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Mfoungo

Mfoungo

Si Clarence Seedorf et Patrick Kluivert assurent le côté glamour des Lions Indomptables, les Comores ne veulent rien céder sur le terrain à l’équipe que le nouveau staff va mettre en place. Pratiquement à la fin de leur regroupement qui se tient depuis lundi, les Coelacanthes sont confiants de pouvoir tenir leur bout contre les Champions d’Afrique en titre. Le rêve de se qualifier pour la CAN 2019 est toujours vivant.
Pour Fouad Bachirou, le milieu de terrain de Malmö, « quand le match commence c’est à pourcentage de chances égales, c’est comme ça que je vois le football. Je l’ai toujours vu dans cet angle. On ne part pas favoris, on le sait, mais nous on est fiers de nos couleurs. Ce qui compte est ce que l’on fera sur le terrain samedi. On doit prouver qu’on a aussi des grands joueurs et faire le plus grand match possible. ». Ali Mmadi, joueur de Villefranche, et international est confiant Et il l’exprime clairement : « On a accroché le Ghana pourquoi pas le Cameroun (…) Tous le monde sait que le Cameroun est une grande nation africaine. C’est aussi les champions d’Afrique en titre, on ne reçoit pas n’importe qui. On va être humble et essayer de les gêner le plus possible. Tout le monde sait que c’est compliqué de venir jouer chez nous même pour les grosses équipes. On compte beaucoup sur nos supporters, ils constituent notre « 12è homme » et on va tout faire pour leur offrir un bon résultat (…) Concernant la qualification, on n’y croit encore. Dans le foot on ne sait pas ce qui peut arriver. Quand on voit des équipes comme le Cameroun et le Maroc, bien sûr qu’on est outsiders. Même le Malawi qui est une petite équipe par rapport aux deux autres, ça reste aussi une très bonne équipe. Nous on est le petit poucet du groupe mais on a notre chance et on va essayer de la saisir. »
17 morts et de nombreux blessés, c’est le bilan provisoire d’un accident de la circulation survenu cet après-midi sur l’axe Yaoundé-Douala.
Des victimes d’un grave accident survenu sur l’axe Yaoundé-Douala, le 6 septembre 2018 (c) Gabriella Essomba/Actucameroun.com
Les informations recueillies sur les lieux du drame font état d’une collision entre un bus  d’une agence de voyages et un gros porteur en excès de vitesse entre Sombo et Boumnyebel. La circulation est interrompue depuis quelques heures, les forces de l’ordre sont descendues sur les lieux pour effectuer le constat. Les sapeurs-pompiers sont venus ôter les corps de la route. Il est prévu un recensement des personnes décédées et des blessées dans les heures qui viennent. Un nouveau drame qui suscite la panique auprès des usagers de la route en ce début d’année scolaire 2018-2019.
Le porte-parole du gouvernement vient de publier un communiqué relatif aux enlèvements et autres assassinats ciblés contre les élèves et les responsables d’établissement depuis la rentrée scolaire dans les zones anglophones.
« Le ministre de la Communication informe l’opinion publique nationale et internationale que des terroristes se réclamant de la mouvance sécessionniste ont perpétré depuis le 1er septembre 2018, des séries d’actes criminels visant manifestement à perturber le déroulement serein de la rentrée scolaire 2018- 2019 dans certaines localités des régions du Nord-ouest et du Sud-ouest. C’est ainsi que dans la nuit du 1er au 2 septembre 2018, le directeur de l’école primaire de Bamali dans le département du Ngo- Ketunjia, région du Nord-ouest, a été froidement assassiné. Le lundi 03 septembre 2018, six élèves du Presbyterian Girls Secondary School de la localité de Bafut dans le départe- ment de la Mezam, région du Nord-ouest, ont été kidnappés en même temps que le principal dudit collège. Le mardi 04 septembre 2018, aux environs de 14 heures, une dizaine d’individus a pris d’assaut le lycée d’Emeline dans la ville de Kumbo, département du Bui, région du Nord-ouest et vandalisé les bureaux du personnel administratif causant la fuite des enseignants et des élèves présents dans l’enceinte du lycée. Le même jour, une attaque perpétrée contre le collège St Joseph à Sasse dans le département du Fako, Région du Sud-ouest a été repoussée par les forces de défense. Dans le même temps, l’économe du Government Technical College Roberta de Kumbo dans le département du Bui, région du Nord-ouest, qui se rendait à son lieu de service, a été attaqué et ses effets emportés par les assaillants. Aussitôt informé des enlèvements intervenus à Bafut, le chef de l’État son Excellence Paul Biya a prescrit des mesures d’urgence afin que les victimes de ces actes crapuleux soient retrouvées et remises en liberté. Les recherches menées par les forces de défense et de sécurité ont d’ores et déjà abouti à la libération de deux des élèves et du principal du Presbyterian Girls Secondary School, kidnappés le 03 septembre 2018 à Bafut. Il est à noter que le principal de cet établissement a subi de graves sévices corporels dont l’amputation de deux doigts et une affreuse mutilation du visage. Les recherches se poursuivent toujours pour traquer les auteurs de ces différents forfaits, les appréhender et les mettre à la disposition de la justice. Le chef de l’État son Excellence Paul Biya condamne avec la plus grande fermeté ces atrocités et s’insurge contre ces graves violations portées au droit à l’éducation et à la vie. Il s’agit d’actes terroristes barbares qui caractérisent les ennemis de la République ainsi que leurs soutiens et qui constituent des crimes imprescriptibles qu’aucune cause ne saurait justifier.

Abel Elimbi Lobe le conseiller municipal de Douala 5ème pense que du fait de ses divisions le parti nationaliste risque de disparaître.

Abel Elimby Lobe est gêné par le spectacle qu’offrent  en ce moment les différentes tendances de l’Union des populations du Cameroun. Le conseiller municipal de la commune d’arrondissement de Douala 5ème s’est exprimé sur la dernière actualité du parti nationaliste le 5 septembre 2018 sur Radio Balafon. Il a déploré les ralliements des factions à des candidats différents sur le front de l’élection présidentielle du 7 octobre prochain. La dernière en date, celle de la section UPC de la région de l’Ouest au candidat Maurice Kamto a été selon lui l’incohérence de trop. « Nous savons depuis très longtemps que l’UPC est fortement malade et que cette maladie conduit inexorablement, doucement, de façon assez certaine, l’UPC vers sa disparition. Nous pouvons d’ailleurs considérer que nous sommes arrivés à un point de non-retour. Parce que lorsque vous avez un parti qui n’a plus de chef, un parti où le chef selon la région peut orienter le parti dans une voie contraire que les chefs dans les autres régions peuvent prendre. Ça veut dire qu’il n’y a plus une UPC. Ce qui vient de se passer et qui nous fait énormément honte dans l’opposition, ne laisse pas les autres formations politiques ou les autres acteurs politiques indifférents. Nous aurions souhaité avoir une opposition qui nous fait honneur. Avec des dirigeants qui lorsqu’ils prennent position le peuple ou les factions du peuple suivent. Nous sommes là dans une situation où les dirigeants d’un parti vont prendre position et très certainement les factions du peuple ne suivront pas », réagit-il ? Elimby Lobe glisse qu’il n’est pas sûr que l’UPC de l’Ouest par exemple sera suivie par ses militants. Simplement parce que soutient-il, elle n’a jamais été à une élection, elle ne sait pas si elle a des militants.  Pour lui ceux qui disent suivre Maurice Kamto « parlent pour eux-mêmes ».  Elimby Lobe indique que le choix de la faction Bapooh Lipot de soutenir le président sortant ne constitue pas une surprise. « On peut comprendre que c’est une tradition depuis les années 1992 où monsieur Kodock avait engagé l’UPC derrière le candidat Paul Biya ».  Il ra pelle que cette UPC n’a jamais présenté de candidat à l’élection présidentielle, mais a un certain poids politique. Le ton déçu, il dit avoir cru que l’UPC s’était réorganisée à la suite de son  congrès unitaire de 2017. L’ancien du SDF croit que les divisions observées résultent des ambitions personnelles. « Nous sommes là dans un éclatement de l’UPC qui fait qu’elle soutient maintenant trois candidats en même temps ; ça nous montre que certaines personnes utilisent l’élection présidentielle comme une occasion d’exister, une occasion de faire savoir que vous ne m’avez pas vu depuis, mais moi aussi je suis là et dorénavant, je peux engager le peuple du changement dans une voie ou dans une autre voie ». Il en conclut qu’ils se trompent car croit-il, le combat n’est pas un combat pour le positionnement.
Face à la crise sécuritaire issue du phénomène de prise d’otages avec demande de rançon, les chefs traditionnels de cette unité administrative du département de la Vina se disent prêts et disposés à prêter main forte aux forces de défense dans la lutte contre les coupeurs de route.A l’heure où la région dite château d’eau du Cameroun fait face à la multiplication des actes criminels orchestrés par les groupes armés qui enlèvent, torturent et tuent les éleveurs et leurs familles, la mobilisation des chefs traditionnels était plus qu’attendue. L’arrondissement de Ngan-Ha, partageant une frontière avec le département du Mayo-Rey dans le Nord, rencontre ce problème de kidnapping des bergers et éleveurs. La réunion des chefs traditionnels de cet arrondissement tenue le mercredi 5 septembre visait donc le renforcement de la ceinture de sécurité et l’appui à apporter aux comités de vigilance qui fournissent des efforts pour la réduction du phénomène aux côtés de forces de défense et de sécurité. «Les populations de l’arrondissement de Ngan-Ha et leurs chefs traditionnels s’engagent solennellement à appuyer les forces de défense dans la lutte contre les actes ignobles des ravisseurs qui écument nos brousses. Avec les comités de vigilance récemment formés et installés dans les villages, nous sommes résolument engagés à apporter notre contribution pour le maintien de la sécurité dans notre commune», déclare Saliou Saoumboum, Belaka de Ngan-Ha et président des chefs traditionnels de la commune de Ngan-Ha. Cet engagement des chefs traditionnels traduit leur volonté à participer à la consolidation d’un climat de paix et de sécurité. Au-delà de ce désir de contribuer au renforcement de la sécurité autour de cet arrondissement qui abrite les travaux de construction du barrage hydro-électrique de Bini-Warrak, la rencontre des gardiens de la tradition de la Commune a été un tremplin pour soutenir le président de la République, contexte de l’élection présidentielle du 7 octobre prochain oblige. Au moment où les éleveurs, les bergers et leurs familles dans la région de l’Adamaoua en général, ceux du département de la Vina en particulier vivent dans la peur, cette décision des chefs traditionnels de cette Commune, si elle est suivie et convenablement implémentée sur le terrain serait un début de solution à cette situation qui endeuillent de nombreuses familles.
A Douala, le centre mets depuis près de deux ans sur le marché de l’emploi une main d’œuvre qualité en quantité. Cette structure est un fruit de la coopération Cameroun-Corée du Sud.A l’entrée Ouest de la zone industrielle de Douala bassa au Cameroun, se dresse ces neuf bâtiments qui constituent le centre de formation professionnelle d’excellence de Douala. La structure, selon les responsables, est le fruit d’une vision du Chef de l’État Paul Biya en collaboration avec le gouvernement Sud-Coréen pour lutter contre le chômage jeune en formant une main d’œuvre de quantité et de qualité. Selon Amadou Boubou, directeur du Centre de formation professionnelle d’excellence de Douala, c’est un lieu qui répond aux exigences des entreprises et possède des référentiels de  formation de qualité. Au-delà du contenu des formations effectuées sur l’analyse de la base de la situation de travail auprès des entreprises — répondant ainsi aux besoins du patronat qui n’a cessé de se plaindre de l’inadéquation formation-emploi — l’un des atouts de ce centre c’est son équipement. Il est doté d’une technologie de dernière génération offerte par le gouvernement sud-coréen. À cela s’ajoute la qualité des formations à en croire les apprenants dudit centre qui ont déjà des projets pleins la tête. La jeune Marthe Voundi estime être qualifiée et veut effectuer un stage de perfectionnement dans un salon de coiffure avant de s’installer à son propre compte, au terme d’une année de formation.  Avec un taux d’insertion professionnel de 80% chaque année, le Cameroun gagne ainsi le pari contre le chômage jeune à travers les CPE. En savoir plus sur les CEntre de formation professionnelle d’excellence dans cette vidéo:
Une réunion avec les principaux responsables du parti dans le département de la Mvila a eu lieu à Ebolowa le 4 septembre dernier. Il était question de trouver des solutions urgentes aux remous exprimés par les populations à la base.Dans les huit arrondissements du département de la Mvila, les militants du RDPC sont en colère. Ils accusent l’élite politique de les maintenir dans la pauvreté, la précarité et le Besoin. Selon un militant qui a requis l’anonymat par peur de représailles, «tous sont coupables de cette situation puisqu’ils ont été incapables de gérer la décentralisation. Dites-moi quel est le profil des maires de la Mvila et vous comprendrez les réactions de ces populations». Le département de la Mvila reste criardement enclavé. Pas de routes praticables, d’électricité et autres commodités du monde moderne. Pour toutes ces raisons et de bien d’autres, la victoire de Paul Biya à l’élection présidentielle d’octobre prochain reste suffisamment hypothéquée. Pour inverser la tendance, les responsables politiques du RDPC dans le département de la Mvila envisagent des solutions urgentes et réalistes. Pour l’honorable Jean Jacques Zam, «c’est tout à fait normal de tenir un discours vérité à ces populations puisque ce n’est pas en un mois qu’on va résoudre tous leurs problèmes et leur rendre la vie paradisiaque». Invités à cette concertation, les Délégués régionaux des Travaux publics, de l’entreprise Eneo, en charge de la distribution de l’énergie électrique, de l’eau et de l’énergie, ont apporté des réponses techniques aux préoccupations de l’heure dans la Mvila. L’évaluation de la situation sur le terrain impose de fait à la Délégation permanente départementale du RDPC pour la Mvila de corriger au plus vite les mauvais choix stratégiques effectués dans ce département depuis des années. Et si la Mvila veut garder sa réputation de «bastion imprenable» et de «socle granitique» du RDPC, il est plus que jamais opportun de prendre en compte les désidératas des populations.
vendredi, 07 septembre 2018 09:43

Boko Haram fait deux morts à Gouzodo.

Surpris dans leur sommeil par les assaillants dans la nuit du 4 au 5 septembre dernier, les deux chefs de famille n’ont pas eu le temps de prendre la fuite

Les membres du comité de vigilance avaient à peine donné l’alerte que les habitants de Gouzodo, village situé à 15 km de l’arrondissement de Mora, dans l’Extrême Nord ont tenté de prendre la fuite vers le refuge qu’ils se sont construits. Malheureusement, il était trop tard. Les terroristes étaient déjà là, fortement armés, détruisant tout sur leur passage, semant la peur et la désolation. L’armée présente, a tenu en respect les assaillants qui n’ont pu avoir accès à leur caserne. Ils pensaient faire main basse sur l’armement lourd à l’instar des lances roquettes, des mitrailleuses ainsi que les munitions qu’ils convoitaient.

Butés à cette résistance, Ils se sont repliés vers Les cases et ont mis le feu dans le village.

Le sous préfet de l’arrondissement de Mora et les membres de l’armée camerounaise sont descendues dans cette localité mais, juste pour constater que les populations éplorées malgré les fortes pluies qui s’abattent dans la localité ont dû trouver refuge ailleurs.

Ils n’ont pu mettre la main sur les assaillants, qui dans leur fuite, ont emporté le bétail, les semences, les sacs de mil et l’engrais.

Depuis quelques mois, bien qu’on ne fasse plus allusion aux attaques de Boko haram, l’attention étant focalisée dans les régions du Nord et Sud Ouest, elles sont de plus en plus récurrentes. Il faut toutefois relever que le déploiement de l’armée camerounaise, qui travaille avec la force multinationale, a apporté une certaine stabilité. La preuve, nombreux sont les villages qui ont été rebâtis, les populations qui s’étaient réfugiées au Nigeria voisin et dans d’autres localités sont revenues chez elle, l’école a réouvert ses portes.

Les habitants, dont les principales activités tournent autour de l’élevage, de l’agriculture, du commerce et de l’artisanat ont peu à peu retrouvé leur autonomie financière. L’on ne parle plus d’enlèvement, encore moins des attaques kamikazes.

Gouzodo fait partie des quelques villes, situées à un jet de pierre de la frontière avec le Nigeria. C’est d’ailleurs de ce côté que vont se réfugier les terroristes après chaque raide.

Face à cette autre attaque, les autorités administratives et militaires sont appelées à renforcer les mesures sécuritaires déjà très importantes et, qui leur ont permis de déjouer la plupart des plans machiavéliques pensés par des hommes sans foi ni lois, engagés à semer la terreur auprès des populations qui ne demandent qu’à vivre en paix.

Fort heureusement, ils travaillent en parfaite intelligence avec les membres des comités de vigilance. Leur tâche aurait peut être été plus aisée si ces villages avaient été pourvus en énergie électrique, ou encore éclairés grâce à l’énergie solaire. Il faut rappeler que c’est depuis 2014 que les populations de ce côté vivent dans le noir. Les installations électriques ont été détruites par Boko haram et jusqu’ici, aucune mesure n’a été prise pour remédier à la situation; or, les terroristes arrivent au milieu de la nuit pour surprendre leurs victimes dans le sommeil.

Nicole Ricci Minyem

En effet hier en fin d'après-midi, 4 autres enfants, des 7 kidnappés en cette rentrée scolaire de 2018, ont retrouvé leurs familles. Nous rappelons à nos lecteurs, que 7 enfants avaient été kidnappés en région anglophone pour avoir violé la ville fantôme de Bafut. 2 des 7 enfants avaient alors été libérés et maintenant 5 autres le sont. ils nous restent donc à se demander où se trouve le dernier enfant kidnappé. L'Agence Cameroun Presse reviendra avec plus d'informations dans la journée   [video width="640" height="368" mp4="http://agencecamerounpresse.com/wp-content/uploads/2018/09/WhatsApp-Video-2018-09-06-at-20.47.55.mp4"][/video]

Le premier vice-président de la Confédération du football africain (Caf), Amaju Pinnick, a soutenu les préparatifs du Cameroun pour accueillir la Coupe d’Afrique des Nations 2019. 

Pinnick est président du Comité d’organisation de la Coupe des Nations de Caf et a participé à la dernière visite d’inspection au Cameroun qui s’est terminée lundi. Depuis que le président du Caf Ahmad a déclaré en août dernier que le pays  « aurait du travail pour convaincre ». « Le président de Caf, Ahmad, soutient à 100% ce qui se passe ici est Cameroun. Je lui ai donné des mises à jour et il est très enthousiaste à ce sujet », a déclaré Pinnick à BBC Sport. « Il nous a donné beaucoup d’assurances et personne ne va enlever la coupe d’Afrique au Cameroun. »
« Ce que nous avons vu jusqu’à présent est vraiment très impressionnant, le gouvernement a fait d’énormes efforts pour accueillir la meilleure Afcon de tous les temps et nous sommes très enthousiastes à ce sujet. « Nous sommes vraiment du fond de notre âme, désireux de voir le Cameroun faire cela parce que nous savons que cela va avoir un impact énorme non seulement sur le Cameroun, mais aussi sur le continent africain. »
Le Cameroun accueillera la première Coupe des Nations qui se tiendra en juin et juillet et dont le nombre d’équipes est passé de 16 à 24. La déclaration de Pinnick survient après la troisième inspection par Caf des stades et des installations hôtelières dans les 6 villes hôtes.

Nous ne voulons pas que les gens aient des idées fausses, a-t-il poursuivi.

« Nous sommes ici pour des affaires très sérieuses et ce que j’ai vu dans les présentations était incroyable parce qu’après la fin du tournoi, je ne pense pas qu’il y ait un pays qui aura les mêmes installations que le Cameroun. Nous devons faire un effort supplémentaire. Nous venons de la Coupe du Monde et nous avons vu des standards très élevés. Nous voulons voir une coupe des nations différentes organisée par le Cameroun, créant une norme que tous les autres pays africains regarderont le Cameroun et diront que c’est la norme qu’ils ont établie, comment pouvons-nous respecter cette norme.»






Sunday, 05 June 2022 11:01