L’écrivaine Calixthe Beyala affirme qu’au quotidien, elle est insultée par des amis du blogueur Paul Chouta.
L’écrivaine Calixthe Beyala appelle les partisans de Paul Chouta à chercher où se trouve l’erreur dans l’affaire de leur ami. Au lieu de s’en prendre à elle, de l’insulter, d’injurier les juges et les procureurs du Cameroun, ils devraient plutôt regarder à ce qui doit être fait dans la situation de celui qu’ils défendent. Car en faisant une comparaison avec le cas de Georges Baolang présenté comme le fils du président de la République, la romancière note qu’il y a un désir manifeste de corriger ses erreurs. Ce qui n’est pas le cas du côté de Paul Chouta.
«Cherchons l'erreur ensemble: Baolang Fils du président de la République a été condamné à deux ans de prison ferme pour cybercriminalité. Aucune mouche n'a volé; personne n'a moufté; il a fait supprimer toutes ses vidéos, toutes ses pages Facebook pour rassurer aussi bien l'État que ceux qu'il a insulté. Paul Chouta est en prison pour les mêmes faits. - peut être plus graves - Tous les jours ses amis insultent les juges, les procureurs, l'Etat du Cameroun. Les injures contre ma personne atteignent les sommets. Les vidéos incriminées sont toujours diffusées par ses amis, ses pages Facebook sont toujours là. Alors, ensemble chers amis, cherchons l'erreur», a écrit Calixthe Beyala.
A titre de rappel, Calixthe Beyala a traîné devant les tribunaux le blogueur Paul Chouta pour diffamation. Cette plainte a été motivée par la diffusion d’une vidéo qui présente l’écrivaine en pleine altercation avec un homme. L’affaire qui est actuellement traitée par le Tribunal de première instance de Yaoundé-Centre administratif a été renvoyée au 18 mai prochain. Le juge n’a pas donné sa sentence hier. Et le blogueur est retourné en prison. Une situation qui a mis ses partisans très en colère.
Liliane N.
Le propriétaire de ces produits pharmaceutiques contrefaits a été pris en flagrant délit par les éléments de la Compagnie de Gendarmerie de Nkongsamba.
Les faits remontent à la journée du jeudi 6 mai 2021. Sur renseignements, les éléments de la Compagnie de Gendarmerie de Nkongsamba ont conduit une opération baptisée «coup de poing» à Melong, une localité du département du Moungo. L’opération s’est déroulée de façon précise au lieu-dit Marché central Melong.
Au cours de ladite opération, ces éléments de la Compagnie de Gendarmerie de Nkongsamba ont saisi un important stock de médicaments et autres produits pharmaceutiques contrefaits. Le bilan fait état de 06 cartons pleins, et 02 autres à moitié pleins, tous contenant du Glucosé; et de 09 cartons contenant divers autres produits pharmaceutiques.
«Le présumé propriétaire dudit stock, âgé de 46 ans, a été surpris en flagrant délit de vente illicite de ces produits pharmaceutiques dans sa boutique. Il a été interpellé et conduit à ladite unité qui mène l'enquête, en liaison avec les structures spécialisées en la matière», peut-on lire dans une publication faite sur la page Facebook de la Gendarmerie nationale.
Il convient de souligner que ces derniers temps, la Gendarmerie nationale grâce à ces opérations comme celle sus mentionnée, lutte efficacement contre les trafics de produits contrefaits et de vente illicite. Les renseignements et la collaboration des populations sont pour beaucoup dans les succès de ces opérations.
Liliane N.
Les éléments de la Brigade de Gendarmerie de Nlongkak ont mis la main sur 9 individus tous mineurs, parmi lesquels 6 élèves.
La scène s’est produite à Yaoundé précisément au lieu-dit «dépôt de bois Nlongkak». Les éléments de la Brigade de Gendarmerie de Nlongkak ont eu la puce à l’oreille, grâce à des renseignements qu’ils ont reçus.
«Le 05 Mai 2021 aux environs de 12 heures, les éléments de la Brigade de Gendarmerie de Nlongkak ont reçu un renseignement faisant état de l'existence, au lieu-dit "dépôt de bois Nlongkak", d'un réseau de trafic de stupéfiants, de partouzes, et autres pratiques sexuelles déviantes. L'opération coups de poing menée pour démanteler ledit réseau fait état d'un bilan de 09 individus trouvés en pleins ébats sexuels parmi lesquels 06 élèves, tous mineurs, interpellés; une quantité importante de préservatifs déjà utilisés, du wisky mélangé avec du tramol et de la chicha saisis. Cette activité était menée dans un domicile appartenant à un individu âgé de 75 ans, présumé complice des faits. Les autres complices en fuite sont activement recherchés. L'enquête se poursuit dans ladite unité», rapporte la Gendarmerie nationale dans une note d’information publiée ce vendredi 7 mai 2021, sur sa page Facebook.
Il faut noter que depuis le début de cette année, l’actualité a été marquée par des informations faisant état d’élèves trouvés en plein ébat sexuel soit dans des maisons, soit dans les enceintes de leurs établissements scolaires. L’une de ces histoires les plus choquantes s’est déroulée dans la ville de Kribi. Les apprenants eux-mêmes avaient réalisé une sex tape qui avait été publiée sur la toile. Après Kribi, en mars dernier c’est dans la ville de Kumba au Sud-Ouest que 50 élèves avaient été surpris aussi en plein ébat sexuel.
Les sociologues comme Abdou Aziz Njoya ont indiqué qu’il faut restaurer la rigueur, la discipline et la moralisation au sein des établissements scolaires et des familles.
Liliane N.
Les conditions exigibles aux candidats à l’élection du lamido de Garoua contenues dans le communiqué du préfet de la Bénoué réduisent les chances d’Issa Hayatou.
Depuis la publication du communiqué du préfet de la Bénoué en rapport avec l’élection du nouveau lamido de Garoua, certaines personnes pensent que les chances d’Issa Hayatou pour succéder à Alim Hayatou décédé, s’amoindrissent. La raison de cette pensée se trouve dans les conditions exigées aux candidats arrêtées par l’autorité administrative.
Le préfet de la Bénoué demande aux candidats à l’élection du lamido de Garoua de fournir 7 pièces.
«La 6ème et notamment le certificat médical d’aptitude physique établit par un médecin public vient doucher tous les espoirs de l’ancien président de la CAF âgé de près de 80 ans. À l’observation, tout porte à croire que cette disposition n’est pas anodine, car elle traduit, s’il en était encore besoin, la volonté affichée, d’élire à la tête du lamidat de Garoua, un Lamido sain de corps et d’esprit, bref, en très bonne santé physique tout le moins », a écrit Maché Justicier.
En outre, Maché relève que dans les conditions exigibles aux candidats, le préfet de la Bénoué demande à ce que le certificat médical d’aptitude physique soit délivré par un médecin public. «Une précision loin d’être bénigne, car elle a l’avantage de prévenir d’une éventuelle corruption à l’effet d’obtenir de la part de Issa Hayatou ce fameux document, lui dont la santé chancelante et décadente au jour le jour, n’est plus un secret pour personne», observe-t-il.
Les candidats ont jusqu’à 12 heures de ce vendredi 7 mai 2021 pour déposer leurs dossiers. L’élection va se dérouler le 10 mai prochain.
Liliane N.
Pour Hervé Emmanuel Nkom, accepter la création des partis politiques est l’expression de la démocratie.
C’est d’un bon œil qu’Hervé Emmanuel Nkom du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC), voit l’entrée de nouveaux partis dans la scène politique de notre pays. Intervenant ce jeudi 6 mai 2021 sur les ondes d’Abk radio, le militant du RDPC a laissé entendre qu’il s’agit de l’expression de la démocratie.
« Le peuple souverain est serein pour choisir parmi la multitude de formations politiques. Il vaut mieux ouvrir la création des partis politiques au lieu de la limiter, c’est l’expression de la démocratie. Il y a des libertés, mais ce n’est pas aussi facile, il y a des conditions à remplir », a déclaré Hervé Emmanuel Nkom.
Il faut rappeler qu’hier 05 mai 2021, Paul Atanga Nji le ministre de l’Administration territoriale (MINAT) a rendu public l’autorisation de fonctionnement de 11 nouveaux partis politiques.
« Dans le souci d’enrichir le débat politique et d’encourager l’expression des libertés, chère au Chef de l’Etat, Son Excellence Paul Biya, grand chantre de la démocratie dans notre pays, le ministre de l’Administration Territoriale vient d’agréer onze (11) partis politiques qui dorénavant, vont contribuer à l’animation d’un débat politique contradictoire et constructif », a écrit le MINAT.
Parmi ces nouveaux partis politiques, on y retrouve l’Alliance Patriotique du Cameroun (APAR) de Célestin Djamen, qui a été présenté le mois dernier par son leader au cours d’une conférence de presse à Douala (Littoral). On y retrouve également le Rassemblement Démocratique du Cameroun (RDC), dont Aliyou Njoya Seidou est le responsable, l’Alliance Démocratique des Handicapés et Sympathisants du Cameroun (FMDC) de Magloire Kouati ou encore l’Onction pour la paix et le Développement du Cameroun (OPDC) dirigé par Germain Mvondo.
Liliane N.
Le délibéré de l’affaire a été renvoyé au 18 mai prochain.
Le tribunal de première instance (Tpi) de Yaoundé-Centre administratif n’a pas rendu le verdict dans l’affaire qui oppose l’écrivaine Calixthe Beyala à Paul Chouta, comme on l’attendait. Le délibéré a plutôt été renvoyé au 18 mai 2021. Selon Premium Tv, la raison de ce renvoi est que « le juge n'a pas fini de rédiger la sentence ». En attendant donc la nouvelle date à laquelle la sentence doit être prononcée, Paul Chouta est retourné en prison.
Pour certains activistes comme J.P Rémy Ngono, il n’y a rien de surprenant dans ce qui s’est passé aujourd’hui au Tpi de Yaoundé-Centre administratif.
« Paul Chouta retourne en prison comme l’avait déjà annoncé Ma’a Cailloux. Le juge n’a pas rendu sa décision et a préféré renvoyer l’affaire pour la 27ème fois pour le 18 mai 2021. Immédiatement, Calixthe Beyala a sauté de joie et écrit sur son mur: « Bisous à tous et bonne journée » », a écrit J.P Rémy Ngono.
Lire aussi : Affaire Calixthe Beyala-Paul Chouta: le verdict sera prononcé ce jour
Il faut dire que la plupart des partisans de Paul Chouta affirment qu’ils seront très surpris de voir que celui-ci ait gain de cause dans cette affaire qui l’oppose à l’écrivaine Calixthe Beyala. La romancière a porté plainte contre lui pour diffamation et diffusion de fausses nouvelles. Et, il se trouve que le mis en cause a déjà passé plus d’un an incarcéré.
Reporters sans frontières qui s’est rangé du côté de Paul Chouta et qui ne cesse de demander sa libération, indique que Calixthe Beyala « l’accuse notamment d’avoir publié, sans son autorisation, une vidéo sur Internet où elle prend part à une altercation avec un homme ». RSF note que le procès du bloggeur a déjà fait l’objet de plusieurs audiences. « Une procédure et une détention provisoire particulièrement longues pour une vidéo qui ne dure que quelques minutes », écrit-il.
Liliane N.
Le tribunal de première instance de Yaoundé centre-administratif va donner la sentence ce 6 mai 2021, dans l’affaire qui oppose Calixthe Beyala au bloggeur Paul Chouta.
C’est sûrement l’un des verdicts très attendus par la presse au Cameroun. Paul Chouta sera-t-il condamné par le tribunal de première instance de Yaoundé centre administratif ? D’aucuns pensent qu’un verdict contraire ne pourrait sortir du tribunal. La raison étant selon eux, que l’écrivaine Calixthe Beyala à laquelle il est opposé, a une certaine proximité avec le pouvoir. C’est le point de vue Me Christian Bomo Ntimbane qui a adressé hier, une lettre à Paul Chouta incarcéré à Kondengui.
« Je n’attend aucune justice de ce tribunal, madame Beyala, femme de couloir, dont la proximité avec les pontes de Yaoundé est connue de tous, vient de donner, selon une capture d’écran de son commentaire en circulation, la sentence de ta condamnation. Après avoir démontré la vacuité des faits qui te sont faussement reprochés, je ne vois pas ce jeune magistrat prendre son courage pour te relaxer purement et simplement, comme tu le mérites », a écrit Me Christian Bomo Ntimbane.
Toutefois, il faut rappeler que Paul Chouta a été arrêté suite à une plainte déposée contre lui par l’écrivaine internationale Calixthe Beyala. La romancière a décidé de le poursuivre pour diffamation.
Certaines Organisations non gouvernementales (ONG) de défense des droits de l'homme comme Mandela Center International, Nouveau Droit de l'homme, Redhac, entre autres ont réclamé sa libération. Paul Chouta a déjà passé plus d’un an en prison. Il a été incarcéré très exactement le 10 juin 2019. Si certains dans le milieu de la presse considère que son affaire constitue un cas de violation de la liberté de la presse, d’autres pensent le contraire.
Liliane N.
Le nom de la mascotte de la Coupe d’Afrique des Nations 2021 a été révélé ce 5 mai 2021 au Palais des Sports de Yaoundé.
Le nom de la mascotte de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) qui va se jouer au Cameroun l’année prochaine, a été dévoilée ce 5 mai 2021, au cours d’une cérémonie à laquelle Narcisse Mouelle Kombi le ministre des Sports et de l’Education physique (MINSEP) a pris part.
Il convient de rappeler que le MINSEP avait lancé un concours national pour la proposition de l’hymne et de la mascotte de la CAN 2021. Au cours de la cérémonie de ce jour, on a appris qu’il y a eu à la période du 1er au 14 avril 2021, les 35 propositions retenues par le jury Mascotte. Il y a eu aussi 100 projets retenus par le jury Hymne. Ils ont été examinés pendant une dizaine de jours sur la base des critères éliminatoires objectifs et non discriminants.
Les critères sur la base desquels le jury ont fait le choix sont la fonctionnalité, l’adaptabilité, la plasticité, le message et l’esthétique. Au finish, trois meilleurs projets encore sous anonymat ont été retenus. Mais il a proposé «Mola» comme mascotte de la CAN 2021. Une appellation qui renvoie à la convivialité des Camerounais, au terroir 237.
Pour ce qui est de l’hymne de la CAN 2021, le choix n’est pas encore fait. Le jury va regarder la mélodie, le rythme, le texte et la contribution à la promotion de l’image de marque du Cameroun.
Liliane N.
Le président du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale Cabral Libii adresse à Espoir Biyong une vive gratitude au nom de sa formation politique.
Dans sa posture de président du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale (PCRN), Cabral Libii a adressé un message à Espoir Biyong qui a récemment décide de quitter les rangs de sa formation politique.
«Je viens d'apprendre par reportage télévisé la démission de BIYONG J. Espoir, Adjoint au Maire de Douala 5ème, des rangs du PCRN. Je lui adresse au nom du parti, notre vive gratitude pour son inoubliable engagement, certes parfois tumultueux... Que Dieu le bénisse toujours», a écrit Cabral Libii.
A titre de rappel, c’est le lundi 3 mai 2021, que Espoir Biyong à travers sa page Facebook, a fait savoir à toute la communauté nationale, qu’il démissionnait du PCRN.
« A partir de ce lundi 03 Mai 2021, je démissionne définitivement du PCRN (Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale)», a-t-il écrit.
La démission de l’adjoint au Maire de Douala 5ème ne surprend pas vraiment. Parce qu’il s’était à plusieurs reprises montré opposé à certaines prises de positions de son parti politique. Il avait vivement critiqué la participation de son parti aux élections régionales de décembre 2020. Dans ses prises de parole, il avait donné raison à Maurice Kamto dont le parti politique pratique depuis les dernières élections législatives et municipales, la politique du boycott.
Liliane N.
Meka Bami élève au lycée technique d’Ebolowa est décédé ce mercredi 5 mai 2021.
Le décès de Meka Bami élève inscrit au lycée technique d’Ebolowa est rendu public par la Société Anonyme des Brasseries du Cameroun (SABC). Il se trouve que l’enfant a trouvé la mort après l’effondrement d’un des murs du centre de distribution de la SABC au quartier Nkovos. Le communiqué des Brasseries ne donne pas des précisions sur les causes de l’effondrement de son mur.
«Notre direction sécurité est déjà mobilisée pour analyser, en relation avec les autorités compétentes locales, les circonstances qui ont conduit à cet accident tragique que nous déplorons. Le Directeur général du Groupe SABC exprime sa douleur et sa compassion face à cet accident malheureux et adresse les sincères condoléances du comité de direction de l’entreprise à la famille du défunt que nous soutiendrons dans cette épreuve», indique le Groupe SABC dans son communiqué.
Une source s’étant confiée à Cameroon info net, affirme que le mur qui s’est effondré, présentait déjà depuis quelques temps des signes de défection.
«La clôture du Centre de distribution des Brasseries du Cameroun à Ebolowa ne répond pas aux normes. Nous avons averti depuis longtemps. C’est un mur fait avec des parpaings de 15, avec un fer non approprié. Inadmissible pour un mur de 8 mètres de hauteur. L’exécution des travaux avait été bâclée, mais comme les Brasseries du Cameroun sont toutes puissantes, personne ne pouvait nous entendre», déclare la source de Cameroon info net.
Selon des sources médiatiques, l’incident a également fait un blessé.
Liliane N.