, Maroua, Garoua, Ngaoundéré et aujourd’hui Bafoussam.

« Avec Camair-Co, voyagez à l’intérieur du Cameroun muni uniquement d’une carte nationale d’identité valide, d’une carte scolaire ou d’étudiant pour les élèves et les étudiants pour les élèves et les étudiants », communique la compagnie au public.

Innocent D H  

 

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L’appel a été émis ce dimanche, 21 juin 2020 à Douala par les présidents des six syndicats des transporteurs aériens lors d’une assemblée intersyndicale. Il en ressort des assises que les syndiqués sont déterminés à mettre en musique toutes les actions jugées utiles pour faire valoir la position des partenaires sociaux. Il s’agit ainsi de la réponse de ces organisations syndicales à la mise en congé technique unilatérale des employés de la Camair-Co par le top management, décision entrée en vigueur ce lundi. 

 

Les six syndicats des transporteurs aériens réunis dans le cadre d’une assemblée intersyndicale à Douala ce dimanche, ont rendu public un communiqué conjoint. Dans le document, l’on peut lire l’information dont la teneur suit, « nous demandons aux travailleurs de ne pas tenir compte de cette situation unilatérale et de vaquer normalement à leurs occupations ».  Ces syndicats indiquent que, le dossier du chômage technique est actuellement au niveau du Conseil d’administration dont ils attendent la position pour viser. 

Les syndiqués promettent par ailleurs que toutes les actions jugées utiles vont être mises en œuvre pour faire valoir la position des partenaires sociaux, lesquels sont favorables pour la reprise des activités dès la réouverture des frontières. 

De sources bien introduites, la compagnie aérienne nationale traverse des moments difficiles. La reprise totale de son exploitation n’est pas envisagée avant trois mois, apprend-on. C’est sans doute pour cette cause que le Directeur général (DG) de la Camair-Co, Louis Georges Njipendi Kouotou a décidé de mettre le personnel non essentiel de l’entreprise en chômage technique.  

Selon le DG de cette entreprise, la mesure du chômage technique vise notamment à assurer la limitation de l’accroissement inutile de la dette salariale, la réduction des risques de contagion du personnel au Covid-19, et la maîtrise des charges de fonctionnement. En effet, Louis Georges Njipendi Kouotou souligne, « il convient d’indiquer que la mise en œuvre de cette mesure initialement prévue le 15 mai 2020 a, sur recommandations du Conseil d’administration, fait l’objet de nombreuses concertations avec les partenaires sociaux qui, malheureusement n’ont pas abouti à des solutions alternatives au chômage technique ». 

Rappelons qu’au total, ce sont 371 employés de la compagnie nationale aérienne qui se retrouvent en congé technique dès ce lundi, 22 juin 2020 du fait des conséquences du ralentissement des activités du Covid-19. 

 

Innocent D H

 

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Le 23 avril 2020, le Directeur général (DG) de la compagnie aérienne nationale, Louis Georges Njipendi Kuotu a saisi à travers une correspondance le ministre en charge des Transports, Jean Ernest Ngalle Bibehe. De cette correspondance, l’on apprend que la Camair-Co envisage suspendre des contrats de travail de certains de ses personnels en recourant au chômage technique. 

 

Dans sa correspondance adressée au Ministre des Transports, le DG de la Camair-Co écrit, « la mise en œuvre de ladite mesure qui couvre une période de six mois, pour compter de la deuxième semaine du mois de mai 2020, devrait concerner 371 employés (sur 577, soit 64% du personnel. Il s’agit principalement du personnel dont l’activité est directement impactée par la suspension de l’exploitation, à savoir le personnel de vente, le personnel d’escale et le personnel navigant d’une part, mais également le personnel  administratif et support, non essentiel au cours de cette période de ralentissement des activités, d’autre part ». 

Sous réserve de la prise en compte des variables du salaire dans cette période, le coût total du chômage technique est de 1.479 milliards de FCFA, selon Louis Georges Njipendi. Ce coût est réparti ainsi qu’il suit : 938,79 millions de FCFA pour les 206 personnels qui resteront travailler et 540,49 millions de FCFA pour les 371 personnels qui vont se retrouver en chômage technique. 

Le directeur général de la Camair-Co indique également avoir saisi le ministre des finances pour solliciter un appui financier. Il est question à travers ce financement souhaité, d’assurer la prise en charge des dépenses y afférentes. Toute chose qui vise à permettre à la compagnie nationale de transport aérien de faire face aux conséquences économiques du Covid-19, elle qui, avant cette crise sanitaire était pleinement engagé dans la mise en œuvre de son plan de relance. 

 

Innocent D H

 

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L’information est contenue dans un communiqué publié ce 18 mars 2020 par la Direction générale de la compagnie aérienne nationale. En substance, il est indiqué la « suspension des activités de la représentation de la Camair-Co à Paris ». 

 

La pandémie de coronavirus qui sévit à travers le monde, surtout « les mesures prises par les autorités françaises pour y faire face (notamment le confinement total) », tels sont les raisons évoquées par la direction générale de la Camair-co pour justifier cette décision. Selon le communiqué, à compter du 18 mars 2020, les services de la compagnie aérienne nationale représentés dans la capitale française sont fermés jusqu’à nouvel ordre.  

Il faut indiquer ici que cette mesure du Top management de la Camair-Co rentre également en droite ligne de l’application des mesures du Gouvernement camerounais visant à tordre le coup à la pandémie de coronavirus qui ne cesse de se propager. Une fermeture qui intervient alors qu’il était prévu depuis 2019 que la compagnie reprenne ses vols vers la France. 

En 2016, l’on se rappelle que l’Autorité aéronautique civile du Cameroun (CCAA) avait décidé de la suspension des vols de la Camair-Co surendettée vers l’espace aérien européen. A travers cette logique, la CCAA estimait que la compagnie se trouvait dans un « état d’impréparation » face à un audit majeur comme l’Agence européenne de la sécurité aérienne (Aesa). 

Les chiffres à date ce lundi, 23 mars 2020 font état de 56 cas de coronavirus confirmés au Cameroun. Les pouvoirs publics continuent sans cesse d’appeler les populations à l’observance des mesures de barrière pour stopper la propagation du Covid-19. 

 

Innocent D H  

 

Published in Corona Virus

Dans un communiqué rendu public ce dimanche, la Cameroon Airlines Corporation précise que « aux environs de 10h40, son aéronef immatriculé TJ-QDB de type MA60, a essuyé des tirs d’arme à feu au moment de son approche pour l'atterrissage à l’aéroport de Bamenda à Bafut… ».

 

Dans le même document, il est indiqué que : « Fort heureusement, aucune perte en vie humaine n’a été enregistrée et grâce à la bravoure du Commandant de bord, l’appareil a pu atterrir sans heurt en dépit de l'impact observé sur son fuselage…Suite à cet incident, l’aéronef a été immobilisé à l’effet de procéder, de concert avec les autorités techniques compétentes, à l’évaluation de l’impact... ».

Suite à cette attaque, la compagnie aérienne nationale, déjà très asphyxiée à cause des nombreuses crises de management connues au cours de ces dernières années et, qui peine à se remettre à flot, a été obligée de revoir son plan de vol afin de prévenir tout autre incident.    

Une attaque terroriste qui a entraîné quelques réactions  

Pour Akere Muna, « Tirer sur un avion de Camair – Co à Bamenda est une acte de terrorisme international et ne peut avancer aucune cause. Il met en danger les innocents et détruit tout capital de sympathie. Beaucoup d’entre nous œuvrons nuit et jour pour la justice et la paix… ».

Selon Adolphe Nguelé, analyste politique, il faut s’interroger sur la capacité de l’armement des « amabazoniens » : « Vous vous rendez compte, si ces gens ont la possibilité de tirer sur un avion en plein vol, cela signifie qu’ils sont très bien armés. Et, à cet effet, les mêmes interrogations subsistent. Certains nous présentent des pauvres ères, incapables de se défendre, soumis à l’autorité machiavélique d’un pouvoir qui ne veut pas lâcher prise et sur qui les forces de Défense et de Sécurité commettent des exactions. C’est ainsi qu’ils nous sont présentés. C’est certainement avec l’arbre de la paix qu’ils ont éraflé cet avion ! A un moment, il faut véritablement arrêter. Je n’aurais de cesse de marteler que ceux qui ne veulent pas suivre la main tendue du gouvernement répondent de leurs actes, et de la pire des manières. Le Cameroun est un Etat de droit et, ceux qui veulent pratiquer cette ingérence doivent se le tenir pour dit. Nous n’admettrons plus jamais que les puissances obscures se permettent de nous assujettir, de quelque manière que ce soit…Leurs complices doivent être traqués et amenés devant les tribunaux… ».

 

 

Nicole Ricci Minyem 

 

Published in Défense

Au regard de l'engouement par lequel le top management de la Camair Co a été reçu cette semaine à Montréal au Canada, et de la visite effectuée à l'usine d'emballage des aéronefs Airbus, tout porte à croire que la Compagnie aérienne nationale lorgne Airbus. 

 

Deux personnalités camerounaises ont été reçues le 25 septembre dernier à l'usine d'emballage des aéronefs Airbus A220 de Montréal au Canada. Ce sont le Ministre des Transports, Jean Ernest Ngalle Bibehe Massena, également PCA de la compagnie aérienne nationale Camair Co, ainsi que du Directeur général Louis Georges Njipendi Kouotou. 

Des sources bien informées, ces maillons forts du top management de Camair Co s'inscrivent dans la logique d'assurer la poursuite des discussions avec les responsables d'Airbus. La visite de l'usine d'emballage de Montréal, une fois faite, les deux personnalités camerounaises devraient aboutir à la signature d'un contrat en bonne et due forme pour la location ou l'achat d'aéronefs auprès du constructeur européen. 

Il faut préciser que jusqu'ici, le principal fournisseur de la compagnie aérienne est l'américain Boeing. Avec les allures que prennent les choses actuellement, Camair Co pourrait probablement se tourner vers Airbus. Ce qui rendrait sa flotte comme étant la plus diversifiée du continent avec non seulement des avions chez Boeing, mais également chez Airbus, Bombardier, Avic International (MA 60) et plus récemment encore Embraer qui est un constructeur d'aéronefs appartenant au Brésil. 

 

Innocent D H

 

Published in Entreprises

Le redéploiement du personnel ne serait pour certains, que l’arbre qui cache la forêt. Des sources internes évoquent la thèse des rétro–commissions issues de la location des aéronefs et, les deux personnalités aimeraient avoir des coudées franches pour mieux gérer les « transactions ». 

 

Selon nos confrères de Actu Cameroun, les données ont changé entre Jean Ernest Ngalle Bibehe et Louis Georges Njipendi depuis quelques semaines car, ils n’arrivent plus à s’accorder sur les profits qui découlent des contrats signés après la location des aéronefs utilisés par la Camair Co. 

L’on se souvient encore de l’annonce faite après l’acquisition de deux « nouveaux avions », un Embraer CRJ145LR et, les spécialistes affirment que pour en louer un, il faut débourser 3.5 milliards de FCFA sur un an. Un bon pactole à grappiller au passage, pour les personnes ayant négocié le contrat. 

Et nos confrères croient savoir que ce sont les raisons pour lesquelles le Top management de la Camair Co privilégie la location de ces aéronefs à 1.2 milliards, tous les quatre mois alors que cette somme aurait permis de redonner un nouveau souffle à un cloué sur le sol depuis longtemps. 

Le deuxième avion est un Bombardier 400.  

 

Les nominations 

Les mêmes sources indiquent que les interpellations du ministre des Transports paraissent pertinentes, parce qu’elles s’appuient sur la feuille de route donnée à Louis Georges Njipendi, alors qu’on l’installait le 27 Mai dernier.

Le nouveau directeur général de Camair Co avait reçu pour instructions de faire un audit interne sur le plan des infrastructures, des ressources financières, matérielles et humaines, mais, beaucoup plus d’établir un plan commercial qui va permettre de relancer les activités de l’entreprise. Des tâches et bien d’autres auxquelles il devait s’atteler, afin de stabiliser la compagnie aérienne camerounaise, avant de penser à quelque nomination.

Des initiatives qui lui auraient permis de mieux s’acclimater et d’asseoir l’autonomie financière de la Camair Co et, redonner un souffle nouveau à cette compagnie dont les états de service font la honte du Cameroun. 

Le « rappel à l’ordre » du ministre des Transports signé le 19 Août dernier intervient après celui du Coordinateur de la direction Commerciale et Marketing de la Camair Co.

Dans sa lettre, Hiob Ngoua – Elembe voulait avoir plus d’informations, relatives à l’appel à candidatures internes lancée le 19 Juin, pour les postes de Directeur Commercial et Marketing, le Directeur de la Planification, des Systèmes d’Informations et du Contrôles de Gestion, en relevant au passage les irrégularités qui émaillaient les actes du Directeur Général.  

Louis Georges Njipendi, Directeur Général de Camir Co, a décidé de passer outre les interpellations et les injonctions de ces courriers et, de procéder à des nominations qui vont lui permettre, selon ses proches, de mieux asseoir sa politique managériale : « Il a besoin de compter sur des collaborateurs qui vont l’aider à atteindre les objectifs qu’il s’est fixé ».

L’on attend la suite de ce feuilleton qui vient remettre au devant de la scène, les attributions fixées aux PCA et aux Directeurs Généraux au sein des entreprises étatiques. Quel est le véritable rôle du Président du Conseil d’Administration ? Doit–il influer sur les décisions prises par le Directeur Général lorsque ce dernier veut implémenter sa politique ?

Partage ou non des rétro–commissions, le fond débat semble être ailleurs. 

 

Nicole Ricci Minyem 



Published in Entreprises






Sunday, 05 June 2022 11:01