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Il y a quelques jours, Plusieurs journaux locaux annonçaient Jean Pierre Amougou Belinga, comme probable candidat aux législatives dans la Mefou et Akono. Une offre que le PDG de Vision 4 a décliné. Il ne veut pas entrer à l’Assemblée nationale.

 

Selon les faits, tout part des articles publiés par les journaux InfoMatin et la Météo. En effet, ceux-ci annonçaient la probable candidature du PDG de Vision 4.  Il est indiqué dans ces tabloïdes qu’il s’agit d’un appel des populations de la Mefou et Akono, département d’origine de l’homme d‘affaires. « Comme un seul homme le département de la Mefou Akono attend avec impatience le « OUI » de Jean Pierre Amougou Belinga au terme de l’échange de ce jour (mercredi 13 novembre) entre les forces vives du département et le Zomlo Be Zomloa des Mvog Belinga », a écrit le journal InfoMatin dans sa parution du mercredi 13 novembre.

« Pressé par les populations qui appellent le PDG du groupe L’Anecdote à se présenter, le suspens sera levé aujourd’hui (mercredi 13 novembre) à Yaoundé au cours de la rencontre qui pourra contraindre le digne fils de Mefou Akono à répondre favorablement et enfin aux appels des siens », renchérissait pour sa part La météo.

Mais aux dernières nouvelles, Amougou Belinga aurait tourné le dos à l’appel de la Mefou Akono. Le journal InfoMatin du jeudi 14 novembre 2019, est revenu sur cette actualité. « Jean Pierre Amougou, pourquoi j’ai dit NON à la députation ? », a titré le journal de Dieudonné Nven à sa grande UNE. « Le digne fils de la Mefou Akono a déclaré hier à l’élite du département qu’il restait un indéfectible soutien à Paul Biya et a promis de financer la campagne électorale des candidats du RDPC de la circonscription y compris aux municipaux », précise le journal.

Lire aussi : Législatives 2020 : Amougou Belinga veut être député 

Le PGD de vision 4 n’est donc pas candidat aux prochaines élections municipales et législatives.

Pour rappel, Le président Paul Biya a convoqué dimanche 10 novembre le corps électoral, en vue des prochaines élections locales fixées au 9 février 2020. Plus d'un an après la présidentielle, ces scrutins s'annoncent déterminants.

Après deux reports consécutifs, les élections locales devraient parachever le processus de renouvellement de la classe politique camerounaise engagé en octobre 2018 avec la présidentielle. Une élection à l’issue de laquelle le président Biya avait été donné vainqueur avec 71%, mais dont les résultats sont toujours contestés par Maurice Kamto, officiellement classé deuxième avec 14% des suffrages.

 

Danielle Ngono Efondo

 

Published in Parti politiques

Le Dr Erik Essoussè, en sa qualité de Directeur général des Elections indique que les mesures spéciales qui seront prises concernent la sécurité.

 

Approché par le quotidien gouvernemental Cameroon tribune, le Dr Erik Essoussè a parlé du travail fait par sa structure pour l’organisation des élections municipales et législatives 2020. Le corps électoral ayant déjà été convoqué. Et lesdites élections fixées pour le 9 février de l’année prochaine. La problématique de la participation des populations du Nord-Ouest et du Sud-Ouest à ces élections, le Directeur général (Dg) d’Elections cameroon (Elecam) au cours de cette interview a parlé des mesures spéciales pour ces régions anglophones, comme cela a été fait lors de la Présidentielle de 2018.

« Les mesures particulières concernent la sécurité. Il faut justement tout faire pour que la sérénité règne dans les différentes circonscriptions de ces régions. Nos agents sont prêts à se déployer dans le Nord-Ouest et le Sud-Ouest, à condition que leur sécurité soit assurée. Les électeurs aussi n'attendent que cette garantie pour se mobiliser le jour du scrutin. L'année dernière, lors de la présidentielle, nous avons par exemple pris des mesures pour que ceux des électeurs qui s'étaient déplacés du fait de la crise, aient la possibilité d'être transférés dans les bureaux de vote où ils se trouvaient. Cela a permis que les personnes déplacées puissent voter aisément. Ces aménagements sont prévus par la loi et nous tenons à respecter celle-ci à chaque fois qu'il faudra trouver des allègements pour nos populations en difficultés », a déclaré le Dg d’Elecam.

Par rapport aux échéances électorales dont la date du déroulement est déjà connue, le Dr Erik Essoussè fait savoir que de façon générale, Elecam est déjà prêt. « Notre mission au quotidien est d'être prêt pour l'organisation des consultations électorales et référendaires. Notre institution a été créée pour ce travail. C'est l'objet de notre sacrifice quotidien. Nous sommes donc prêts et nous allons travailler dans le cadre du délai de trois mois prévus par la loi, pour mieux huiler notre machine et être à là hauteur de toutes les attentes placées en nous, le 9 février 2020 », déclare-t-il.

Lire aussi : Le Ministre Atanga Nji rassure sur la participation de la région du Nord-Ouest aux prochaines élections

Elecam dans les prochains jours procèdera à la publication du fichier électoral actuellement en cours de toilettage. L’organe en charge de l’organisation des élections au Cameroun prévoit rendre public les listes définitives de candidats, au mois de décembre 2019. « Nous devons aussi travailler pour publier la liste des bureaux de vote, compléter le matériel électoral, c'est-à-dire les papiers, les encreurs, l'encre indélébile, les lampes, les calculatrices, bref le kit nécessaire pour la bonne tenue d'un bureau de vote », ajoute le Dr Eric Essoussè.

 

Liliane N.

 

Published in Institutionnel

Et, le président du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale, las de subir les quolibets de certains adversaires politiques qui ont toujours eu une attitude de mépris et de condescendance a choisi dans un ton caustique, de leur rappeler leur « inconsistance politique ».

L’intégralité de son message publié sur sa page Facebook

 

« Du gâchis et toujours du gâchis ! Il n’y a rien de plus inconséquent que de combattre avec acharnement et pendant plusieurs mois, une chose dont la pertinence est pourtant incontestable, pour finalement la faire à contretemps ou tardivement.

A quoi ça aura servi de traiter ceux qui appelaient à s'inscrire sur les listes électorales d'alliés du régime pour finalement être candidat aux élections ?

A quoi ça sert de traiter ceux qui appellent les masses à la participation politique de "collabo", pour finalement aller aux élections ?

A quoi ça sert de dire qu'il ne sert à rien de voter pour finalement être candidat?

A quoi ça sert de dire que toute élection est inutile avec le code électoral actuel, pour finalement aller aux élections avec le même code ?

À quoi ça sert de prétendre conditionner la question électorale à la fin de la guerre en zone anglophone pour finalement s'en foutre éperdument et aller aux élections ? On le sait bien, ceux qui font ces campagnes sordides ne visent en fait qu'un individu ou une dynamique.

Tant que cette dynamique porte une idée, il faut d'abord la déconstruire, pour rattraper plus tard. Mais mesurent-ils la portée dévastatrice de leurs incohérences ?

C'est tout simplement STUPIDE ! La vraie coalition commence par le partage du bon sens. On peut s'étriper sur bien de choses, se détester son on veut, mais il doit y avoir un seuil commun de bon sens. Il y a des choses incontournables et incompressibles.

Ces choses doivent être épargnées par nos abaissements haineux et nos bestialités, parce qu'elles sont indispensables à l'atteinte de l'objectif final présumé commun.

Décourager la participation du peuple et aller à la conquête du suffrage c'est inconséquent et ça sert efficacement le régime.

Les leaders politiques qui sont complaisants vis-à-vis de telles pratiques préparent allègrement la ruine de leurs carrières politiques, car ça aura toujours un effet boomerang.

D'ailleurs ça s'apparente curieusement à une récolte programmée dans un champ de ruines... donc non loin de la folie. On croit sur le moment déstabiliser, discréditer, éliminer ou affaiblir un adversaire politique de l'opposition mais on oublie que ça nous éloigne significativement de notre objectif.

Toutes ces personnes découragées par des campagnes stupides dans les médias et autres réseaux sociaux, quelle perte ! Quel gâchis ! Qu'est-ce qu'on y gagne ? Juste la défaite électorale et le ridicule bien préparés…

Hélas ».

 

N.R.M

 

Published in Parti politiques

Le parti politique du Chairman Ni John Fru Ndi pose comme condition pour sa participation à ces élections, la résolution de la crise socio-politique qui sévit dans les deux régions anglophones.

 

La participation du Social democratic front (Sdf) aux élections législatives et municipales a été débattue le 10 août 2019. C’était lors du Comité exécutif national (Nec) qui s’est déroulé dans la ville de Douala et a été présidé par le Chairman Ni John Fru Ndi.

Au terme desdites assises, le Sdf a rendu public un communiqué sanctionnant leurs travaux. Il est dit dans ce document, que le parti figure emblématique de l’opposition au Cameroun, ne prendra part aux élections législatives et municipales que si la crise baptisée crise anglophone venait à être résolue. Dans le cas contraire, il ne faudra pas le compter parmi les formations politiques qui seront de la partie. Aussi, il ne sera pas seulement question de s’abstenir de participer aux élections municipales et législatives, le parti compte aller plus loin, en interdisant à ses parlementaires à prendre part à la session ordinaire de novembre prochain.

« Il incombe à M. Biya non seulement de mettre un terme à cette guerre civile, mais également, de créer un environnement propice pour une rentrée scolaire effective en septembre prochain, ainsi que la tenue des futures élections locales, faute de quoi, le SDF se trouvera dans l’obligation de suspendre la participation de ses parlementaires à la session de novembre 2019, tant à l’Assemblée nationale qu’au Sénat », peut-on lire dans ledit communiqué du Sdf.

Pour le parti du Chairman Ni John Fru Ndi, si les élections législatives et municipales sont convoquées à l’état actuel des choses, le Cameroun court tout droit à la « division définitive du pays en deux entités territoriales distinctes ». Sur ce point, Joshua Osih en sa qualité de premier vice-président du parti, affirme que « le Sdf ne participera pas à un exercice qui consacrera la sécession de huit régions du Cameroun des deux autres. Organiser ces élections en temps de guerre consistera pour Mr Biya, à donner raison aux sécessionnistes ».

 

Liliane N.

 

Published in Parti politiques

Le parti politique de Serge Espoir Matomba a de ce fait lancé une opération «Rattrapage».

 

Le Peuple uni pour la rénovation sociale (Purs) vient de dévoiler ses ambitions, en ce qui concerne les élections municipales et législatives prévues en 2020.  Le parti politique qui a porté Serge Espoir Matomba lors de la dernière Présidentielle, veut avoir un nombre de 300 maires et 100 députés élus l’année prochaine. C’est ce que fait savoir l’ancien candidat à l’élection présidentielle du 07 octobre 2018. Pour atteindre donc cet objectif, Serge Espoir Matomba en sa qualité de Premier secrétaire du Purs,  a décidé de lancer une opération «Rattrapage».

 

Cette opération vise à inciter les citoyens à s’inscrire massivement sur les listes électorales avant le 31 août 2019. Il faut noter que cette date du 31 août, est la date butoir pour les inscriptions sur les listes électorales.

 

A titre de rappel, il faut souligner que le Purs s’est lancé dans la conquête de l’électorat depuis la fin de l’année dernière. Le 10 novembre 2018, par exemple, Serge Espoir Matomba a entamé des pourparlers avec les leaders de la Conférence nationale des travailleurs du Cameroun (Entente) et de la Fédération camerounaise des syndicats du secteur de l’éducation (Fecase). Sur sa page Facebook, Matomba a indiqué qu’il est question pour lui de parvenir à la mutualisation des forces.     

 

Pour revenir à l’ambition du Purs qui est d’avoir 300 maires et 100 députés, il convient de rappeler que dans un communiqué de remerciement adressé à ses militants et sympathisants, Matomba apportait un nombre d’éclairage. Parmi lesquels, l’ambition de son parti s’adresse aux jeunes camerounais dont l’âge se situe au-dessus de 23 ans.

 

Pour lui, c’est une façon pour le parti d’être reconnaissant après le soutien obtenu à la dernière Présidentielle. Serge Espoir Matomba est sorti huitième avec un score de 0,56% lors de cette échéance électorale.

 

Liliane N.

 

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Le Pr Prosper Nkou Mvondo indique que dans les stratégies mises sur pied par le parti politique Univers, il y a le ciblage de certaines circonscriptions.

 

Le parti politique Univers fondé par le Pr Prosper Nkou Mvondo est aussi en pleine préparation des prochaines élections municipales et législatives. C’est ce qu’affirme son président national. Dans une interview accordée au quotidien gouvernemental Cameroon tribune, le Pr Prosper Nkou Mvondo parle des stratégies mises sur pied par le parti par rapport à cette échéance électorale. Tenant compte du fait qu’il ne dispose pas de ressources humaines importantes pour couvrir l’ensemble du territoire national, Univers qui est à la quête des candidats à inscrire sur ses listes, a décidé de procéder par ciblage de certaines circonscriptions, où il pense avoir des chances de gagner.

 

« Pendant ce temps, nous nous assurons que nos militants sont inscrits sur les listes électorales. Nous demandons à ces derniers, d'inviter leurs parents, amis, voisins, collègues, camarades et autres connaissances, à aller s'inscrire sur les listes électorales. Pour les militants déjà pressentis pour être candidats, nous faisons des investigations sur leur crédibilité, sur leur popularité, et surtout sur leur moralité. Assez régulièrement, nous avons des séances de lecture et d'explications du Code électoral avec nos militants et sympathisants. Nous nous préparons à être candidat, à mener la campagne, à voter, à protéger nos votes contre les fraudes, à jouir de la victoire espérée, mais aussi à accepter l'échec qui est inscrit dans l'ordre du possible », explique le Pr Nkou Mvondo qui souligne qu’à défaut de gagner, leur objectif est faire un bon résultat.

 

Le Pr Prosper Nkou Mvondo indique que son parti politique qui a été légalisé depuis 2011, a l’obligation de poursuivre son travail sur le terrain. Aussi ayant fait un score honorable lors de l’élection présidentielle de 2018, il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Son défi, précise son président national est de rester toujours visible sur l'échiquier politique national.

 

 Liliane N. 

 

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Le chef de l’Etat, Paul Biya a signé ce lundi 15 juillet 2019, un décret qui proroge pour une deuxième fois,  le mandat des conseillers municipaux élus en 2013, jusqu’au 29 février 2020.

 

Les potentiels candidats au poste du conseiller municipal au Cameroun doivent encore attendre jusqu’à nouvel avis pour participer aux  prochaines  élections municipales au Cameroun. Ce  n’est finalement pas en fin février 2020 que le Cameroun organisera les élections municipales. En effet, le Président de la République, Paul Biya a signé ce lundi 15 juillet 2019 un décret portant prorogation du mandat des conseillers municipaux au Cameroun, jusqu’au 29 février 2020. Cette décision survient une semaine à peine après la clôture de la session parlementaire. 

 

Ces conseillers municipaux ont été élus le 30 septembre 2013 pour une durée de cinq ans. Ce n’est pas la première fois que le mandat des conseillers municipaux est prorogé. Leur mandat avait été  précédemment rallongé de 12 mois, en juillet 2018. Ce décret fait suite à la lettre du premier ministre chef du gouvernement en date du 17 juin 2019, la lettre du président du Sénat en date du 24 juin 2019 et après consultation du gouvernement et du Sénat.

 

En juillet 2018, le mandat des députés avait été prorogé de 12 mois, jusqu'au 29 octobre 2019, à cause de « chevauchement des élections » selon le Président de la République. Leur mandat pourrait être aussi prorogé dans un délai proche. Un décret que le Chef de l’État justifie par le besoin d’harmoniser les délais nécessaires à la tenue des élections municipales et législatives. Il est important de relever que le décret signé ce 15 Juillet 2019, est conforme à l’article 170, de la loi numéro 2012/017 du 21 Décembre 2012.

 

Cette prorogation intervient alors que la majorité des partis politiques de l’opposition, la société civile et les autres acteurs de la scène politique se sont opposés à l’organisation des élections municipales et législatives au Cameroun. Ceci en raison de la crise sociopolitique dite anglophone qui sévit dans les régions du Sud-Ouest et Nord-Ouest. Le principal parti d’opposition, le SDF a posé comme préalable, le retour à la paix dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, son principal fief électoral. Le Mrc de son côté, a dénoncé un agenda caché du pouvoir visant son bannissement.

 

Selon les analystes politiques, pour la plupart membres du Social Democratic Front, la nouvelle prorogation du mandat a comme impact immédiat la poursuite de la crise politico – sécuritaire dans les régions du Nord et Sud Ouest Cameroun: “ Convoquer le corps électoral cette année serait comme entériner l’idée de la sécession…”.
 
 
Réunis en conclave dans la capitale politique Camerounaise au début du mois de Juin, Ni John Fru Ndi et ses camarades avaient entre autres proposé de repousser les élections qui, selon eux ne peuvent se tenir qu’après la résolution de la crise dans les régions sus citées, la tenue d’un dialogue inclusif, la révision du code électoral… Après cette prorogation, le nouveau calendrier électoral local est désormais attendu.

 

Nouvelles dates pour l’organisation du double scrutin
 
En pleine spéculation, quelques acteurs de la scène politique sur le plan national croient savoir que le corps électoral sera probablement convoqué le 11 Novembre 2019, soit 90 jours au moins avant la date du scrutin, suivant l’article 86 du code électoral. 
 
L’élection a lieu 40 jours au moins et 120 jours au plus après l’expiration du délai de prorogation du mandat, soit au plus tôt le 07 Février 2020 et au plus tard le 26 Avril 2020. 
 
Les élections municipales quant à elles doivent se tenir 20 jours avant l’expiration du mandat des conseillers municipaux, soit le 9 Février 2020. 

 

Marie MGUE

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01