Il vient une fois encore de donner la réplique au guitariste qui, dans l’un de ses derniers posts, a tenté de le traîner dans la boue.
« Ouhlala, le grand Richard Bona sort des bois sauvages et se réduit à une caisse de résonnance stupide, essoufflée et incongrue. Il y a urgence médicale! Son responsable de communication ne l’a certainement pas convaincu d’user d’éléments de langage approprié à une circonstance intellectuelle.
Au moment où nous faisions nos classes, Bona excellait dans l’école buissonnière, grattait des cordes et est allé quelque part, de l’autre côté de la mer où il a continué de s’améliorer dans les boîtes de nuit, devenant une virtuose de la guitare. Je le lui concède, il n y a pas de sot métier…Mais de là à devenir politologue, communiquant, objecteur de conscience, allons, allons, un peu de modestie.
Musicien, toute chose qui ne lui donne pas le droit d’insulter les Camerounais de tous les noms d’oiseaux au motif qu’on lui aurait refusé un visa. Toute chose qui ne lui donne en aucun lieu, l’altitude de parler du Colonel Badjeck.
Je n’ai pas traversé la mer à la nage Monsieur Bona, mais en passant un concours au niveau de l’Afrique, où l’on ne retenait que l’élite pour le pilotage. Donc voyez-vous, je ne suis pas un fantassin pour tirer aux mitrailleuses, mon arme c’est le manche à balai, mon épée c’est écrire, penser comment faire pour rectifier le comportement des gens élevés dans les marécages comme vous, pour qu’ils ne continuent pas à devenir des sujets sociologiques et anthropologiques préoccupants.
Je sens que j’aurai du mal dans votre cas à faire pire, il y a une telle viscosité de haine et de gènes puériles dans votre ADN qu’il faudrait vous refaire entièrement. En plus, le chanvre que vous aspirez ne facilite pas la tâche, dans cette hypothèse il eût fallu débuter peut-être avec une thérapie médicale plus adaptée en établissant que votre problème est psychosomatique.
Sortie malencontreuse de Richard Bona : La claque du colonel Didier Badjeck
Vous vous reprochez de quoi? Vous avez galvaudé votre nationalité alors, laissez le 237 vivre dans sa vérole. Vraiment je suis très déçu de votre niveau de réponse au pis-aller et d’une vulgarité abyssale. Je m’en veux de vous avoir adressé la parole, je vous ai aidé à donner l’impression que vous sachiez faire autre chose en dehors de la sphère théâtrale.
Je ne vais pas exhiber ici mon CV, d’ailleurs vous ne sauriez pas ce qu’il est, vous vous êtes offusqué d’avoir reçu une médaille en bois? Et si vous saviez alors que je suis Officier de l’Ordre de la valeur, Chevalier de l’Ordre de la valeur, Médaillé d’or de la défense française cela vous mettrait encore plus de saugrenues envies jalouses? La Patrie reconnaissante jeune homme.
Ce n’est pas vous qui décorez les Camerounais, c’est celui qui incarne les institutions et que vous insultez chaque jour. Nos institutions, et celui qui les incarne, nous les respectons, et les défendons. Venez-vous égarer dans vos soporifiques desseins de déstabilisation, on vous attend. En plus de vos droits d’auteur qui vous paye pour nous descendre.
Vous êtes américain, alors parlez de la gestion du Corona virus chez vous et fichez la paix aux Camerounais. C’est pour cela que j’ai osé vous parler, en d’autres auspices, nous n’avons rien à nous dire. Hélas, vous m’avez démontré que vous êtes plus que bas dans l’échelle de l’intelligence, pire, vous n’êtes pas un gentleman.
Vous voyez un Eto’o fils, ou un Neymar user de ce niveau de langage? En vous priant d’arrêter désormais toute conversation avec ma personne, parce que je ne vous répondrai plus jamais, vous ne méritez même pas mon mépris en fait. J’intercéderai cependant pour votre guérison, aussi pour que vous vous identifiiez aux mâles africains dans leur entière pratique…Vous voyez de quoi je parle ».
N.R.M
Avec un ton qui lui est personnel, l’ancien Directeur de la communication du ministère de la Défense a donné une réponse caustique que de nombreux internautes ont jugé opportune au regard des sorties aux « tendances extrémistes » affichées par le musicien depuis que « des individus au calendrier caché appellent de tous leurs vœux, la mort du Président de la République »
« Monsieur Richard Bona, j'avais de l'estime pour vous, mais vous venez de la détruire pour qu'elle se transforme en un profond mépris. Vous avez insulté tout un peuple, toute une nation. Qui vous en donne l'outrecuidance, vous qui devenez les vrais singes d'une société occidentale atone, en perte de repères et de valeurs?
Avec plusieurs amis, nous venons de brûler tout ce qui ressemble à vos productions dans nos discothèques, ainsi vous amuserez la galerie chez vos employeurs qui vous adulent au prorata des insultes proférées à l'endroit du pays qui vous a vu naître.
Si Manu Dibango, paix à son âme, suivait ce déshonneur qui vous colle définitivement à la peau comme l'ingrat dont vous en paraissez être le modèle le plus absolu, il se retournerait dans son repos éternel.
Une virtuose sans âme est un tam-tam sans écho. Dans votre sillage désormais, la sulfureuse honte! En tout état de cause, ni les mots, ni le maquillage ne feront de vous leur frère, ceux à qui vous faites apparemment plaisir vous trouveront bien un défaut de faciès pour vous ostraciser après service rendu ».
Le post qui engendre la polémique
L’homme qui a pris la nationalité américaine et qui est dans une logique de dénigrement du Vert – Rouge – Jaune et du Chef de l’Etat Camerounais estime que : « La réussite du coup de la succession de gré à gré actuellement en cours de téléchargement au Cameroun emportera la responsabilité des Camerounais qui, par leur veulerie, auront décidé de faire plus que toucher le fond, auront entrepris l’irrémédiable descente aux enfers… ».
D’après lui, « Si les Camerounais réussissent encore l’exploit de se laisser empoisonner la vie par les spécialistes du holdup politique, alors il ne prendra plus la parole pour parler du Cameroun. Cet originaire du département de la Haute – Sanaga avait conclu son appel en « Invitant tous les Camerounais sans distinction de chapelle ou d’origine à faire leur le combat du refus de la perpétration de la forfaiture ».
Richard Bona jette son Canal d’Or remporté il y a 11 ans à la poubelle
N.R.M
C’est le point de vue développé par le Colonel Didier Badjeck, chercheur en polémologie et sur l’Architecture de paix et de Sécurité en Afrique.
« Que ce soit très clair: il y a d'un côté la loi et son application stricte et indistinctive, et il y a de l'autre côté, l'illégalité et sa cohorte d'illégitimités. Tenir compte d'un cessez-le-feu prononcé par une faction irrédentiste participe d'une opération de légitimation de ce groupe qui semble ainsi, maître de l'initiative d'arrêter ou de continuer les combats.
Ceux qui éprouvent par cet acte quelques sentiments, démontrent aussi une concupiscence à leurs pratiques barbares, illégales et anticonstitutionnelles. Il n'existe aucune autre alternative que l'obtempération devant la loi; aucune explication de circonstance devant le vol, l'assassinat, le terrorisme, ou la sédition par exemple qui ne constitue nullement le moindre dividende.
S'il nous était donné une alternative devant les artifices de jugement, rigides ou jusrisprudents, alors l'État, dans son exclusivité régalienne n'existerait pas. Je suis simplement surpris qu'au lieu de polariser nos efforts sur la crise sanitaire en cours, que l'on s'attarde sur la surexposition médiatique d'un cessez-le-feu prononcé quelque part, pendant que force doit rester à la loi.
Ou alors, voudrait-on mettre sur le même piédestal de comparaison les terroristes et l'État? Parce que, sauf omission de ma part, j'ai cru avoir l'horreur d'entendre le journaliste attendre la réaction du gouvernement Camerounais? Je croyais aussi que le cadre du DDR tel que proposé restait la seule norme de reddition? Diversion, gesticulation ou prospectivisme? Je voudrais savoir.
Que RFI le chante comme une rhétorique tout au long des ses journaux africains de ce jour, et même svp, au cours du journal de 12h m'interroge sur la nécessité d'une telle information, à moins de n'avoir pas une ligne éditoriale prolixe. Mais Dieu seul sait et le moins que l'on puisse dire, que l'intérêt des sujets n'est pas dilué par ces temps de pandémie, les sujets étant d'ailleurs d'intérêt général...
Par ailleurs, je souhaiterais rappeler à monsieur Vincent Foucher intervenant pour le compte d'International Crisis Group ( puisqu’il a retenu haut et clair sa fonction auprès de cette ONG étant l'invité de la rédaction du 24/3/20 à 7h45-RFI) qui a encore commis une analyse dans la matinée d'hier sur la typologie des armées de la ligne de front dans la guerre contre boko haram ( Cameroun, Nigéria, Tchad, Niger) faisant suite aux attaques perpétrées par les terroristes de Boko Haram sur l'Armée tchadienne, je souhaiterais me rappeler disais-je, que ses conclusions manquent de pertinence quand il évoque la déliquescence des armées contributrices de la FMM.
Pour sa gouverne, je tiens en effet à lui souligner que l'Armée Camerounaise était seule au Front entre le 14 mai 2014 et le 16 avril 2015, contenant tous les assauts de Boko Haram en plusieurs points de contact. Aucune portion du territoire Camerounais n'avait été cédée (comme jusqu'à présent) tout au long de combats épiques qui démontrèrent le professionnalisme des FDS camerounaises et leur polymorphisme avéré.
Un peu de respect pour ces forces qui combattent en ce moment sur plusieurs fronts et qui constituent un véritable verrou sécuritaire pour les pays de l'hinterland de la sous-région. Cette approche quasi-systématique de délation ou d'affaiblissement des réelles capacités du Cameroun ne se base pas sur des données scientifiques mais sur de la pure fantasmagorie. Ou alors, il s'agit d'une mauvaise connaissance de cet environnement stratégique auquel cas il vaudrait mieux-être prudent que de s'avancer sur des logiques non vérifiables et décousues ».
N.R.M
Dans une tribune publiée ce Lundi l’ancien directeur de communication au ministère de la Défense relève entre autres l’incivisme dont font montre certains Camerounais car ces derniers semblent réfractaires aux instructions données par le Chef du gouvernement.
« Est-ce que la proposition de dépister tout le monde tel que le propose certains est réaliste dans notre contexte, voire dans le contexte mondial? Pour dépister tout le monde, il faudrait réaliser 25.000.000 de kits de dépistage, programmer des campagnes de dépistage dans les villages et tel que je connais nos routes, le corona virus nous aura tous décimés avant. Lorsque l'on aura dépisté les malades, qu'est-ce que l'on en fera? Attention à ces propositions qui en ce moment sont contre-productrices.
Mathématiquement, qu'avons-nous à perdre de 15 jours de confinement où les malades seront identifiés et écartés, et les personnes saines protégées, d'autant qu’en général, nous sommes indisciplinés et retors aux mesures de prévention jusque-là édictées.
Quel est le pays qui a suivi cette méthode et quels en sont les résultats? La Chine: elle est communiste et les populations, habituées à la discipline rigide ont exécuté servilement les ordres. Les populations ne discutent pas systématiquement ou ne politisent pas à tout vent et sans discernement, ce qui est le sport favori des Camerounais; même en période de crise on refuse l'unisson qui nous a tout donné.
L'exemple du Nord et du Sud Ouest est symptomatique de cette hystérie commutative. En général devant pareil cas, il n'y a plus de partis politiques, mais il y a le peuple, la communauté scientifique et la communication.
Au Cameroun il y a les « politicieux », les apprentis-sorciers et les délateurs. Bonne chance. 2e élément d'analyse: l'Italie où la famille est très développée avec une cosa nostra suicidaire, saupoudrée d'un machisme exhibitionniste et des hommes qui bravent la mort parce que, croient-ils être des téméraires. C'est bien une culture latine. La tauromachie est bien là pour l'étayer. Il y a eu en Italie seulement pour la journée d'hier 825 morts.
La population très vieille n'est pas la seule raison de ce taux élevé. Ce n'est que maintenant que la population prend conscience du péril, ayant gardé jusque-là les bonnes petites pratiques familiales. Au Rwanda, les populations exécutent ce que le gouvernement a prescrit avec une certaine discipline, la crise est maîtrisée. Vous savez ici, tout le monde est docteur, quand l'équipe nationale joue il y a 25 000 000 d'entraîneurs... On voit toujours les failles de management. Mais la critique est aisée et l'art difficile.
Commençons à nous poser des questions nous-mêmes. Que faisons-nous pour stopper le Corona virus à notre niveau individuel et celui de notre cellule familial? Avons-nous changé nos habitudes? Continuez à croire que l'enfer c'est les autres. Avec les principes lumineux, vous sauverez tellement bien l'économie sur des principes puissants de prestidigitateurs qu'il y aura une superbe croissance économique puisqu'il n'y aura plus un seul consommateur vivant. Alors on fera certainement du 25.000.000%... ».
N.R.M
C’est le titre de la tribune libre rédigée ce Mercredi par l’ancien directeur de la communication au ministère de la Défense. Une sortie publiée sur son compte Facebook et dans laquelle il félicite les efforts fournis au quotidien par ses Frères d’Armes tout en regrettant au passage la position de certains compatriotes qui s’attèlent au quotidien, à salir l’image du Cameroun.
L’intégralité de son message
« Dans mon retrait et ma méditation, il m'arrive de m'interroger avec beaucoup de recul et de me demander ce qui ne va pas sous nos latitudes. Pourquoi tout s'enchevêtre, pourquoi l'arc crisogène continue sa route dévastant nos espoirs, malgré autant d'efforts consentis.
En calquant la cartographie des zones africaines sous menaces sécuritaires protéiformes à celle des richesses potentielles, notamment en minerais, alors l'on découvre le pot aux roses sans être pour autant un mordu de la stratégie ; les deux cartes se confondent pour dire que la majorité des conflits en Afrique sont d'origine prédatrice.
Nous ne découvrons pas l'eau chaude, mais il est naturel d'examiner les qualités de nos réponses, et de relever les centres de gravité qui retardent la paix tant au plan exogène qu'au plan endogène.
1) Le Cameroun est un pays de paix et son armée a une vocation régalienne qui est celle de protéger cette paix et de défendre notre territoire. Ce travail est fait de manière professionnelle malgré une élongation de menaces qui serpentent nos latitudes du Nord au Sud, de l'Est à l'Ouest (guerre contre Boko Haram dans l'Extrême-Nord, menace irrédentiste dans le NOSO, piraterie maritime sur le tablier littoral, et menaces traditionnelles échelonnées en opérations interlopes, différents trafics etc.). Devant ces missions pharaoniques, les forces de défense font face avec une certaine autonomie stratégique, ce qui est d'ailleurs rare en Afrique
2) Malgré toutes les solutions proposées, qu'elles concernent les réponses opérationnelles face à la crise ou les réponses politiques, c'est à coup de désinformation que des acteurs veulent détricoter des efforts courageux et salutaires que le Cameroun déploie dans la recherche d'une paix perdue au bout du chemin parsemé de quelques coups foireux d'aventuriers et entrepreneurs du chaos. Qu'avons-nous fait pour mériter ce destin ?
A qui profite l'horreur que nos enfants voient à longueur de journée via la révolution des TIC que trop bien maîtrisées par les pyromanes invétérés, paradoxalement en quête de légitimité, comme pour ramener les Camerounais à accepter comme messie, le violeur, le bandit et le contempteur.
Les médiascopies s'affolent, les décalages entre réalité et fantasmagorie creusent un fossé abyssal, et la danse occidentale prend avec frénésie, au rythme de visions sur les terrains des opérations, où les bilans sont du ressort spéculatif désormais, ou comme si un mort n'était pas déjà un mort de trop.
Des médias, apparemment réputés, mettant à caution la crédibilité de tout un gouvernement... un équilibre surprenant entre l'activité terroriste et l'action régalienne ? L'analyse objective nous abandonne à ce constat. Quelle stupéfaction de constater l'amour pugnace que l'actualité camerounaise suscite chez les commanditaires de la délation.
Tout y passe, même le clown de service Mamane, et sa république fictive du Gondwana, il fallait bien qu'il y ait un traître fraternel pour que la comédie soit caustique, le Cameroun est devenu le morceau choisi des clowns et artistes en perte d'inspiration. Tout y passe, dérapage déontologique, galvaudage éthique, rhétoriques rasantes et ennuyeuses, les titres les plus résilients et visqueux sur 72 heures sont ceux qui concernent notre beau pays.
Pas un mot des libertés de circulation froissées des voyageurs en règle de l'autre cité de la Méditerranée, c'est un détail, tout comme l'assassinat de cette petite gendarme qui avait toute la vie devant elle, et derrière elle, l'espoir d'une famille. Bravo les alpinistes de l'irréversible destruction. Pour qui voulez-vous ? Certainement pas pour notre progrès. Enfin, nous n'oublierons pas, nous ne nous tromperons pas de combat, car le seul qui existe est celui de notre liberté et de notre indépendance. Un peuple uni est invincible. C'est aussi cela la posture d'un peuple mature que de ne point céder aux balivernes ».
N.R.M
« A tous ceux qui se prévalent d'être les dépositaires de la violence, il sommeille en chacun de nous, un esprit grégaire dont la révolte pourrait créer des secousses dommageables.
C'est ce qui est arrivé à Genève. Vous avez convenu que nul n'a le monopole de la violence. Ceux qui viennent de recevoir une correction de la part des patriotes outrés et provoqués comme tout le Cameroun entier ont maintenant j'espère, la preuve que la gesticulation n'est pas synonyme de virilité, et que l'amplification de la bêtise ne réussit pas forcément à convaincre tous les crédules.
Même ces crédules en ont mare de vos agissements, et cette-fois, vous avez atteint le Rubicon, celui d'aller insulter les institutions du Cameroun. Ne provoquez pas l'inimitié et le courroux de 99% des Camerounais qui sont calmes, car le peuple camerounais est d'un ADN aimable... l'autre ADN que les instigateurs de cette mascarade politicienne à relents de prédation ignore, est la résilience et le bon sens du peuple.
Soldat dans l'âme et pour toujours, je ne sais que trop les effets pernicieux de cette spirale de la violence entretenue par le centre de gravité d'une convoitise politicienne démesurée et non conventionnelle. Mais nous n'allons pas vous permettre de réaliser votre sale besogne où, chaque jour, vous démontrez que vous n'aimez pas votre pays. Vos commanditaires sont suffisamment intelligents pour comprendre que le peuple vous a opposé un rejet catégorique.
C'est un cinglant camouflet qui devrait vous enseigner et à tous vos commanditaires, le recul et la raison En ma qualité d'observateur averti, je vous prie de comprendre que la réaction des patriotes de Genève est le signe d'un ras-le-bol qui pourrait se poursuivre, sur le plan opérationnel par des actions coercitives contre les membre du BAS, visiblement en très grande minorité. Attention de semer la pluie, pour récolter l'ouragan.
J'ai écouté avec grand intérêt, un compatriote de la diaspora originaire de l'Est, vous exhortant à un retour aux sentiments meilleurs. Votre planification consiste depuis toujours à provoquer une stigmatisation tribale, dont le corollaire peut conduire à un génocide qui conditionnerait à la fin, l'intervention de la communauté internationale dont certains acteurs en caressent l'éventualité depuis un certain temps. Il est donc temps d'arrêter et de nous laisser lutter pour des enjeux sains, ceux de la mondialisation qui ne sont pas déjà un long fleuve tranquille.
Vous connaissez le pourcentage de notre PIB consommé par la violence ces 5 dernières années? Ces dépenses auraient remboursé en partie notre dette, accéléré certains projets de développement. Non seulement, j'ai honte de ce que des Camerounais soient embobinés aussi facilement dans le saccage de leurs institutions, mais aussi par les agissements de certains qui, vivant dans leur el dorado occidental, manipulent les vulnérables de connivence avec les vrais chefs d'orchestre de cette mauvaise symphonie qui veulent détruire notre pays et s'approprier des marchés de la reconstruction.
Ce ne sont pas les militaires qui ont agi à Genève, et au Cameroun, nous avons une excellente perception de la défense populaire, pour dire qu'il est temps d'arrêter. Il est temps que cette tribalisation immonde que vous voulez générer stoppe. Les patriotes vont passer à l'offensive et vous dénicheront, où que vous soyez. Les images que je regarde via les réseaux sociaux sont un signe. Il est temps d'arrêter ce scénario nauséabond et de nous tenir la main pour les combats futurs.
Monsieur le Président Biya Paul, ne s'appartient pas, il incarne nos institutions et est l'ouvrier du peuple. Respectez cela. Nous n'allons plus tolérer au-delà de ce que dans notre pays on respecte les sages et les personnes âgées, nous n'allons plus tolérer disais-je, des écarts de comportement sur sa personne, car par-là, vous insultez le Cameroun tout entier ».
Didier Badjeck.
Une vidéo extrêmement dure, montre une série d'images que le réalisateur impute à l'armée camerounaise, pour certainement crédibiliser la fallacieuse thèse de commission d'exactions à mettre à l'actif d'une Armée jusque-là courageuse et professionnelle. Ce genre de manipulation, au-delà d'être odieuse, obéit aux commanditaires qui ont décidé de saper les efforts de paix de notre pays le Cameroun en théâtralisant l'émotivité, au fur et à mesure que des filets d'espoir se dessinent.
Ce modus opérandi, coutumier des fabricants de Fake news part de séquences dont certaines peuvent avoir été vécues mais dans d'autres contextes ou d'autres circonstances.
Dans cette vidéo par exemple, des prises de vues montrent des victimes de séparatistes exploitées à mauvais escient. Il est aisé d'opposer à ces images, la vérité des contextes réels où d'histoires avec les différentes bases de données disponibles... Des méthodes de générateurs de l'émoi et de l'invitation au génocide. Méfiance, méfiance et vigilance.
Une annonce que ne partage pas Merlin Amougou : « C'est vrai mais malheureusement nous ne sont plus il y a 2 ans un pays en paix, il faut retirer cette phrase. Depuis plus de 2 ans nous sommes un pays en guerre au Nord, la secte Boko Haram ; au Nord-Ouest et au Sud-Ouest, les séparatistes et Amazoniens dictent leur loi. Et qui ne sont pas à finir. Vois faites là comme ceux qui veulent nous faire croire que la Coupe d'Afrique des Nations (CAN 2019) n'a pas été retirée au Cameroun mais que la CAF à seulement changer de date ».
Bossis Ebo'o