C'est l’annonce faite par le ministre de la Santé publique (Minsanté), Manaouda Malachie, à l’issue de la visite d’inspection et de suivi des travaux de la structure le 22 octobre 2021.
A en croire le Minsanté, le Centre hospitalier régional d’Ebolowa (CHRE), dans la région du Sud, devrait finalement être inauguré au cours de la première quinzaine de novembre prochain. L'on apprend que la formation hospitalière reçoit déjà des patients depuis le 16 juin, date initialement annoncée pour son inauguration. Toutefois, seuls certains services sont fonctionnels, à l’instar des consultations externes, gynécologie, néonatologie, pédiatrie, imagerie médicale ou kinésithérapie. Le taux de fonctionnalités de ces services oscille en ce moment entre 20 et 80 %, informe de sources officielles.
D'une capacité de 118 lits prévus dans onze unités de médecine, le CHRE déjà doté d’équipements de dernière génération, doit encore être pourvu de ressources humaines. Actuellement, la structure fonctionne avec six médecins généralistes, huit spécialistes, cinq techniciens et deux contractuels. Notons que les travaux de construction ont été lancés en 2016 dans le cadre du Plan national d’urgence triennal pour l’accélération de la croissance (Planut). Une vision de la politique sanitaire au Cameroun impulsée par le Président Paul Biya soucieux d'offrir des meilleurs à ses compatriotes, les meilleures conditions d'accès aux soins de santé de qualité.
Innocent D H
Suite aux incidents qui ont eu lieu il y’a quelques semaines, entre le ministre des Enseignements Supérieurs et les populations de la Région natale, les élites ont pris la résolution de donner un nouveau souffle à leurs compatriotes qui vivent de ce côté afin qu’ils ne perdent pas foi en l’avenir
La rencontre avait pour cadre la salle des conférences de l’hôtel Bengo d’Ebolowa et avait comme principal thème: “Ensemble, consolidons les acquis. Ensemble, construisons l’avenir”. En plus des fils et filles de la Région, les assises ont vu la présence des autorités administratives, parlementaires, régionales et municipales
Après les allocutions de circonstance prononcées par le maire de la ville d’Ebolowa et le président du Conseil régional du Sud, les participants ont eu droit à un exposé inaugural, prononcé par Jacques Fame Ndongo - modérateur des travaux. Il a entretenu l’auditoire sur les réalisations du Renouveau dans la Région du Sud, saisissant cette occasion pour inviter les populations à consolider les acquis et à garder espoir en l’avenir.
Quintessences des exposés
A la suite de cette première communication, les participants ont eu droit à six présentations, dont voici les thèmes
Problématiques des routes dans la Région du Sud - Exploitation Forestière et Développement des Communautés Locales - Les Réseaux de télécommunications dans la Région du Sud - Le Défi de l’Eau et de l’Energie dans la Région du Sud - Décentralisation dans la Région du Sud: Enjeux et Perspectives du Développement Local Durable - La Lutte contre le Chômage des Jeunes : Quelle stratégie pour la Région du Sud?
Des exposés suivis des échanges dans le cadre desquels, les panélistes ont apporté des éclairages relativement à la valorisation des acquis en vue du développement économique de cette partie du pays.
Fallait - il qu’un tel incident survienne pour que le cri des enfants de cette Région soit entendu?
Pour de nombreux participants aux assises du 14 Octobre dernier, la réponse est évidente car, le vécu quotidien des habitants de cette partie du pays est assez parlant; Eux qui ont toujours accordé leurs voix à ces élites qui, une fois élues, oublient toutes les promesses qu’ils ont faites durant les campagnes électorales.
Ce que vivent les ressortissants de la Région du Sud n’est qu’un échantillon de ce qu’est la vie de nombreux Camerounais qui peut être manquent de courage pour crier leur ras le bol, face à une élite qui n’est visible, présente, accessible que pendant les moments où il faut solliciter les votes.
Qu’est ce qui peut expliquer le fait que les promesses électorales ne restent qu’à ce stade et que les populations soient obligées de barrer les routes pour que leurs cris de détresse soient entendus?
Nicole Ricci Minyem
Meka Bami élève au lycée technique d’Ebolowa est décédé ce mercredi 5 mai 2021.
Le décès de Meka Bami élève inscrit au lycée technique d’Ebolowa est rendu public par la Société Anonyme des Brasseries du Cameroun (SABC). Il se trouve que l’enfant a trouvé la mort après l’effondrement d’un des murs du centre de distribution de la SABC au quartier Nkovos. Le communiqué des Brasseries ne donne pas des précisions sur les causes de l’effondrement de son mur.
«Notre direction sécurité est déjà mobilisée pour analyser, en relation avec les autorités compétentes locales, les circonstances qui ont conduit à cet accident tragique que nous déplorons. Le Directeur général du Groupe SABC exprime sa douleur et sa compassion face à cet accident malheureux et adresse les sincères condoléances du comité de direction de l’entreprise à la famille du défunt que nous soutiendrons dans cette épreuve», indique le Groupe SABC dans son communiqué.
Une source s’étant confiée à Cameroon info net, affirme que le mur qui s’est effondré, présentait déjà depuis quelques temps des signes de défection.
«La clôture du Centre de distribution des Brasseries du Cameroun à Ebolowa ne répond pas aux normes. Nous avons averti depuis longtemps. C’est un mur fait avec des parpaings de 15, avec un fer non approprié. Inadmissible pour un mur de 8 mètres de hauteur. L’exécution des travaux avait été bâclée, mais comme les Brasseries du Cameroun sont toutes puissantes, personne ne pouvait nous entendre», déclare la source de Cameroon info net.
Selon des sources médiatiques, l’incident a également fait un blessé.
Liliane N.
Le stock de produits psychoactifs a été saisi dans une officine de fortune.
L’opération qui a conduit à la saisie des psychotropes a eu lieu hier lundi 06 avril 2020. Elle a été conjointement menée par la Légion de gendarmerie et le SEMIL. Les Forces de maintien de l’ordre ont pris la main dans le sac, un homme qui se faisait passer pour un médecin. Il officiait à domicile. Il vendait des médicaments. Et il recevait et traitait les populations chez lui. Justement, hier, les Forces de l’ordre l’ont trouvé en train de vouloir faire un curetage à une dame. Cette dernière est passée aux aveux.
L’homme qui se faisait passer, pour un médecin a été mis aux arrêts. Son exploitation a permis de découvrir, qu’il n’a ni suivi de formation en soins infirmiers et encore moins en médecine. La fouille de sa maison, a permis aux Forces de maintien de l’ordre de découvrir et de saisir un important stock de médicaments. Parmi ces médicaments, il y avait un assez important des psychotropes (injections et comprimés). Il y avait aussi le matériel de laboratoire, le matériel pour la gynécologie. Les Forces de l’ordre ont également trouvé le cannabis (herbes).
Ibrahim Elralhdini le chef Antenne SEMIL de la région du Sud a indiqué que le faux médecin mis aux arrêts “est aussi un des plus grands dealers de la ville, à en juger par la quantité de produits saisis”.
Les produits saisis ont tous été détruits à la décharge municipale, par un concasseur de la société en charge de l’hygiène et la salubrité de la ville d’Ebolowa. Le 2ème adjoint préfectoral à la tête d’une commission départementale mise sur pied pour la circonstance, a assisté à cette destruction.
Liliane N.
Le calme a été observé le samedi 09 novembre 2019 décrété journée de deuil national en hommage aux 43 défunts de l’éboulement de terrain de Gouache.
Il n’y a pas que Bafoussam qui a pleuré les victimes de l’éboulement de terrain survenu à Gouache samedi dernier. Des villes comme Maroua, Garoua et Ebolowa pour ne citer qu’elles, ont aussi porté le deuil ce weekend. A Maroua par exemple, à l’esplanade des services du gouverneur de la région de l'Extrême-Nord, les populations ont observé une minute de silence. Cela a été fait après une marche sportive organisée par l'hôpital régional de Maroua. « Nous ne partageons pas seulement le bonheur, mais le malheur des uns crée la compassion et l'attention chez les autres et c'est ça la solidarité », a déclaré Roger Saffo, le secrétaire général des services du Gouverneur.
On a noté aussi qu’à travers la ville durant toute la journée du 09 novembre dernier, les drapeaux avaient été mis en berne. Devant les chefferies et autres lieux de service, l’image était la même. « C'est tout à fait normal, il faut que leurs âmes reposent en paix, et la seule manière pour nous de le démontrer c'est de laisser notre drapeau en berne », a déclaré Trumba Noël, employé d'une entreprise de gardiennage dans les colonnes du quotidien gouvernemental Cameroon tribune.
Dans la ville de Garoua, plusieurs administrations ont gardé leurs portes fermées. Les services du Gouverneur du Nord, les palais de justice, les postes de commandement militaire et les services de sécurité, ainsi que les administrations comprenant des effectifs paramilitaires comme les services des douanes du Nord, ont gardé pour l’occasion le drapeau en berne durant la journée. Ayant connu les inondations en 2012, la région qui avait également perdu ses fils, maîtrise la douleur causée par un drame comme celui de Gouache.
Dans le Sud, la ville d’Ebolowa a également observé la journée de deuil national. Comme à Maroua et à Garoua, les drapeaux ont été mis en berne. L’hommage aux morts de Gouache s’est poursuivi dimanche, dans les lieux de culte et célébrations eucharistiques.
Lire aussi : Cérémonie d'hommage à Bafoussam : Adieu aux 43 disparus
Liliane N.
Après près de huit ans de travaux, l’édifice est aujourd’hui au stade des finitions. Des informations puisées à bonne source évoquent 88% du taux de travaux.
Sur place, comme le rapporte un reportage de Cameroon Tribune sur le site, ouvriers chinois et camerounais s’activent, derrière l’immense clôture d’enceinte, à rendre, enfin opérationnelle une structure hôtelière, longtemps attendue, et qui va, à coup sûr, fortement améliorer le paysage urbain de la capitale du Sud. C’est un joyau architectural R+6 qui éblouit et se dresse majestueusement à l’entrée Nord de la ville d’Ebolowa.
Le deuxième constat, en arrivant sur le site du chantier, est le niveau avancé des travaux. « L’on est frappé par l’éclat du revêtement des murs du bâtiment principal, d’un blanc ocre, avec des abords peints en rouge. C’est également la couleur de la toiture. Dans cette vaste cours, se construisent les voies et réseaux divers. Ici, parkings et allées ont déjà reçu leur bitume et pavés », relate le journal.
« Nous mettons la dernière main », affirme un ouvrier. Plus loin, l’on peut se rendre compte que le bétonnage des entrées A et B et les différents coulages au niveau de la piscine, et les autres espaces de loisirs tant sont pratiquement achevés.
L’accès dans le bâtiment se fait par la grande entrée qui donne sur un vaste patio. Ici, on a le sentiment d’être véritablement dans un hôtel de luxe. Celui-ci devra d’ailleurs être classé « Trois étoiles ». Un tour dans les différentes salles de conférences va confirmer ce sentiment. L’électricité et la sonorisation sont en cours d’installation. Plus loin, les espaces d’hébergement proprement dits, les chambres en l’occurrence, sont déjà fonctionnels.
On prend la mesure véritable de ce que sera « l’Hôtel Bengo’o », qui tient ce nom de la petite rivière qui serpente la vallée où se dresse ce complexe hôtelier. Le retard qu’accuse la livraison officielle de ce joyau architectural, rassure-t-on ici, porte sur les difficultés de financement et au changement, à un moment, de l’entreprise chargée de travaux de construction. Mais, aujourd’hui, tout semble être enfin rentré dans l’ordre. Aussi, déclare-t-on, « l’Hôtel Bengo’o » d’Ebolowa qui a coûté un peu plus de 14 milliards de F sera livré bientôt.
N.O
Le nouveau site de la gare routière d’Ebolowa dans la région du Sud, offre plus de commodités aux transporteurs interurbains et aux usagers. Il a été inauguré lundi dernier par le préfet de la Mvila, Rachel Ngazang Akono.
La ville d’Ebolawa dispose désormais d'une nouvelle gare routière plus confortable. Le nouveau site de stationnement a officiellement ouvert ses portes lundi 26 août dernier, au cours d’une cérémonie d’inauguration présidée par le Préfet de la Mvila, Rachel Ngazang Akono, qui a initié ce projet de délocalisation. C’est le quartier Saint Cloud qui a été choisi pour abriter le nouveau site des agences de voyage désormais opérationnel. La nouvelle gare routière, est non seulement plus spacieuse, mais offre également plus de commodités aux transporteurs interurbains et aux passagers.
Le projet de construction de la nouvelle gare routière d’Ebolawa a été initié dans le cadre de la lutte contre le désordre urbain qui avait pris en otage l'ancien site des agences de voyage au quartier Nko'ovos. Le nouveau site permettra d’assainir la ville et de mieux réglementer le secteur de transport urbain. Au cours de cette cérémonie, le +préfet a installé officiellement les responsables de la gestion de la gare routière qui auront la lourde responsabilité de veiller au bon fonctionnement du nouveau stationnement. « Notre rêve de voir le secteur de transport se professionnaliser est en bonne voie. Nous pensons avec cette nouvelle gare, atteindre les standards acceptables pour le bien-être des voyageurs. Nous disposons désormais d’assez d’espace qui permettra aux passagers de bénéficier de plus de confort », a confié le représentant des transporteurs, Mohamadou Abbo. Les Responsables d'agences de voyage et les habitants d'Ebolowa ont salué la création de cette nouvelle gare routière, qui apporte un nouveau visage à la ville. Les usagers sont par ailleurs invités de veiller à la bonne utilisation de l'infrastructure.
Marie MGUE
Le parti politique au pouvoir a organisé le 16 mars 2019 à Ebolowa, un séminaire régional de formation des cadres du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc).
Le Rdpc ne veut pas se reposer sur ses lauriers. Le parti souhaite avoir de bons scores lors des prochaines élections législatives et municipales. C’est en cela que le parti du Président Paul Biya a décidé d’organiser un séminaire régional de formation de ses cadres dont les travaux ont été coordonnés par le Dr Madeleine Tchuente. Le Rdpc veut rallier les jeunes et les femmes à sa cause. Trois exposés ont meublé ledit séminaire. Ils ont été présentés par le Dr Madeleine Tchuente la coordonnatrice de cette activité et Cyrus Ngo’o le Directeur Général (Dg) du Port Autonome de Douala (Pad).
Prenant la parole le Pr Jacques Fame Ndongo secrétaire national à la communication du parti par ailleurs Ministre d’Etat, Ministre de l’Enseignement supérieur a déclaré « nous sommes permanemment en campagne. Nous devons en tout temps mobiliser nos militants leur dire de travailler en synergie dans la cohérence et la cohésion. Nous devons être mobilisés pour faire triompher les idéaux du parti et faire gagner les candidats du Rdpc aux prochaines échéances électorales ».
Dans la région du Sud, le parti au pouvoir veut réduire au maximum les frustrations, revoir les procédures de sélection des candidats, établir la transparence sur toute la ligne dans les choix des représentants du parti. Un changement de paradigme pour les prochaines élections à caractère local.
Il est question pour le parti du Renouveau d’éviter comme par le passé d’avoir dans ses rangs des traîtres, des incrédules et des militants qui vont le moment venu, aller à l’encontre des idéaux du Rdpc. Une interpellation forte qui passe nécessairement par les inscriptions massives sur les listes électorales.
« Nous devons éviter l’abstention, donc il faut inscrire le maximum de militants mais pas le tout-venant. Nous devons ratisser le terrain, intégrer de plus en plus de jeunes et des femmes qui sont le lectorat le plus important numériquement et même en terme d’énergie et de dynamisme », a ajouté le Pr Jacques Fame Ndongo.
Liliane N.
Cette opération connait une mobilisation exceptionnelle.
La ville d’Ebolowa dans la région du Sud fait peau neuve depuis le 23 septembre 2018. Sous l’initiative de Rachel Ngazang Akono Préfet du département de la Mvila, des jeunes venant des différents quartiers d’Ebolowa effectuent des opérations qui s’inscrivent dans le cadre de la campagne d’hygiène et d’assainissement. Ils ont reçu de Joël Emmanuel Bitoumou Maire d’Ebolowa 1er du matériel de travail composé entre autres des brouettes, des râteaux, des pelles, des bottes, des gants et des machettes. Ces derniers de façon concrète s’attèlent au drainage des marécages et ruisseaux dans les quartiers qui sont exposés aux inondations. Ils font les curages des caniveaux, le nettoyage des abords des principaux axes, l’élagage des arbres et le balayage des rues.
Pour ces tâches quotidiennes, ces jeunes qui sont fiers de rendre leur ville propre, perçoivent la somme de 2000 FCFA. Une opération de ce genre a également été lancée le 1er octobre dernier à Bertoua dans la région de l’Est du Cameroun. Là-bas ce sont 400 jeunes venant des Communes de Bertoua 1er et Bertoua 2ème qui ont été retenus pour assurer le service de ramassage des ordures ménagères dans cette ville de la région de l’Est. De leur côté aussi, ils perçoivent une somme de 30 000 FCFA par semaine. Ils ont également reçu un équipement de travail composé des pelles, des brouettes, des brosses, des râteaux, des bottes, des gangs, des caches nez. Ils travailleront comme ça durant tout le mois d’octobre. Et à la fin de cette période, les meilleurs de chaque groupe seront retenus pour travailler dans les quartiers. Ceux-ci poursuivront ce service en tant qu’agent d’appui des Communes suscitées.
L’opération de cette ville de la région de l’Est baptisée «Bertoua ville propre» a été salué par le gouverneur de la région de l’Est, Grégoire Mvongo. L’opération est en fait une action conjointe des Communes de Bertoua 1er, Bertoua 2ème et de la société d’Hygiène et de salubrité du Cameroun (HYSACAM). Elle vise à lutter efficacement contre l’insalubrité qui gagne la ville de Bertoua. S’exprimant au sujet de cette opération, dans le quotidien Le Jour, édition parue le 3 octobre 2018, Me Bembell Dipack Cromwell, le Maire de Bertoua 1er a déclaré ceci «le problème des ordures relève de la Communauté urbaine qui signe des contrats avec l’entreprise Hygiène et salubrité du Cameroun qui fait malheureusement face à une tension de trésorerie et ne peut plus assurer ce service. La tutelle a donc demandé aux Communes de s’impliquer dans la collecte et le ramassage des ordures de la ville».
Pour revenir au Préfet Rachel Ngazang Akono qui a décidé de faire de la lutte contre l’insalubrité un champ de bataille primordial, fait partie de la minorité des femmes Préfets au Cameroun. Elle est la deuxième. C’est le 2 juillet dernier qu’elle a été nommée à cette fonction. Agée de 57 ans elle a atteint ce niveau après une carrière longue. Elle a été 2è adjoint préfectoral dans le Mfoundi, puis 1ère adjointe au préfet dans la Mefou Akono. Comme sous-préfet de l’arrondissement de Yaoundé 7 de 2006 à 2008, elle se souvient de sa gestion de l’extension des capacités électriques de la ville de Yaoundé.
Liliane N.