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Après Yaoundé dimanche dernier, « Tara », la mascotte du Championnat des Nations de football (CHAN) Total 2021 fera escale mardi 29 décembre à Douala (région du Littoral). Elle terminera son périple le lendemain, mercredi 30 décembre, à Limbe-Buea (Sud-Ouest).

 

 Lors de la cérémonie de lancement de cette tournée au Palais polyvalent des sports de Yaoundé (Paposy), le Ministre des Sports et de l’Education physique (Minsep), Narcisse Moelle Kombi a déclaré : « La “Mascotte tour” vise à rapprocher l’évènement du grand public. Elle constitue une activité importante du volet évènementiel et communicationnel du CHAN dont la visibilité doit être de plus en plus accentuée, dont l’effectivité et l’imminence de la tenue doivent s’installer fermement dans l’imaginaire du public camerounais ».

Selon le Minsep, par ailleurs président du Comité d’organisation local du CHAN (Cocan), par cette présentation, il est question d’inciter le public à venir au stade le moment venu.  « Ce public doit être en communion d’esprit et de cœur, dans l’enthousiasme patriotique, dans la liesse et l’allégresse avec l’ensemble des participants venus d’Afrique et des quatre coins du monde pour la célébration des talents sportifs camerounais », affirme Narcisse Mouelle Kombi.

S’agissant de ces caractéristiques, « Tara » en référence à une appellation fraternelle et amicale entre Camerounais, la mascotte du CHAN est un lion vêtu aux couleurs de l’équipe nationale de football (maillot vert, short rouge et bas jaune). Il porte le dossard 237 (indicatif téléphonique du Cameroun à l’international) et est muni d’une cape. La première version dévoilée le 14 décembre 2019 par le Cocan avait suscité l’ire et les railleries du public, ce qui avait conduit à sa modification. La seconde version, validée par la Confédération africaine de football (Caf), a davantage séduit le public.

Innocent D H

 

 

Selon les informations contenues dans un communiqué de la commune de Njombe-Pendja, le maire Paul Eric Kingue vient d’offrir 500 000 francs CFA aux victimes de l’accident mortel survenu le 27 décembre dernier sur l’axe Bafoussam-Yaoundé. Outre son élan de générosité, l’ancien directeur de campagne de Maurice Kamto à la présidentielle de 2018 adresse sa compassion aux victimes de ce drame.

 

De sources bien introduites, l’actuel maire de la commune de Njombe-Penja dans le département du Moungo, région de Littoral Cameroun fait un don aux victimes du malheureux incident. « Paul Eric Kingue apporte une enveloppe symbolique de 500 000 francs CFA aux victimes de Ndikinimeki suite au tragique accident de la circulation survenu le dimanche 27 décembre 2020 sur l’axe Yaoundé-Bafoussam notamment au niveau de Ndikinimeki. Monsieur Paul Eric Kingue, maire de la commune de Njombe-Penja et l’ensemble du conseil communal adressent aux familles des disparus les plus sincères condoléances et souhaitent un meilleur rétablissement aux personnes blessées. A titre symbolique, la commune de Njombe-Penja apporte aux familles attristées une symbolique enveloppe de 500.000 FCFA et invite les maires à la solidarité face à ce drame qui touche de nombreuses familles en cette veille de la nouvelle année. C’est avec une profonde tristesse que nous nous associons à la douleur des familles et apportons notre soutien », peut-on lire dans le communiqué rendu public par la Commune Njombe-Penja.

Indiquons que d’autres hommes politiques de l’opposition camerounaise ont également exprimé leur compassion à la suite de ce drame. Il s’agit notamment du Pr Maurice Kamto, président du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (Mrc). « C’est avec douleur et consternation que j’ai appris le décès de plus d’une trentaine de personnes dans un tragique accident de la circulation survenu vers Ndikinimeki, dans la Région du Centre », a-t-il écrit.  « Je joins à ma douleur, celle de nombreux autres camerounais pour exprimer notre profonde compassion aux familles si durement frappées à la veille de la célébration de la fête du Nouvel An », ajoute le candidat sorti deuxième à la présidentielle de 2018.

Innocent D H

L’activiste politique et militant du MRC, Wilfried Ekanga saisi l’occasion de cet accident de la circulation pour une fois de plus « tirer les oreilles » des dirigeants du Cameroun. Il profite également pour souligner cette réalité « devant la mort, il n’y a plus de tribu ».

 

 

« Devant la mort, tout le monde est du même clan. Elle ne fait pas de tri entre Kamdem et Etoundi ; entre Eyoum et Ondoua ; entre Moustapha et Pagbe ; ou entre Abessolo et Agbor. Voilà pourquoi lorsqu’on parle de développement, ce n’est pas dans l’intérêt d’une ethnie ou d’un parti politique. C’est au contraire parce que nous y gagnerions tous. Car que les accidents de la route se fichent vertement de vos galons, de vos médailles, de votre statut de chef, de votre sang royal, ou de votre lignage supérieur. Nous sommes tous égaux devant les conséquences mortelles du sous-développement.

 

Une route non- ou mal bitumée, une route étroite, ou une route aux pentes mal maîtrisées causera des morts chez les seigneurs comme chez les boucs. Chez les Zomloa comme chez les chèvres. Chez les RDPCistes comme chez les ABCistes

Quand on va dire : « Ce régime est médiocre » , ils vont nous répondre :  « Laissons d’abord la politique et pleurons nos morts » . Parce que dans la tête des hypocrites amoureux de l’obscurité, l’anticipation et la prévention n’existent pas. Il ne faut pas remettre en question la cause de la fréquence des accidents. Il faut juste pleurer les morts à chaque fois en attendant la prochaine hécatombe, et ainsi de suite.

 

Dans les pays industrialisés, vous entendrez rarement parler d’un accident de la route qui ait fait plus de 5 morts. Et surtout pas à une fréquence quasi hebdomadaire comme au Cameroun. Alors quand il s’agit d’un l’ordre de 30, 40, 60 morts, ça n’arrive quasiment jamais ! Pourquoi ? Parce que ces pays disposent d’un système très simple et très connu au XXIe siècle pour relier les grandes villes, et ça s’appelle des AU-TO-ROU-TES !!

 

L’avantage avec une autoroute, c’est que la voiture qui vous percute le fait par l’arrière, dans le sens de la circulation. Le choc est donc moins violent que lors d’une collision frontale où les vitesses des deux engins vont s’additionner et pimenter le drame. Sur une autoroute, vous n’allez pas obligatoirement finir dans le ravin en voulant esquiver un véhicule, puisque vous disposez de deux, trois (souvent quatre) voies alternatives où vous rabattre.

 

Rien à voir avec les cordes de terre (allô « axes lourds ») que l’on possède au Cameroun, pays de grandes gueules.

 

Quand on leur dit : « Ce régime cannibale facture le kilomètre de route à 6 milliards et dilapide les fonds sans rien réaliser « ils nous ramènent sur des histoires de tribus et des ragots de bidonville pour créer la diversion. Comme si l’autoroute n’allait profiter qu’à certains et pas à d’autres, ou que les membres de certains partis étaient les seuls à périr lors des accidents, et que la mort opérait des choix.

L’une des plus grandes prouesses de ce Gang de bandits en cravate est d’avoir instauré l’analphabétisme politique. C’est à dire d’avoir créé des intellectuels réciteurs de cours, mais incapables de dénoncer le vol, le cynisme la roublardise et l’injustice.

Voilà que sans la moindre autoroute dans le pays et alors que les cataclysmes routiers ne diminuent pas, on a prévu de vous construire 14 péages en deux ans pour 230 millions d’euros, qui auraient été infiniment plus utiles ailleurs (et qui seront surfacturés!). Alors que fait-on ? On pleure nos morts et on se tait (comme de braves « patriotes »), ou alors on vous prévient déjà que vous êtes en train de mourir une deuxième fois ? »

 

Stéphane NZESSEU

Le militant du RDPC, invité sur le plateau de l’émission « Equinoxe soir » ce lundi soir, était très en colère contre les dirigeants de notre pays. Ceux-là qui chaque jour voient les camerounais périr dans les accidents de la circulation sans faire grand-chose.

 

Raphael Endougou est quasiment sorti de ses gongs sur le plateau de la télévision bleue de Douala ce lundi soir. Réagissant au cours de l’émission que présente Serge Alain OTTOU sur la question de la cause de cet autre accident survenu sur la Nationale N° 4, le militant du RDPC a tenu a souligné le fait que les autorités camerounaises ne sont pas sincères dans les démarches qu’ils adoptent en matière de sécurité routière. Pour Raphaël Endougou, les membres du gouvernement en charge des questions de la route ne doivent pas transporter les questions politiques partout. Pur lui « la mort ne connaît pas de parti politique ». Mr Endougou renchérit « souvenez-vous de ce que Françoise Foning est morte sur cette route, c’est dans les même conditions que le ministre Kontchou Kouomegni a fait l’accident qui l’a pratiquement rendu immobile aujourd’hui. » Pour lui, les gouvernants sont « tous coupables ».

 

Par ailleurs, le militant du RDPC fait remarquer que la gestion des hommes qui travaillent dans les agences de voyages n’est pas bonne. Comment comprendre qu’un conducteur touche 100.000 fcfa le mois alors qu’il conduit des centaines de personnes par jour et dont on connaît les coûts des transports. Il faut que les responsables des agences de voyage fassent plus d’effort. Mais il reconnaît aussi que les conducteurs sont également coupables parce qu’ils acceptent ces situations parce qu’ils estiment pouvoir profiter de ce que certains passagers peuvent descendre en route pour qu’ils prennent d’autres client dont les montants de transports vont entrer dans leurs poches propres.

D’autres part, comment comprendre que dans un environnement où il y a des visites techniques obligatoires, des véhicules en mauvais état de circulation sont encore visibles sur les axes routiers. Raphaël Endougou souligne également les questions liées aux questions de signalisation sur les route, la matérialisation des différentes voies sur les axes routiers. « Tous coupables, parce que ceux qui nous gouvernent ne pensent pas qu’il y aura des accidents », ils n’anticipent pas véritablement sur ce qui peut arriver. Il faut sanctionner même les acteurs de l’administration qui ne font pas leur travail convenablement.

 

Stéphane NZESSEU

Après sa démission du MRC, les observateurs politiques de la scène camerounaise attendaient voir comment allait rebondir Célestin Djamen. Et comme l’avait prédit le prophète Roger Chantal TUILE, l’ex cadre du MRC est allé lancer sa nouvelle vie politique dans le septentrion.

 

Célestin Djamen a fait un meeting politique ce dimanche 27 décembre 2020 à Ngaoundéré. Il n’a pas encore dévoilé officiellement le nom de son parti ou de son mouvement politique, mais l’ancien cadre du SDF et du MRC a commencé son déploiement politique sur le terrain.

Célestin Djamen a procédé à deux rencontres hier à Ngaoundéré. D’abord, une foule d’à peine 100 personnes qui l’ont escorté par moto et autres voitures. Une fois dans la ville, non loin de l’hôtel « Ideals » il va prendre quelques minutes pour discuter avec quelques personnes qui se présentent comme des partisans ou des sympathisants de Célestin Djamen. Au milieu de ces accompagnateurs, on remarque quelques-uns qui arborent des écharpent aux couleurs du MRC. Sur le sol, entre Djamen et la petite population devant lui, on remarque un tissu aux couleurs du MRC qui est foulé au pied. Si l’on s’en tient aux prophéties de Chantal Roger TUILE, il devait avoir à Ngaoundéré une cérémonie de démission massive de militants du MRC pour le nouveau mouvement politique de Célestin Djamen. Mais visiblement, les plans ont été modifiés et les camerounais qui devaient se prêter à ce film n’ont plus été sollicités.

Quelques minutes plus tard, Célestin Djamen va tenir une importante réunion dans la salle de conférence de l’hôtel « Ideals » de Ngaoundéré. Il a rassemblé devant lui plusieurs leaders associatifs, mais aussi quelques jeunes qui s’intéressent à la politique dans la ville de Ngaoundéré. La réunion se présente de prime abord comme une réunion de mobilisation e ces jeunes et de réarmement politique.

 

Jusqu’ici les prophéties de Chantal Roger TUILE se vérifient. Il reste seulement le décret du Chef de l’Etat faisant de Célestin Djamen ministre de la République pour que la boucle soit bouclée. De son côté, l’ancien membre du « code » a enfin l’occasion de devenir un homme politique de premier plan. C’est une aubaine que lui offre le pouvoir de Yaoundé pour lui permettre d’implémenter ses ambitions politiques à travers le cheval politique qu’il va créer avec le concours de l’administration. En attendant, Célestin Djamen continue de faire le tour du septentrion.

 

Stéphane NZESSEU

Pour la Porte Parole de Cabral Libii, « Cette détention dictée par les considérations politiques est illégale, illégitime et quelque peu ridicule… ».

 

La publication a été faite il y’a quelques minutes sur la page « Cabral Libii officielle »

« Pour l’information de Mr le Sous Préfet de Sangmélima suite à la mise en détention par ses propres soins, du Régional du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale pour le Sud, le Camarade Arthur Assam.

Motif : Réunion tenue avec des camarades dans un domicile privé.

1-Ce n'est pas au Sous-préfet de constater l'infraction de la tenue d'une réunion non déclarée, Ça relève de la compétence du procureur.

2-Les réunions tenues dans un domicile privé ne sont pas interdites.

3- La loi ne sanctionne pas l'absence de déclaration de la réunion, mais plutôt le fait de passer outre l'interdiction de manifester qui a été prise par le Sous-préfet.

4- Et si on va plus loin, le code de procédure pénale dispose que si le prévenu a un domicile bien connu s'agissant d'un délit, il ne peut faire l'objet de détention.

En conclusion, cette détention dictée par des considérations politiques est illégale, illégitime, infondée et quelque peu ridicule... ».

 

Réactions

 

Si certains relatent la scène,

« Le Sous préfet et les Forces de l'ordre ont fait irruption et l'ont arrêté au motif que le réunion n'avait pas été déclarée, ils ont violemment embarqué tout le monde, sans autre forme de procès… ».

 

D’autres encore s’interrogent

« Une réunion qui se tenait Dimanche, jour de réunion dans de nombreux domiciles et autres lieux et, au regard du motif avancé, l’on se pose la question de savoir si toutes celles qui sont organisées sur l’ensemble du triangle national, les dimanches sont déclarées ;

Doit – on comprendre que c’est parce que c’est une réunion politique et que le Pcrn fait petitement son bout de chemin, en agissant dans le respect des Institutions Républicaines, il est aujourd’hui question de lui bloquer le chemin, afin de brimer tous ceux qui auront envie ou besoin de vivre autre chose ?

C’est quand même curieux mais, est ce la meilleure façon d’agir ? Peut – on dire à quel niveau la rencontre des militants du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale, certainement dans l’optique d’asseoir les bases de la relance de leurs activités nuit à qui que ce soit ? Le Chef de l’Etat demande t – il un tel zèle » ?

 

Au-delà des promesses et des menaces, ce sont les réalisations qui comptent

Aujourd’hui, plus que jamais il est question que les acteurs politiques, de tous les bords comprennent que les méthodes d’intimidation ne portent plus de fruits ; les électeurs, ont besoin des actions concrètes, des actes qui leurs permettent de sortir de la misère dans laquelle ils sont délaissés depuis des lustres.

 

 

Nicole Ricci Minyem   

 

Tout part d’une image que l’artiste publie sur son mur le dimanche matin, où on e voit tout souriant aux côtés du Président du MRC, le Professeur Maurice Kamto. De nombreux fans de l’artiste l’ont pris à partie pour dire leur déception. Une attitude que l’artiste ne comprends pas.

 

Dynastie Le TIGRE a choisi de quitter le mutisme que lui imposait le deuil suite aux évènements de NDIKINEMEKI, pour écrire et rassurer ses fans.

« Depuis quelques heures, c’est avec une certaine amertume que je vois la toile s’enflammer suite à la publication d’une photo avec le Pr KAMTO et moi aux sorties de ma prestation lors d’un mariage à Douala le week-end dernier. Le niveau des propos est indigne et se rapproche d'avantage d’une campagne de diffamation saupoudrée d’un peu de tribalisme. Les récents évènements de NDIKINEMEKI m’ont imposé un silence duquel, je peux sortir pour clarifier les choses tout en rappelant que jamais un de mes projets professionnels n’a été relayé avec autant de passion. Entre boycott d’une certaine diaspora et allégations non-fondées, j’ai fait preuve de retenue, sachant qu’on ne peut faire l’unanimité et qu’un jour, il va falloir nous asseoir et dialoguer pour aller de l’avant.

 

Dynastie LE TIGRE regrette que cette énergie ne soit pas déployée pour soutenir les œuvres des artistes.

 

Un screenshot publié par un des administrateurs de ma page, exposant les propos d’une dame suite aux évènements de Douala fait le tour de la toile, et je peux affirmer qu’il ne s’agit pas d’un acte posé avec l’intention de nuire par un membre de mon équipe. Je profite de l’occasion pour adresser mes excuses à la dame, tous ceux qui ont été heurté par cette maladresse et à tous ceux qui placent en nous un espoir pour la survie de la musique camerounaise.

Idéalement, j’aurai voulu voir se déployer cette énergie débordante pour le soutien des projets culturels et artistiques pour les créatifs de mon pays, loin de toutes formes de récupération par une certaine élite politique. Je crois en ce pays qui permet à travers la loi, la liberté d’opinion et de rencontre entre camerounais. Je crois en possibilité d’influencer positivement l’environnement à travers l’art, celui qui dépasse les frontières, celui qui valorise la diversité et la richesse issue de ce tout ce qui peut être perçu comme une différence.

 

Je suis Dynastie LE TIGRE… j’appartiens à mon public

 

Je suis DYNASTIE LE TIGRE, et c’est grâce à vous mon public que l’aventure est possible, j’appartiens à mon public et non à une ethnie. Je ne renierai jamais l’héritage de mes origines et seul le message du cœur touchera ceux qui m’écoutent avec leurs âmes.

Je suis le fils, le frère, le père, l'artiste de tous les Camerounais sans aucune forme de discrimination. Je jouis de mes libertés dans le strict cadre de ce que prévoit la loi et menaces que je reçois renforcent ma conviction dans la recherche d’union des cœurs entre chaque frère que ma musique touchera.  C’est ensemble que nous y arriverons où la peur fait reculer l’espoir d’un meilleur lendemain.

 

Nous n’avons qu’un seul pays. Aimons-nous vivant.

 

La paix n'est pas un vain mot mais un comportement à apprendre à nos enfants, de peur de léguer pour héritage la haine à nos progénitures. Et si chacun de nous décidait de ne pas être la porte par laquelle le tribalisme et la haine ethnique passeront ? Ekang en colère à gauche et combattants très très fâché à droite et la fin du film c'est quand ? et qui va gagner ? Personne, tout au contraire c'est le Cameroun qui perd #MALHEUREUSEMENT. Souvenons-nous de l'histoire du RWANDA ...

J'ai honte de voir les enfants de mon pays se faire tant de mal (pauvres mortels que nous sommes). »

 

Stéphane NZESSEU

L’activiste et journaliste camerounais vivant en France, dans l’une de ses chroniques va révéler la réelle nationalité du ministre délégué au ministre de la justice, Jean De Dieu MOMO. D’après J. Remy Ngono, le ministre Jean De Dieu MOMO est un américain de nationalité.

 

Le journaliste rappelle un fait. Une image postée par l’actuel ministre de la justice en 2014. A cette époque, les Etats Unis se préparent à choisir un nouveau président. En course Donald Trump et Hillary Clinton. A cette occasion justement, Jean De Dieu MOMO, avocat, et ancien candidat à la présidence du Cameroun, va brandir sa carte d’électeur pour l’élection américaine. Tout en faisant savoir qu’il donnera sa voix à Donald Trump tandis que son épouse (la deuxième), envisageait donner son vote à Hillay Clinton. Un élément de preuve irréfutable de sa nationalité.

J. Remy Ngono va jusqu’à apprendre à ses followers que le ministre avait acquis cette nationalité au travers de son épouse qui est à la fois Tanzanienne et américaine. Le journaliste pousse le bouchon en affirmant dans son discours que le ministre aurait contracté un mariage « par intérêt ». Et pour justifier sa théorie, ses dires, il met au goût du jour d’autres éléments (à vérifier) faisant état d’une ambition pour le ministre de se préparer un refuge politique en France où il sollicitera la nationalité de ce pays là, et nourrissant l’espoir d’intégrer le barreau de Paris.

 

Des déclarations d’une gravité sans pareil. Puisque sans le dire, l’activiste donne de croire que le Président de la République a réussi à faire nommer un ressortissant américain au cœur de l’appareil de la justice au Cameroun. Un pied de nez au service de renseignement intérieur et international du Cameroun. Sans oublier les collaborateurs du Chef de l’Etat qui serait dès lors comme des incompétents. Rappelons que le journaliste arrive à ce genre de déclaration à cause d’une affaire qui a défrayé la chronique entre le ministre MOMO et son homologue avocat, Me Claude Assira.

 

Jusqu’à l’heure actuelle, en l’état des choses, il est difficile de dire avec une ferme certitude que le ministre délégué à la justice a une nationalité américaine. De toutes façons, si c’est le cas, les autorités de la République du Cameroun sauront quelle décision prendre puisque le Cameroun ne reconnaît pas jusqu’ici la double nationalité.

 

Stéphane NZESSEU

Selon des indiscrétions, la femme de Sisiku Ayuk Tabe reproche à son époux, la division du mouvement indépendantiste.

Des indiscrétions affirment que Lilian Ayuk Tabe l’épouse de Sisiku Ayuk Tabe président de la république imaginaire d’Ambazonie demande le divorce à son mari. La raison est qu’elle reproche à Sisiku la division du mouvement indépendantiste. Pour elle, l’attitude de son époux favorise la division de leur mouvement et ne favorise pas l’unité du peuple du Southern Cameroon.

A titre de rappel, Sisiku Ayuk Tabe est incarcéré à la prison de Yaoundé Kondengui depuis l’année 2019. Avec ses compagnons arrêtés au Nigéria, dans un hôtel à Abuja le 5 janvier 2018, il a écopé au Cameroun, d’une condamnation à vie. Pour mémoire, Sisiku Ayuk Tabe s’est autoproclamé président de la république d’Ambazonie. Il est apparu au moment de la radicalisation des positions et l’enlisement de la crise. Il était farouchement attaché à l’idée de diviser le pays. Cependant, depuis son arrestation, il a perdu son autorité sur les éléments de l’Ambazonie. Beaucoup de factions ont vu le jour depuis.

Liliane N.

Le ministre de la communication du shadow cabinet du SDF fait des révélations sur les tentatives de blocage des actions du Premier Ministre Joseph Dion Ngute.

 

Jean Robert Wafo dans ses déclarations démontre qu’il y a des personnes qui voient d’un mauvais œil les actions et même la présence de Joseph Dion Ngute à la tête du gouvernement du Cameroun. Il rappelle que la veille de la nomination du Premier Ministre le 04 janvier 2019, on a appris que son domicile à dans le Nord-Ouest a été incendié. Or, personne ne pouvait savoir qu’il serait nommé si ce n’étaient des personnes proches du Président de la République. Selon Jean Robert Wafo, cette attaque contre son domicile se fait alors que le Chief Dion Ngute n’est pas encore un acteur prépondérant dans les activités liées à la résolution de la crise anglophone.

 De plus, le ministre de la communication du shadow cabinet du SDF fait savoir que durant les exercices de promotion de la paix, à travers les discussions qu’il a eu avec les habitants des villages en crises, les leaders séparatistes, et les autres acteurs de la crise, il y aurait eu des personnalités qui se sont mis en travers de son chemin avec l’ambition de lui faire des crocs en jambes.

 

Seulement Jean Robert Wafo oublie de citer tous les autres ministres originaires de cette région qui subissent eux aussi les conséquences de cette crise sur leur personne. A plusieurs reprises, le ministre Paul Atanga Nji a dû prendre des risques énormes pour diffuser le message de paix et apporter les dons du Chef de l’Etat dans les régions en crise. Et ceci au plus fort du conflit. Plus d’une fois, des biens appartenant au ministre Atanga NJI et à ses proches ont été attaqué.

Mais c’est sans relâche que le ministre de l’administration territoriale, accompagnant les actions du Chef de l’Etat et suivant les directives du Premier Ministre Joseph Dion Ngute, continue de mener des actions dans l’ombre et sous les projecteurs pour que la paix revienne dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest. Et on peut le voir aujourd’hui, grâce aux actions menées par le gouvernement que dirige Joseph Dion Ngute et dont fait partie Paul Atanga NJI, la paix semble de retour dans les régions de notre pays. L’heure est aujourd’hui à l’encadrement de ces jeunes camerounais qui quittent les forêts. Manifestement, cette étape de la crise n’intéresse visiblement pas les cadres de la communication du SDF.

 

Stéphane NZESSEU

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Sunday, 05 June 2022 11:01