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Displaying items by tag: Theresa May

La nouvelle vient de tomber, c'est désormais officiel, pas de Brexit sous Theresa May. La campagne au sein du parti conservateur en vue de son remplacement va commencer d'ici la semaine prochaine.

 

Les critiques dans son propre camp, ont finalement eu raison de lui même. Theresa May a annoncé ce vendredi 24 mai qu'elle démissionne de son poste le 07 juin prochain. Mais au sein du parti conservateur, un frémissement est d'ores déjà observé. La campagne pour son remplacement dans ce parti débutera la semaine prochaine. Elle affirme néanmoins qu'elle reste en poste jusqu'à ce que sa démission aboutisse.

 

Le regret de Theresa May

La Première ministre britannique, exprime son "profond regret", de n'avoir pas pu réussir à faire sortir le Royaume-Uni de l'Union Européenne ( UE).

"J'ai fait tout ce que j'ai pu pour convaincre les parlementaires de soutenir mon accord avec l'UE", a indiqué Theresa May. Elle reconnait d'avoir eu raison de continuer à défendre le texte, malgré le rejet à trois reprises par les députés. Elle a d'ailleurs estimé : "le compromis n'est pas un gros mot". Pour sa part, il sera nécessaire que son successeur évite à tous les prix un "no deal".

 

La presse britannique avait prédit cette démission

La presse britannique avait prédit que la Première britannique annoncerait sa démission ce vendredi. Il faut indiquer que Theresa May avait présenté un plan de la "dernière chance" pour l'aboutissement heureux du Brexit, ouvrant la voie d'un second référendum, qui avait été finalement accueilli par de vives critiques, et surtout la démission de la ministre chargée des relations avec le Parlement, Andrea Leadsom.

 

Theresa May, au pouvoir depuis 2016, avait fait de son cheval de bataille, la mise en œuvre du Brexit. Elle a été plutôt critiquée pour son inflexibilité et avait été divisée par deux votes de confiance, auxquels, elle avait survécu.

 

Innocent D H

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La première ministre britannique trouve deux options possibles, soit le Royaume-Uni quitte l'UE avec un accord, soit il n'y aura pas du tout de Brexit.

 

Theresa May toujours à la recherche d'un consensus vient de tendre de nouveau la main à l'opposition travailliste. Objectif, obtenir une majorité parlementaire. Dans une telle perspective, la première ministre britannique n'envisage pas encore le " no deal ", une sortie de l'Union européenne le 12 avril. Elle a déclaré samedi 06 avril qu'il existe désormais une éventualité entre la sortie du Royaume-Uni de l'UE avec un accord ou alors pas de Brexit du tout. 

 

Les échecs rencontrés par Theresa May sur la route de l'adoption de l'accord

La première ministre a connu au moins trois échecs dans ses efforts de faire adopter l'accord de Brexit par la Chambre des communes. Pour ce qui est des députés appartenant à son parti conservateur et ceux du parti unioniste démocrate ( Dup) d'Irlande du Nord qui détiennent la majorité parlementaire, ont voté contre le texte. Seul espoir de May, convaincre l'UE de consentir le report de la sortie du Royaume-Uni de l'UE au 30 juin 2019. 

 

Des pistes de négociation avec l'opposition

Des entreprises sont mises en œuvre par la première ministre pour permettre dans le même temps la sortie de l'impasse parlementaire qu'elle vit aujourd'hui. Sa première cible le Labour, parti d'opposition. " Il y a des domaines sur lesquels les deux principaux partis sont d'accord: nous voulons tous deux la fin de la liberté de circulation, quitter l'UE avec un bon accord et protéger nos emplois ", tels sont les propos de Theresa May contenus dans un communiqué diffusé par ses services. Une base donc pour un compromis avec la majorité parlementaire, seul tremplin pour un Brexit en bonne et due forme.

En dépit de tout, rien est encore sûr. Plus le temps passe, plus le risque d'un recommencement total du Brexit pèse sur la première ministre britannique. 

 

Innocent D.H

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Union douanière, marché unique, référendum : les députés britanniques tentent de nouveau lundi de trouver une alternative à l'accord de Brexit de la Première ministre Theresa May, et pourraient faire pencher la balance pour un divorce "plus doux" avec l'Union européenne.

 

La semaine dernière, les parlementaires avaient déjà tenté de prendre le contrôle du processus de Brexit en examinant huit options, essayant de trouver une solution à l'impasse actuelle. Le Royaume-Uni était en effet censé quitter l'Union européenne le 29 mars mais cette sortie a dû être repoussée, faute de soutien parlementaire à l'accord de retrait négocié par Theresa May avec l'UE.

Mais les députés ont échoué à dégager toute majorité. Ce lundi, ils ont de nouveau voté sur un nombre réduit d'options, sélectionnées par le président de la Chambre des Communes. Lors du premier vote, les plus populaires étaient un référendum sur tout accord de divorce conclu avec Bruxelles, et une union douanière.

La proposition d'un modèle « Norvège », également connu comme « Common Market 2.0 », pourrait aussi se distinguer. Elle signifierait la mise en place d'une union douanière spécifique avec l'UE, en plus du maintien dans le marché unique ; « Nous avons de l'espoir. Ce qui compte, c'est que nous atteignons une majorité stable à la Chambre des Communes, tous partis confondus" alors que le "parti conservateur a été constamment divisé », a déclaré le député conservateur Nick Boles, porteur de cette proposition.

Mais la dirigeante conservatrice a déjà signifié qu'elle s'opposerait au choix des députés s'il se portait vers un marché unique ou vers une union douanière européenne, car Londres perdrait la possibilité de mener une politique commerciale autonome après le Brexit.

Les votes des députés n'ont en effet qu'une valeur indicative. Mais, signe d'un cabinet divisé, le ministre de la Justice David Gauke a estimé qu'il ne serait pas viable pour le gouvernement d'ignorer la volonté des parlementaires, alors que la ministre du Budget Elizabeth Truss a déclaré sur la BBC que « l'option de la Première ministre reste l'option la plus populaire et la plus réfléchie ».

« Le cabinet de Theresa May est le pire exemple d'indiscipline de l'histoire politique britannique », a jugé le responsable de la discipline à la Chambre des Communes, le Chief Whip Julian Smith, dans une rare prise de position lors d'un entretien avec la BBC.

 

Vers un Brexit plus modéré ?

Theresa May devra tout de même présenter ses plans lors du prochain sommet européen convoqué le 10 avril. Face à des dirigeants européens dont la patience est en train de "s'épuiser", a déclaré le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, sur la chaîne italienne Rai 1.

En fin de semaine dernière, Theresa May avait laissé planer la perspective d'élections législatives anticipées, en soulignant que le processus parlementaire atteignait ses limites.

Mais l'entreprise n'est pas sans risque: la dirigeante avait déjà convoqué des élections en juin 2017, espérant asseoir son autorité avant d'entamer les négociations avec l'UE. Elles s'étaient soldées par un revers, son parti conservateur devant s'allier avec le petit parti nord-irlandais DUP pour pouvoir gouverner.

Selon Julian Smith, « c'est cette perte de majorité en 2017 qui conduira inévitablement à une forme de Brexit plus modéré compte tenu de l'arithmétique parlementaire ».

Le traité de Mme May, censé permettre au Royaume-Uni de quitter le giron de l'UE avec une période de transition jusqu'à fin 2020, a été rejeté vendredi pour la troisième fois par les députés.

Elle a toutefois convaincu davantage de parlementaires que lors des votes précédents, signe, selon un porte-parole de Theresa May, « que nous nous dirigeons dans la bonne direction ». La dirigeante conservatrice pourrait le présenter une quatrième fois cette semaine.

Theresa May a assuré qu'elle continuerait à plaider en faveur d'un Brexit ordonné. Elle a aussi souligné que l'option par défaut était celle d'un Brexit sans accord ("no deal") le 12 avril, redouté par les milieux économiques. 

A moins qu'elle ne demande un nouveau report, de plus longue durée, mais celui-ci doit être justifié et obligerait le Royaume-Uni à organiser des élections européennes fin mai.

 

Nicole Ricci Minyem

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Le Gouvernement a annoncé ce mercredi soir, que la Première ministre britannique va soumettre au vote des députés une motion proposant d’organiser d’ici le 20 mars un vote sur l’accord de divorce.

 

Les élus britanniques ont fait obstruction à cet accord deux fois au moins. Une fois de plus il est question pour Theresa May de solliciter l’adhésion des parlementaires. Au cas où l’accord serait adopté, elle va demander aux dirigeants européens un court report du Brexit, jusqu’au 30 juin prochain. Tandis qu’en cas d’un nouveau recalage, le report se verra étendu au-delà du 30 juin. Dans ce contexte, le Pays sera invité à organiser des élections européennes en mai, selon les termes de la motion. 

 

L’approche d’un scénario sans Brexit

Le vote prévu pour le 20 mars est un autre tournant décisif dans l’histoire britannique. Même si l’engouement de Theresa May reste profond en ce qui concerne la sortie de la grande bretagne de la zone euro, l’hypothèse d’un scénario sans Brexit n’est pas totalement à exclure. Les députés ont entre leurs mains, les clefs qu’il faut soit pour faire échec au programme initié par May, soit pour lui donner enfin raison. Mais, si l’on s’en tient au refus exprimé par les élus deux fois de suite de ne pas laisser l’accord prospérer, une question se pose si pour la troisième fois l’on ne s’éloignera pas du Brexit et si la Première ministre ne renoncera pas à son combat. 

 

En cas de Brexit

La Royaume-Uni devrait ainsi sortir de l’Union européenne en cas de Brexit. Une situation qui pourrait impacter sur les relations qui étaient jusque là poussées entre les deux puissances notamment au plan économique. Selon des sources crédibles et dignes de foi, la France envisage des solutions pour sa pêche : « 50 à 60 % de la pêche de certains bateaux français se fait dans les eaux britanniques (…) où ils n’auront plus le droit d’aller sans accord entre Londres et Bruxelles ». Du côté de Londres, elle va être obligée de baisser drastiquement ses droits de douane. Le Gouvernement britannique affirme aussi qu’il n’organisera pas des contrôles physiques à sa frontière avec l’Irlande.

A l’analyse des faits la situation s’annonce pas facile pour l’U.E et Le Royaume-Uni en cas de Brexit car les deux puissances étaient déjà bien ancrées dans des coopérations mutuellement bénéfiques. La non adoption du Brexit si elle venait à se prolonger montrerait peut-être une Theresa May sans issue que de rester dans la zone euro.

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01