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Cette conférence qui s’ouvre ce 13 mai 2019 au siège de L'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (Unesco) a pour  but de relever le défi de l’accès à l’eau

 

Dans le communiqué qui annonce cet événement, Audrey Azoulay, Directrice générale de l’UNESCO a rappelé que : « L’accès à l’eau n’est pas uniquement une affaire de développement. C’est surtout un droit fondamental et un instrument de paix et de sécurité dans le monde… ».

 

C’est sur cette base que les ministres, venus d’une quarantaine de pays, des experts, des chercheurs, des représentants de la société civile, du secteur privé et des organisations internationales vont réfléchir pendant quarante huit heures, afin de présenter ou alors de proposer, des solutions innovantes aux problèmes liés à la gouvernance et à la gestion de cette ressource fragile.

 

Par ailleurs, le rôle que joue l’Eau en matière de coopération internationale sera lui aussi, au cœur des thématiques abordées. Ces dernières trouvent leur fondement sur l’expérience de l’UNESCO, dans le domaine des sciences, de la culture, de l’éducation et de la communication : L’Eau – les Liens entre l’Energie et l’Eau en Afrique - l’Eau et l’Innovation Technologique -  l’Ethique de l’Eau - l’Eau et le Patrimoine -l’Eau et le Genre. 

 

Objectifs

Ces différents axes de réflexion vont permettre aux organisateurs, notamment  Audrey Azoulay, Directrice générale de l’UNESCO, Serigne Mbaye Thiam, ministre de l'Eau et de l'Assainissement du Sénégal, Brune Poirson, Secrétaire d'État auprès du ministre d'État de la transition écologique et solidaire de la France, de :

 

-         Rassembler tout le monde autour de la table pour discuter des approches transectorielles pour la gouvernance et la gestion des ressources en eau.

 

-         Lancer un Appel à l’Action pour encourager, embrasser et adopter le principe d’une gestion transectorielle de l’eau.

 

-         Partager les bonnes pratiques assurant la participation, la transparence et le partage d’informations.

 

Lors de la session plénière finale, la Princesse Sumaya de Jordanie, envoyée spéciale de l’UNESCO pour la science et la paix, va elle aussi prendre la parole, afin de présenter les intentions de l’Organisation qui entendent apporter un changement de paradigme qui indique que : « l’eau est la force motrice de la paix et du développement durable ».

 

Contexte

Le thème général, retenu pour cette première Conférence Internationale sur l’Eau est : « Mettre à profit la gestion transectorielle des ressources en eau, pour faire avancer une sécurité de l’eau et une paix durable ».

 

Il est assez révélateur de ce qui se vit dans la plupart des pays, alors même que  toutes les activités humaines sont dépendantes de l’eau, qu’il s’agisse de la production d’aliments ou d’énergie, de l’industrie, ou encore des loisirs. Vue depuis l’espace, la planète est bleue, caractérisée par ses abondantes masses d’eau. Et pourtant, l’eau douce utilisable représente moins de 1% de ces ressources.

 

En plus, il est évident que la gestion et la gouvernance de ce précieux liquide ont une forte incidence sur la santé des hommes et des écosystèmes. Celle-ci  reflète en plus, les conditions d’égalité des genres, d’éducation de diversité culturelle d’une région donnée. Il est dès lors évident que les ressources en eau sont essentielles au développement durable de même qu’à la réduction de la pauvreté. Une réalité que doivent s’approprier les dirigeants de tous les pays qui font face à des maux comme la désertification, la malnutrition, la sécheresse …

 

Nicole Ricci Minyem

La présence du premier ministre, chef du gouvernement en cette veille de célébration de la fête de l’Unité Nationale dans ces deux régions, a donné l’opportunité aux élites de faire quelques propositions

 

Celles du Social Democratic Front ont été rendue publiques ce samedi, par Jean Robert Wafo ministre du shadow cabinet en charge de l'information et des médias, qui a rédigé un communiqué

 

« L’urgence actuellement est la résolution de cette crise et le retour à la paix. Dans une négociation, il faut éviter de faire dans l'amalgame.

 

A cette première étape, il aurait été moralement indigeste - 1.800 morts, plus de 560.000 compatriotes qui ont fui leurs maisons d'habitation dont 32.000 réfugiés au Nigéria et 530.000 déplacés internes, pratiquement plus de vie dans ces deux régions - et politiquement indécent de poser comme préalable au dialogue inclusif absolument nécessaire pour un début de décrispation, les questions en rapport avec la forme de l'Etat, la révision du code électoral et bien d'autres, qui doivent logiquement figurer comme point de discussion lors du futur débat national. Le Premier ministre a précisé qu'il n'est pas venu identifier les sujets à débattre mais identifier les conditions et les protagonistes pour le débat national. 

Le Sdf est un parti humaniste viscéralement attaché aux valeurs républicaines qui n'a pas vocation à appartenir à la confrérie politique des pleureuses qui trouvent toujours à redire sur tout.

Il ne s'agissait aucunement pour le Sdf de parler du contenu mais plutôt d'explorer les conditions du futur dialogue annoncé. 
Le Sdf prend acte de ce dialogue annoncé par le Premier ministre qui dit transmettre un vœu présidentiel, tout en précisant qu'il sera vigilant sur les déclinaisons et les articulations du contenu du dialogue annoncé… ».

 

Une visite qui vient redonner l’espoir aux populations traumatisées ?

 

C’est du moins l’avis de ceux qui résident dans la région du Nord Ouest, selon nos confrères qui nous ont permis d’avoir quelques réactions à chaud, des habitants de la ville de Bamenda. 

 

Pour Sheila Grace, commerçante, les choses vont changer et, en bien : « Je connais la position du SDF qui semble toujours suivre les pas de RDPC mais, je suis  contente que là bas en haut, on comprenne ce que nous vivons ici. Le premier ministre n’a pas seulement vu les grands là bas en haut, il est venu vers nous et, il connait nos attentes. Il y’a eu beaucoup de morts déjà, beaucoup de personnes ont pleuré leurs frères, leurs maris, nous ne voulons plus enterrer personne… »

 

Darius est étudiant. Il espère qu’après la visite du chef du gouvernement, les mesures adéquates seront prises pour que les cours reprennent : « Vous savez, s’il y’a un parti bien implanté ici, c’est le SDF. Donc quand ils font des propositions, c’est parce que le père John Fru Ndi est au courant de beaucoup de choses que nous autres, nous ignorons. Ce que moi je souhaite et, je sais que cela est désormais possible, c’est qu’après toutes ces morts, même nos frères qui ont pris les armes sont fatigués. Ils ont vu l’attitude humble du premier ministre, qu’ils déposent les armes et nous laissent retourner à l’école. Il s’agit de notre avenir, de la construction de notre futur. Le Président de la République a parlé de pardon. Nous voulons vraiment tourner la page et construire ce qui est important pour nous, pour nos parents, pour nos enfants demain et ceux qui viendront après. Que nos frères de part et d’autre déposent les armes… ».

 

Nicole Ricci Minyem

Quelques heures  avant la cérémonie de  clôture des 22e jeux Universitaires qu’abrite la région de l’Ouest Cameroun, l’Injs est presque assuré de décrocher son 11e titre avec 19 médaille en or.

 

La finale du football masculin entre l’Université de Bamenda et l’Institut universitaire du Golfe  de Guinée (IUG),  ce samedi 11 mai 2019, mettra définitivement un terme à la 22e édition des Jeux Universitaires qu’accueille l’Université de Dschang (UDs) dans la région de l’Ouest. La cérémonie de clôture sera présidée par le Ministre de l’Enseignement supérieur, le Pr Jacques Fame Ndongo. Les sites secondaires des jeux,  Foumban dans le département de Noun,  ville hôte du  campus de l’Institut des Beaux-Arts et Bandjoun dans le département du Koung-Khi, qui abrite le campus de l’Institut Universitaire des Technologies Fotso Victor ont fait leurs adieux à la compétition vendredi dernier, 10 mai 2019, avec les finales de lutte, d’athlétisme  dominée  par les athlètes de l'Institut national de la jeunesse et des sports (Injs) en 4x400 m,  du football féminin, de volleyball et de handball dames et messieurs.

 

Dans l’ensemble, l’Injs est bien parti pour conserver son titre. En attendant le verdict final cet après-midi, cet établissement  d'enseignement supérieur public qui prépare aux métiers du sport occupe la première place au classement général non officiel avec 19 médailles en or.  Les étudiants de l’Université de Douala conservent la deuxième place avec 12 médailles en or, tandis que l’Université de Yaoundé I complète le podium avec 10 métaux précieux. Le classement général officiel sera donné cet après-midi lors de la cérémonie de clôture qui mettra un terme à ces 22e Jeux Universitaire qui ont été officiellement lancés  le 4 mai dernier aux Campus principal de l’Université de  Dschang.

 

A en croire le Pr. Maurice Aurélien Sosso, le président de la  Fédération nationale du sport universitaire (FENASU) dans une interview accordée à la Crtv, les Jeux de Dschang  se sont déroulés dans de bonnes conditions. « La dynamique collective que l’on a vu se déployer à travers un certain nombre de chorégraphies est une dynamique de l’heure, une dynamique inclusive qui nous appelle à la conscientisation. Avec les problèmes sociopolitiques du moment cette thématique signifie : tous ensemble,  faisons gagner le Cameroun », relève le Pr. Maurice Aurélien Sosso.  Aux étudiants, le président de la Fenasu a recommandé    la fraternité, le  dialogue intercommunautaire et l’humilité. « Il faut que les athlètes ne jouent pas pour absolument gagner mais pour que la compétition soit belle », dit-il.

 

Pour limiter le marchandage des athlètes, la Fenasu a pris des dispositions qui visent désormais  à  introduire le sport dans les programmes universitaires. « Notre souhait est que pendant qu’il est à l’école, l’étudiant fasse du sport mais ne soit pas l’objet de marchandage, de mercantilisme du sport, de vagabondage, allant d’université à une autre au prix du plus offrant. On a pris des mesures sévères qui ont gêné au départ. Elles ont été validées par le Conseil Fédéral présidé par le Minesup et mises en œuvre immédiatement. Aujourd’hui, les joueurs achetés l’année dernière ne jouent pas pendant deux ans », explique le président dela Fenasu.

 

Marie MGUE

Dans une lettre adressée à son « Frère », il exprime son besoin de voir un Cameroun engagé ensemble vers une transition démocratique sans que n’interviennent ceux qu’il nomme « opposition satanique »

 

 Lettre à mon frère de lutte

Cher frère, toi et moi nous avons sonné le tocsin à l'occasion de l'élection présidentielle passée, j'ai appelé ceux que nous prenions comme des frères, dans notre effort pour qu'il advienne dans notre pays, un nouvel ordre politique, à se donner la main, à parler d'une seule voix, par le truchement d'un candidat de large consensus; notre famille politique, hélas, a choisi de montrer au monde entier qu'elle était un «TOUT-VENANT» rassemblant des gens qui n'avaient pas grand chose en commun. Emporté par un orgueil satanique, chacun s'est vu à la présidence de la République, ne voulant rien devoir aux autres, oubliant que le régime BIYA est doué d'une inertie phénoménale. J'ai crié, crié, crié! Rien, rien n'a été. Comme des gens possédés, des véritables impénitents du mal, huit personnes dont la plupart est récemment converti à notre longue et difficile lutte, ont organisé le maintien du président BIYA au pouvoir.

 

Mon frère, l'élection présidentielle est terminée. L'opposition a perdu l'occasion d'évincer démocratiquement le régime du président BIYA. Monsieur Paul Biya est le président régulièrement et légitimement élu grâce à la prolifération des candidats de paille qui ont découragé 3000 000 d'inscrits qui ne sont plus venus voter: puis ces candidats de pacotille ont provoqué l'éparpillement des votes des un million d'inscrits qui sont néanmoins venus voter. Le résultat, tu le connais cher frère.

 

Depuis que l'élection présidentielle est passée, ces mauvais opposants qui ne se lassent pas de perdre sans répit les élections, tentent de renverser le régime BIYA par la rue et le complot international. Je te le dis ; ils n'y parviendront pas.

Depuis je n'arrête pas de leur dire que les élections législatives et municipales à venir sont une grande opportunité que la constitution et le calendrier électoral nous donnent pour arracher au président BIYA le gouvernement et gouverner avec lui en Cohabitation, pour faire les réformes que nous appelons de tous nos vœux depuis plus de 30 ans. Ces OPPOSANTS d'un genre bizarre ne voient pas le temps qui passe et s'embarquent dans des combats d'arrière garde qu'ils mènent dans la dispersion la plus regrettable, chacun voulant montrer que c'est grâce à lui que la communauté internationale est venue pour renverser le régime BIYA.

 

Comme les élections n'appartiennent pas à ces opposants mais au peuple car elles sont l'occasion que le peuple a pour désigner des dirigeants, certains frères de lutte et moi-même, avons décidé de proposer au peuple du changement, ce peuple qui est fatigué d'échouer dans son effort pour renverser le régime du président BIYA, une stratégie électorale pour améliorer les possibilités d'évincer démocratiquement le régime du président BIYA. Nous savons maintenant de façon certaine que ce qui fait échouer l'opposition c'est :

* La prolifération des candidats

* L'éparpillement des votes du Peuple du Changement entre plusieurs offres politiques venant des gens qui veulent pourtant une seule et même chose.

 

Avec ces frères dont je te parlais, sans avoir tenté d'appeler tout le monde de bonne foi, puisque je t'ai déjà dit qu'il y a de mauvais opposants, nous avons élaboré méthodiquement une stratégie d'union, convaincus que nous sommes que : « C'EST NOTRE UNION QUI FERA NOTRE FORCE».

 

VOILÀ LA PLATEFORME KAWTAL.

 

Une stratégie électorale qui veut que dans chaque circonscription électorale, l'opposition ait une seule liste de candidats devant la liste du RDPC. Une seule liste de l'opposition où on mettra des candidats venant de tous les partis politiques de l'opposition, venant des syndicats, des organisations de la société civile et des personnes physiques qui ont quelque chose à donner mais qui ne veulent pas s'enfermer dans le carcan des partis politiques.

 

Mon frère de lutte, VOILÀ DONC LA PLATEFORME KAWTAL.

 

Je te le dis : C'EST LA SEULE DÉMARCHE QUI PEUT FAIRE GAGNER L'OPPOSITION.

 

Pendant plus de six mois, fort des échecs passés, nous avons structuré cette stratégie d'union. Tous les textes structurants sont élaborés avec délicatesse et précision.

 

LE 1er JUIN PROCHAIN LA PLATEFORME KAWTAL SERA SOLENNELLEMENT LANCÉE.

 

Mais comme si l'opposition est maudite, c'est maintenant la mode des plateformes : comme si ces opposants sont déjà au travail pour ramener le PEUPLE DU CHANGEMENT à la case départ en organisant une prolifération des plateformes.

 

J'ai entrepris de marcher, marcher encore et encore pour rencontrer ces opposants rongés par le virus des échecs à répétition.

 

J'ai rencontré beaucoup d'entre eux et nous avons échangé longuement sur les dangers de la prolifération des initiatives de rassemblement qui nous ramèneront à la prolifération des aventures individuelles et solitaires qui minent depuis toujours l'action de l'opposition. Les initiatives de regroupement ne doivent pas être des organisations politiques de trop visant des implantations territoriales qui viennent alourdir l'ensemble et surtout qui seront perçues par les partis politiques à rassembler, comme des supers structures, or comme tu le sais, les partis politiques sont extrêmement jaloux de leur existence même si celle-ci est réduite à presque rien. C'est pour cela que j'ai envisagé de les rassembler autour d'une stratégie électorale, c'est à dire, une idée, une démarche au lieu de tenter de les fondre dans une mégastructure.

 

Ces élections législatives et municipales à venir sont d'une importance capitale pour une opposition qui a échoué à toutes les 16 élections déjà organisées dans l'ère multipartiste du Cameroun. Nous ne devrons nous en prendre qu'à nous même si nous nous montrons incapables d'aborder ces 17ème et 18ème élections, qui sont là dernière opportunité que l'opposition a de prendre le gouvernement, dans un ordre et discipline qui inspireront l'adhésion du PEUPLE DU CHANGEMENT.

 

BIYA est déjà élu et c'est à cause de nos propres turpitudes, personne ne l'y enlèvera et surtout pas par la rue et le complot international. Nous devons donc saisir à fond ce qui reste démocratiquement faisable pour gagner la dernière phase du combat pour l'éviction de ce régime. Il faut envisager une cohabitation avec Biya comme président de la République et un gouvernement de l'opposition issu de la majorité à l'Assemblée nationale. Notre dispersion dans une multitude d'initiatives supposées de rassemblement nous sera fatale.

 

Je souhaite donc que la mesure des enjeux soit prise et que tous ceux qui sont conscients que c'est l'Union qui fera notre force, soutiennent la PLATEFORME KAWTAL qui devra prendre son envol le 1er juin prochain. Cette réussite sera la réussite de vous tous, Ce sera la réussite de tous ceux qui ne veulent pas la réussite d'un parti ni celle d'une ethnie mais celle d'un combat.

 

Il nous faut nous convaincre que nous sommes comme les autres nations, nous sommes capables d'intérêts communs qui transcendent les divisions ethniques.

 

Je suis fortement préoccupé par l'entêtement diabolique de certains opposants à œuvrer pour disperser les voix du PEUPLE DU CHANGEMENT sur une kyrielle d'offres politiques très souvent portées par des acteurs, à vrai dire, sans poids politique ni expérience et notoriété.

 

Je m'adresse donc à vous tous qui croient comme moi que c'est l'Union qui fera notre force, pour vous demander de l'aide pour faire réussir la cérémonie de lancement solennelle de cette stratégie électorale : LA PLATEFORME KAWTAL.

Je ne demande pas de l'aide à tous ceux qui veulent continuer dans la voie de la division : ceux-là seront combattus au même titre que le régime du président BIYA et ses alliés. Je ne suis pas ouvert à ceux qui combattent l'idée D'UNION DE L'OPPOSITION parce qu'ils veulent continuer leurs aventures tribalistes, solitaires et individuelles tout en étant incapables d'avouer leurs penchants grégaires.

 

J'appelle à L'AIDE ceux qui veulent une victoire démocratique; construite par tous, pour tous.

 

Rapprochons-nous! Le temps nous manque déjà !

 

Vous me haïssez! Mais il ne s'agit pas de moi. Il s'agit de vaincre par les élections un régime. Surpassez-vous donc! Faites de la stratégie KAWTAL votre démarche.

 

JE CROIS AU BIEN DE L'UNION !

 

QUE DIEU BÉNISSE CEUX QUI CROIENT EN LA FORCE DE L'UNITÉ !

 

QUE CEUX QUI CROIENT EN LA DIVISION S'ASSUMENT ET APPELLENT, COMME MOI, AUX AVENTURES INDIVIDUELLES ET SOLITAIRES AU NOM DE LA SUPRÉMATIE DE LEUR PARTI ETHNOCENTRÉ.

 

ALLONS AU COMBAT DÉMOCRATIQUE, ON VERRA CEUX QUI VAINCRONT.

 

La start-up de transport française Heetch, devenue une plateforme de voiture de transport avec chauffeur (VTC), déjà présente au Maroc, a annoncé jeudi 08 mai, vouloir lancer son service en Algérie, en Côte d’Ivoire, au Sénégal et bientôt au Cameroun. Il y a de ce fait la concurrence à l’horizon pour Easy Ride, la start-up camerounaise spécialisée dans la location horaire de véhicules et autres taxis VIP, qui opère actuellement à Yaoundé et Douala.

 

En effet, La start-up de transport Heetch, devenue une plateforme de voiture de transport avec chauffeur (VTC) après avoir été lourdement condamnée en France il y a deux ans, a annoncé, jeudi 8 mai, avoir levé 38 millions de dollars, soit 20 milliards 900 millions de FCFA, pour accélérer son développement en France, en Belgique et en Afrique francophone.

 

« On arrive à convaincre des investisseurs en grossissant sur un marché comme la France, qui est assez concurrentiel, sans dépenser trop d’argent. Je pense qu’on est la seule plateforme qui séduit plus de passagers et de conducteurs sans donner des bonus à tout-va, sans faire des réductions tous les quatre matins », a assuré jeudi à l’AFP Teddy Pellerin, cofondateur de la société.

 

En Afrique, son service est en test à Abidjan, en Côte d’Ivoire, et doit être lancé au Cameroun et au Sénégal d’ici la fin de l’année 2019 « Dans ces pays, on est un peu plus cher que le marché des taxis de rue, mais avec un confort et une sécurité supplémentaires. », a précisé Teddy Pellerin qui envisage d’étendre son service aux motos-taxis, notamment au Cameroun.

 

Mais pourquoi en Afrique francophone ? Selon Teddy Pellerin, Heetch cible d’abord des pays d’Afrique francophone parce qu’« en plus de la langue, il y a de formidables opportunités dans les grandes villes qui évoluent, avec peu d’infrastructures de transports publics et des problèmes de congestion ».

Fondée en avril 2013 par Teddy Pellerin et Mathieu Jacob, Heetch mettait en relation des conducteurs qui étaient des particuliers avec des passagers pour se déplacer la nuit. Après une lourde condamnation, elle s’est reconvertie début 2017 vers un modèle de VTC plus classique et délaisse le covoiturage de nuit pour se transformer en entreprise de VTC disponible 24 heures sur 24. Le nom de l’application est dérivé du terme anglais hitch-hiking, qui signifie auto-stop.

 

Danielle Ngono Efondo

Une plateforme réunit désormais les deux pays pour atteindre cet objectif. Il s’agit du forum de coopération économique énergie Corée-Cameroun dont la 8e édition s’est déroulée le 8 mai dernier à Yaoundé.

 

« L’objectif de ce forum est d’explorer les nouvelles opportunités pour le partenariat bilatéral et également déterminer les stratégies ciblées pour des secteurs nouveaux à découvrir. La Corée est prête à partager ses expériences de développement économique avec le Cameroun et prête à investir davantage au Cameroun en tant que partenaire le plus fidèle et le plus fiable », a indiqué l’ambassadeur de Corée au Cameroun, Bok-Ryeol Rhyou. 

A en croire le quotidien gouvernemental Cameroon Tribune, la Corée et le Cameroun entretiennent les relations diplomatiques depuis 1961 et ces deux pays ont développé de nombreux projets bilatéraux d’envergure dans des domaines de l’énergie, la santé, la formation professionnelle, les TIC, etc. Et le Cameroun compte continuer de booster ces échanges.

 

En 2008, la Corée du Sud est devenue la 13e puissance économique mondiale avec un PIB de 1 024 milliards de dollars américain. Au niveau des échanges, en 2007, il s'agit de la 11e et 13e puissance commerciale mondiale respectivement en termes d'exportation et d'importation de marchandises. Si l'on exclut les échanges intra-Union Européenne, la Corée du Sud devient respectivement la 6e et la 7e puissance exportatrice et importatrice de biens

« L’expérience de la Corée mérite d’être explorée et nous l’utilisons certainement pour accompagner la stratégie de développement du Cameroun visant à faire de notre pays un pays émergent à l’horizon 2035. C’est le sens de la présence d’un conglomérat comme Samsung dans les domaines des Tic », précisera Alamine Ousmane Mey, ministre en charge de l’Economie qui a pris part aux travaux.

 

« Le Cameroun veut transformer les produits de notre sous-sol pour en ajouter de la valeur afin de commercer avec le reste du monde, dans le but d’améliorer notre balance commerciale. Nous voulons tirer profit de l’expérience coréenne. La Corée n’a pas de richesses du sous-sol mais, elle a des richesses humaines et c’est là le sens de ces échanges qui aident à mieux nous en inspirer et à permettre à notre pays de poursuivre sereinement la croissance, la diversification, l’intégration, le partage de la richesse créée une croissance inclusive », va-t-il ajouter.

 

De son côté la Corée du Sud veut trouver de nouvelles opportunités d’investissements au Cameroun. S.E Bok-Ryeol Ryou l’Ambassadeur de la Corée du Sud au Cameroun a indiqué que les travaux de son pays permettent à son pays de déterminer les stratégies ciblées pour de nouveaux secteurs à explorer. «La Corée est prête à partager ses expériences de développement économique avec le Cameroun, à investir davantage au Cameroun».

 

Otric N.

Elles ne comprennent pas le fait qu’elles doivent payer chacune la somme de 85 000 Fcfa pour se faire installer un nouveau compteur électrique.

 

L’ambiance en ce moment au Marché des femmes de Douala n’est pas top. Les commerçantes ne sont pas d’accord avec les nouveaux compteurs électriques qui doivent être installés dans leurs boutiques. Elles trouvent le prix à payer trop élevé. Pour montrer leur mécontentement, elles ont décidé de garder leurs boutiques fermées. Elles demandent par ailleurs que leurs anciens compteurs leur soient remis ainsi que le courant électrique.

 

«On a fermé les boutiques parce qu’on nous demande de payer 85 000 Fcfa par commerçant, pour avoir un compteur divisionnaire. Ce qui est inconcevable. Les compteurs Eneo que nous utilisons ont été retirés. Nous sommes dans le noir depuis trois jours. Ils doivent remettre ces compteurs, remettre l’énergie électrique dans le marché», déclare la prénommée Adeline, vendeuse au Marché des femmes.

 

Du fait du climat qui devenait délétère dans ce marché, Didier Bidja le sous-préfet de l’arrondissement de Douala 2e a fait une descente sur les lieux. Il a tenu une réunion de crise et à tenter d’apaiser et surtout de calmer la tension. Le sous-préfet a expliqué qu’il s’agit d’un « projet d’assainissement de la distribution de l’énergie électrique dans ce marché, compte tenu des incendies à répétition dans des marchés. Mais, le problème est qu’il y a une convention entre Eneo et une association (des commerçants du Marché des femmes Ndlr). Cette association n’a pas suffisamment communiqué avec les commerçants, afin de leur expliquer  les modalités d’installation des nouveaux compteurs, des transformateurs et des contributions à verser ».  

 

Au terme de la réunion de crise, le sous-préfet a fait savoir compte tenu du fait que l’association susmentionnée a une convention avec Eneo,  chaque commerçante se verra installer un nouveau compteur divisionnaire. Le prix qui sera fixé, sera celui d’Eneo. Il sera question de déterminer d’abord le nombre exact des commerçantes. Et après les calculs seront faits sur la base de ce fichier réel. C’est sur cette base, qu’on saura ce que chaque vendeuse va devoir payer.

 

Liliane N.

La consommation de ce produit plus connu sous le nom de " Kalaba ", se fait par une partie de la gente féminine qui ne peut souvent pas s'en passer. Pourtant son utilisation abusive échappe aux consommateurs sur les bienfaits et les méfaits de ce produits.

 

Difficile ou presqu'impossible de parcourir de longues distances dans la ville de Garoua sans apercevoir de la présence du Kaolin sur des étals. Dans les différents marchés, ce produit argileux avec des qualités variées est apprécié par les consommateurs surtout les femmes enceintes qui affectionnent son odeur. "J'adore le Kaolin parce que son odeur m'attire. J'aime bien quand ça fait blanchir mes lèvres aussi, depuis que je mange le Kaolin, il ne m'a jamais posé de problèmes", soutient Fanta Kalfoube, femme enceinte.

 

Constitué de résidus de calcaire, issus de la dégradation d'une roche appelée feldspath, certaines personnes disent consommer du Kaolin pour soigner des maux spécifiques. Florence Wiwa nous confie qu'elle consomme le Kalaba quand elle a les nausées, les maux d'estomac. Elle assure être soulagée.

 

Très prisé par les populations, le Kaolin serait à l'origine de plusieurs dysfonctionnements dans l'organisme humain. "Avant, je mangeais le Kaolin, mais j'ai constaté que pour ma santé, ce n'était pas bon pour ma santé et j'ai des difficultés à faire des selles. Dit-on aussi que pour les femmes enceintes, ça donne l'anémie au bébé. Des femmes ont même subi des opérations au niveau du ventre après avoir consommé le Kaolin", regrette une ancienne consommatrice.

 

Malgré l'impact que peut avoir ce produit sur la santé, le Kaolin est utilisé dans la fabrication du papier, le revêtement des toitures entre autres.

 

Innocent D H

Absent des programmes de compétitions majeures depuis les Mondiaux de Londres (2017), le 50 km marche pourrait-il revenir en force pour les JO Tokyo 2020? C'est ce que six athlètes, dont la championne du monde de la discipline Inès Henriques, espèrent en ayant saisi le Tribunal arbitral du sport (TAS) en avril dernier. Un recours qui vise la Fédération internationale d'athlétisme (IAAF) et le Comité international olympique (CIO).

 

« Aucune date d'audience n'a encore été fixée pour cette affaire », a déclaré le tribunal suprême en matière de sport, qui siège à Lausanne. Contactée par l'AFP ce vendredi, la Fédération Internationale d’athlétisme (l'IAAF), a précisé que l'inscription de cette épreuve au programme des JO de Tokyo « avait été demandée l'an passé mais le Comité international olympique (CIO) a répondu que c'était trop tard pour Tokyo ».

 

Il est à rappeler que, le 50 km marche féminin n'est inscrit au programme des compétitions majeures que depuis les Mondiaux de Londres en 2017. Le 15 janvier 2017, Inès Henrique, âgée de 37 ans, devient la 1re femme de l'histoire à détenir le record du monde du 50 km marche en réalisant 4 h 08 min 26 s. La distance, longtemps réservée uniquement aux hommes en compétition est désormais ouverte aux féminines. Elle est alignée sur cette épreuve pour les Championnats du monde de Londres.

 

Le 13 août 2017, elle devient la première femme de l'histoire championne du monde du 50 km marche à l'occasion des championnats du monde de Londres, en battant son propre record du monde avec le temps de 4h 05min 56s. Elle remporte donc son premier titre international majeur à 37 ans et devance sur le podium les Chinoises Yin Hang (4h 08min 58s) et Yang Shuqing (4h 20min 49s).

 

Le 05 mai, la Chinoise Liang Rui améliore son record du monde lors des championnats du monde par équipes de marche 2018 en 4 h 04 min 36 s. Le 07 août 2018, aux championnats d'Europe de Berlin, elle devient également la première femme de l'histoire à remporter le titre européen sur le 50 km marche. Elle s'impose en 4h 9min 21s, sous 33°C, et s'octroie logiquement le record des championnats.

 

Danielle Ngono Efondo

Une vingtaine d’experts des deux espaces ont entamé mardi dernier à Douala une semaine de négociations. Après cette étape, il est prévu une deuxième phase : la mise en place d’une union douanière à 11 Etats.

 

« Le président Paul Biya a reçu mandat de ses pairs, en 2009 à Kinshasa, d’harmoniser les instruments politiques et programmes de la Ceeac et de la Cemac pour, à terme, aller vers une seule communauté économique régionale en Afrique centrale. » Rappel fait mardi dernier à Douala par le coordonnateur du secrétariat technique du Comité de pilotage de la rationalisation des communautés économiques régionales en Afrique centrale (Copil/Cer/Ac). Patrice Libong Badjan indiquait ainsi à la presse l’une des raisons d’être de l’atelier de négociation sur le tarif extérieur commun harmonisé d’Afrique centrale, qui court du 8 au 16 mai à Douala.

 

Selon le quotidien national Cameroon Tribune, l’unification des zones de libre-échange de la Ceeac et de la Cemac a déjà été atteinte (lors du dernier conseil des ministres de la Cemac à N’Djamena), et la sous-région compte désormais une zone de libre-échange unifiée, regroupant les 11 Etats de la Ceeac. « Désormais, on n’aura plus deux agréments pour le même produit. Un seul agrément sera cosigné par le président de la Commission de la Cemac, et par le secrétaire général de la Ceeac », explique M. Libong Badjan.

 

Après cette étape, apprend-on, il est prévu une deuxième phase : la mise en place d’une union douanière à 11 Etats, lesquels sont tous représentés aux travaux ouverts ce mercredi à Douala. « Nous sommes en train de travailler sur le nouveau tarif extérieur commun », ajoute le coordonnateur du secrétariat technique. De fait, il s’agit d’une poursuite de négociations, les travaux dans ce sens ayant débuté en septembre dernier toujours à Douala, la capitale économique du Cameroun.

 

Les 11 Etats s’étaient alors accordés sur une nouvelle structure tarifaire de manière générale, et il faut à présent poursuivre les discussions « ligne par ligne. Nous avons un document de 97 chapitres. Au mois de septembre nous avons pu examiner les 20 premiers chapitres », relève encore M. Libong Badjan.

Au terme de l’atelier, indique Cameroon Tribune, un nouveau tarif extérieur commun aura en principe été élaboré. Entre autres implications, on passerait alors d’un marché de 44 à 175 millions d’habitants, regroupé dans onze pays.

 

Otric N. 

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Sunday, 05 June 2022 11:01