Le sélectionneur de l’Equipe nationale du Cameroun a convoqué une liste de 25 joueurs pour les deux prochaines journées des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2021. Grosse surprise pour l’opinion publique notamment les supporters des lions indomptables du Cameroun. Antonio Conceiçao sort de son silence, et explique l’absence de certains poids lourds de l’équipe nationale notamment de Eric Maxim Choupo-Moting.
Décidément l’actualité sportive des dernières heures est entre autres marquée par la publication de la liste des lions convoqués pour disputer les deux prochains matchs des éliminatoires de la CAN 2021. Le point qui alimente le plus les controverses, c’est surtout l’absence du nom de Choupo Moting parmi les 25 lions présélectionnés par Antonio Conceiçao. L’entraîneur des lions indomptables du Cameroun explique l’absence de certains joueurs notamment le cas de l’attaquant bavarois. « Le cas de Choupo Moting, il a été présélectionné dans la liste des 37 joueurs. On a la liste des 37 présélectionnés, elle été donné aux responsables de la Fédération. Avec toute normalité, le fonctionnement et l’organisation qui se passe, on lance la liste des 37 présélectionnés au service de la Fecafoot et les responsables doivent rentrer en contact avec les joueurs et les clubs pour organiser essentiellement leur venue (billet d’avion, les tests Covid, toute la logistique). Au niveau des services de la Fecafoot, on attend toujours la réponse de Choupo Moting. Par rapport à ce cas-là, il n’a pas répondu », déclare Conceiçao à la presse.
Éliminatoires de la CAN 2022: Choupo-Moting ne figure pas dans la nouvelle liste du coach Conceiçao
Soulignons que les 25 joueurs retenus vont affronter le Cap Vert (26 mars 2021) et le Rwanda (30 mars 2021). Les lions indomptables du Cameroun sont certes qualifiés d’office pour la compétition en tant pays hôte, mais, ils prennent part aux éliminatoires. C’est d’ailleurs à leur intérêt puisque ces rencontres permettront de déterminer les forces et les faiblesses de la team pour mieux entrevoir la CAN proprement-dite.
Rappelons qu’en juin 2020, la compétition avait été reportée, en raison de la pandémie de Covid-19. C’est ainsi que la 33ème Coupe d’Afrique des Nations qui est dans sa phase préparatoire avec ces éliminatoires, va se jouer du 15 janvier au 22 février 2022 au Cameroun avec 24 participants pour la première fois, 7 stades et dans 6 villes du pays.
Innocent D H
Une médiation que viennent de conduire les ministres en charge du Travail et de la Sécurité sociale et celui de l’Eau et de l’Energie. Ainsi, l’employeur et les employés semblent avoir accordé leurs violons sur les points faisant l’objet de leurs revendications exprimées à travers le débrayage d’il y a quelques jours.
Après les mouvements d’humeur initiés les 3 février, puis le 1er mars 2021, les ouvriers du chantier de construction du barrage de Nachtigal, dans la région du Centre du Cameroun, ont repris du service depuis le 12 mars 2021. C’est le dénouement heureux d’une médiation conduite par les ministres du Travail et de la Sécurité sociale, de l’Eau et de l’Energie. L’employeur et les employés semblent ainsi être tombés d’accords sur plusieurs aspects à l’origine de la grève. Les travailleurs ont bouclé les négociations avec le paiement et la promesse d’apurement des arriérés de la prime de non logement représentant 25% du salaire de base, apprend-on.
Il faut dire que le retour de la sérénité sur le chantier de construction du barrage de Nachtigal devrait avoir pour impact positif à savoir, l’accélération des travaux dans la perspective de la livraison des travaux en 2023.
D’une capacité de production de 420 MW, soit près du tiers des capacités actuelles installées dans le pays, le projet bénéficie d’un investissement dont le montant total est de l’ordre de 786 milliards de FCFA. Il s’agit ici, de la plus grande infrastructure de production jamais construite au Cameroun, confient des sources bien introduites.
Innocent D H
Jean Robert Waffo le ministre de la Communication du Shadow Cabinet du Social democratic front fait savoir que si le Chairman Ni John Fru Ndi démissionne à la tête du parti, un congrès extraordinaire sera alors organisé pour désigner son successeur.
Jean Robert Waffo du Social democratic front (SDF) s’est exprimé ce matin de 16 mars 2021 sur les antennes d’ABK radio. On sait que depuis que le Chairman Ni John Fru Ndi a indiqué qu’il va se retirer de la vie politique, il y a comme des rumeurs de conflit autour de sa succession à la tête du parti. Si d’aucuns voient au député Jean Michel Nintcheu un parfait successeur, d’autres trouvent qu’il est très conservateur et que c’est plutôt l’honorable Joshua Osih qui mérite cette place parce qu’il est modéré.
«Il n’y a pas de succession au sein du SDF. Il n’y a pas de dauphins putatifs. Mais s’il arrive que le Chairman décide de démissionner, il y aura un congrès extraordinaire afin de décider qui sera le candidat du parti aux élections présidentielles et qui sera le successeur du Chairman. Tout peut arriver avec le climat politique actuel au Cameroun», a-t-il déclaré.
Jean Robert Waffo s’est également exprimé sur la supposée guéguerre qui existerait entre les députés Joshua Osih et Jean-Michel Nintcheu. On sait que ces deux élus de la nation ont eu des positions divergentes sur la question de l’ingérence américaine en ce qui concerne la résolution de la crise anglophone. L’honorable Osih a signé la correspondance des 63 députés qui faisait savoir au gouvernement américain que la souveraineté du Cameroun n’est pas une négociable. L’association de l’ancien candidat à l’élection présidentielle de 2018 à cette action a déplu tout autant aux opposants d’autres partis politiques comme de sa propre formation politique.
«Il n’y a pas de crise dans le SDF; le parti politique n’est pas une prison. Mais il est vrai qu’il peut y avoir en son sein des personnes n’ayant pas les mêmes avis», a déclaré Jean Robert Waffo.
Liliane N.
Choupo-Moting ne sera parmi les 25 Lions indomptables qui vont disputer les cinquièmes et sixièmes journées des éliminatoires comptant pour la Coupe d’Afrique des Nations 2022.
Pas de Choupo-Moting dans la liste des 25 Lions indomptables convoqués pour les matches du 26 et 30 mars 2021 comptant respectivement pour la cinquième et la sixième journée des Eliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) qui va se jouer en 2022. Mais sans surprise dans la liste de l’entraîneur portugais Antonio Oliveira Conceica, on retrouve en posture de gardien de buts, Fabrice Onana. A ses côtés, on a trois autres gardiens à savoir Simon Omossola, Jean Efala et Haschou Kerrido.
En posture d’attaquants, Antonio Oliveira Conceica a choisi de convoquer Toko Ekambi, Stéphane Bahoken, Vincent Aboubakar, Ngamaleu Moumi, Serge Tabekou et Martin Assomo. Pour la défense de l’équipe fanion des Lions indomptables, le coach a appelé Meyapya Fongain, vice-capitaine des Lions U20 qui ont pris part à la récente CAN juniors qui s’est déroulée en Mauritanie.
Retrouvez ci-dessous la liste des 25 Lions indomptables convoqués
Une sordide histoire qui se déroule au quartier Ekié à Yaoundé et qui met en scène, de nombreux élèves. Certaines sources parlent d’une vingtaine voire plus, inscrits dans divers établissements scolaires, notamment au lycée d’Ekounou.
Selon des avis concordants, ces enfants étaient vus aux heures de cours dans un domicile privé. Ils y entraient en tenue et ressortaient quelques heures plus tard en civil, calculant le retour du parent du plus âgé qui a décidé de faire de la maison de son oncle, le théâtre des scènes de partouze.
Ce sont leurs attitudes respectives et les commandes en boisson et autres excitants qu’ils achètent dans les commerces du coin, depuis quelques mois qui ont éveillé la curiosité du voisinage qui, après avoir découvert le pot aux roses, a passé l’information au Commissariat du 14ème.
« On croyait d’abord qu’ils font des cours de répétition là bas dedans, même si à aucun moment, on n’a vu un répétiteur, un enseignant se joindre pour que nous soyons certains qu’il s’agit réellement de cela… Parfois il y avait 25 ou 30 enfants qui se retrouvaient là aux heures de cours. Leurs cris de plaisir nous ont gênés pendant longtemps et, nous avons eu la confirmation de ce que nous pensions le jour où la police est venue les arrêter… », raconte un voisin.
Sa majesté Mathieu Ebana, chef de bloc Ekié Nord, rajoute : « On a pris quelques uns avec des drogues tels que le chanvre, d’autres avec des cigarettes dans les poches. Ils étaient bizarres et ne se comportaient pas comme de jeunes élèves scolarisés… J’ai passé une semaine entière à les observer parce que de temps en temps ils venaient de multiples établissements scolaires, je le voyais aux différentes tenues qu’ils portaient. Ils arrivaient, ils descendaient des motos et entraient dans cette concession dont la barrière est haute ».
Quelques éléments, descendus sur les lieux il y a quelques jours, ont interpellés ces acteurs de scènes pornographiques d’un autre genre. Lorsqu’ils ont investi le domicile, les policiers ont trouvé des garçons jouant aux cartes, tandis que les filles étaient à la cuisine entrain d’apprêter le repas. Une tradition instaurée par les mineurs eux-mêmes, et qui constituait les prémices des ébats sexuels qui s’ensuivaient peu après qu’ils se soient restaurés.
Une déchéance totale qui a fait perdre toute pudeur à ces jeunes, dont les âges vont de 13 à 19 ans. « Je pense qu’après la consommation des drogues, ils n’étaient plus vraiment en eux. Les garçons sortaient en bermuda tandis que les filles venaient tourner devant nos yeux en sous vêtements. Nous les avons à maintes reprises réprimandé, mais, à leurs yeux, nous étions ridicules car, ils se moquaient de nous », révèle un autre voisin. Si certains parmi eux reconnaissent que c’est depuis le début de l’année qu’ils se retrouvent ainsi, d’autres veulent faire croire que le jour de leur arrestation était le premier auquel ils prenaient part à ces séances de partouze.
Nicole Ricci Minyem
Paul Atanga Nji le Ministre de l’Administration territoriale a demandé par ailleurs aux tenanciers de boutiques du marché central de ne plus laisser entrer dans leurs échoppes, des personnes qui n’arborent pas de masques de protection contre le Coronavirus.
Hier lundi 15 mars 2021, Paul Atanga Nji le Ministre de l’Administration territoriale (MINAT) accompagné de Naseri Paul Bea le Gouverneur de la région du Centre et d’autres autorités, s’est rendu au marché central de Yaoundé. Le MINAT a procédé à la distribution de 2000 masques. Cette distribution entre dans le cadre de la deuxième campagne de sensibilisation contre le coronavirus lancée dans la région dont le patron est Naseri Paul Bea. Entre autres recommandations que le Ministre Atanga Nji a données aux commerçants, il a demandé que l’accès aux échoppes soit refusé à toute personne qui n’arbore pas le masque de protection contre le coronavirus.
«Ce sont les instructions du chef de l’Etat qui ont été répercutées au gouvernement par le Premier ministre : il faut intensifier la sensibilisation sur le respect des mesures barrières. Et c’est un devoir individuel et collectif. Tout le monde doit le faire, insister pour prêcher cette bonne nouvelle qui consiste à porter le masque, à laver les mains et à garder une distance qui permet de freiner la propagation du coronavirus», a-t-il déclaré.
Il convient de rappeler que du fait de la résurgence de la pandémie du Coronavirus dans notre pays, Joseph Dion Ngute le Premier Ministre a prescrit l’intensification de la sensibilisation contre la pandémie. Le chef du gouvernement a réitéré cette instruction lors de la réunion hebdomadaire du Comité interministériel chargé d’évaluer et de suivre la mise en œuvre de la stratégie de riposte du gouvernement contre la pandémie au Cameroun. Il a notamment insisté sur le port du masque, obligatoire dans les lieux publics depuis le 13 avril 2020.
Il convient d’indiquer que les chiffres officiels rendus publics à la date du 12 mars 2021, indiquent que le pays compte 42 286 cas positifs confirmés, dont 36 362 rémissions et 633 décès.
Liliane N.
Il s’agit d’une mission composée d’une soixantaine de personnels de la santé militaire, du Corps national des sapeurs-pompiers et du génie militaire. L’équipe est conduite par le Ministre délégué à la présidence chargé de la Défense (Mindef), Joseph Beti Assomo, et le Ministre de l’Administration territoriale (Minat), Paul Atanga Nji.
Le Chef de l’Etat camerounais, Paul Biya vient de dépêcher une mission d’assistance humanitaire en Guinée équatoriale ce lundi 15 mars 2021. Selon le communiqué officiel y afférent signé du secrétaire général de la Présidence de la République, Ferdinand Ngoh Ngoh, cette délégation est arrivée dans ce pays voisin avec « une importante cargaison de médicaments, de denrées alimentaires et fournitures diverses ».
Sur le contexte de cette mission d’assistance humanitaire, l’on apprend qu’elle fait suite à un drame survenu le 07 mars dernier à Bata, la capitale économique de la Guinée équatoriale, après plusieurs explosions d’une armurerie d’un camp militaire, qui ont fait plus d’une centaine de morts et plus de 400 blessées à divers degrés.
Indiquons que peu après l’incident, le Gouvernement équato-guinéen a publié dans un communiqué des informations faisant état de dégâts matériels importants. Cette source écarte dans la foulée, toute hypothèse criminelle, de graves négligences sont plutôt mis en exergue.
Le Président camerounais, Paul Biya avait déjà dans un télégramme publié le 08 mars 2021 adressé ses sincères condoléances au président équato-guinéen, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, ainsi qu’aux familles des victimes, à l’armée et au Gouvernement.
L’intervention de cette mission camerounaise traduit dans le même temps, l’excellence des relations entre le Cameroun et la Guinée équatoriale, deux Etats de la Sous-région Afrique qui partagent une frontière (189 km). Ce qui exprime aussi clairement que ces deux pays frères et amis restent solidaires dans le malheur comme dans le bonheur.
Une aide qui arrive à point
Quelques heures auparavant, Theodoro Obiang Nguema Mbasogo, président de la République de la Guinée Equatoriale a semblé se plaindre de la non assistance des pays de la sous-région, suite au drame qu'a subi son pays.
Il a relevé, pour le déplorer le fait que depuis le 07 mars dernier, seuls ses compatriotes se sont penchés sur les cas de leurs concitoyens, violemment atteints physiquement, sans compter la perte de tout leurs biens ;
Un appel entendu par le Chef de l’Etat Camerounais qui a su montrer une fois de plus que la solidarité est ce qu’il devrait primer dans les relations entre différents Etats et qu’il n’est point besoin de se sentir supérieur face à l’autre, pour quelques raisons que ce soit.
Une leçon forte pour ce pays frontalier au Cameroun qui n’a eu de cesse de se montrer xénophobe
Au-delà de la construction d’un mûr dont les travaux avaient été engagés afin de séparer par cette grande barrière le Cameroun et la Guinée Equatoriale, les compatriotes de Theodoro Obiang Nguema Mbasogo ont, à maintes reprises démontré qu’ils n’ont besoin de personne.
Lorsqu’ils n'ont pas chassé les ressortissants des autres pays, avec un accent spécial mis sur les Camerounais, ils ont organisé des rafles, n’hésitant pas à s’accaparer des biens de ceux qui parfois ont tout perdu à cause du rejet que les équato guinéens ont développé au fil des ans, parce que sur leur sol, ils ont découvert quelques puits de pétrole.
Condescendants vis-à-vis des ressortissants des autres Etats, ils sont ceux qui bloquent des quatre fers, l’intégration sous régionale. Plus grave encore, la Guinée Equatoriale ne s’est jamais sentie concernée par les attaques terroristes dont le Cameroun est victime depuis des lustres.
Pourrait-on espérer que cet acte, posé par le président de la République du Cameroun, va susciter un écho dans l’esprit de son homologue et que les actions de rejet qu’on a déplorées jusqu’à lors, ne seront plus qu’un triste souvenir ?
Innocent D H
Dans un communiqué officiel, le ministre camerounais des Finances (Minfi), annonce la prorogation des délais de paiement des soldes des impôts pour le compte de l’année budgétaire 2020.
Dans le communiqué, le Ministre Louis Paul Motaze précise que cette prorogation vise à « accompagner les contribuables dans le contexte de crise sanitaire persistante (Covid-19, Ndlr) et de dématérialisation des procédures fiscales ». Ainsi, au lieu du 15 mars 2021, les contribuables relevant de la division des grandes entreprises de la direction générale des impôts ont désormais jusqu’au 31 mars 2021, pour solder leur ardoise auprès du fisc, en ce qui concerne l’exercice 2020.
Pour ce qui est des contribuables relevant des centres des impôts des moyennes entreprises, la date limite retenue est le 15 avril 2021 au lieu du 15 mars de l’année en cours, soit une prorogation d’un mois.
A l’analyse, les plus grands bénéficiaires de cette mesure gouvernementale sont les contribuables des centres divisionnaires des impôts. Ceux-ci constituent dans le même temps, le plus gros contingent des contribuables au Cameroun. Ils bénéficient d’une prorogation d’un mois et demi et ont désormais jusqu’au 30 avril 2021 pour solder les impôts de l’année 2020 au lieu de ce 15 mars 2020 initialement prévu.
De manière globale, cette mesure de prorogation décidée par le Minfi, devrait permettre entre autres, de réduire la pression autour des opérateurs économiques. Ces derniers qui, après les dégâts de l’année 2020, redoutent encore les ravages que pourrait causer sur le tissu économique du pays, la deuxième vague du coronavirus qui reste d’actualité.
Innocent D H
Les joueurs qui seront retenus par le coach Antonio Oliveira Conceica, vont affronter le 26 mars 2021 la sélection du Cap-vert dans le cadre de la cinquième journée des éliminatoires de la Coupe d'Afrique des Nations 2022.
La sélection nationale des Lions indomptables va reprendre dans bientôt le service. Antonio Oliveira Conceica son coach donne ce mardi 16 mars 2021, une conférence de presse qui va se dérouler au siège de la Fédération camerounaise de football (FECAFOOT). Le but de cette conférence qui va débuter à partir de 12 heures, est de rendre public la nouvelle liste des Lions indomptables qui vont jouer la cinquième journée et la sixième journée des éliminatoires comptant pour la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) que le Cameroun va abriter l’année prochaine c’est-à-dire en 2022. Pour ces deux journées, les Lions indomptables vont respectivement rencontrer le 26 mars 2021 à Praia le Cap-Vert et le 30 mars à domicile à Douala le Rwanda.
Il convient de rappeler que le 1er mars 2021, Antonio Oliveira Conceica avait déjà publié une liste de 37 joueurs présélectionnés pour les stages préparatoires. Ce mardi donc, le technicien portugais en dévoilant la nouvelle liste de 23 joueurs qui doit être définitive, aura à expliquer ses choix aux journalistes.
Il faut par ailleurs rappeler que les Lions indomptables sont logés dans le Groupe E. Après la quatrième journée des Eliminatoires, la sélection nationale se positionnait déjà comme leader avec 10 points. L’équipe du Cap-Vert est deuxième avec 04 points, celle du Mozambique est troisième avec 04 points et celle du Rwanda est quatrième et dernier avec 02 points.
Liliane N.
Sur sa page Facebook, il a attiré l’attention de ses concitoyens contre des individus sans foi ni loi, qui tentent d’arnaquer leurs concitoyens, en leur promettant au passage un recrutement au sein de l’armée Camerounaise.
Mise en garde
« Depuis quelques temps, je me plains d’une utilisation irrégulière de mon identité via des supports tels que Facebook, Messenger, et une pléiade de numéros de téléphone à travers lesquels des individus mal intentionnés se livrent à des opérations interlopes.
Plusieurs procédés de plus en plus subtils sont alors utilisés pour escroquer malheureusement des connaissances crédules qui mordent à l’appât de ces criminels. Tout en étant peiné par cette situation, je relève qu’il faudrait faire preuve de méfiance tout de même, surtout que ces opérations dévoilent plusieurs indices manifestement suspects.
Les arnaques sont régulièrement montées autour des subterfuges ci-après :
Monnayage des recrutements dans les Forces de Défense ;
Demande de transferts pour solutionner une urgence ;
Offres d’emploi.
Il se trouve que récemment, ces criminels aient changé de stratégie et m’imputent désormais des propos malveillants dont certains sont de nature insidieuse ou séditieuse.
En effet, un compte Facebook portant mon prénom et mon nom « Didier Badjeck » avec une photo de profil récupérée probablement dans des photothèques disponibles est utilisé. Par contre, mon compte Facebook officiel porte d’abord mon nom et mon prénom ensuite « Badjeck Didier ».
La dernière évolution de cette cybercriminalité m’a paru pour le moins curieuse au niveau du contenu ; le sujet de désinformation porte sur la mise en ligne d’une grille de salaire des militaires que j’aurais produite, toute chose qui dénote par ailleurs, une volonté de l’auteur de susciter des frictions entre les populations et les militaires.
Le crédit apporté à cette information trouve sa pertinence dans l’utilisation de mon iconographie assez populaire. Une telle manœuvre est subversive et vise de manière évidente la déstabilisation du Cameroun. L’on devine que les auteurs veulent créer une étincelle par mimétisme de ce que l’actualité nous fait vivre ces derniers temps.
Me concernant, j’observe désormais que le centre de gravité des cybercriminels s’est déplacé du champ interlope vers un champ politique.
Je peux également déduire que les criminels qui me harcèlent depuis un moment et des politiques à qui profiterait une désinformation contre l’Armée camerounaise, ne formeraient qu’un et un seul homme. Cela n’a malheureusement rien de reluisant, encore moins si l’opération est menée pour assouvir un instinct de vengeance.
En revanche, il faudra un peu plus pour m’impressionner, et je tiens à préciser solennellement que rien ne pourra freiner mes élans patriotiques, encore moins ma contribution à la défense populaire qui est un devoir citoyen, encore plus, celui d’un officier à la retraite.
Pour ce faire et en d’autres termes, je n’ai besoin d’aucune autorisation pour participer au combat exaltant de la défense de notre Nation et de nos institutions, notre concept de défense étant populaire.
Si les auteurs de telles manœuvres pensent me discréditer, l’effet contraire risquerait plutôt de se produire, car l’on juge de l’importance d’un individu par le nombre de ses ennemis.
Cette mascarade finira par être démasquée et je serai particulièrement pugnace pour la défense de mes droits et la réparation des préjudices créés. Ce que je ne souhaite pas est que les auteurs soient épinglés dans mon proche entourage ».
N.R.M
Une goutte d’eau dans un océan, est-on enclin à dire, après la cabale entretenue contre les Forces de Défense et de Sécurité, le Chef de l’Etat Camerounais et ses collaborateurs depuis le début de la crise sécuritaire qui sévit dans ces deux parties du Cameroun.
Dans un rapport publié le 12 Mars dernier, Ilaria Allegrozzi - Chercheuse senior sur l’Afrique centrale a parlé des crimes perpétrés par les ambazoniens, notamment les meurtres, les enlèvements avec demande de rançon et autres barbaries. Cependant, l’on reste assez sceptique sur les réelles motivations de cet organisme qui préconise quelques petites réprimandes, à l’instar du gel des avoirs, le refus de voyager à ces individus que les travailleurs de Human Right Watch pourraient éventuellement connaître, étant entendu qu’ils les mentionnent tout le temps lorsqu’ils relatent ce qu’ils considèrent comme parole d’évangile, lorsqu’il faut juger et condamner le Cameroun ; sans oublier leurs drones
Le rapport
« Les séparatistes armés multiplient les abus dans les régions anglophones du Cameroun. Des enlèvements et meurtres récents mettent en évidence la flambée des violences
Le 27 février, des séparatistes armés ont enlevé John (son nom a été modifié), un médecin de la région anglophone du Nord-Ouest du Cameroun et l’ont emmené dans leur camp.
Ils ont accusé John de « ne pas avoir contribué à la cause », pointant une arme dans son dos et menaçant de le tuer. Il a été remis en liberté six heures plus tard, après paiement d’une rançon d’un montant de 300 000 francs CFA (544 dollars US).
« Ils ont dit que je devais leur donner de l’argent pour soutenir leur lutte pour l’indépendance, pour acheter des armes », a témoigné John à Human Rights Watch. « Ils m’ont dit de ne raconter à personne ce qui m’était arrivé, sans quoi, ils me tueraient, moi et tous les membres de ma famille. »
Des histoires comme celle de John ont trop souvent été entendues dans les deux régions anglophones du Cameroun. Depuis 2017, les séparatistes armés ont enlevé des centaines de personnes, dont des élèves, des membres du clergé, des dirigeants politiques et des travailleurs humanitaires ; tout en appelant les régions anglophones à déclarer leur indépendance.
Les séparatistes ont en outre imposé un boycott des établissements scolaires dans ces mêmes régions pour protester contre ce qu’ils dénoncent comme l’assimilation du système éducatif anglophone dans le système central francophone.
Le récent enlèvement de John s’est produit sur fond de regain de violences commises par les séparatistes depuis deux mois.
Le 13 février, des combattants séparatistes ont tué trois chefs de tribus dans le village d’Essoh Attah, situé dans la région du Sud-Ouest, parce qu’ils avaient refusé de leur reverser les bénéfices de leurs ventes de cacao et avaient promu l’éducation, selon les médias.
Le 9 janvier, des combattants séparatistes présumés ont tué le proviseur d’un lycée à Eyumojock et blessé celui d’un lycée de Tinto, tous deux situés dans la région du Sud-Ouest, selon le Bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires et les médias.
Les séparatistes ont entravé l’acheminement de l’aide humanitaire, tuant et torturant ceux qu’ils soupçonnaient de collaborer avec les autorités et les forces de sécurité.
« Nous sommes à la merci de leurs armes », a confié un homme âgé de 35 ans de Bafut, dans la région du Nord-Ouest. « Les combattants séparatistes harcèlent tout le monde. Ils exigent de l’argent et si vous n’êtes pas en mesure de payer, ils vous menacent ou vous kidnappent».
Les forces armées camerounaises, qui ont mené de multiples opérations marquées parfois aussi par des violations dans les régions anglophones, devraient garantir plus efficacement la protection des civils.
Le Conseil de sécurité de l’ONU et les partenaires internationaux du Cameroun devraient faire comprendre aux dirigeants séparatistes que ces crimes ont des conséquences, notamment en imposant des sanctions ciblées, telles que l’interdiction de voyager et le gel des avoirs, à tous ceux dont la responsabilité est établie dans ces exactions ».
N.R.M
Dans son éditorial du 13 mars dernier, le Capitaine de Frégates Atonfack Guemo a relevé des points qui, de son point de vue, annihilent toute volonté collégiale et républicaine qui pourtant auraient pu aider à vaincre la pandémie. Au contraire, poursuit-il pour le regretter, « l’on note une surenchère des appétits mercantilistes aux relents mortifères des firmes pharmaceutiques…
« Face aux effets néfastes de cette pandémie sur l’activité humaine, l’esprit de solidarité est malheureusement remplacé par une égoïste inclination à la thésaurisation des productions vaccinales, et à une diplomatie sanitaire aux conditionnalités lénifiantes ;
Mondialisation pour les uns, globalisation pour les autres. Quoiqu’il en soit de l’acception que l’on voudrait bien leur donner, il n’en demeure pas moins que la vulgarisation de ces deux vocables consanguins sera intervenue dans la foulée de la disparition du Bloc de l’Est.
L’espoir était alors nourri qu’avec la fin des rivalités hégémoniques entre superpuissances, les énergies longtemps tétanisées par la peur d’un regard castrateur allaient enfin se libérer. Le monde deviendrait plus égalitaire dans la distribution des responsabilités, et la répartition des ressources.
Trois décennies plus tard, force est de reconnaître que la gouvernance collaborative tant attendue a fait place à un retour de la prépotence des plus nantis, les flux idéologiques, culturels et commerciaux étant plus que jamais à sens unique. Même l’émergence de périls sanitaires emprunte cet axe Nord-Sud.
Citons la vache folle, le poulet à la dioxine, les épisodes de grippes aviaires, et aujourd’hui, le SARSCOV-2, alias COVID-19. Seul bémol, le fulgurant virus qui endeuille de manière indistincte peuples et nations, serait la seule chose véritablement mondialisée à l’heure actuelle
Mais en dépit des effets néfastes de cette pandémie sur l’activité humaine, l’esprit de solidarité qui devrait être de mise en ces moments de détresse planétaire, est remplacé par une égoïste inclination à la thésaurisation des productions vaccinales.
L’on ne serait certainement pas si éloigné que cela d’une future diplomatie sanitaire aux conditionnalités purement et simplement lénifiantes. D’autant qu’en soutien aux souverainismes à la mode sanitaire, l’on recense une surenchère des appétits mercantilistes de la part des firmes pharmaceutiques.
Et lorsqu’au coût prohibitif des produits médicamenteux, lorsqu’aux intentionnalités comminatoires, l’on ajoute les mesures restrictives de l’activité sociale, il peut sembler que la boucle soit bouclée, et que bientôt sonne le glas pour les peuplades qualifiées de déshéritées. Sauf que sur l’échelle comparative des taux d’affection et de mortalité, le Cameroun fait mieux que de la résilience. Nous sommes en résistance active au COVID-19.
Peut-être bien que dans son impénétrable mansuétude, la nature nous aurait dotés d’un degré d’immunité supérieure à la moyenne. Autant rendre cette immunité complète, par une stricte observance des règles d’hygiène personnelle et sociale. Le COVID-19 a en effet, suffisamment mis en exergue qu’avec très peu de moyens et beaucoup d’autodiscipline, il est possible de s’en prémunir.
Le respect des gestes barrières est à cet égard, la précaution universelle permettant à la fois d’éviter la maladie, d’assurer la normalité de l’activité sociale, et enfin, d’éviter à notre pays d’avoir à subir les déconvenues du diktat sanitaire, ce néo-esclavagisme en voie d’expérimentation.
Parce qu’il en va du COVID-19 comme d’autres affections, à savoir : Prévenir vaut mieux que guérir, faisons preuve de patriotisme sanitaire, revenons à nos bonnes vieilles mesures-barrières ». /-
N.R.M
Les athlètes se sont envolés il y a quelques heures depuis l’aéroport international de Yaoundé Nsimalen, afin de prendre part au Meeting international d’athlétisme.
La compétition qui commence ce Lundi, va s’achever le 20 Mars prochain et, elle est qualificative pour les jeux paralympiques de Tokyo.
Après deux semaines de stage intense, facilité par les pouvoirs publics, en partenariat avec le comité national paralympique, les compétiteurs se disent confiants
Atangana Tsama Charles – capitaine de l’équipe nationale d’athlétisme : « Le moral est au beau fixe, mes coéquipiers et moi sommes fin prêts pour défendre les couleurs du Cameroun pendant cette compétition de Tunis. Vous savez les résultats qui sont les nôtres, notamment l’obtention des minima qualificatifs pour les jeux paralympiques ; Je pense que les petits plats ont été mis dans les grands pour que nous puissions engranger le plus grand nombre de victoires » ;
Atangana Guillaume Junior – Athlète international Camerounais – Déficient visuel, catégorie D11: « Je fais cent et quatre cent mètres ; Par rapport à la compétition à laquelle nous allons participer à Tunis, comme c’est une dernière ligne droite pour les qualifications des jeux paralympiques, j’ai intégré le fait que c’est une compétition décisive pour moi et, j’entends donner le meilleur de moi-même, pour être qualifié à ces jeux ; c’est d’ailleurs la seule qui me reste et, je suis prêt à tout mettre en œuvre pour obtenir les minima requis » ;
Une assurance que partage le président de la fédération camerounaise d’athlétisme pour déficients visuels
Norbert Tchoungui : « Au moment où nous nous apprêtons à aller à Tunis, pour le 14ème meeting international, qualificatif pour les jeux paralympiques Tokyo, il faut dire que l’équipe nationale des déficients visuels a été mis en salle pendant quatorze jours…
Nous sommes conscients que la compétition sera intense et compte tenu des leçons que nous avons retenues, suite à notre dernière participation à Dubaï, l’encadrement technique a tout mis en œuvre pour que les enfants se préparent très bien… ».
Les objectifs
Bien que pendant le stage préparatoire, il y’a eu quelques cas de petites maladies qui ont été pris en charge par l’équipe médicale, Norbert Tchoungui - président de la fédération Camerounaise d’athlétisme pour déficients visuels dit pouvoir compter sur de nombreux athlètes afin d’atteindre le but qu’ils se sont fixés et rapporter de nombreux lauriers :
« Nous visons d’abord à confirmer la qualification de certains de nos athlètes, comme Atangana Guillaume Junior aux 400 mètres puisqu’il est déjà qualifié pour les jeux paralympiques ; Toutefois, nous comptons aussi sur le fait qu’il puisse se qualifier aux 100 mètres en améliorant sont rancking…
Nous avons aussi Lebock Marie Judith qui a fait un très bon résultat à Dubaï dernièrement, nous pensons aussi qu’elle pourrait améliorer ces performances là pour décrocher ses qualifications directes…
Il faudrait aussi tenir compte de ceux qui n’ont pas été à Dubaï, à l’instar de Amanie Ngono Simone Edwige, Ntengue Marie et puis Issa Manaoua. Ils étaient déjà lors des dernières compétitions dans la fourchette des minima B ».
Nicole Ricci Minyem
Le Social democratic front demande à l’honorable Joshua Osih de se désolidariser des 63 députés, qui ont écrit au gouvernement américain pour refuser une ingérence étrangère dans la résolution de la crise anglophone.
Le Social democratic front (SDF) veut que l’honorable Joshua Osih retire sa signature de la correspondance envoyée au gouvernement américain par 63 députés camerounais. C’est l’une des résolutions prises par le SDF au cours de la réunion du Comité exécutif qui s’est déroulée le samedi 13 mars 2021. Cette réunion apprend-on, a été présidée par le Chairman Ni John Fru Ndi. Joshua Osih qui avait été investi par le parti pour l’élection présidentielle de 2018, doit se désolidariser de tous ses camarades de l’Assemblée nationale qui ont refusé une intervention américaine dans la résolution de la crise anglophone. La question qu’on se pose est celle de savoir si le député pourra se conformer aux exigences de son parti politique. Va-t-il présenter ses excuses comme le souhaite le parti de la balance.
Il faut rappeler que le député Joshua Osih et 62 députés ont signé une correspondance dont l’objet indiquait que la souveraineté du Cameroun est non négociable en ce qui concerne la crise anglophone. En plus de cela, la correspondance demandait le rapatriement des Etats-Unis des activistes camerounais en situation irrégulière au pays de l’oncle Sam.
Liliane N.