Les leaders du Mouvement pour la renaissance du Cameroun, le Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale, l’Union démocratique du Cameroun, le Social democratic front pour ne citer qu’eux, ont signé un communiqué qui annonce la création d’une plateforme républicaine pour travailler sur la mise en place d’un système électoral nouveau ou amendé pour la stabilité et la prospérité de notre pays.
Le communiqué des leaders de ces partis politiques de l’opposition circule en ce moment sur la toile. Maurice Kamto du MRC, Cabral Libii du PCRN, Joshua Osih du SDF, Tomaino Ndam Njoya de l’UDC, Pierre Nkwemo de l’UMS, Prince Ekosso de l’USDP et Hilaire Dzipan du MP ont signé ce 1er avril 2021, un communiqué annonçant la création d’une plateforme républicaine. Le but de cette plateforme est de travailler sur la mise en place d’un système électoral nouveau ou amendé pour la stabilité et la prospérité du Cameroun.
Dans ledit communiqué, ces leaders indiquent qu’il a été observé de nombreux désaccords sur plusieurs dispositions du Code électoral. Ils affirment qu’il y a aussi des contradictions et des vides juridiques. Les conséquences de tout cela sont qu’il y a un obstacle à la plénitude de l’exercice d’un droit fondamental, le droit de vote, puis, à l’éventualité d’une alternance pacifique et démocratique.
Retrouvez ci-dessous le communiqué signé par les leaders suscités des partis politiques de l’opposition
Jean Baptiste Puewe le Secrétaire de la Fédération communale du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun à Banka, dans la région de l’Ouest, est décédé dans la journée du mercredi 31 mars 2021.
Le Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) est endeuillé. Alors que le parti politique pleurait Lazare Soub qui fut son unique député, la fin de la journée d’hier 31 mars 2021, s’est plutôt encore assombrie avec le décès de Jean Baptiste Puewe le Secrétaire de la Fédération communale du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun à Banka.
Parlant au nom de son parti, Maurice Kamto dans un communiqué rendu public ce jeudi 1er avril a salué la mémoire des disparus et adressé ses condoléances aux différentes familles biologiques.
«Face à cette double perte pour notre parti et les familles concernées, je voudrais, en mon nom propre et au nom du MRC, présenter mes sincères condoléances aux familles si durement éprouvées, ainsi que l'expression de ma compassion émue (...) C'est l'occasion pour moi d'exprimer aux illustres et valeureux disparus ma profonde reconnaissance et celle du MRC pour les sacrifices consentis en vue du rayonnement et de l'implantation de notre parti auquel ils étaient très attachés et dévoués. Je leur fais la promesse que nous continuerons avec plus d'ardeur le combat que nous menions ensemble», a écrit Maurice Kamto président national du MRC.
Pour revenir à l'ancien député Lazare Soub, dans l'hommage que Maurice Kamto lui a rendu, il a indiqué qu'il était un homme politique pétri d'expérience.
«M. Lazare Soub était un homme politique chevronné, homme de terrain populaire, travailleur et batailleur infatigable, fin connaisseur des subtilités politiques de la société camerounaise, en particulier de la ville de Douala où il était établi de longue date. Sa riche expérience du champ politique camerounais, qui lui avait valu d’être élevé au Comité des Sages de notre parti, nous manquera cruellement», a-t-il écrit.
Liliane N.
La société panafricaine de financement du développement du logement a renoué avec la rentabilité comme l’indiquent ses résultats pour l’exercice 2020. En effet, le résultat global a augmenté de 196 millions de shillings (1,85 M USD) en 2020, contre une perte de 134 millions de shillings (1,26 M USD) enregistrée en 2019, soit une augmentation de 247 % en glissement annuel.
Le redressement réussi de cette institution se traduit notamment par le fait qu’elle a terminé l’année 2020 avec une position de liquidité élevée, avec un solde de trésorerie de Ksh 4,9 milliards, ce qui donne un fort ratio de liquidité de 27 %, 12 % points au-dessus de la limite prudentielle de 15 %. Selon les déclarations du président de Shelter-Afrique, Dr Steve Mainda s’adressant à la presse à Nairobi au Kenya, la stratégie de redressement mise en place en 2016 a finalement porté des fruits et que la société était désormais financièrement viable.
« Entre 2016-2018, la société a réduit ses activités et, dans le processus, a subi un programme de restructuration qui a abouti à l’artisanat du Plan stratégique 2019-2023. Le Plan stratégique s’est concentré sur trois objectifs stratégiques clés (OS), qui sont soutenus par des objectifs stratégiques clés consistant à atteindre la viabilité organisationnelle. Je tiens à féliciter l’équipe compétente pour sa mise en œuvre judicieuse du plan de redressement, qui a permis d’atteindre les résultats souhaités avant l’heure », se réjouit le Dr Mainda.
Plan de stratégie 2019-2023
Si l’on s’en tient au contenu à ce plan stratégique, la société avait prévu un retour à la viabilité financière d’ici 2020, une viabilité financière globale et une rentabilité d’ici 2023. A en croire le directeur général et chef de la direction de groupe Shelter-Afrique, Andrew Chimphondah, « Le retour à la vitalité financière plus tôt que prévu, comme le signale la croissance du bénéfice et du revenu d’exploitation en 2020, est une indication que la stratégie de redressement a été efficace. Avec le solde pipeline de près de 89 milliards de shillings kényans (840 millions de dollars américains) à partir de 2021 et au-delà, la société est prête à déclarer des dividendes aux 46 actionnaires plus tôt ».
Indiquons que Shelter-Afrique est la seule institution panafricaine de financement appuyant exclusivement la promotion de l’habitat et du secteur immobilier en Afrique. Selon les promoteurs de l’entreprise, celle-ci répond aux besoins des populations urbaines du continent en croissance rapide. Elle travaille avec un impact direct et positif sur les conditions de vie des sociétés africaines. Shelter-Afrique est présenté comme un véhicule d’investissement privilégié établit par 44 Etats africains, la Banque africaine de développement (BAD) et la Société africaine de réassurance. L’institution croît grâce aux vertus de ses partenariats stratégiques et offre une diversité de produits et de services connexes pour appuyer de façon efficace le développement de l’immobilier résidentiel et commercial abordable en Afrique sub-saharienne.
Innocent D H
Le professeur des universités est certain, l’affectation dont il vient de faire l’objet vers l’université de N’Gaoundéré n’est ni plus ni moins qu’une affectation disciplinaire. Mais au lieu de pleurnicher sur son sort, Messanga Nyamding affirme que cette situation l’arme de plus de courage. Ce d’autant plus qu’il n’a rien à se reprocher.
Pour le Pr Charlemagne Messanga Nyamding, il est tout simplement victime de ceux qui veulent détruire l’image du Chef de l’Etat et porter atteinte à la stabilité politique du Cameroun. Et il sait très bien qui sont ces personnes. Pour lui, ce sont les qui « ont pillé, sodomisé au quotidien la morale populaire, détruit les projets présidentiels, confisqué le bien-être social, hypothéqué l’avenir des camerounais pour le seul confort de leur petite personne ». Ce sont « des bureaucrates déshumanisés, colériques, impulsifs, injustes, rancuniers et carnassiers ». Messanga Namding affirme sans ambages que ce gens sont des « compatriotes au caractère vulnérable qui plongent dans l’invective, le mensonge, la calomnie, la moquerie, le dénigrement, la haine, la sorcellerie, la jalousie ou le règlement de compte pour se faire reconnaître et sortir de leur stress et de leur torpeur. » Il n’a pas besoin de nous faire un dessin plus exhaustif de ceux qui lui en veulent. Le descriptif est suffisamment éloquent.
« Alors, je vous le confirme, j’irai prendre service à l’Université de Ngaoundéré dans les prochains jours, à l’effet de me rendre à l’Annexe de Garoua »
Seulement, l’homme politique qui se défini comme le soutien indéfectible du Chef de l’Etat, un Biyaiste jusqu’au bout des ongles, se dit toujours prêt pour le combat. Il ne baissera jamais les bras. « Il n’y a pas de quoi pleurnicher lorsqu’on a rien à se reprocher : surtout lorsque certains entremêlent les opinions politiques aux affaires académiques ». Plus encore, maintenant que tout le monde est au fait de ce qu’il existe selon lui une véritable horde de fauves qui veulent détruire le pouvoir de Pau BIYA, il est temps d’entrevoir une nouvelle administration camerounaise faites de nouveaux hommes. « Cette mission par moment difficile mais exaltante nous a enfin permis d’apporter la preuve à ceux qui doutaient du moins de l’influence des collaborateurs que notre administration a fort besoin, des hommes politiques accomplis aux affaires » Fait savoir le prof.
« Ces attitudes peuvent se comprendre, car eux aussi sont frustrés. Par contre leur décharge sur des innocents est inacceptable. »
Et c’est peut-être vrai. On pourrait comprendre que ces gens aussi sont en attente depuis des lustres de l’occasion ultime o ils pourront eux aussi prendre place dans le grand fauteuil d’Etoudi. Ils ont accumulé suffisamment d’argent et de pouvoir. Il ne reste plus que cette haute strate pour couronner leur parcours politique. Or, ne pouvant s’en prendre directement au grand patron, ils font ce qu’ils peuvent pour que les meilleurs soutiens de celui-ci soient fragilisés. Et c’est l’occasion pour Messanga Nyamding de rappeler qu’il restera téméraire. « En tout homme politique et universitaire, je suis sans reproche car mon ÉDUCATION FAMILIALE, ma Foi, mon Initiation au Commandement Traditionnel sont en moi une Force Spirituelle et des Valeurs que nul ne peut ébranler.
Faites-moi confiance que l’on m’aime ou pas, je subis les influences qui sont en moi une Puissance immatérielle que j’ai héritée de mon charismatique Grand-Père Sa Majesté Fon NYAMNDING NTONGO BITÕN BI MBÈRE NSONG YOHMI. »
Stéphane NZESSEU
L’agence de transport interurbain Avenir Voyage avait été suspendue pour une période d’un mois après avoir été dans un accident de la circulation, qui a fait 5 morts dans la nuit du 21 au 22 février 2021 à Foumbot.
Jean Ernest Ngalle Bibehe Massena le ministre des Transports (MINTRANSPORT) a levé la sanction qui pesait sur l’agence de transport Avenir Voyage. Cette dernière avait écopé d’un mois de suspension d’activités pour un énième accident de la route dans lequel il était impliqué. Ledit accident avait eu lieu dans la nuit du 21 au 22 février 2021 dans la ville de Foumbot située dans la région de l’Ouest. Il y avait eu un bilan de 5 morts.
Dans son communiqué qui date du 26 février 2021, le MINTRANSPORT en infligeant cette suspension d’activités d’1 mois à Avenir Voyage, avait précisé que l’agence allait faire l’objet d’une observation. Et elle devait soumettre au contrôle technique qui allait être fait sous la supervision des responsables de son département ministériel, tous ses véhicules affectés au transport interurbain des personnes. Il faut donc croire qu’en levant la sanction, le ministre a été rassuré du respect des mesures qu’il avait prescrites.
Toutefois, il convient de souligner que cette sanction n’était pas la première à laquelle Avenir Voyage devait faire face. Il y a d’abord eu celle suivant le grave accident survenu dans la nuit du 26 au 27 décembre 2020 à Ndikinimeki, région du Centre. On avait compté 39 morts et 14 blessés graves. Le ministre Ngalle Bibehe Massena avait infligé à titre conservatoire, un mois de suspension d’activités à Avenir voyages. Il avait dans la foulée prescrit une enquête ayant révélé des dysfonctionnements qui engageaient la responsabilité de l’agence de transport dans cet accident.
Liliane N.
Le ministère de la Défense fait savoir que l’armée a été prise à partie par une meute criminelle sur l’axe Mbonge-Kumba, dans la matinée du 26 mars 2021.
Depuis des jours, l’armée essuie des accusations de meurtre de civils à Mbonge, un village situé dans la région du Sud-Ouest. Le journal en ligne de la femme des médias Mimi Mefo dans une de ses publications parle de pas moins de 20 jeunes dont des femmes, des personnes âgées et des enfants qui ont été tués à Mbonge.
«Parmi les personnes exécutées sommairement lors du raid militaire de vendredi, il y a «environ neuf combattants séparatistes», peut-on lire dans la publication du journal de Mimi Mefo.
Portant les accusations similaires contre l’armée Sosthène Médard Lipot du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) a requis l’ouverture d’une enquête pour élucider les évènements du 26 mars 2021. L’homme politique affirme aussi que les Forces de Défense et de Sécurité ont en plus de tué des séparatistes, ont assassiné des civils.
Ces accusations sont suffisamment graves. Le ministère de la Défense a décidé de faire une mise au point sur ce qui s’est véritablement produit le 26 mars 2021 à Mbonge.
«Il s’est agi d’une patrouille des éléments du 21e Bataillon de Fusiliers Marins Commandos prise à partie par une meute criminelle lourdement armée sur l’axe Mbonge-Kumba dans la matinée du 26 mars 2021. Le bilan de cet accrochage est de 02 terroristes neutralisés, 05 engins explosifs improvisés, des détonateurs télécommandés et plusieurs armes de guerre récupérés (…) Quelques terroristes rescapés avaient rassemblé de force les populations apeurées sur la place du village pour reconstituer risiblement dans des postures morbides, ce qui est aujourd’hui malheureusement et maladroitement brandi comme preuves de massacres », explique le ministère de la Défense dans sa mise au point.
Liliane N.
Ce qui n’est pas toujours le cas pour les autres forces armées des pays africains en proies ces derniers jours aux multiples assauts de terroristes de divers ordres. Au milieu de toutes ces attaques et de tout ce que subissent les autres armées, les militaires camerounais sont à porter en triomphe.
Les soldats camerounais imposent le respect. Le haut niveau de discipline et la pertinence de la tactique de nos militaires leur confère une force de frappe qui les rend très redoutables pour les ennemis qui attaques notre nation. Chaque jour, les multiples assaillants et aventuriers de Boko Haram en payent les frais. Et à chaque fois qu’ils reviendront, ce sera la même ration voir pire qui leur sera infligée par les gardiens de l’intégrité territoriale de notre patrie. Et c’est en somme ce que souligne le journaliste Rawul Simplice Minlo.
Dans sa publication du 30 mars dernier, sur son compte Facebook, Rawul Simplice Minlo attire l’attention des camerounais sur une série de faits. « Il y a quelques jours, une horde de djihadistes a envahi la ville de la palma au nord du Mozambique égorgeant au passage de nombreux habitants... Il y a quelques semaines 137 nigériens étaient sauvagement assassinés par d'autres djihadistes qui écumant le sahel... Ce pays est presque débordé par les assauts incessants de ces sauvages... Le burkina faso dort d'un œil... Les mêmes djihadistes sèment la mort dans les villages reculés... Au mali, malgré la présence des troupes françaises... Les djihadistes tuent, pillent et détruisent...
Mais au Cameroun, ils sont traqués et repoussés hors de nos frontières. L’attaque de Dabanga tout récemment en est une illustration... Boko haram a une fois de plus mordu la poussière face aux forces de défense et de sécurité camerounaises qui veillent sur nous... Nous permettant de jouir de la vie... De vaquer tranquillement à nos occupations en les insultant par ailleurs. Imaginons un seul instant si nos soldats avaient démissionné... respect! »
Or, au lieu de le voir ainsi et de célébrer à tout rompre la bravoure de notre armée, il existe encore certains camerounais, habités par un esprit difficile à qualifier, qui trouve le moyen de prêter le flanc à ces ennemis de la nation qui ne cherchent qu’une chose : fragiliser le tissu militaire pour jeter le Cameroun comme une proie à ces assaillants. Compte tenu de ce climat sécuritaire précaire tout autour de notre pas, notre armée reste et demeure le dernier rempart pour nous garantir de vaquer à nos activités en toute quiétude. Les populations d’Amchidé en savent quelque chose. Elles qui bénéficient depuis quelque temps maintenant de cette protection renforcée et de cet appui militaire qui permet que la vie y reprenne progressivement.
Bravo les lions de la défense et de la sécurité nationale !
Stéphane NZESSEU
Alors que les commentaires vont bon train et les accusations fusent de toute part suite à l’accident mortel qui a brusquement arraché à la vie deux jeunes dames à Makak, la société qui exploite le réseau ferroviaire du Cameroun explique les circonstances de ce drame dans un communiqué.
La quintessence du communiqué
« En date du 27 mars et en totale violation des règles élémentaires de sécurité, le conducteur d’un véhicule de marque Toyota châssis numéro 042109 s’est immobilisé de manière incompréhensible sur la voie ferrée au passage à niveau du PK 191+750 après avoir pourtant ralenti à l’approche du train H006 avant de s’engager brusquement.
Le conducteur de la locomotive qui klaxonnait avec insistance depuis la distance réglementaire a alors engagé le freinage d’urgence, mais n’a malheureusement pu éviter l’impact avec le véhicule dont les vitres étaient complètement fermées.
A la suite de cet acte qui a causé des pertes en vies humaines et des dégâts sur la voie ferrée une enquête a été ouverte par les autorités compétentes.
Le Directeur Général de Camrail rappelle aux usagers la nécessité de respecter scrupuleusement les règles de sécurité aux passages à niveau et les invite à davantage faire preuve de civisme… ».
Un comportement de chauffards
Voilà un accident qui vient remettre au devant de la scène, le comportement de ces jeunes gens qui font la ligne Yaoundé – Makak. Au-delà des mauvais propos dont certains semblent avoir adopté comme identité personnelle, tous ceux qui empruntent ces petites voitures sont unanimes sur le fait que les chauffeurs ne sont nullement respectueux du code de la route.
Témoignage des personnes ayant vécu l’accident
« Ce passage à niveau a une visibilité de 100 mètres de part et d’autre de la voie. Ce chauffeur qui est indemne alors que les familles des trois victimes peinent à se remettre de ces pertes tragiques était conscient de faire courir les risques à ses clientes qui, malheureusement revenaient elles aussi des obsèques d’un proche ».
« On ne le dira jamais assez, il faut moraliser ces chauffards. Le jeune homme assassin, ne l’appelons pas autrement a bien trouvé des motocyclettes arrêtés qui attendaient que le train qui s’était déjà annoncé passe ;
Il a voulu faire les gros bras en passant en force, la locomotive l’a cogné alors que le devant de la voiture était passé. La visibilité est si bonne à cet endroit…de là, on voit presque la gare de Makak ».
Au niveau des virages qui par exemple jonchent ce tronçon, « il faut toujours retenir son cœur parce qu’ils ne prennent même pas la peine de klaxonner, ils ne tiennent pas compte du fait qu’une autre voiture peut venir en face, sans parler des motos ».
Nicole Ricci Minyem
Présidé par Joseph Dion Ngute, premier ministre et chef de gouvernement du Cameroun, les travaux de ce mercredi ont essentiellement porté sur trois points :
Un exposé sur les stratégies de développement de la recherche scientifique appliquée au Cameroun face à l’émergence des épidémies et des endémies ;
Un exposé sur les mécanismes de renforcement de la formation professionnelle en vue de la promotion de l’auto-emploi ;
Un rapport sur la situation de la pandémie du Covid-19 au Cameroun.
Retrouvez le communiqué rendu public au terme des assises
C’est à cette occasion que les différentes équipes en lice vont connaître leurs adversaires en vue de la compétition qui va se dérouler au Cameroun du 09 Janvier au 06 Février 2022.
Pays qualifiés pour la phase finale de la CAN 2021
1) Cameroun (20e participation, pays-hôte)
2) Côte d’Ivoire (24e participation)
3) Sénégal (16e participation)
4) Mali (12e participation)
5) Burkina Faso (12e participation)
6) Guinée (13e participation)
7) Algérie (19e participation)
8) Gabon (8e participation)
9) Tunisie (20e participation)
10) Gambie (1ère participation)
11) Comores (1ère participation)
12) Ghana (23e participation)
13) Nigeria (19e participation)
14) Maroc (18e participation)
15) Egypte (25e participation)
16) Guinée Equatoriale (3e participation)
17) Zimbabwe (5e participation)
18) Soudan (9e participation)
19) Malawi (3e participation)
20) Ethiopie (11e participation)
21) Mauritanie (2e participation)
22) Guinée-Bissau (3e participation)
23) Cap-Vert (4e participation)
24) Bénin ou Sierra Leone (match reporté)
Les décisions du Comité Exécutif de la CAF
Les membres de cette instance se sont réunis en vidéo conférence le 30 Mars 2021, sous la coordination de Véron Mosengo – Omba – Secrétaire Général de cet organisme et voici ce qui ressort de cette rencontre :
Le Secrétaire Général a informé le Comité de l'état de dégradation de certaines infrastructures (stades et infrastructures d’accueil), qui n'offrent pas ou plus les garanties indispensables pour accueillir des compétitions de la CAF, notamment les matchs comptant pour la Coupe d'Afrique des Nations.
Il a été convenu que l’amélioration des infrastructures devient l’une des priorités de la CAF et un plan détaillé sera présenté à court terme.
Il a en outre indiqué, au sujet des polémiques sur les tests COVID-19 actuellement exigés lors des compétitions, que les réflexions ont été entamées pour mettre en place en - collaboration avec l’OMS - des organes indépendants en charge d’effectuer les tests en vue des matches, ceci notamment dans la perspective de la CAN Total Cameroun 2021.
Le Comité Exécutif a unanimement approuvé des dates proposées pour l’organisation du tirage au sort (25 juin 2021) et du tournoi final de la CAN Total Cameroun 2021 (du 9 janvier au 6 Février 2022)
Nominations et cooptations :
Cooptation au Comité Exécutif de la CAF de Monsieur Abdigani Said Arab, Président de la Fédération Somalienne de Football ;
Confirmation de Monsieur Fouzi Lekjaa (Maroc), qui a accepté de continuer à occuper la fonction de Président de la Commission des Finances de la CAF ;
Désignation de Messieurs Hany Abou Rida (Egypte) et Amaju Melvin Pinnick (Nigéria) en qualité de membres du Comité d’Urgence de la CAF.
Le Président a informé le Comité Exécutif des nominations suivantes :
Monsieur Jacques Bernard D. Anouma (Côte d’Ivoire) en qualité de Conseiller spécial Senior du Président ;
Monsieur Daniel Alexandre Jordaan (Afrique du Sud) en qualité de Conseiller en charge du Sport et du Marketing auprès de la présidence.
Pour terminer, le Secrétaire Général a formellement informé le Comité Exécutif de la mission d’audit entamée par le Cabinet PWC au siège de la CAF et dont les résultats sont attendus au début du mois de mai 2021.
N.R.M
En dépit du fait que les Lions indomptables se sont séparés avec les joueurs du Rwanda sur un score nul, l’entraîneur Antonio Conceiçao trouve, qu’il y a eu du positif dans la rencontre qui s’est déroulée hier 30 mars 2021, au stade de Japoma à Douala.
Après la défaite concédée au Cap vert lors de la cinquième journée des Eliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations, le Cameroun n’a pas pu battre le Rwanda hier. Alors que les Lions indomptables à l’instar de Clinton Njie avait promis la victoire, le Rwanda et le Cameroun ont fait un match nul (1-1). Réagissant au terme de la rencontre, le portugais Antonio Conceiçao entraîneur des Lions affirme que le résultat ci-haut mentionné est positif pour lui.
«L’un des objectifs pour ces qualification c’était terminé premier. On a réussi. Le deuxième c’était de découvrir plusieurs joueurs tant sur la qualité que la technique, ça été un gros travail. Il y a 14 nouveaux joueurs qui sont sur nos listes capables d’être des titulaires. On n’est pas satisfaits du résultat. On avait pour objectif de découvrir des joueurs tant de l’étranger et du championnat local. L’absence de certains joueurs n’est pas de notre fait. Pour ce match on a eu des occasions mal exploités. On aurait pu gagner ce match. Malgré le résultat c’est très positif pour moi car ça a permis d’observer et de savoir qui est capable de jouer dans cette équipe. Car entre jouer en club et en équipe nationale, il y a une différence. On avait également besoin de voir certains joueurs des U20 et du CHAN. Cela nous a donné une large palette de choix pour les jours avenir car ce sera plus intense dans les prochains jours», a déclaré le portugais.
Tout compte fait, les Lions indomptables terminent premier de leur poule.
Liliane N.
L’honorable Lazare Soub est décédé ce mercredi 31 mars 2021 des suites de maladie à l’hôpital général de Douala.
L’honorable Lazare Soub n’est plus. Selon des sources, l’homme qui était l’unique député du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) avait été affaibli par la maladie. Et c’est la raison pour laquelle, il était devenu un peu plus rare après la fin de son mandat à l’Assemblée nationale. Il avait été élu au terme des élections de septembre 2013 dans la circonscription électorale de Wouri-Est (Douala), sous la bannière du parti du MRC de Maurice Kamto qui n’avait alors qu’un peu plus d’un an d’existence. Lazare Soub selon nos sources, était interné à l’hôpital général de Douala, depuis quelques jours.
Pour parler en bref de son parcours politique, il faut noter qu’il est dit de Lazare Soub, qu’il était un homme très effacé. Avant de militer au MRC, il a été au Social democratic front (SDF). Et c’est sous les couleurs de ce parti qu’il a été élu maire de la commune d’arrondissement de Douala 3e de 2002 à 2007. Après ce mandat, il n’a pas été réélu à la tête de cette commune. Il va quitter le SDF qui le trouvera indiscipliné. C’est alors qu’il va rejoindre le MRC de Maurice Kamto. Ce sera très exactement avant le double scrutin législatif et municipal de 2013. Investi par le MRC qui participe cette année-là pour la première fois de son histoire aux législatives, à la surprise générale Lazare Soub sera donc élu député sur les quatre que compte la circonscription de Wouri Est (Arrondissements de Douala 3e et 5e).
Depuis l’annonce de son décès, les hommes politiques comme André Luther Meka du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC) le pleurent.
Liliane N.
Dans la correspondance adressée à Francis Ngannou le nouveau champion du monde des poids lourds d'UFC, le président de la République Paul Biya affirme qu'il fait désormais partie des illustres athlètes camerounais, qui font la fierté du pays à travers le monde.
Le Chef de l’Etat Paul Biya a aussi savouré la victoire de Francis Ngannou qui depuis le samedi 27 mars 2021, détient le titre de champion du monde des poids lourds d'Ultimate Fighting Championship (UFC). Il a décidé d’adresser une correspondance au boxeur.
«Je vous adresse mes sincères félicitations pour la performance sportive mémorable que vous avez réalisée en devenant sur le sol américain, le premier Africain à remporter la ceinture de cette compétition», a écrit le président de la République.
Le Chef de l’Etat fait savoir à Francis Ngannou originaire de la région de l’Ouest du Cameroun, qu’en hissant bien haut le drapeau de notre pays, il a ainsi fait son entrée dans le cercle restreint des illustres athlètes camerounais.
«Grâce à votre nouveau statut de champion du monde, vous avez hissé au plus haut niveau le drapeau du Cameroun. En outre, vous appartenez désormais au siècle des illustres athlètes camerounais qi font la fierté de leur pays à travers le monde. Veuillez agréer monsieur avec tous mes encouragements, les assurances de ma parfaite considération», a conclu le président Paul Biya.
A titre de rappel, Francis Ngannou a livré un combat contre l’américain Stipe Miocic. Ledit combat s’est déroulé dans la ville de Las Vegas aux Etats-Unis. Il a réussi à battre son adversaire américain par KO lors du second round. Ce dernier détenait avant sa défaite, la prestigieuse ceinture de l’UFC. Il avait battu Ngannou lors de la première manche en 2018.
Le fils de Batié qui fait la fierté de nombreux camerounais aujourd’hui, à 35 ans a ainsi réalisé son rêve de devenir champion du monde des poids lourds de l’UFC. Il compte exposer sa ceinture une fois au Cameroun, pour qu’elle devienne une source de motivation pour ses jeunes compatriotes.
Liliane N.
Le président national de cette association effectue depuis quelques jours une tournée dans les 10 régions du Cameroun. Il s’agit d’une visite de travail dont la principale articulation est l’installation des membres du bureau régional. Vendredi dernier, Iddy Mama a séjourné dans la région du Nord où il a procédé à l’installation des membres de l’ACIC-Garoua.
Les membres du bureau régional de l’Association culturelle islamique du Cameroun (ACIC) installés à Garoua dans leurs fonctions s’engagent à être plus proches des fidèles afin qu’ils honorent la religion musulmane à travers leurs œuvres. « Nous sommes interpellés sur la promotion de l’éducation qui est très importante, gérer la société, l’association islamique dans le Nord. Nous devons également assurer la bonne gestion des fonds alloués à l’ACIC et surtout la sincérité dans le travail », s’engage Hamadou Ouba, président du bureau régional de l’ACIC-Garoua reconduit à ce poste.
L’ACIC est appelé à continuer d’assurer sa mission d’encadrement de la communauté musulmane sur les aspects disciplinaires, mais aussi des valeurs qui prônent la paix et le respect des institutions républicaines. « On a trois défis : la discipline, l’organisation et l’éducation. C’est ça qui nous tiennent à cœur. L’ACIC a changé de cap, le laxisme est fini. Chaqu’un doit avoir sa carte d’adhésion et sa carte de membre avant de parler au nom de l’association avec discipline dans le respect des statuts et règlements. Nos écoles franco-arabes doivent être bien structurées et bien organisées, les comités doivent être bien éduqués car l’ACIC est une partie de l’Islam », recommande Iddy Mama, président national de l’ACIC.
L’installation des membres du bureau régional de Garoua a constitué la trame de fond de la visite de travail du président national de cette association dans la région du Nord. Précisons que l’ACIC a pour principaux objectifs, réguler et organiser la communauté musulmane du Cameroun.
Innocent D H