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Selon le dernier bilan communiqué par les autorités britanniques, trente deux mille, deux cent treize (32.313) personnes sont décédées du Covid-19 au Royaume-Uni, un chiffre supérieur à l’Italie

 

En dépassant les trente mille (30.000) morts, ce mardi, le Royaume – Uni  est devenu le premier pays européen et le deuxième pays au monde le plus touché par l’épidémie de Covid 19, derrière les Etats – Unis,  selon des statistiques officielles publiées ce mardi.

 

Un confinement tardif

Le bilan actuel est probablement bien plus lourd car ces chiffres portent sur des décès jusqu’au 24 avril pour l’Angleterre vingt huit mille deux cent soixante douze (28.272), le Pays de Galles mille trois cent soixante seize (1.376) et l’Irlande du Nord trois cent quatre vingt treize (393), et jusqu’au 26 avril pour l’Ecosse deux mille deux cent soixante douze (2.272).

Le dernier bilan du ministère de la Santé, qui ne comprend que les morts en hôpital et en maisons de retraite de patients testés positifs au Covid-19, était de vingt huit mille sept cent trente quatre (28.734) morts lundi.

Les autorités ont été accusées d’avoir tardé à prendre la mesure des risques n’imposant un confinement de la population que le 23 mars. Les hospitalisations et décès se sont désormais orientés à la baisse. Lui-même hospitalisé une semaine à cause du Covid-19, le Premier ministre Boris Johnson a annoncé jeudi dernier que le « pic » de l’épidémie était passé.

Le nombre de morts diminue lentement, ce qui est « rassurant » a souligné Nick Stripe, analyste du Bureau national des statistiques britannique (ONS) sur la BBC mardi.

 

Une situation dramatique dans les maisons de retraite

« Dans les maisons de retraite, la situation est encore plus dramatique que cela », a-t-il commenté. « Près de quatre fois plus de décès que ce à quoi nous nous attendions à cette période de l’année ont été enregistrés au cours de la semaine dernière, soit environ 280 % de décès de plus enregistrés dans les maisons de retraite que la moyenne de ces cinq dernières années, et ce nombre augmente ».

De crainte d’une nouvelle vague de contaminations, le confinement devrait être prolongé jeudi, date prévue de sa prochaine réévaluation, mais le gouvernement prépare des mesures d’assouplissement permettant un redémarrage de l’économie, en plein effondrement. Selon plusieurs médias, la stratégie de sortie doit être annoncée par Boris Johnson  lors d’une allocution dimanche soir.

 

N.R.M

 
 
 
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Le deuxième canal de la télévision publique britannique BBC Two, a annoncé la diffusion d'une nouvelle émission débat parodique qui sera animée par le président Russe Vladimir Poutine. L'annonce a été faite le 21 mai dans un message Twitter, dans lequel un personnage animé représentant le président russe présente un teaser de la future émission.

 

Ce n'est évidemment pas le vrai Vladimir Poutine qui a été engagé par BBC Two, mais une version digitale animée du président russe. La chaîne a fait savoir qu'elle allait prochainement diffuser deux épisodes de «Tonight With Valdimir Putin», un talk-show comique semi-scénarisé.

 

La réplique de l'homme politique a été créée grâce à la technologie de capture de mouvements, ce qui permettra au présentateur animé de se déplacer sur le plateau, de s'asseoir derrière son bureau et d'interviewer de vrais invités devant un public. C'est le comédien Nathaniel Tapley qui s'est glissé dans la peau de Vladimir Poutine pour l'occasion. A communiqué BBC Two.

 

En effet, si l'animation 3D du chef d'Etat n'est pas vraiment digne des meilleurs studios, sa voix, qui doit se vouloir une imitation d'un accent russe, ferait passer le doublage d'un film de série Z pour un chef-d'œuvre. C'est en tout cas l'avis de nombreux d'internautes, dont les commentaires publiés sous la vidéo. « Gênant », juge ainsi l'un d'eux, résumant le sentiment général. Un autre y voit le signe d'une « télévision à l'agonie », alors qu'un dernier souhaite plus simplement que « l'on meurt tous avant la diffusion ». Bref, beaucoup s'insurgent que leur redevance ait permis de financer ce projet au détriment d'autres créations.

 

L'émission, qui se veut une « comédie à moitié scriptée » selon les termes employés par la BBC, va durer le temps de deux épisodes. A moins bien entendu que le succès ne soit au rendez-vous. Les invités sont déjà connus. Pour la première, l'invité est Alastair Campbell, ancien responsable de la communication du parti travailliste. Suivra Deborah Frances-White, présentatrice du podcast intitulé Féministe coupable. Selon les producteurs de l'émission, on y verra Vladimir Poutine tenter de comprendre les concepts de féminisme ou encore de diversité. La date de sortie de l’émission sera annoncée plus tard, a indiqué la chaîne britannique.

Wait and see…

 

Danielle Ngono Efondo

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Un Brexit sans accord profiterait largement à la Chine et aux Etats–Unis, tandis que l’Union Européenne et certains autres partenaires commerciaux du Royaume-Uni, dont la Turquie, y perdraient gros, a indiqué l'Organisation des Nations Unies dans un rapport mardi.

 

Un divorce brutal entre Londres et l'Union européenne affecterait de manière significative les conditions d'accès au marché britannique des pays en voie de développement comme des pays développés», estime la Conférence des Nations Unies pour le commerce et le développement (Cnuced) dans cette étude.

Le marché britannique représente environ 3,5% du commerce mondial et le Royaume-Uni a importé l'an dernier quelque 680 milliards de dollars (604 milliards d'euros) de marchandises en provenance du reste du monde, selon le document. Plus de la moitié de ces exportations proviennent des pays européens, qui risquent ainsi, en cas de «no deal», de perdre près de 35 milliards de dollars, selon le rapport

Le Royaume-Uni est un important partenaire commercial pour de nombreux pays émergents, dont les exportations ont bénéficié jusqu'à présent de conditions très favorables d'accès au marché britannique, grâce notamment aux régimes préférentiels de l'UE, relève la Cnuced.

 

Le Brexit n'est pas seulement une question régionale

Dans le scénario du «no deal» – donc sans période de transition pour négocier d'éventuels accords bilatéraux –, la Turquie serait deuxième derrière l'UE sur la liste des perdants, avec des exportations vers le Royaume-Uni amputées de 2,4 milliards de dollars. Suivraient la Corée du Sud, la Norvège, l'Islande, le Cambodge et la Suisse, selon le rapport.

« Le Brexit n'est pas seulement une question régionale», a commenté Pamela Coke-Hamilton, responsable de la division Commerce international à la Cnuced, dans un communiqué. « Quand le Royaume-Uni aura quitté ses 27 partenaires de l'Union européenne, cela altérera la capacité des pays n'appartenant pas à l'UE d'exporter vers le marché britannique », a-t-elle ajouté.

Mais si Londres quitte l'UE sans accord pour protéger ses actuels partenaires commerciaux, cela « augmenterait la compétitivité relative de grands pays exportateurs comme la Chine ou les Etats Unis », a analysé Pamela Coke-Hamilton. En effet, selon les règles de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), un pays ne peut accorder un traitement préférentiel à un partenaire commercial et doit appliquer les mêmes taxes à tous, excepté en cas d'accord commercial.

La Chine pourrait ainsi empocher 10,2 milliards de dollars supplémentaires d'exportations vers Londres, et les Etats-Unis 5,3 milliards. Le Japon pourrait espérer voir ses exportations vers le Royaume-Uni gonfler de quelque 4,9 milliards de dollars, et la Thaïlande, l'Afrique du sud, l'Inde, le Brésil, la Russie, le Vietnam sont aussi susceptibles d'engranger des gains, selon la Cnuced.

 

Nicole Ricci Minyem

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La première ministre britannique trouve deux options possibles, soit le Royaume-Uni quitte l'UE avec un accord, soit il n'y aura pas du tout de Brexit.

 

Theresa May toujours à la recherche d'un consensus vient de tendre de nouveau la main à l'opposition travailliste. Objectif, obtenir une majorité parlementaire. Dans une telle perspective, la première ministre britannique n'envisage pas encore le " no deal ", une sortie de l'Union européenne le 12 avril. Elle a déclaré samedi 06 avril qu'il existe désormais une éventualité entre la sortie du Royaume-Uni de l'UE avec un accord ou alors pas de Brexit du tout. 

 

Les échecs rencontrés par Theresa May sur la route de l'adoption de l'accord

La première ministre a connu au moins trois échecs dans ses efforts de faire adopter l'accord de Brexit par la Chambre des communes. Pour ce qui est des députés appartenant à son parti conservateur et ceux du parti unioniste démocrate ( Dup) d'Irlande du Nord qui détiennent la majorité parlementaire, ont voté contre le texte. Seul espoir de May, convaincre l'UE de consentir le report de la sortie du Royaume-Uni de l'UE au 30 juin 2019. 

 

Des pistes de négociation avec l'opposition

Des entreprises sont mises en œuvre par la première ministre pour permettre dans le même temps la sortie de l'impasse parlementaire qu'elle vit aujourd'hui. Sa première cible le Labour, parti d'opposition. " Il y a des domaines sur lesquels les deux principaux partis sont d'accord: nous voulons tous deux la fin de la liberté de circulation, quitter l'UE avec un bon accord et protéger nos emplois ", tels sont les propos de Theresa May contenus dans un communiqué diffusé par ses services. Une base donc pour un compromis avec la majorité parlementaire, seul tremplin pour un Brexit en bonne et due forme.

En dépit de tout, rien est encore sûr. Plus le temps passe, plus le risque d'un recommencement total du Brexit pèse sur la première ministre britannique. 

 

Innocent D.H

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Ladite interdiction est faite en vertu d’une très ancienne loi votée par le parlement britannique. La justification de son application cette année est qu’il devient difficile pour les citoyens de faire la part des choses entre une vraie information et une fausse (fake-news).

 

Il s’agit en réalité pour les autorités britanniques d’éviter la provocation d’une panique massive en raison du Brexit. La loi sur laquelle se fonde cette interdiction date de 1653. Elle stipule que la publication de « faux rapports » est strictement interdite et punissable par la fracture des côtes de toute personne s’étant livrée à cet exercice.

Cette année, le bureau du cabinet (Cabinet Office), un organe de l’exécutif britannique en charge du soutien au Premier ministre et au Cabinet royal a pris la décision inhabituelle de demander aux médias de s’abstenir de publier leurs histoires traditionnelles le 1er avril. Principale raison, éviter des paniques massives ou des émeutes.

La loi à l’origine a été imposée par Oliver Cromwell, un militaire et homme politique anglais, resté dans les mémoires pour avoir pris part à l'établissement d'un Commonwealth républicain. Il était convaincu que les moqueries du public à l’égard de ses verrues sapaient les tentatives d’écraser les royalistes après la guerre civile.

Techniquement, cette mesure n’a jamais été abrogée ou remplacée dans les textes de loi. Elle est utilisée par le ministre du Cabinet, Lord Japes, en vertu d’un instrument réglementaire relatif à la loi sur le retrait de l’UE.

Cette mesure fait suite selon The Telegraph à des rapports selon lesquels, dans un scénario de sorti de l’UE sans accord, les Britanniques pourraient se retrouver à court de papier hygiénique, ne plus pouvoir emmener leurs animaux en vacances ou acheter de l’eau potable en bouteille dans les magasins.

Dans un communiqué publié hier soir, le Bureau du Cabinet a averti que les farces du poisson d’avril étaient désormais considérées comme une menace sérieuse pour les tentatives du gouvernement de maintenir le calme dans le contexte de la crise du Brexit.

Le 1er avril devait être le premier jour ouvrable complet en Grande-Bretagne après un Brexit prévu le 29 mars.

Ali Ploorf, porte-parole du Cabinet, a dit : « Tout le pays est en alerte rouge pour le 01er avril. Personne ne sait plus ce qui est réel et ce qui est une farce. »

« Imaginez si un farceur faisait le tour d’un supermarché à Douvres en criant : Il n’y a plus de lait ! Il n’y a plus d’avocat ! Ce serait le chaos. Donc à partir de maintenant, toutes les bêtises de ce genre sont proscrites. »

« Notre message au public est le suivant : si vous entendez à la radio un avertissement à propos d’un Brexit sans un accord, ce n’est pas une blague, c’est la politique du gouvernement. »

Source : telegraph.co.uk

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Sunday, 05 June 2022 11:01