25/10
Christian Wangue, l’éphémère empire d’un journaliste africain « en congé »
14/10
Pratiques mafieuses au Cameroun : Mediapart remporte le procès contre Bolloré
23/09
Préparatifs Mondial 2022 : Toko Ekambi forfait pour le match Cameroun-Ouzbékistan.
21/09
La bataille d’équipementier conduit à un bashing entre Samuel Eto’o et Yannick Noah
25/07
L’Union Africaine se félicite de la reprise des exportations de céréales d’Ukraine et de Russie
21/07
Football: la FIFA condamne le Cameroun à payer plus d’un milliard de FCFA au portugais…
20/07
Affaire de mœurs: la sex tapeuse Cynthia Fiangan a passé sa première nuit en prison
19/07
Le Cameroun veut importer 400 000 tonnes de riz en 2022
19/07
Droits de l’homme: Le REDHAC vole au secours du Directeur de publication du journal Le…
19/07
L’ancien Lion indomptable Stéphane Mbia risque la prison en Espagne
19/07
Découvrez le programme du séjour du président français Emmanuel Macron au Cameroun
18/07
Les Lionnes indomptables qualifiées pour les barrages de la Coupe du monde 2023
18/07
Mea Culpa: les camerounais accepteront-ils les excuses de Gaëlle Enganamouit
18/07
Lettre ouverte/Calixthe Beyala au président Macron: «venez-vous pour adouber un homme pour la transition au…
18/07
Emmanuel Macron au Cameroun, c’est confirmé
15/07
Le président de la République nomme de nouveaux responsables au sein de l'armée
15/07
Administration territoriale: le président de la République nomme 14 nouveaux préfets et 57 sous-préfets
15/07
CAN féminine 2022: les Lionnes indomptables éliminées en quart de finale
14/07
Diplomatie: le président Emmanuel Macron annoncé au Cameroun
14/07
Match Cameroun-Nigéria: 5 raisons pour croire à la qualification des Lionnes indomptables

Displaying items by tag: Egypte

L’Egypte vient d’adresser ses condoléances aux victimes de Gouache.

 

L’Egypte n’est pas insensible au drame qui a frappé le Cameroun. Ce pays partenaire du nôtre par voie de correspondance, a lui aussi présenté ses condoléances non seulement aux victimes de l’éboulement de terrain survenu au quartier Gouache à Bafoussam., mais au Cameroun tout entier Dans un communiqué rendu public par le Ministère des Affaires étrangères de la République arabe d’Egypte, il est écrit que ce pays soutient le nôtre. Par ailleurs, il transmet ses souhaits de prompt rétablissement aux blessés du sinistre de Gouache.  

Pour parler en bref du Cameroun et de l’Egypte, il faut noter qu’ils entretiennent des relations bilatérales depuis des décennies. Des relations qui jusqu’ici sont au beau fixe. D'ailleurs au mois de juillet 2019, les autorités camerounaises ont célébré le 67e anniversaire de l’indépendance de l’Egypte aux côtés de S.E Medhat Kamal El-Meligy l’Ambassadeur d’Egypte au Cameroun. Les Lionnes indomptables du Volley-ball avaient été aussi conviées à ladite célébration. L’évènement se tenait juste après la Coupe d’Afrique des Nations de cette discipline sportive. Les équipes des deux pays s’étaient alors retrouvées en finale de la compétition continentale.

Les domaines dans lesquels le Cameroun coopère avec l’Egypte sont la défense, la sécurité, la diplomatie, l’enseignement supérieur, la communication, l’agriculture, l’élevage entre autres. Au cours de la célébration sus mentionnée, S.E Medhat Kamal El-Meligy avait salué la lutte menée par le Cameroun contre le terrorisme. Le Diplomate avait alors indiqué la volonté de son pays de continuer à accompagner notre pays dans ce combat.

Pour revenir au drame de Gouache pour lequel, l’Egypte a présenté ses condoléances au Cameroun, il faut rappeler qu’il est survenu le lundi 28 octobre 2019. D’après le bilan officiel, il a causé le décès de 43 personnes. Une centaine de personnes ont été affectées suite à ce drame.

 

Liliane N.

 

Published in Diplomatie

La Confédération africaine de football a travers son secrétaire général, a ouvert ce mercredi, un atelier sur  la sécurité de la phase finale de la Can U-23 prévue du 8 au 22 novembre prochain en Egypte.

 

La Confédération africaine de football (Caf) s’assure que la prochaine  Coupe d’Afrique des nations (Can) U-23 se déroule dans de bonne condition sur le plan sécuritaire. A Cet effet, un atelier sur la sécurité de la phase finale de cette compétition prévue du 8 au 22 novembre prochain au Caire en Egypte, s’est ouvert ce mercredi 6 novembre 2019 au Caire. Le but de cette rencontre, est d’outiller les participants sur les dispositions à prendre pour la réussite du tournoi. 

Dans cette logique, le Secrétaire général de la Caf, Mouad Hajji, qui a présidé l’ouverture de l'atelier, a salué le bon travail effectué par le département de la sécurité depuis sa mise en place en février dernier et qui a connu un franc succès lors de la CAN Total qui a eu lieu en Egypte au mois de juillet dernier. Il a par ailleurs,  exhorté les participants à l’atelier à oeuvrer dans le même sens pour avoir la même réussite lors de l’édition 2019 de la CAN U-23 qui démarre ce vendredi au Caire et qui sera qualificative pour les Jeux olympiques 2020.

Le responsable de la sécurité, Dr. Christian Emeruwa a expliqué aux participants comme à ceux du Comité local d’organisation les procédures en la matière qui auront cours durant la CAN U-23 aux stades International du Caire et à Al Salam stadium retenus pour le tournoi.

Il faut noter que 8 équipes ont validé leur billet pour la phase finale de cette  compétition. Il s’agit du Cameroun, Mali, Côte d’Ivoire, Nigéria, Ghana, Zambie, Afrique du Sud et le pays organisateur l’Egypte. Les trois meilleures sélections représenteront l’Afrique au tournoi de cette catégorie lors des Jeux Olympiques Tokyo 2020.

 

Marie MGUE 

Published in Sport
Tagged under

A trois  jours du coup d’envoi de la Can U-23 en Egypte, la sélection camerounaise compte 16 joueurs dans la tanière sur les 21 convoqués, selon la Fédération camerounaise de Football. Les autres joueurs sont attendus dans les prochains jours.

 

D’après la Fédération camerounaise de football (Fecafoot), 16 joueurs de l’équipe nationale U-23 des 21 convoqués pour la phase finale de la  Coupe d’Afrique des nations (Can) de leur catégorie,  par le sélectionneur national Rigobert Song, ont déjà rejoint la tanière. Les cinq autres membres du groupe qui manquent à l’appel sont attendus ce mardi 05 novembre 2019 en soirée et  dans les prochains jours, a précisé l’instance de gestion du football camerounais. En effet, la Fecafoot a annoncé, qu’elle « a de nouveau relancé quatre clubs pour insister sur la libération des  joueurs devant rejoindre la tanière des U-23 ».

Plusieurs sélections africaines sont confrontées à cette difficulté. Ceci, parce que les  clubs, pour la plupart, s’opposent à la libération de leur pensionnaire pour ce grand rendez-vous continental, dont le principal enjeu est la qualification pour les prochains Jeux Olympiques Tokyo 2020. « Il faut noter que beaucoup d’équipes sinon la quasi-totalité n’ont à ce jour pas leurs effectifs au complet. Les clubs ne sont pas obligés de libérer les joueurs hors période FIFA. C’est sans doute après les premiers matchs de poule que toutes les équipes seront complètes », a relevé la Fecafoot.

Déjà en Egypte, les 16 Lions Espoirs présents dans la tanière ont effectué leur avant-dernière séance d’entrainement lundi dernier dans le stade de l’hôtel Mercure d’Ismaïlia où ils sont logés pour leur stage d’acclimatation. Les Lions U23 regagneront en principe, la capitale égyptienne, le Caire ce mardi en fin de journée après leur dernière séance d’entraînement. Une séance particulière, au cours de laquelle, les hommes de Rigobert Song affronteront en amicale, pendant 60 minutes (30 minutes fois deux) la sélection nigériane qui loge dans le même hôtel. Cette équipe nigériane, attend tout comme les Lions, le reste de sa délégation.  

Pour rappel, le Cameroun partage le groupe A avec le pays organisateur l’Egypte, le Mali et le Ghana. La CAN U23 2019 se déroulera du 08 au 22 novembre 2019. Les 3 premières équipes se qualifieront directement pour les Jeux Olympiques, Tokyo 2020.

 

Listes des joueurs présents dans la tanière 

Omossola Medjo Simon Loti

Abogo Pierre Sylvain Donald

Dande Junior

Youmeni Deugoue Jules Gildas

Anaba Mbida Nga Raphael Ulrich

Mbaissidara Mbaizo Olivier

Oumar Gonzalez

Oum Gouet Samuel

Soni Kevin Olivier

Eteki Yan Fabrice

Victor Mpindi Ekani

Zobo Stephane Thierry

Cheukoua Michael

Ayuk Mbu Eric

Herve David Ngan Biti

Published in Sport

Selon les arguments brandis par L'Égypte, les négociations tripartites diligentées à partir du Soudan ont plutôt abouti à une « impasse ».  Pour le Caire, c’est une raison suffisante d’appeler à une médiation internationale.

 

Les négociations entre l'Égypte, l'Éthiopie et le Soudan à propos d'un méga barrage controversé sur le Nil ayant été sanctionnées par un échec, le Caire a demandé dans un communiqué publié tard samedi 05 octobre dernier par le Ministère de l’Irrigation, une médiation internationale. Selon certaines sources, l'Égypte craindrait que la construction du grand barrage de la Renaissance (GERD) sur le Nil Bleu, entamée en 2012 par l'Ethiopie, n'entraîne une réduction du débit du fleuve, dont elle dépend à 90 % pour son approvisionnement en eau. En effet, l’Egypte a à l’issue de nouveaux pourparlers à Khartoum sollicité ouvertement « l'implication d'une médiation internationale dans les négociations sur le barrage de la Renaissance ». 

En outre, le Ministère égyptien de l’Irrigation estime : « Les négociations sur le barrage de la Renaissance sont dans une impasse ». La délégation éthiopienne ayant elle, « rejeté toutes les propositions qui prennent en compte les intérêts de l'Égypte en matière d'eau ».

Le ministre éthiopien de l'Eau et de l'Énergie Seleshi Bekele pour sa part, se refuse cependant de qualifier la situation « d'impasse », considérant que des questions en suspens pouvaient encore être résolues. 

 

L’appel émis par la Présidence égyptienne

La Présidence égyptienne a dans un autre communiqué appelé les États-Unis à jouer « un rôle actif » pour résoudre le différend. Elle affirme la nécessaire intervention d'un pays tiers pour « sortir de l'impasse ». Le Président Abdel Fattah al-Sissi a dans un tweet samedi dernier indiqué que L'Egypte est « déterminée à défendre son droit à l'eau ».

Pour la diplomatie éthiopienne, la demande de médiation internationale du Caire était « un déni injustifié des progrès » réalisés pendant les négociations. « Cela va à l'encontre des souhaits de l'Éthiopie », a-t-elle ajouté dans un communiqué.

Le barrage de la Renaissance est censé devenir la plus grande centrale hydroélectrique d'Afrique, avec une production de 6 000 mégawatts. Des analystes font savoir que, l'absence d'accord entre l'Éthiopie, le Soudan et l'Égypte pourrait susciter un conflit entre les trois pays et avoir des graves conséquences sur le plan humanitaire. 

 

Innocent D H

 

Published in International

Ces arrestations en cascade interviennent quatre jours après des manifestations contre le Président Abdel Fattah al-Sissi au Caire. Plus d'un millier de personnes ont été mises aux arrêts, aux rangs desquels universitaires et militants politiques. 

 

Ce vendredi 20 septembre 2019, selon les informations relayées par des ONG locales, plus d'un millier de personnes ont fait l'objet d'arrestations en Égypte suite à des manifestations anti-Abdel Fattah al-Sissi. En effet, plusieurs centaines de personnes avaient bravé l'interdiction de protester contre le pouvoir en place au Caire et dans d'autres villes du pays. Elles ont scandé, "Sissi dégage", répondant ainsi favorablement à l'appel de Mohamed Aly, l'homme d'affaire exilé en Espagne. 

 

La riposte des forces de l'ordre 

Pour disperser les protestataires, les forces de l'ordre sont intervenus et ont fait usage du gaz lacrymogène. Elles ont ensuite procédé à l'arrestation des manifestants, des journalistes et militants politiques par centaine. 

Plusieurs ONG n'ont pas tardé de dénoncer ces arrestations. Il s'agit notamment, d'Amnesty International, Human Rights Watch ou The Commitee to project journalists (CPJ). En ce qui concerne le Mouvement démocratique civil, coalition de gauche, il a invité les autorités à relâcher toutes les personnes arrêtées et appelle à un "dialogue national". 

A en croire le Centre égyptien pour les libertés et les droits, 1.003 personnes ont été arrêtées depuis vendredi. Le Centre pour les droits économiques et sociaux quant à lui parle de 1.298 arrestations. 

L'on note plusieurs figures universitaires ou militaires connues pour leurs positions critiques vis-à-vis du Gouvernement qui font partie des personnes arrêtées récemment. Parmi elles, Khaled Dawoud, ancien responsable du parti libéral d'opposition Al-Dostour et membre du Mouvement démocratique civil qui a été interpellé et déféré mercredi devant la justice, selon les annonces faites par ses avocats. Politiciens et journalistes, ont fait l'objet des accusations d'avoir diffusé des fausses nouvelles et d'avoir rejoint un groupe"terroriste". Pour ce faire, ils ont été placés en détention provisoire pour quinze jours. 

Hassan Nafaa, un professeur de l'université de Caire fait partie d'intellectuels mis aux arrêts. Il avait écrit lundi sur son compte twitter : "je n'ai pas de doute que le pouvoir absolu de Sissi va mener à une crise". Il poursuivait en disant : "c'est dans l'intérêt de l'Egypte qu'il quitte le pouvoir aujourd'hui, mais il ne partira que sous la pression publique de la rue". 

 

Innocent D H

 

Published in International
lundi, 23 septembre 2019 07:45

Egypte : Nouveaux affrontements anti–Sissi

Ils ont éclaté dans la nuit de samedi à dimanche à Suez, entre la police et des manifestants qui ont bravé pour la deuxième journée consécutive, l'interdiction de protester contre le pouvoir et exigé le départ du président Abdel Fattah al-Sissi. 

 

« Il y avait environ 200 personnes » dans le centre de Suez, a raconté un manifestant de 26 ans interrogé par l’AFP sous le couvert de l’anonymat. Selon lui, les forces de sécurité « ont tiré des gaz lacrymogènes, des balles en caoutchouc et des balles réelles. Il y a des blessés ».

Une autre habitante a fait état d’un nuage de gaz lacrymogène si vaste qu’il atteignait son immeuble, situé à quelques kilomètres des incidents. Une source des forces de sécurité a confirmé la présence de plusieurs dizaines de manifestants, mais n’a fourni aucun détail sur la réaction des autorités.

 

Un week end turbulent

Au Caire, les forces de l’ordre ont été déployées samedi aux abords de la place Tahrir, lieu emblématique de la révolution de 2011. La veille, plusieurs dizaines de manifestants y avaient scandé « Sissi, va-t-en » avant d’être dispersés par la police. D’autres protestataires sont descendus vendredi soir dans les rues de plusieurs villes du pays, dont Suez et Alexandrie. Au moins 74 personnes ont été interpellées en début de week end, selon les informations données à nos confrères de l’AFP par une source sécuritaire.

Des appels à manifester ont été lancés ces derniers jours sur les réseaux sociaux, émanant notamment d’un homme d’affaires en exil, Mohamed Aly, qui a appelé samedi à une « marche du million » de personnes pour le 27 septembre.

L’Égypte vit sous état d’urgence et les mouvements de contestation y sont interdits en vertu d’une loi adoptée en 2013, après la destitution du président islamiste Mohamed Morsi par l’armée, à la tête de laquelle se trouvait alors le général Sissi.

Le régime mène une répression sans merci contre l’opposition, emprisonnant des milliers d’islamistes, de militants ou encore de blogueurs.

 

Première depuis des années

« C’est la première fois depuis des années que les gens descendent dans la rue », a déclaré Nael Shama, un analyste politique au Caire, estimant que ce ne serait « pas la dernière. Personne n’a scandé du pain, de la liberté, de la justice sociale  comme en 2011 », a-t-il relevé, soulignant au passage que les manifestants avaient dès la première minute appelé au départ du président.

Contacté par l’AFP pour savoir ce qu’Abdel Fattah al-Sissi avait à dire sur les événements de la nuit, son bureau n’a pas donné suite. Le président s’est envolé vendredi pour New York où il doit s’adresser à l’Assemblée générale de l’ONU la semaine prochaine.

Dans une nouvelle vidéo mise sur les réseaux sociaux, l’homme d’affaires Mohamed Aly a demandé aux Egyptiens de participer à une « marche du million vendredi prochain, sur toutes les grandes places du pays…

 

N.R.M

 

 
 
 
 
 
Published in International

Les volleyeurs camerounais  ont battu ce mardi en Tunis, les égyptiens (3-0) dans le cadre de la deuxième journée  du groupe B,  du championnat d’Afrique des nations (Can) de volleyball.

 

Pour la première fois depuis 2003, la sélection camerounaise de volleyball messieurs a  dominé la  sélection égyptienne. Les Lions indomptables ont mis un terme à  l’hégémonie égyptienne   ce mardi 23 juillet 2019 au palais des Sports El Menzah de Tunis,  dans le cadre de la rencontre de la deuxième journée   du groupe B, du championnat d’Afrique des nations (Can)  de volleyball qui se déroule en Tunisie. Dans ce duel  très attendu entre la  deuxième et la troisième équipe d’Afrique en titre, qui font partie des favoris de ce Can 2019,   les Camerounais  ont été plus forts de bout en bout contre les Pharaons d’Egypte. Les hommes de Blaise Mayam se sont imposés sur un score de 3 sets à zéro   (25-18,25-13,25-19).

 

De la première à la troisième partie de ce duel, les Lions sont restés constants dans le jeu, objectifs et dynamiques. Une détermination qui a permis  au groupe camerounais de  s’imposer face aux égyptiens, leur principal  challenger dans le groupe B. « Je félicite les joueurs qui ont respecté les consignes mis en place et surtout le travail que nous faisons sur le plan psychologique. Ça fait plusieurs années que nous travaillons  sur le plan africain, mais il nous faut encore plus pour démystifier le volleyball de l’Afrique du Nord. Je souhaite de tout cœur que nous puissions gagner cette compétition, pour arriver à mettre en place le projet de la fédération », explique le staff technique des Lions à la Fecavolley.  

 

C’est la deuxième victoire des volleyeurs Camerounais dans cette compétition. A l’entame du tournoi, les Lions ont laminé le Congo Brazzaville sur le même score. Ce deuxième succès  consécutif  place l’équipe camerounaise à la tête du groupe B avec six points. Le même nombre de point engrangé par les égyptiens au bout de trois rencontres, qui occupent la deuxième place. Les Camerounais affronteront ce mercredi 23 juillet 2019 ; les Marocains qui ont déjà essuyé deux défaites. Le dernier match des Lions sera contre le Burundi samedi  prochain. La sélection camerounaise a déjà un pied au  prochain tour de la compétition, une troisième victoire assura leur qualification.

 

Marie MGUE 

 

Published in Sport

Après la victoire contre le Congo Brazzaville, samedi dernier, les Camerounais affronteront les égyptiens ce mardi 23 juillet 2019,  dans le cadre de la 2e journée du  Can de volleyball messieurs qui  se déroule en Tunisie.

 

Les Lions indomptables de volley-ball seront aux prises ce mardi 23 juillet 2019 contre l’Egypte, dans le cadre de leur deuxième sortie au championnat d’Afrique des nations (Can) de volleyball de la catégorie qui se déroule depuis  le 20 juillet dernier en Tunisie. Cette rencontre  est  un choc aux allures d’une finale,   qui opposera au palais des Sports El Menzah de Tunis, les  deux équipes favorites  du  groupe B. Les Lions médaillés de bronze lors de la dernière édition en 2017, négocieront leur deuxième victoire face aux  égyptiens vice-champions d’Afrique en titre.

 

En effet, les Camerounais ont battu  de bout en bout, lors de  la première journée de la phase de groupes  le Congo Brazzaville  sur un score de 3 sets 0 au palais des Sports El Menzah de Tunis. Une victoire entachée par quelques manquements dans le dispositif camerounais à en croire le sélectionneur national.  « Les Congolais étaient motivés. Ils ont amélioré leur qualité de passe et certains de leurs attaquants en thème de rendement. Et trois sets à zéro, c’est le score qu’il  fallait pour que nous restions dans la compétition. C’était notre premier match depuis trois semaines avec de nouveaux joueurs qui ont intégré l’équipe  et ça nous a causé beaucoup de difficultés. Le manque de matchs amicaux pouvait éventuellement nous jouer de salle tour. Mais nous allons améliorer les petites lacunes que nous avons eu avant d’atteindre les grosses têtes, notamment l’Egypte et le Maroc  », explique Blaise Maya, l’entraîneur national des Lions à la Fecavolley.

 

Cette victoire a permis  aux coéquipiers de Nathan Wounembaina  de  décrocher  les  trois premiers points, et de prendre  une bonne option pour la suite de la compétition. Les Pharaons d’Egypte, prochains adversaires des Lions ont  également remporté leur  premier match, en s’imposant face au Maroc sur un score de 3 sets à 1 avant de dominer ce lundi 22 juillet 2019, le Burundi sur un score de 3 sets à zéro. Le Maroc par contre a enregistré sa  deuxième défaite contre les Congolais (3-1), qui se sont rattrapés après le faux pas contre le Cameroun. Une défaite qui compromet les  chances des Marocains, de se qualifier  pour le prochain tour du tournoi. Après l’Egypte mardi, le Cameroun  sera à  l’assaut du Burundi mercredi et du Maroc jeudi dans leur dernier match de la phase de poule.

 

Marie Mgue 

 

Published in Sport

Le président de la Fédération égyptiennes de football, Hani Abou Rida, en marge de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) a indiqué hier mardi, que l’Égypte serait prête à organiser un Mondial à 48 équipes.

 

« Je pense qu'on peut le faire », a déclaré le dirigeant lors d'une conférence de presse au Caire. « Le problème avec les 48 pour moi est l'hébergement. (...) C'est le premier problème que nous devons régler », a ajouté le patron du football égyptien.« Mais si on parle de 2030, je pense que nous en sommes capables », a-t-il conclut.

 

Pour rappel, l’Égypte a été désignée en janvier pour l'organisation de la CAN, qui se joue actuellement en remplacement du Cameroun écarté par la Confédération africaine de football (CAF) en raison de retards dans l'achèvement des stades.

 

Ainsi, à travers l'organisation de la CAN, pour la première fois depuis la révolte populaire de 2011 et la période d'instabilité politique qui a suivi, le pays « j’affirme à la face du monde entier que les Africains sont capables d'organiser un événement international », a encore estimé M. Abou Rida. « Désormais l’Égypte est capable d'organiser n'importe quelle compétition (y compris) non-africaine », a-t-il ajouté.

 

Le Mondial de football, dont la prochaine édition se déroulera au Qatar, se joue actuellement à 32 équipes. Mais à partir de 2026, la compétition devrait accueillir 48 équipes.

 

Wait and see…

 

Danielle Ngono Efondo

 

Published in Sport

Hier mercredi 26 juin, La Fédération égyptienne de football (EFA) a annoncé l'exclusion de son joueur Amr Warda de son équipe nationale pour la Coupe d’Afrique des nations 2019. L’attaquant est accusé de harcèlement sexuel. Le pays hôte de la CAN, poursuivra la compétition avec 22 joueurs au lieu de 23.

 

La Coupe d'Afrique des Nations 2019, d'Amr Warda (25 ans) est terminée. Sur Twitter, la Fédération égyptienne de football (EFA) a annoncé mercredi 26 juin, que l'ailier égyptien avait été exclu pour « comportement immoral », à quelques heures de la rencontre Égypte - RD Congo. Entré en jeu face au Zimbabwe (1-0) vendredi lors du match d'ouverture, le joueur du PAOK Salonique, prêté à l'Atromitos Athènes cette saison, est accusée de harcèlement sur les réseaux sociaux selon les médias locaux.

 

En effet, l’international égyptien est accusé de harcèlement sexuel par plusieurs jeunes femmes qui ont diffusé des extraits de leurs échanges et conversations, captures d’écran à l’appui. Elles affirment que le jeune égyptien, évoluant dans le championnat grec au sein du club du PAOK Salonique, leur envoyait des photos de lui dans le plus simple appareil insistant pour qu’elles en fassent de même.

 

« Le président de la Fédération égyptienne de football, Hani Abu Reda, a décidé d’exclure Amr Warda de l’équipe après avoir consulté les staffs technique et administratif, dans le but de maintenir l’état de discipline, d’engagement et de concentration », a déclaré ce mercredi 26 juin, la fédération égyptienne sur son compte Twitter.

 

D’après le site internet huffpostmagreb.com, ce n’est pas la première fois qu’Amr Warda est accusé de harcèlement. En août 2017, Warda avait déjà vu son prêt dans le club portugais de Feirense rompu, quelques jours seulement après son arrivée, car il avait été accusé de harcèlement à l’encontre des épouses de deux de ses coéquipiers.

 

La CAN 2019 a lancé son coup d’envoi depuis quelques jours et déjà, des scandales et exclusions voient le jour. Après Ndikumana Yamini Selemani, exclu par le Burundi pour indiscipline, l'Égyptien est le deuxième joueur à quitter la CAN pour raisons disciplinaires.

 

Danielle Ngono Efondo

 

Published in Sport
Page 1 sur 3






Sunday, 05 June 2022 11:01