The Cameroon General Certificate of Education GCE Board has told candidates to pull down suicide as a way out after a failure at an official exam following three cases of suicide recorded after the publication of GCE exam results.
In a post Monday August 23, the Board said suicide is and has never been an option and called on the candidates to think twice before taking such a decision.
“Before you think of suicide, you have the power to say ‘This is not why my story will end.’ When you feel like giving up, just remember the reason why you held on for so long. Suicide doesn’t end the chances for life getting worse; it eliminates the possibility of it ever getting better.” The post partly reads.
It further calls on all candidates who went in for this year’s GCE ordinary and advanced level exams to contact their chief of centre for their slips and kindly visit their writing centres for better assistance.
This caution by the Board however came under huge criticism by internet users who described it as being insensitive.
It comes after three students in Yaounde, Douala and Bamenda are reported to have taken away their lives after they failed to make it in the 2020/2021 session of the GCE examination.
The Board equally reported that this year’s GCE results witnessed a slide drop in performances. According to the statistics released, a 61, 94 percent pass was recorded in the GCE Advanced Level, a drop from the 64, 4 percent recorded last year.
On the other hand, a 59, 08 percent score was recorded at the GCE Ordinary Level, a drop from the 64, 4 percent recorded last year. However, there was an increased participation at this year’s session with an additional 16,000 candidates taking the exams, according to the Board Chair of the GCE Board, Prof Ivo Leke Tambo.
Ariane Foguem
Un appel d’offres vient d’être lancé par le ministère des Domaines, du Cadastre et des Affaires foncières.
La résidence de l’Ambassadeur itinérant Albert Roger Milla, sis en contrebas du Centre Pasteur du Cameroun (CPC) à Yaoundé va être réhabilitée par le gouvernement. Le projet semble avoir déjà été bien ficelé. Car, le ministère des Domaines, du Cadastre et des Affaires foncières (Mindcaf) a lancé un appel d’offres dans ce sens. Ledit appel d’offres concerne les entreprises spécialisées dans les travaux publics. Et elles doivent être implantées au Cameroun.
De nos sources, on apprend que le budget prévu pour ces travaux de réhabilitation de la maison de Roger Milla est de 16,458 millions de FCFA TTC (Toute taxe comprise). Et il sera question de faire : (1) la réfection de la charpente, à la pose de la couverture, et à la fixation de faux plafonds en contreplaqué, avec une structure en Iroko ou un bois dur similaire ; (2) au renouvellement de la peinture, avec une préférence pour la peinture de marque SEIGNERIE, précise le Dossier d’Appel d’Offre ; (3) et au renouvellement des installations électriques. Le projet sera financé par le Budget d’Investissement Public (BIP) du ministère de l’Economie, de la Planification et de l’Aménagement du Territoire.
Les entreprises intéressées ont jusqu’au 13 septembre 2021 pour soumissionner, et celle qui sera adjudicataire de ce marché disposera d’un délai de trois mois pour livrer ces travaux, à compter de la date de notification de l’ordre de service de démarrage des travaux par le maitre d’ouvrage qui est le Mindcaf.
Liliane N.
The Presbyterian Church in Cameroon has condemned in strongest terms the shooting by unidentified armed men at the Ntanfoang church in Bali during Sunday August 22 divine service that claimed the life of one of its Christians and severely injured the pastor on duty.
In a highly awaited reaction, the Synod Committee Executive of the church say it is “deeply embarrassed and troubled at the barbaric torture that God’s children have been subjected to” in the crisis-hit Anglophone regions for the fifth year running.
Recounting what happened, the Committee says the church was duly informed that on Sunday August 22 at the Presbyterian Church Ntafoang in Bali subdivision, seat of the Bali Presbytery, service was interrupted by gunshots. A loud explosion was herd outside close to the church house followed by random gunshots. It further states that bullets were then rained on the church in the course of which, a female Christian identified as Grace Titalabit was killed instantly, meanwhile the Pastor on duty, Rev. Voma Simon Montoh sustained a severe injury on the arm.
In shock, trauma and consternation, the Christians managed to ferry the dead Christian and the Pastor to the hospital. The Pastor received a surgical removal of the bullet and as at now is recovering from the health challenge, the shock and trauma.
The Synod Committee Executive laments that such an atmosphere of insecurity and fear has been reigning in the Anglophone regions for more than four years and appeals of a ceasefire to both the Government of Cameroon and Ambazonia separatist militia who have taken up arms on the people have fallen in deaf ears.
“We therefore condemn this unnecessary and unhuman treatment meted on God’s children by those who are supposed to protect them…” Part of the communique reads.
Reminding Government about Article 27 of the 1899 Hague Regulations to which Cameroon is a signatory, which provides that “in sieges and bombardments, all necessary steps should be taken to spare as far as possible edifices devoted to religion, art, science, and charity…” the Synode “calls on both parties to cease fire unconditionally especially on Sundays and that a proper investigation is conducted by the Government and other international bodies for those responsible to be brought to book.”
While praying for the children of God in the North West and South West regions, most hard-hit by the senseless war, the church has extended its heartfelt condolences to the family of its late Christian, Grace Titalabit, and called on Christians to build their hope on God who assures us all of a time of peace as indicated in the book of Isaiah chapter 2 verse 4: “He will judge between the nations and will settle disputes for many people. They will beat their swords into ploughshares and their spears into pruning hooks. Nation will not take up sword against nation nor will they train for war anymore.”
Ariane Foguem
D’après les témoignages puisés à bonne source, c’est hier lundi 23 août 2021, que des combattants séparatistes ont pénétré la localité d’Oku située dans la région du Nord-Ouest. Selon un habitant de ladite localité qui s’est confié au confrère Xinhua, ceux-ci sont arrivés quand les populations vaquaient à leurs occupations.
« Nous faisions nos activités normales et ils sont arrivés ici, l’air très en colère, tirant des coups de feu en l’air et ont commencé à incendier des maisons. Ils sont partis après et nous ont dit qu’ils reviendraient si nous ne respections pas à nouveau leurs instructions », a déclaré l’habitant sus mentionné joint au téléphone par Xinhua. Ce dernier a lui-même eu sa maison incendiée.
Selon les habitants d’Oku, les combattants séparatistes leur en veulent parce qu’ils n’ont pas respecté les villes mortes. Ils ont donc incendié le marché principal, deux bâtiments gouvernementaux et d’autres résidences privées.
A titre de rappel, c’est depuis 4 années déjà que les combattants séparatistes imposent aux populations du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, de respecter leur opération ville morte-ghost town. Durant les jours choisis pour ladite opération, il est interdit aux habitants des deux régions anglophones de vaquer à leurs occupations. Les échoppes et commerces doivent rester fermés. Celles des populations qui bravent l’interdiction sont victimes de représailles.
Liliane N.
Selon le Système d'information des douanes camerounaises baptisé Camsis (Cameroon Costoms Information System), ces commissionnaires n’ont effectué aucune opération de dédouanement au Cameroun depuis plus d’un an.
Ce sont au total 82 commissionnnaires en douane agréés qui n’ont effectué aucune opération de dédouanement au Cameroun depuis plus d’un an, selon les données mis à disposition par Camsis, le tout nouveau système d’information de l’administration douanière du pays.
Selon un communiqué publié le 11 août 2021, fort de ce constat, le ministre des Finances, Louis Paul Motazé, enjoint ces opérateurs de se justifier sous huitaine. Faute d’apporter des éléments justifiant leur inactivité au cours des 12 derniers mois, prévient le Ministre des Finances dans son communiqué, ces commissionnaires agréés en douane s’exposent à « une mise en demeure pour retrait de l’agrément à l’exercice de cette profession, conformément à la règlementation en vigueur ».
De sources douanières, ils sont nombreux des commissionnaires agréés en douane qui ont tout simplement qui ont cessé de mener leurs activités du fait de la rude concurrence qui existe dans le secteur. Ce qui a d'ailleurs entrainé dans la foulée des pertes d’emplois au sein ces entités.
Le commissionnaire agrée en Douane
Le commissionnnaires agréé en douane n’est pas un commissionnaire comme les autres, mais un mandataire, agrée par l’Administration des Douanes, il se substitue aux exportateurs et importateurs pour accomplir les formalités douanières.
L’Acte n° 31/CD-1220 du 14 décembre 1981 régit la profession de commissionnaire agrée en douane, dans la CEMAC ; Conformément à l’article 1 de cet Acte, sont considérés comme commissionnaires en douane agréés et soumis comme tels aux prescriptions édictées par le Code de Douanes, toutes personnes physiques ou morales faisant profession d’accomplir pour autrui les formalités douanières concernant la déclaration en détail des marchandises, que cette profession soit exercée à titre principal ou qu’elle constitue le complément normal de l’activité principale.
Innocent D H
Dimanche 22 août, des individus armés ont tiré à balles réelles dans une église presbytérienne à Bali, dans la région du Nord-Ouest Cameroun. Le décès d’une dame a été enregistré et le pasteur blessé au bras. Face à ce triste événement, le député du Social democratic front (Sdf) monte au créneau.
" Se limiter aux condamnations creuses et aux slogans hostiles et à la limite lassants pour les populations qui subissent quotidiennement dans leur chair ce drame insoutenable, ne changera pratiquement rien à ce qui se passe dans les deux régions du nord-ouest et du sud-ouest ", indique l'honorable Jean Michel Nintcheu dans une déclaration en réaction au massacre dans une église presbytérienne à Bali.
Pour l'homme, l'une des figures les plus redoutés de l'opposition actuelle, les deux équations à résoudre sont celles de la guerre et du retour de la paix. La véritable paix passe inéluctablement par l’ouverture d’un dialogue politique national inclusif franc et sincère sur la forme de l’État entre les différents protagonistes et toutes les forces politiques et de la société civile.
" Tant que ce dialogue politique véritable n’est pas organisé, le gouvernement camerounais, à qui incombe la responsabilité constitutionnelle de protéger les personnes et les biens, sera toujours tenu pour responsable de l’enlisement de cette sale guerre qui aurait pu être évitée dès le déclenchement de cette crise si le régime de Yaoundé avait adopté une stratégie plus conciliante et non celle absurde et autoritariste ", déclare en outre le député du Sdf.
Pour finir son propos, l'élu du peuple souhaite que les auteurs de l’attaque inacceptable de l’église presbytérienne de Bali ainsi que d’autres attaques non encore élucidées au niveau des enquêtes judiciaires qui l’ont précédée, soient formellement identifiés à l’issue d’une enquête indépendante et les coupables directs ou indirects sévèrement punis conformément à la loi.
Innocent D H
Après des publications particulièrement en ligne impliquant les Forces de défense et de sécurité dans la fusillade qui a eu lieu hier dimanche 22 août 2021, à l’église presbytérienne de Bali à Bamenda au Nord-Ouest, l’armée par la plume de son porte-parole, le capitaine de vaisseau Cyrille Serge Atonkack Guemo donne sa version des faits.
Tout d’abord elle précise que les Forces de défense et de sécurité n’ont rien à voir dans cette tragédie. Il convient de préciser qu’elle a fait un mort et de nombreux blessés par balle.
Le porte-parole de l’armée indique qu’une fois de plus, on est dans une logique de dénigrement des Forces de défense et de sécurité. Les auteurs de cet acte condamné par tous, font partie d’un groupe de séparatiste appelé Buffalo’ Fighters of Bali.
Retrouvez ci-dessous le communiqué intégral de l’armée
Ces motos-ambulances sont à même de parcourir les zones les plus enclavées pour aider les femmes à accoucher dans les formations sanitaires. Il s'agit ainsi, d'une solution innovante mise en place pour renforcer la santé maternelle, dans une région où les indicateurs de la santé sont au-dessus de la moyenne nationale, indiquent des sources sanitaires.
A en croire les explications Jean Moutsina, chef du district de santé de Tignère, département du Faro et Deo. « Ces engins permettent de référer les femmes enceintes des communautés vers les centres de santé, mais également des centres de santé soit vers les hôpitaux de district, soit vers les centres médicaux d'arrondissement (CMA) pour une meilleure prise en charge ».
L'on apprend que ces motos ne ressemblent pas à une ambulance classique mais elles sont une véritable roue de secours dans cette partie du pays, où les routes sont si mauvaises qu'il est difficile pour ces femmes d'atteindre les centres de santé en cas d'urgence. Et parmi les raisons avancées pour justifier les accouchements à domicile, il y a l'éloignement de la formation sanitaire. La moto-ambulance se présente ainsi comme une solution dans la mesure où elle peut parcourir des centaines de kilomètres sur une route impraticable ou tortueuse même en saison des pluies.
Hassana Yawa, formé à l'utilisation de ces engins raconte, « Lorsque les routes sont impraticables, nous garons la moto-ambulance là où c'est possible. Nous prenons une simple moto pour aller chercher la femme enceinte chez elle et venir l'installer dans la moto-ambulance. Nous sommes deux chauffeurs, le second aide souvent à pousser la moto en cas de problème ». Grâce à cet engin, la femme peut s'allonger complètement sur la civière dans le side-car, assistée d'une personne compétente et accompagnée d'un proche, confie-t-il.
Contribution des ménages
Les ménages doivent payer un taux forfaitaire annuel pour une meilleure appropriation communautaire de ces engins. « Chaque famille contribue à hauteur de 1 150 FCFA par an », indique Pascal Dawa, chef du centre de santé intégré (CSI) de Libong, à une vingtaine de kilomètres de Tignère.
Adamou Amadou, président du comité de gestion des moto-ambulances, fait savoir quand à lui qu'à Wogodoum, village situé à 80 km de Tignère, « les ménages doivent cotiser 2 400 l'an. Cette somme sert à réparer les pannes, à mettre du carburant et à "motiver" les conducteurs » qui travaillent bénévolement.
Innocent D H
L’écrivain Patrice Nganang affirme avoir eu des échanges avec son avocat. Les échanges avec son avocat l’ont convaincu de laisser tomber la plainte contre le Directeur du Cabinet civil de la présidence et l’hôtel intercontinental de Genève.
Patrice Nganang n’ira pas jusqu’au bout des actions judiciaires qu’il avait intenté contre Samuel Mvondo Ayolo le Directeur du Cabinet civil de la présidence de la République et l’hôtel intercontinental de Genève. Sur sa page Facebook, l’écrivain donne les raisons l’ayant poussé à prendre cette décision.
« Certes mes plaintes formelles continuent leur chemin au ministère public de Genève, mais l'avocat m'a dit qu'elles n'auront pas de suite, pour les raisons évoquées dans son texte. La logique procédant aussi par élimination (falsification), ces méthodes sont donc retirées de la table pour les futurs combats, pour ce qui me concerne. J'ai eu une session juridique avec l'avocat, elle a duré deux heures de temps, et a couté 150 Francs suisses que j'ai payés cash. Je laisse tomber la plainte contre la Coach, comme j'ai dit hier, parce que c'est une jeune sœur qui se cherche, et ce serait triste de la punir, en même temps que ceux qui sont au pouvoir sont protégés par la loi suisse, par l'immunité présidentielle, et par l'immunité diplomatique universelle », a-t-il écrit.
Patrice Nganang affirme par ailleurs qu’il a reçu ses deux bagages qui étaient perdus. Il a aussi perçu de l’hôtel intercontinental la somme de $615 que cette structure hôtelière lui devait. Il déclare qu’il peut maintenant et de toute évidence y résider quand le président de la République Paul Biya n'y est pas, parce que c'est un hôtel.
« Le reste, ce sont des bagatelles », a-t-il conclu.
Pour mieux comprendre cette sortie de l’écrivain, il faut rappeler que lors du dernier et récent séjour du président Biya à l’hôtel intercontinental de Genève, celui-ci s’est rendu dans cette structure. Cependant les responsables dudit hôtel avaient refusé de le loger. Il avait donc annoncé une plainte contre l’établissement hôtelier et une autre contre le Directeur du Cabinet civil. Il accusait Samuel Mvondo Ayolo d’avoir pris ou fait prendre des photos de lui au moment où il se trouvait dans le hall de l’hôtel et de les avoir envoyées au journaliste Ernest Obama pour diffusion.
« Je porte plainte contre Samuel Mvondo Ayolo… pour violation de mon domaine privé au moyen de photographies prises par lui, sous ses ordres ou du moins par des personnes sous ses ordres d'images envoyées par lui ou ces personnes au journaliste Ernest Obama et utilisées à des fin dénigrantes, abaissants et diffamantes dans le média B News1 au Cameroun, média qu'Ernest Obama dirige », avait écrit Patrice Nganang sur les réseaux sociaux.
Liliane N
L’homme des médias, dans une publication faite ce lundi affirme qu’il ne s’agit ni plus, ni moins que d’un règlement de comptes post-mortem.
Un avis que semblent partager les militants et sympathisants du mouvement pour la renaissance du Cameroun qui ont, comme de coutume envahi les réseaux sociaux et certains ne manquent pas de lancer des propos discourtois à tous ceux qui commentent cette actualité, sans toutefois partager leur avis
La publication de Georges Dougeli
“Je ne connais pas le signataire du communiqué ci-joint. Je note que sa signature est précédée de « Pr », c’est-à-dire « professeur », en abrégé de ce titre réservé aux gens instruits, en témoignage de leur statut issu de la notabilité universitaire, un milieu où savoir-être et bonnes manières sont exigés.
Mais que dit-on de la plume de ce « Pr » ? Qu’un homme politique est interdit d’obsèques pour n’avoir rien dit lorsque la foule lyncheuse des réseaux sociaux s’est attaquée à un ex-allié. A tort ou à raison.
1-La courtoisie élémentaire aurait voulu que la famille biologique du disparu, en sa qualité de responsable juridique de la dépouille, se chargeât d’écrire- en privé – aux personnes visées pour leur signifier que leur présence n’était pas souhaitée. Elle qui a le droit d’inviter ou d’exclure qui elle veut.
Au lieu de quoi, notre « Professeur » choisit de produire un communiqué largement diffusé, portant ainsi à la connaissance du public une décision relative à un événement privé.
Dans quel but, si ce n’est d’en politiser la portée ? Cela change tout. Prendre prétexte du décès d’un homme pour régler des comptes politiques est-il la meilleure manière de restaurer sa mémoire ? J’en doute.
2- En politique, le ressentiment est toujours contre-productif. J’apprends de nos néo-politiciens qu’il est interdit de regretter le décès d’un adversaire qu’on a critiqué, voire insulté. Dans quelle jungle sommes-nous tombés ?
Désormais, l’accès aux obsèques sera-t-il réservé à ceux qui n’ont jamais eu que des mots doux pour le défunt ? Ce raisonnement puéril serait drôle si la circonstance n’était aussi triste.
Notre « Pr » signataire de fatwa se trompe et de métier et d’époque. Un conseil : il sera toujours temps de changer de métier si tant est que la politique soit le sien. Ensuite, pour échapper aux « hordes d’imbéciles » qui ont pris le pouvoir sur les RS, que notre « Pr » se retire en ermite dans une grotte.
Ainsi échappera-t-il à une mort prématurée due aux insultes. Lol ! Avec tout le respect dû au disparu, sa famille devrait faire retirer ce communiqué indigne”.
N.R.M
Ils ont été retenus pour les matchs comptant pour la première et la deuxième journées des éliminatoires de la Coupe du Monde Qatar 2022 de football qui vont se disputer en septembre prochain. Ils auront comme adversaires le Malawi et la Côte d’Ivoire.
Ladite liste a été rendue publique ce lundi par l’entraîneur sélectionneur des Lions indomptables Antonio Conceicao Oliveira.
Quatre gardiens : Omossola Simon - Epassy Dewis - Efala Komguep Jean - Nlend Narcisse Junior ;
Sept milieux : Djoum Arnaud - Kunde Malong - Zambo Anguissa - Oum Gouet Samuel - Hongla Martin - Lea Siliki James - Neyou Yvan ;
Défenseurs : Fan Collins - Mbaizo Olivier - Ngadeu Michaël - Castelletto J.C - Moukoude Harold - Billong Jean Claude - Dawa Joyskim - Tchamba Duplexe ;
Attaquants : John Harry - Canaco Ignatius - Bassogog Christian - Maxime Choupo Moting - Bahoken Stéphane - Toko Ekambi Karl - Ngamaleu Moumi - Lambert Gueme Araina - Aboubakar Vincent.
Dans sa 22ème édition est une compétition organisée par la Fédération Internationale de Football Association. Elle réunit les meilleures sélections nationales et va se dérouler au Qatar du 21 novembre au 18 décembre 2022, jour de la fête nationale du Qatar et une semaine avant Noël, avec une estimation du marché télévisuel potentiel à 3,2 milliards de téléspectateurs.
La période inédite à laquelle va se dérouler le tournoi est liée au climat du Qatar et aux trop fortes chaleurs y régnant, particulièrement aux dates où se déroule habituellement la compétition (mai-juin-juillet).
La présence de ce pays, qualifié d'office en tant que pays hôte de la compétition, perpétue la tradition des équipes faisant leur apparition pour la première fois dans l'histoire de la Coupe du monde.
La Coupe du monde de 2022 est la septième et dernière édition du mondial à compter 32 participants (depuis 1998). En 2018, la Fédération Internationale de Football Association ( Fifa) envisage cependant la possibilité d'anticiper le passage du tournoi à 48 équipes prévu pour 2026 et de l'appliquer en 20222, mais elle renonce à cette idée dès le printemps 2019 en raison de trop grandes difficultés à surmonter pour modifier et adapter une organisation initialement prévue pour accueillir 32 équipes et non 48.
Dépourvu d'infrastructures sportives adaptées, l'État qatari doit engager de grands chantiers de construction qui soulèvent de fortes critiques.
Plus de 37 ouvriers étrangers trouvent la mort sur les chantiers du Mondial 2022 selon les sources gouvernementales, un chiffre que de nombreuses organisations et journalistes estiment fortement sous-évalué.
Douze pays africains ont été retenus dans le cadre de cette compétition, à l’instar du Cameroun qui évolue dans le groupe D avec la Côte d’Ivoire, la Mozambique et le Malawi.
Nicole Ricci Minyem
Five children between the ages of two and nine died in a fire at their home in East St. Louis, in the United States of America. Their mother had left briefly to pick up her boyfriend from work and returned to find the fire. They were laid to rest over the weekend.
Sabrina Dunigan is yet to come to terms with the early and tragic passing on to glory of her five kids. Last August 6, Loy-el Dunigan, aged 2, Jabari Johnson aged 4, Neveah and Heaven “Veah” Dunigan, twins aged 8 and 9-year-old Deontae Davis perished in a fire outbreak at their apartment in East St. Louis, USA.
Previous reports had it that the children were alone in the apartment in the 500 block of 29th Street at the time of the fire. Sabrina had left briefly to pick up her boyfriend from work. After investigations, it was established that they were in with their grandparents who jumped from the apartment’s second floor following the fire outbreak.
The mother who arrived the house after running her errand reported the fire while entering the building in an attempt to rescue the children. All efforts to safe them were futile as two died inside the apartment, two in an ambulance and one on the way to the hospital. The recued last three succumbed to smoke inhalation.
The fire started in the living room area, but the real cause is yet to be determined. The Illinois State Fire Marshal is investigating. It took about 30 or 35 minutes for firefighters to extinguish the fire. None of the other tenants were at home at the time of the fire.
The family had moved into the apartment after being burned out of their previous home earlier this year.
The five children were laid to rest Saturday August 21 at the Sunset Gardens of Memory Cemetery in Millstadt.
Deontae, the eldest will be remembered as being protective of his sisters. He wanted to be a policeman when he grew up. Neveah loved butterflies and nature. Heaven enjoyed playing dress up. Jabari loved all kinds of food and food shows and Loy-el had a smile that could light up a room.
Ariane Foguem
Several bridges on the 40-kilometre international road, which spans from Jabbi-Lamba to Belel in Adamawa state in neighbouring Nigeria and lie within the Maiha Local Government Area, LGA, an area which shares an international boundary line with the Republic of Cameroon have been destroyed.
The bridges gave way to floods last Sunday night resulting from repeated downpours in the area thereby halting cross border businesses and travels.
The affected roads are the one from Jabbi-Lamba to Belel and the one linking Nguli to Belel, -a town in Nigeria located near the border with Cameroon, both spanning a number of LGAs in northern Adamawa, while the destroyed bridges lie within the Maiha Local Government Area, an area which shares an international boundary line between Nigeria and the Republic of Cameroon.
Adamu Abubakar, a resident in one of the affected areas told saharareporters.com that business activities along the international route have been grounded. "As a result of the collapse of the bridges, business and economic activities have completely come to a halt between Nigeria and Cameroon." Saharareporters.com indicated in a report.
According to another Nigerian website, the Daily Post, Konkol, Belel, Sarau A, Sarau B. and Tambajam which happens to be the affected communities in Nigeria have been completely cut off from the rest of the world.
Speaking on a radio programme, the Chief of Staff of the Maiha LGA, Adamu Abubakar, said in the affected places, being agrarian communities, many farmers are severely affected by the collapse of the two roads as they will find it difficult to transport their farm produce to the markets.
He has appealed to the Governor of the state involved to intervene by pressing buttons to get the attention of the Federal Government over the international highways, which, according to him, had been left in bad condition over many decades.
Ariane Foguem
Ambazonia fighters led by dreaded General No Pity are reported to have burnt down vehicles and stores in and around the Elak Oku market in the North West region, burnt part of the Oku Council as well as the Mayor’s residence early this Monday morning.
The bact was reportedly carried out on basis that the people in the market do not respect Monday ghost towns and often betray separatists’ hideouts.
Victims of an attack at the Olak Oku market and environs in the restive North West region of Cameroon are yet to come to terms with the burning down of their business premises and vehicles early this Monday August 23 by a group of suspected separatist fighters led by wanted Field Marshall No pity.
The fighters are said to have stormed the market very early Monday, firing gunshots to force occupants out before setting the place on fire on grounds that the people there do not respect the Monday ghost towns imposed by them and often betray their hideouts.
A dozen of shops and vehicles around the market were set ablaze. The fighters then proceeded with the Council situated not far from the market and burnt down part of it, and next set ablaze a portion of the house of the Mayor of Oku Council.
Ambazonia General No Pity said to have led the operation has been the brain behind several other attacks in major Divisions in the North West region. Recently, he was declared dead but resurfaced. In one of his outings, No Pity said he is on mission to eliminate all black legs in the area.
Ariane Foguem