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Alors que les frasques de celui que d’aucuns considèrent comme le « pape des médias » Camerounais sont révélées au grand public, l’homme politique estime que le promoteur de Vision 4 ne mérite pas un tel acharnement.  

 

« Si dans le cas de Jean Pierre Amougou Belinga, il aurait volé de l'argent public et qu'il y a des gens qui savent nous expliquer comment et les mécanismes de ce qu'il a volé, qu'ils le démontrent a l'opinion, clairement.

Si ce n’est pas le cas, et qu'il est victime de son arrogance verbale et de ses pratiques condamnables d'enregistrements audibles de ses conversations privées avec les tiers qui dérangent, alors il ne faut lui reprocher dans ses affaires manifestement prospères que ce qui est fondé.

Sa grosse gueule peut déranger mais cela doit rester la grosse gueule. Ses accointances peuvent déranger et devenir criminelles que si elles portent atteinte au patrimoine public.

Il ne serait donc que dans une coaction qu'il faut dans ces conditions prouvables reprocher au premier chef au cerveau auteur principal de la coaction. Sinon on fait de la délation haineuse.

Inventer son arrestation, créer de toutes pièces une perquisition imaginaire a son domicile, alors qu’il en est rien pendant qu'il est chez lui dans la quiétude, le transforme en victime d'une opinion haineuse avide de vengeance et de condamnation populaire sans procès judiciaire contre un riche gueulard et arrogant...

Et si donc M. Amougou Belinga, avait investi ailleurs qu’au Cameroun dans les mêmes secteurs d'activités et planqué sa fortune, qu'elle fût volée ou gagnée honnêtement, à l'Insu de ses compatriotes, serait-il plus utile a notre pays ou moins ?

Je ne partage pas et je ne défends pas ni les voleurs lorsque c'est exact ni son impertinence et ses écarts de langage et moins encore les enregistrements de ses conversations privées versées dans le domaine public qui humilient ses amis ou son manque de courtoisie aux hauts commis d'état qui pour certains d'entre eux se rendent véreux a sa solde eux-mêmes ou comptables de leurs mésaventures...

C'est eux, ces très hauts commis d'état, qui déshonorent L'État dans leurs concupiscences avec l'opprobre et la vénalité déshonorantes qui appellent exaspération et sanctions.

Ma conclusion hâtive est de ne tuer jamais personne pour ce qu'il n'a pas commis véritablement. De ne jamais jeter personne à la vindicte populaire parce que sa richesse dérange ou parce que simplement elle serait ou resterait incomprise par grand ou petit nombre.

Surtout lorsqu’il n'est pas fonctionnaire. Je suis aussi contre toute théâtralisation de la justice qui lu l'instrumentalisation des forces de l'ordre au service de la justice. Je l'ai déjà dit par le passé.

Soyons des hommes justes dans une république qui reproche aux citoyens des faits, prouvables à l'opinion et devant la justice et non des mises a mort sur la base des clameurs ou des soupçons ou des reproches de l'arrogance verbale d'individus bien sûr qui sont des impolitesses rédhibitoires.

En dehors des soupçons de trafics d'influence ou de l'arrogance verbale et au-delà des incidents sans doute graves avec des Etats que des communiqués de pays voisins rendent publics et qui peuvent faire l'objet de poursuites judiciaires des victimes, que reprochons-nous, Camerounais, aux affaires de M. Amougou Belinga, affaires qui emploient sans doute des centaines ou voire un millier (?) de familles des Camerounais ?

J'aimerais sans passion, que ceux qui peuvent débattre sans acrimonies émotives vindicatives, nous éclairent sur les causes d'un tel acharnement passionné sur un compatriote au point de le voir plutôt en prison que libre à mener ses affaires pour le bonheur économique de notre pays.

Recherchons ce qui est juste. En tout temps et en toutes circonstances. Condamnons ce qui est injuste. Fermement et sans dérives ni justice populaire ».

 

N.R.M

 
 
 
 
 
 
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Les deux hommes, élites bétis, sont en froid depuis quelques semaines. Après une période de guerre froide, le PDG du groupe l’Anecdote a décidé d’ouvrir les hostilités en menant une guerre ouverte médiatique contre le patron de la police camerounaise. Au centre de la discorde, il serait question du mauvais partage d’un montant de 15 milliards de FCFA.


Ces derniers jours nous ont servi un feuilleton digne des films de la mafia sicilienne. Le patron de média le plus en vue du moment, Jean Pierre Amougou Belinga est en colère. Dans un premier temps, il a laissé croire que cette colère serait juste du fait de la jalousie de certains de ses frères bétis. Pour par la suite percer l'abcès et s’en prendre ouvertement au Délégué Général à la Sûreté Nationale.

Martin Mbarga Nguele a été le centre d’un lynchage médiatique sur les antennes de la télévision de Jean Pierre Amougou Belinga. Alors que ce n’est pas une émission interactive, les téléspectateurs vont être surpris d'entendre des gens appeler de partout durant l'émission CLUB D'ÉLITE de dimanche dernier. Seront brocardés, l’épouse ou la compagne de Martin Mbarga Nguele dont on va dire sur les antennes de télévisions qu'il ne l'a pas épousé depuis 40 ans de vie commune.

Et même que celle-ci se serait à plusieurs reprises moquées de la première dame, Mme Chantal BIYA. Pour le DGSN, les appelants exceptionnels du jour ont tous le même discours. On dirait des tirs bien coordonnés.

La suite de la guerre, c'est le début de la réplique du DGSN. Dans un premier temps, il rappelle les 13 policiers affectés à la protection du Groupe l’Anecdote. Dans un second temps, ce sont des écoutes téléphoniques du PDG qui sont servis au grand public. Comme pour lui adresser le message de ce qu’il est à la merci de la police et que celle-ci est entièrement au fait de ses conversations et de ses affaires.

Une alerte qui a fait comprendre au patron du Groupe l'Anecdote qu'il était temps de baisser la garde ou de changer de stratégie. Comme si a ne suffisait pas, des informations sur l’identification de Mr Amougou Belinga dont seule la police pouvait détenir un exemplaire à commencer à circuler sur les réseaux sociaux. La guerre est ouverte entre les deux hommes. Et selon certaines sources, d’autres dignitaires bétis ont rapidement commencé des médiations entre les deux hommes. Mais dans l’affaire, il est davantage demandé au patron de l’Anecdote de faire profil bas. Se résignera-t-il, la suite nous le dira.

 

 

Stéphane NZESSEU

 

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S.E Nicolas Nzoyoum reconnaît avoir eu une certaine proximité avec le président directeur général (Pdg) du groupe L’anecdote, mais ce, dans un passé lointain.

 

Après une première réaction faite à Afrik inform, S.E Nicolas Nzoyoum Ambassadeur du Cameroun en République centrafricaine (Rca) vient de fournir des explications à sa tutelle, le Ministère des Relations extérieures (Minrex). Dans ces explications, s’il y a quelque chose, que le diplomate ne réfute pas, c’est la proximité qu’il a eue avec Jean-Pierre Amougou Belinga. Cependant, il précise que ce fut dans un lointain passé. Les choses ont changé après qu’il ait découvert que l’homme d’affaires parlait dans son dos. 

 

« J’ai accompagné ce monsieur et l’ai introduit auprès des plus hautes autorités centrafricaines, et j’avais pour habitude de le recevoir chaque fois, lui et l’ensemble de sa délégation, ainsi que le personnel Vision 4 Rca, à la résidence du Cameroun, jusqu’au jour où il y a un peu plus d’un an, j’ai appris que dans mon dos, il me traitait de pauvre Bamileké qui court derrière moi pour l’argent », peut-on lire dans la correspondance dont le destinataire est le Ministre Lejeune Mbella Mbella. S.E Nicolas Nzoyoum affirme que depuis ce temps, il a alors restreint ses relations avec l’homme d’affaires au niveau strictement professionnel.

 

Pour ce qui est des accusations d’extorsions d’argent, l’Ambassadeur du Cameroun en Rca réfute tout et ne se reconnaît pas dans les dires de Jean-Pierre Amougou Belinga. Il précise qu’il y a eu un seul appui du Pdg du groupe « L’Anecdote ». Et il est relatif à son « intervention au cours de l’année dernière auprès du ministre des Finances au Cameroun en vue du renflouement du compte de la Perception pour un montant de moins de 100 millions, en dessous même de ma sollicitation »., peut-on lire dans la correspondance de S.E Nicolas Nzoyoum.

 

Liliane N.

 

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Au lendemain de la libération de Ernest OBAMA, un reportage est diffusé sur a chaîne de télévision Vision 4, reportage réalisé par le journaliste Sylvestre Messi, dans lequel on présente Marlène Emvoutou comme une « escroc, ayant bénéficié d’un don de 5 millions de FCFA de la part de Amougou Belinga au sortir de la prison de Kondengui ». Le journaliste l’inscrit au même titre que le Dr Vincent Sosthène Fouda, au rang des ennemis de la chaîne de télévision de Nsam à Yaoundé. Et c’est suite à ce reportage que la femme d’affaire va proférer des menaces à peine voilées au patron de son ami Ernest OBAMA.

 

Le reportage est diffusé le vendredi 26 juin au 20 heures. Indexée comme ayant détournée plus de 80 millions de fcfa dans le cadre du projet ASPIRE. Or la passionnée de football rappelle qu’elle n’a jamais été inquiétée par la justice pour une question de détournement à ASPIRE, mais dans une affaire tout à fait différente. Aussi, elle fait savoir qu’elle est une amie intime de Amougou Belinga et qu’ils ont très régulièrement des échanges de bons procédés. C’est ce qui justifie qu’au sortir des geôles de la prison de Kondengui, celui-ci lui a apporté une aide comme elle-même a souvent eu l’occasion de le faire.

 

Tout de suite, dans une réaction à chaud, Marlène Emvoutou menace la chaîne Vision 4. « Tout ce que Ernest OBAMA sait sur Amougou Belinga, je le sais. Je ne suis pas au Cameroun et j’ai la puissance des réseaux sociaux. » Elle va plus loin, en affirmant qu’elle a les moyens de « mettre les mains dans la boue pour détruire la chaîne Vision 4 ». Marlène poursuit donnant un ultimatum. « Je vous donne jusqu’à la semaine prochaine pour retirer votre vidéo. De même que je suis fidèle à Ernest OBAMA, de même je le suis envers Amougou Belinga (…) je dis à Amougou Belinga que c’est la dernière fois que je suis diffamé sur votre média. »

 

« Je reviendrai sur les détails de mes échanges avec Amougou Belinga si vous continuez à me salir dans votre chaîne ». Un bras de fer qu’elle décide d’engager avec la télévision de Nsam. De toutes évidence, Marlène Emvoutou en sait longuement sur le PDG de Vision 4. Et visiblement, ce ne sont pas des relations saines, si cette dernière estime que le fait de dévoiler la nature de ces relations peut entamer la notoriété du patron de Ernest OBAMA. Des détails croustillants. Et pour donner un aperçu elle dit « méfiiez-vous de celui qui a vu un Roi nu, votre roi ».

 

Stéphane NZESSEU

 

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L’artiste Longue Longue affirme que Jean-Pierre Amougou Belinga, est un homme de cœur qui offre de l’emploi aux camerounais.

 

Pour Longue Longue, Jean-Pierre Amougou Belinga le président directeur général (Pdg) du Groupe L’Anecdote est bel et bien la victime, dans l’affaire qui l’oppose à son ancien employé Ernest Obama. Dans une vidéo récemment apparue dans les réseaux sociaux, l’artiste déclare apporter son soutien au Pdg du Groupe L’Anecdote, “déchiré” par certains sur la toile pour avoir fait arrêter Obama qui fut le Directeur général (Dg) de Vision 4. 

Longue Longue dans sa vidéo salue les élans de coeur de l’homme d’affaires Jean-Pierre Amougou Belinga; qui donne du travail aux camerounais. Pour l’artiste, ce point est essentiel. «Soutien total au président Amougou Belinga, un homme de cœur, un homme qui fait la fierté du Cameroun. Un homme qui emploie plus de 2000 Camerounais. C’est quand on aime les gens qu’on crée des emplois. On crée des emplois parce qu’on veut partager avec les gens», déclare-t-il.

Longue Longue déclare que l’artiste Mama Nguéa récemment décédée, fait même partie des bénéficiaires des gestes de générosité de Jean-Pierre Amougou Belinga. Le Pdg du Groupe L’Anecdote avait répondu à un élan de cœur en faveur de la défunte. « Je me souviens que quand j’ai lancé le coup de cœur pour  Mama Nguéa, le président Amougou Belinga a envoyé 1 million 500 mille », déclare l’artiste qui ajoute un peu plus loin dans sa vidéo, que rapporte le combat de Jean-Pierre Amougou Belinga est légitime et Dieu va l’accompagner.

Longue Longue avoue lui aussi avoir offensé Jean-Pierre Amougou Belinga. Cependant, celui-ci a choisi de le pardonner. «Moi-même je me souviens que je vous ai offensé,  vous m’avez pardonné. Parce que vous m’avez dit ce jour : « Longue la haine fait du mal à celui qui hait et la rancune porte malédiction aux rancuniers ». On a fait la paix , ajoute Longue Longue.

 

Liliane N.

 

 
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Le décès du collaborateur d’Amougou Belinga, promoteur du groupe L’Anecdote a ouvert la voie à de nombreuses supputations et dans l’optique de recadrer les uns et les autres, François Bikoro, tuteur professionnel et familiale du défunt, a voulu dire sa : « part de vérité »

 

« La vérité est rude, elle est dure, elle est drue.

Notre très sémillant compatriote et non moins activiste Patrick Nouma, s'est fendu en déclaration pour le moins fracassante et dénuée de tout fondement à la suite de mort de notre confrère à Paris, Il ya quelques jours.

Je fais fi, au regard de mon éducation des termes et allégations au dessous de la pudeur, du récit rocambolesque y dédié, véritable tentative abracadabrantesque de profiter de la douleur d'une famille, pour prolonger le débat entamé par l’icelui. Sur la filiation, homonymique du sieur Amougou belinga, d'avec feu Belinga Eboutou, entre autres actions menées peu ou prou depuis le contentieux post électoral de l'élection présidentielle d'octobre 2018. 

Mon postulat, pour avoir été très proche professionnellement et par des liens de famille du de cujus, consiste simplement à apporter quelques éclaircis. Nécessaire pour ne se laisser embrigader par les nouveaux conquistadores d'une arène politique où la masturbation intellectuelle, la désinformation et la récupération politicienne, sont la règle. Et qui n'hésite pas à trucider la douleur d'une famille éprouvée pour atteindre un dessein inavoué.

Prenant à défaut, auprès d'une opinion ou le sang n'émeut point plus que sa frustration aux causes mal élucidées, pour asséner le coup fatal à un adversaire identifié par une imagination serbile.

Afin que nul n'en ignore, au regard du préjudice causé et des précédents sont les moindres ne sont pas biby ngota et Dr Charles ATEBA EYENE, de très regrettées mémoires, Il nous a paru nécessaire et même utile de recadrer notre compatriote Patrick Noma sur au moins  un point. 

D'abord sur les conditions de la disparition de Grégoire Bengono. Ce jeune professionnel que j'ai eu à encadrer dans la profession depuis plus d'une dizaine d'années travaillait à son compte comme caméraman photographe pigiste au lieu dit avenue Kennedy tiger à Yaoundé. Il aura donc passé son temps professionnel à louer ses services à des personnes et personnalités physique et morale, à l'occasion. Pour leurs événements heureux et malheureux de même que les activités où son talent était convoqué.

La vérité étant qu'II traînait depuis plus d'une décennie un mal que nous confondions avec l'ulcère d'estomac mais qui se révélera plus tard comme un cancer du colon. Ce diagnostic fatal va se muer en complications au mois de juillet 2019, la tumeur s'étant révélée grave et nécessitait, selon le centre des urgences de Yaoundé qui l'accueille une évacuation sanitaire. Comme avec certains confrères bien connus des écrans, il va bénéficier de la sollicitude d'un des partenaires, dont il n'est que le collaborateur attitré, pour son évacuation en France.

Soit plus de trois avant le voyage de Amougou Belinga et sa délégation pour Paris à l'effet de signer le rachat de telesud, comme pourrait l'attester la main courante du journal de 20 heures de vision 4 tv ou de l'aéroport de Yaoundé Nsimalen.  C'est donc depuis des mois que Grégoire Bengono est en France et pris en charge par le PDG du groupe l'anecdote Amougou Belinga. Et selon son frère aîné et son épouse que j'ai eus au téléphone,  pour poursuivre le traitement d'une maladie presque déjà en  phase terminale.

Autant dire que contrairement à ce qui est dit, il n'était pas de la délégation chargée de négocier la reprise de Télé Sud. Et conséquemment, ce subit mal de tête évoqué comme cause de son décès ne peut prospérer. Même s'il faut reconnaître que notre sémillant activiste, Patrick Nouma, dont les premières sorties sur le pdg du groupe l'anecdote, promoteur de vision 4 tv et depuis de telesud, militent en faveur de la logique de guerre holistique que se livrent les acteurs politiques au Cameroun. La disparition, normale pourrait on dire, de ce jeune photographe-caméraman professionnel, par ailleurs collaborateur extérieur de plusieurs médias, est du pain béni pour les détracteurs de l'employeur du journaliste Ernest Obama, agressé quelques temps autour.

Il n'est pas superfétatoire de rappeler que la mansuétude  de Amougou Belinga à l'égard de ses confrères est connue et de notoriété publique. De même que la posture éditoriale des médias du groupe de presse dont il est le promoteur. Et notre concitoyen Patrick Noma doit certainement le savoir sauf mauvaise foi. Surtout que, décédé quelques heures après l'arrivée de la délégation de haut niveau apprêtée pour la signature du contrat de rachat, par Amougou Belinga, de telesud, Grégoire Bengono qui laisse une veuve et un fils aura vécu ses derniers jours dans la douleur d'un cancer de colon qui a fini par l'emporter. Et évidemment, reconnaitre les efforts de la médecine française qui aura su prolonger la vie de Grégoire Bengono de quelques mois supplémentaires… ».

 

N.R.M

 

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Il y a quelques jours, Plusieurs journaux locaux annonçaient Jean Pierre Amougou Belinga, comme probable candidat aux législatives dans la Mefou et Akono. Une offre que le PDG de Vision 4 a décliné. Il ne veut pas entrer à l’Assemblée nationale.

 

Selon les faits, tout part des articles publiés par les journaux InfoMatin et la Météo. En effet, ceux-ci annonçaient la probable candidature du PDG de Vision 4.  Il est indiqué dans ces tabloïdes qu’il s’agit d’un appel des populations de la Mefou et Akono, département d’origine de l’homme d‘affaires. « Comme un seul homme le département de la Mefou Akono attend avec impatience le « OUI » de Jean Pierre Amougou Belinga au terme de l’échange de ce jour (mercredi 13 novembre) entre les forces vives du département et le Zomlo Be Zomloa des Mvog Belinga », a écrit le journal InfoMatin dans sa parution du mercredi 13 novembre.

« Pressé par les populations qui appellent le PDG du groupe L’Anecdote à se présenter, le suspens sera levé aujourd’hui (mercredi 13 novembre) à Yaoundé au cours de la rencontre qui pourra contraindre le digne fils de Mefou Akono à répondre favorablement et enfin aux appels des siens », renchérissait pour sa part La météo.

Mais aux dernières nouvelles, Amougou Belinga aurait tourné le dos à l’appel de la Mefou Akono. Le journal InfoMatin du jeudi 14 novembre 2019, est revenu sur cette actualité. « Jean Pierre Amougou, pourquoi j’ai dit NON à la députation ? », a titré le journal de Dieudonné Nven à sa grande UNE. « Le digne fils de la Mefou Akono a déclaré hier à l’élite du département qu’il restait un indéfectible soutien à Paul Biya et a promis de financer la campagne électorale des candidats du RDPC de la circonscription y compris aux municipaux », précise le journal.

Lire aussi : Législatives 2020 : Amougou Belinga veut être député 

Le PGD de vision 4 n’est donc pas candidat aux prochaines élections municipales et législatives.

Pour rappel, Le président Paul Biya a convoqué dimanche 10 novembre le corps électoral, en vue des prochaines élections locales fixées au 9 février 2020. Plus d'un an après la présidentielle, ces scrutins s'annoncent déterminants.

Après deux reports consécutifs, les élections locales devraient parachever le processus de renouvellement de la classe politique camerounaise engagé en octobre 2018 avec la présidentielle. Une élection à l’issue de laquelle le président Biya avait été donné vainqueur avec 71%, mais dont les résultats sont toujours contestés par Maurice Kamto, officiellement classé deuxième avec 14% des suffrages.

 

Danielle Ngono Efondo

 

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Chef traditionnel, patron de médias, promoteur d’université privée, fondateur d’une microfinance, Jean Pierre Amougou Belinga veut maintenant siéger à l’Assemblée nationale.

Depuis ce mardi, la nouvelle fait le tour de la toile camerounaise. Le patron de Vision 4, veut être député de la nation. Depuis l’annonce de la convocation du corps électoral, le milliardaire engage une campagne de mobilisation des électeurs. Il veut surtout être investi par le Rassemblement démocratique du peuple camerounais, (parti au pouvoir).

Le patron de médias, opte pour la Mefou Akono, son département d’origine. Pour certains journaux proches de l’homme d’affaire, il répond ainsi à l’appel de la population. Car disent-ils, ces derniers souhaitent qu’Amougou Belinga brigue un mandat de député.

« Comme un seul homme le département de la Mefou Akono attend avec impatience le « OUI » de Jean Pierre Amougou Belinga au terme de l’échange de ce jour (mercredi 13 novembre) entre les forces vives du département et le Zomlo Be Zomloa des Mvog Belinga ». Ecrit Info matin, un journal très proche de l’homme d’affaire.

« Pressé par les populations qui appellent le PDG du groupe L’Anecdote à se présenter, le suspens sera levé aujourd’hui à Yaoundé au cours de la rencontre qui pourra contraindre le digne fils de Mefou Akono à répondre favorablement et enfin aux appels des siens ». Poursuit la Météo un autre journal donc, le patron d’Info-matin est détenteur.

Ce n’est pas la première fois, qu’Amougou Belinga est « plébiscité » par son département d’origine. Cela est le cas en 2013, lors des municipales et des législatives. Ce dernier répond toujours pas un non. En 2019, la donne peut-elle changé ? Réponse à cette question ce jour à Yaoundé, le temps d’une conférence de presse.

Lire aussi : Législatives et municipales 2020 : Le Cpp d'Edith Kah Walla ne prendra pas part à ces élections

 
N.O
 
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L’homme qui se fait appeler le « fils du Président » Paul Biya est depuis mercredi dernier dans les geôles de la police judiciaire. Il fait l’objet d’une accusation portée à son endroit par le Président Directeur Général du Groupe l’anecdote, Jean Pierre Amougou Belinga.

 

Le film de l’arrestation …

Visiblement, Gilbert Baongla faisait l’objet d’une filature depuis plusieurs jours. Depuis son expulsion d’un domicile à Yaoundé, il logeait à l’hôtel Mont Febe de Yaoundé. Au sortir de son hôtel ce mercredi, il va croiser Emmanuel Jonas Kana, ancien journaliste de la CRTV (la télévision nationale du Cameroun) et depuis peu en service à Vision 4. Les deux hommes se saluent brièvement. Baongla quitte l’hôtel pour Etoa-Meki (un quartier de Yaoundé). Il est escorté comme à son habitude par ses hommes de main et un cortège de véhicules. C’est au quartier Etoa-Meki que Georges Gilbert Baongla va être interpellé par des agents de la police judiciaire en civil. Face à cette situation, ses gardes du corps tentent de s’opposer. Ils bloquent les véhicules de la police et empêchent que leur patron soit emmené vers les cellules de la Police Judiciaire. Il va s’en suivre des échauffourées entre hommes de mains de Baongla et les agents de la police. Le rapport de force va tourner en faveur des agents de la police judiciaire.

 

Selon les témoignages de Aloys Parfait Mvoum, après son arrestation, passant par les rues d’Etoa-Meki pour se rendre à la PJ, ils aperçoivent à nouveau Emmanuel Jonas Kana. Ce dernier fera encore irruption une fois Baongla à la PJ.  Et comme ce fût le cas lors de son expulsion spectaculaire, la chaîne de télévision de Jean Pierre Amougou Belinga sera la première sur les lieux. Une équipe spéciale de reportage chargée d’immortaliser ces séquences en vue de l’humiliation de Georges Gilbert Baongla.

 

Alors qu’une confrontation était envisagée entre Gilbert Baongla et Amougou Belinga pour le même jour, celle-ci va être reportée à samedi à la demande du PDG du Groupe l’Anecdote. En attendant, la défense de Gilbert Baongla est allée à la rencontre du procureur pour envisager une demande de mise en liberté provisoire question de lui permettre de comparaître libre. Malheureusement, le procureur n’était pas en poste.

 

Gilbert Baongla a déjà passé deux nuits dans les cellules de police judiciaire du centre. Il est possible qu’il y passe le week-end.

 

Stéphane Nzesseu 

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Sunday, 05 June 2022 11:01