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Une correspondance retraçant les différentes mesures prises par les pouvoirs publics depuis le début de la crise a été adressée à cet effet le 22 avril dernier à Antonio Guterres par le représentant permanent du Cameroun aux Nations unies.

 

Dans cette correspondance, relayée par Cameroon Tribune, l’ambassadeur Michel Tommo Monthé procède à un récapitulatif des engagements et des mesures concrètes prises par le gouvernement en vue de parvenir à l’apaisement et au dialogue s’agissant de la situation socio-politique au Cameroun et particulièrement de celle qui prévaut dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest. Le diplomate rappelle ainsi les engagements réitérés par le président de la République, Paul Biya au cours de la campagne électorale pour l’élection présidentielle du 7 octobre 2018, et même dans son discours d’investiture le 6 novembre 2018.

Le chef de l’Etat, au faîte des préoccupations de ses compatriotes, avait alors pris l’engagement d’actionner deux principaux leviers : œuvrer au retour de la paix et faire procéder à l’accélération du processus de décentralisation. C’est dans ce cadre que l’on peut également situer la création d’un ministère de la Décentralisation et du Développement local.

Dans la suite de sa correspondance, le représentant du Cameroun auprès des Nations unies a procédé, à l’intention du secrétaire général des Nations unies, à l’ensemble des mesures prises par le gouvernement, à l’initiative du président de la République : recrutement spécial de 1 000 enseignants bilingues, mise en place d’un fonds spécial de deux milliards de F pour servir de subvention en faveur des établissements d’enseignement privés laïcs et confessionnels, création d’une division spéciale du Common law au sein de la Cour suprême, réorganisation de l’Ecole nationale d’administration et de magistrature (Enam) pour y introduire la pratique obligatoire du bilinguisme, pour ne citer que celles-là.

D'autres mesures plus globales ont été prises. Cameroon Tribune cite, la création de la Commission nationale pour la promotion du bilinguisme et du multiculturalisme désormais opérationnelle ; le lancement du plan d’assistance humanitaire d’urgence d’un montant de 12,7 milliards de F afin de rétablir un cadre de vie propice à l’épanouissement et au développement des communautés affectées par les violences terroristes ; arrêt des poursuites alors pendantes devant les tribunaux militaires contre quelques 335 personnes dont les nommés Ayah Paul Abine, Nkongho Félix Agbor, Fontem Aforteka’a Neba ; création du Comité national de désarmement, de démobilisation et réinsertion (Cnddr)…

L’ambassadeur Tommo Monthé relève que « de manière générale, le climat socio-politique évolue sereinement, malgré les soubresauts occasionnés par certains acteurs qui continuent à vouloir contester dans la rue, les résultats de la dernière élection présidentielle ». Il rappelle du reste que dans un souci de transparence, les autorités camerounaises ont invité le haut-commissaire aux Droits de l’homme et le Parlement européen « à venir voir eux-mêmes la situation qui prévaut au Cameroun. Le représentant du Cameroun à l’Onu invite enfin les partenaires bilatéraux et multilatéraux de son pays à accompagner le gouvernement dans sa volonté de travailler pour un retour définitif à la normale.

 

Otric N.

Deux de ces tricheurs ont pris la poudre d’escampette et les six autres ont été épinglés.

 

Les surveillants de salle ont mis la main sur huit faux candidats lundi durant le concours d’entrée à l’Institut de formation et de recherche démographiques (IFORD), un établissement de l’Université de Yaoundé I.

A en croire Cameroon Tribune qui rapporte cette information, pour participer à ce concours qui donne accès à la Fonction publique et auquel 318 candidats ont postulé cette année, ces imposteurs ont usé de fausses pièces d’identité en se mettant dans la peau de vrais prétendants.

« Les photos qui figurent sur le dossier d’examen ne sont pas les mêmes que celles sur les différentes cartes nationales d’identité. En vérifiant les visages au moment où ils étaient en train de passer l’épreuve de culture générale, on s’est rendu compte qu’ils ne correspondent pas », a expliqué Didier Nganawaran, directeur des études et formations à l’Institut de formation et de recherche démographiques (IFORD).

Informés de la situation, le ministre de la Fonction publique et de la Réforme administrative, Joseph LE et ses collaborateurs ont effectué illico presto une descente au campus de Ngoa-Ekellé. Dans la salle qui fait office de secrétariat, les présumés coupables ont répondu à quelques questions posées par le ministre.

« Avant toute chose, je vais féliciter mes collaborateurs et les responsables de l’IFORD qui nous ont permis de démasquer ces faux candidats. Ils sont venus concourir à la place des autres. C’est une situation déplorable, d’autant plus qu’il s’agit d’un concours international et sur les 22 Etats membres, 15 ont présenté des candidats et la formation est faite à Yaoundé », a indiqué le Minfopra.

Seuls les candidats méritants au terme de cette compétition rude devant être admis au sein de l’IFORD, ces faux postulants ont été conduits à la police judiciaire pour les besoins d’enquête. Pour les prochains concours administratifs organisés par le Minfopra, le ministre Joseph LE met en garde.

« De nouvelles méthodes sont mises en place pour débusquer ces faux candidats. Ceux-ci encourent des peines tout comme les candidats pour lesquels ils sont venus composer. Toutes les mesures prévues par la réglementation en vigueur vont être appliquées avec toute la rigueur nécessaire parce qu’il faudrait que ces pratiques cessent », a conclu le Minfopra. Le concours s’achève ce jour par l’épreuve de probabilité et statistiques.

 

Otric N.

C’est du 13 au 14 Juin prochain et, pour les participants qui viennent de plusieurs pays de l’Afrique Francophone et d’ailleurs, les enjeux de ces assises sont multiples

 

Il s’agit entre autres des opportunités d’affaires uniques avec en plus, la possibilité de : renforcer leur notoriété auprès des décideurs de la région - Rencontrer leurs futurs clients dans un seul et même lieu - Mettre en avant leurs projets innovants et les faire connaître auprès des cibles -  Profiter d’une visibilité ciblée et exceptionnelle auprès de leurs cibles - Bénéficier d’une large couverture médiatique en amont, pendant et après l’événement - Participer à des moments forts d’échanges et de Networking.

Les organisateurs qui ont publié l’annonce sur le site « africabankingforum.org », parlent du Forum de l’Industrie Bancaire en Afrique Francophone, comme de l’événement leader des métiers et technologies de la banque en Afrique francophone. Raison pour laquelle, les thématiques qui vont meubler les conférences et autres tables rondes ou encore les séquences de Be to Be, ont été sélectionné à desseins.

Yaouba AbdoulayeMinistre délégué auprès du Ministre des Finances Cameroun, l’une des personnalités invitées à prendre part au premier Forum de l’Industrie Bancaire d’Afrique Francophone, pense  que : « L’avenir de l’Afrique passe par le développement cohérent de son système bancaire. Face à ces mutations rapides de l’écosystème financier international, les pays africains expriment le besoin permanent de mise à niveau de leur industrie bancaire… ».

 

Contexte

Le secteur bancaire en Afrique subsaharienne reste marqué par sa très grande diversité, que l’on considère le degré de concentration des établissements bancaires ou le taux de bancarisation des populations, qui s’échelonne de plus de 50 % pour l’Afrique du Sud à moins de 10 % pour l’Afrique francophone. 

Les banques commerciales dominent aujourd'hui encore les systèmes financiers d’Afrique subsaharienne. Après les indépendances, le secteur était essentiellement composé de banques étatiques et de quelques grandes banques issues des anciennes puissances coloniales. Au cours des quarante dernières années, plusieurs mutations majeures ont progressivement transformé les systèmes financiers africains. Une évolution d’importance a été l’apparition des premières banques privées africaines, suivie par la mise en place de leurs réseaux régionaux.

Le secteur a également été marqué par le repli partiel des grands groupes étrangers et par les grandes difficultés des banques étatiques. Un autre facteur de changement a été ensuite la création de marchés régionaux, qui a favorisé l’émergence de groupes bancaires africains de dimension régionale ou même continentale. Ces différentes étapes, ces mutations à répétition ont dessiné les contours des systèmes financiers africains d’aujourd’hui avec leurs forces et leurs faiblesses.

 

Nicole Ricci Minyem

S.E Ran Gidor l’ambassadeur d’Israël au Cameroun a effectué le 25 avril 2019, une visite à la Commission nationale pour la promotion du bilinguisme et du multiculturalisme, dont le président est Peter Mafany Musonge.

 

C’est pour s’enquérir au mieux du travail qu’abat la Commission nationale pour la promotion du bilinguisme et du multiculturalisme (Cnpbm), que S.E Ran Gidor est allé à la rencontre de Peter Mafany Musonge, qui lui a accordé une audience. Au terme de ladite audience, le Diplomate israélien a tenu à indiquer l’importance du travail assigné à la Cnpbm pour la promotion du vivre ensemble au Cameroun et au-delà de ses frontières.

« Nous l’Ambassade d’Israël au Cameroun ainsi que la communauté internationale, pensons que le travail effectué par la Cnpbm est d’une importance critique non seulement pour le Cameroun, mais pour l’ensemble de la sous-région. C’est pourquoi nous souhaitons à la Commission, de même qu’à son président, beaucoup de succès », a-t-il déclaré. En rapportant face à la presse ce qui a meublé son échange avec Peter Mafany Musonge, le Diplomate israélien a indiqué qu’Israël est prêt à apporter sa contribution « dans des programmes qui participent au dialogue au niveau scolaire et universitaire ».

A titre de rappel, il convient de préciser que de nombreux pays amis et partenaires du Cameroun se sont déjà montrés résolus à apporter leur aide pour la promotion du vivre ensemble et le maintien de la paix dans notre pays. C’est le cas du Canada qui s’est proposé de partager son expérience du bilinguisme avec le Cameroun. Lors de la rencontre du 10 décembre 2018, S.E Nathalie O’NEIL le Haut-Commissaire du Canada au Cameroun a indiqué qu’il a été question de rencontrer plusieurs autorités locales, pour prendre connaissance d’importants dossiers sur le Cameroun et de chercher à mieux cerner les contours de la crise anglophone pour accompagner le pays dans la recherche des solutions adéquates.

La diplomate canadienne a déclaré face à la presse que le Canada veut apporter au Cameroun, sa riche expérience en s’appuyant sur l’exemple appliqué dans les Provinces canadiennes en matière de Bilinguisme.

Rappelons par ailleurs que la principale recommandation lors des assises de la 4ème session de la Cnpbm  a été qu’il faut accélérer l’implémentation des activités de la Commission en 2019, dans l’optique de répondre aux attentes du Président de la République, qui tient au renforcement du vivre-ensemble et de l’unité nationale.

Cette session a été consacrée à l'examen du projet de rapport du comité, la crise dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, à la présentation et à l'adoption du projet de plan d'action pour l'exercice 2019 et à la récapitulation des obligations des membres, dans l'exercice de leurs fonctions.

 

Liliane N.

C'est à la faveur de la 2e convention nationale de prière pour le Cameroun tenue du 24 au 27 avril à la Faith Bible Church de Bojongo par Bonaberi. Convention organisée par la Synergie pour le Réveil au Cameroun (SRC).

 
 
C'est une grande première. L'église de réveil au Cameroun a tenu à récompenser même à titre posthume ces personnalités de l'évangile de Jésus Christ qui auront marqué la vie chrétienne de manière positive au Cameroun. Parmi ces hommes et femmes récompensés à l'occasion de la cérémonie tenue précisément le vendredi 26 avril, le corps du Christ a décerné un prix au pasteur protestant Lottin A Same.
 
Le rôle du pasteur Lottin Same dans l'histoire de l'église au Cameroun remonte à l'époque coloniale. Pour saisir la pertinence de l'oeuvre accompli par le Pasteur Adolf Lottin Same, il faut remonter à 1845 avec l'arrivée d'Alfred Saker au Cameroun. Les populations qui vont être évangélisées par ce missionnaire anglais vont se regrouper au sein d'une organisation chrétienne qui se veut autonome : la Native Baptist Church (ou l'Eglise Baptiste des Natifs).
 
Cette communauté regroupait essentiellement les natifs de cette région du pays. Après le retour à Londres de Alfred Saker, la nouvelle communauté implanté au Cameroun gardera la couverture spirituelle de la mission Baptiste de Londres. Toutefois, Londres par sa philosophie de "l'indirect rule" laisse une bonne marge d'autonomie à la NBC. 1884, le traité Germano Douala est signé. La société missionnaire de Bâle s'installe au Cameroun. Un conflit oppose donc cette nouvelle mission à la NBC déjà fortement implantée et jaloux de son indépendance. Dirigée à ce moment par Josué Diboundou, la NBC va refuser l'autorité spirituelle de la Mission Baptiste de Bâle. C'est alors que les missionnaires baptistes de Bâle vont créer une autre communauté, l'Eglise Baptiste Nouveau Béthel. Ironiquement appelée par les populations locales "Baptist ba Bakala". 
 
C'est dans ce climat que Adolph Lottin Same vient au monde le 09 octobre 1881. Il va faire son cursus académique au sein des écoles de la mission Baptiste des blancs. Qu'il va d'ailleurs servir jusqu'au départ des Allemands en 1916, au terme de leur défaite lors de la 1er Guerre Mondiale. Ils seront remplacés au Cameroun par les missionnaires français. C'est alors que le Jeune Lottin A Same va rejoindre la NBC. Il en deviendra le président en 1921. Il engage des réformes au sein de la NBC. Mais son combat se mue en lutte pour la libération du peuple noir. Il va d'ailleurs s'associer à l'Américain Marcus Garvey dans ce combat. Il sera jeté en prison par deux fois, la NBC sera interdite, mais à chaque fois le Pasteur Lottin Same continue de prêcher l'évangile sous les manguiers, dans des cases. 
Il va mener cette lutte de libération spirituelle et sociale jusqu'en 1945 quand il quitte la terre des hommes. C'est son œuvre qui fut donc célébré ce 26 avril par l'Eglise Corps du Christ au Cameroun.
 
 
Stéphane Nzesseu

Les déchets issus du plastique, de l'électronique et des produits chimiques dangereux en général seraient responsables à eux seuls de plus d'1 million et demi de morts par an, selon l'OMS. Une réunion a lieu à Genève pour combattre cette pollution.

 

PCB, DDT, PCDD... Derrière ces acronymes aux noms barbares se cachent des tueurs en série. Utilisés partout en chimie, pour l'industrie, la production d'insecticides ou de carburants. Tous ont des effets désastreux sur l'organisme : allergies, diabète, cancers.

Rolph Payet est le secrétaire général des conventions de Bâle, Rotterdam et Stockholm. Elles visent à limiter l'utilisation de ces substances, considérées comme des déchets. « Aujourd'hui, beaucoup de ces déchets viennent en réalité de nos maisons, souligne-t-il. Tout ce que les gens jettent : les téléphones, les batteries, les produits nettoyants... Et de plus en plus, des plastiques. En tant que tel, le plastique n'est pas dangereux quand on l'utilise. Mais quand il se dégrade, il libère certains composants qui eux sont toxiques. Et qui peuvent provoquer des problèmes de santé. »

Pendant deux semaines, les États parties aux trois conventions se réunissent à Genève pour décider ou pas d'allonger la liste de ces produits dangereux. Deux composés chimiques pourraient être définitivement bannis. Le Dicofol, un pesticide utilisé contre les acariens. Et le PFOA, soupçonné de provoquer des cancers des testicules, des reins et des troubles de la thyroïde. On le retrouve dans certains textiles, dans les tapis, les peintures, mais aussi dans les poêles antiadhésives. L'Europe a d'ores et déjà décidé de l'interdire à partir de 2020.

 

Source : RFI

C’est grâce au Projet de développement de l’élevage (Prodel), financé à hauteur de 60 milliards de FCFA par la Banque mondiale, que le gouvernement camerounais, à travers le ministère de l’Élevage, ambitionne d’inséminer artificiellement plus de 270 000 vaches dans le pays, d’ici 2027, d’après des sources officielles.

 

Ainsi, cette opération, qui vise à éviter d’effectuer des opérations coûteuses d’importation des animaux à haut potentiel génétique, devrait non seulement permettre d’augmenter rapidement le cheptel bovin du pays, mais aussi d’accroître la production laitière camerounaise.

En effet, selon les statistiques de la Banque mondiale, depuis l’année 2013, Boko Haram a volé aux éleveurs de la région de l’Extrême-Nord du Cameroun, un volume de bétail d’une valeur globale de 3 milliards de francs CFA. Les estimations du ministère de l’Elevage, elles, placent l’élevage en tête des secteurs d’activité ayant le plus subi les conséquences de la guerre contre Boko Haram au Cameroun, avec pas moins de 65% (54,8 milliards de francs CFA) des pertes globales. Le projet Prodel d’inséminer artificiellement plus de 270 000 vaches dans le pays, apparaît donc comme une bouffée d’oxygène, qui devrait permettre de booster la production laitière au Cameroun.

Selon les experts du Prodel, ce type d’opération a été conduit avec succès dans des pays tels que le Mali et la Côte d’Ivoire, où l’insémination artificielle des vaches locales a permis de booster la production dans le secteur de l’élevage.

Au Cameroun, les gouvernants espèrent pouvoir réduire un déficit de production laitière estimé à environ 170 000 tonnes, sur un besoin annuel de 297 000 tonnes. Notons que, parmi les principaux obstacles à l’évolution de la filière laitière au Cameroun, indique le ministère de l’élevage, figurent la faible performance génétique des vaches, la prévalence des maladies à fort impact sur la production laitière dans certaines zones et l’insuffisante appropriation des innovations technologiques par les producteurs. 

 

Source : investiraucameroun.com

Près de 8000 athlètes prendront part à la 7ème édition des Jeux mondiaux militaires programmée du 18 au 27 octobre 2019 à Wuhan en Chine. Le Cameroun fait partie des 105 pays qui y participeront.

 

Le Conseil International du Sport Militaire (CISM) peut être satisfait par l’engouement autour des prochains Jeux militaires qui auront lieu cette année en Chine. Près de 8.000 athlètes se sont enregistrés pour cette nouvelle édition d’après le ministère de la défense chinoise.

Ceux-ci sont issus des 105 pays membres du CISM parmi lesquels le Cameroun. En effet, le pays des indomptables va compétir dans plusieurs disciplines notamment le football féminin.

Et c’est dans ce cadre que les lionnes militaires seront logées dans le groupe B du mini-tournoi aux côtés du Brésil, de la France et de la Corée du Nord. Le groupe A quant à lui sera composé de la Chine, pays hôte de l’événement, de la Corée du Sud, de l’Allemagne et des Etats-Unis.

Pour rappel, les jeux mondiaux militaires sont une compétition omnisports réservée aux forces armées du monde entier. Ils sont organisés par le Conseil international du sport militaire (CISM).  Ils sont l’équivalent des Jeux olympiques dans le monde militaire. L'année 2010 a marqué le début des Jeux mondiaux militaires d'hiver, avec la première édition se déroulant du 20 au 25 mars en Vallée d'Aoste (Italie).

 

Source : Sport Au féminin

Que ce soit au sein des administrations publiques, parapubliques ou privées basées dans la ville, au fur et à mesure que le grand jour arrive, ouvriers et patronat mettent la main à la patte pour une célébration sans fausse note.

 

Dans les entreprises, pas question de louper le pari d'une bonne organisation de la 133ème édition de la journée internationale du travail qui se célèbre mercredi 1er mai. A quelques heures de ce grand rendez-vous, employés et employeurs se donnent pour tâche principale, celle de peaufiner les préparatifs pour être prêt le jour dit. "Nous avons déjà apprêté les t-shirts, drapeaux et banderoles. Bref, tout ce qu'il faut pour que les travailleurs puissent être en harmonie le jour attendu. Nous avons également mobilisé nos hommes pour les entraînements du défilé", rassure Monsieur Temwa, délégué du personnel dans une entreprise de la place.

Les compromissions mises sur pieds par les entreprises, à leur tour sont à l'œuvre, des activités sont menées dans l'optique de convaincre les sceptiques. A la délégation régionale du travail et de la sécurité sociale du Nord par exemple, l'on avoue être prêt à 91% pour la fête et les derniers réglages sont entrain d'être faits pour la réussite de la fête du 01er mai sur l'ensemble de la région.

Autres curiosités et non des moindres en cette veille de la journée internationale du travail à Garoua, ce sont les couturiers qui ne connaissent plus de répit, car ils doivent satisfaire dans les clients dans les délais.

De leur côté, les sérigraphes restent optimistes quant à l'augmentation probable des commandes à quelques heures de la célébration de la journée consacrée aux travailleurs.

 

Innocent D H

La surprise c'est que 649 milliards de dollars sont consacrés au secteur de la défense, outre les huit autres gros budgets.

 

Selon un rapport de l'Institut de recherche sur la paix de Stockholm (Sipri) rendu public ce lundi, 29 avril 2019, les dépenses militaires ont connu une augmentation aux États-Unis après sept années de stabilité. 649 milliards de dollars apparaissent ainsi comme l'un des plus gros budgets américains de l'année.

 

Comment expliquer une telle hausse des dépenses

Selon le responsable du Programme des armements cité dans ledit communiqué, "la hausse dans les dépenses américaines s'explique par la mise en œuvre à partir de 2017, de nouveaux programmes d'acquisition d'armes sous l'administration Trump".

Comme si cela ne suffisait pas, la situation devrait connaître davantage des dépenses exponentielles. Pour l'année 2020, le Gouvernement américain compte dépenser encore plus pour son armée. Un cap de dépenses jamais vu pourrait ainsi être franchi.

Au plan mondial, force est de constater également que les dépenses ont augmenté de 2,6% soit avec 1.822 milliards de dollars en 2018. Or, en 2017, l'on notait une hausse de 1,1% sur un ans. Il s'agit d'une deuxième fois consécutive qu'une telle hausse des charges militaires, et ce selon des sources bien informées.

 

Innocent D H

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Sunday, 05 June 2022 11:01